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La mère de ma petite amie..

Chapitre 1

Découverte

Erotique
Quelque part, tout a commencé à cause de mes nouvelles lunettes de soleil. Sarah me les avait offertes pour fêter notre première année ensemble et je les avais inaugurées lors d’une visite à Karine, sa mère qui comme souvent était seule dans leur villa...
En effet, son père n’était presque jamais là, pris par sa carrière dans je ne sais quel grand groupe industriel. Je l’avais croisé une fois en coup de vent, il m’avait un peu snobé, tout occupé à passer des coups de fil pour son travail sans imaginer que je puisse avoir l’ouïe assez fine pour entendre sa secrétaire lui susurrer des mots doux comme dans un mauvais film au scénario convenu.
La mère de Sarah lui ressemblait beaucoup, mais avec un peu plus de formes. Les mêmes cheveux bruns mi-longs, la même silhouette sportive (les deux étaient des coureuses très régulières), une poitrine plus opulente même si Sarah était loin d’être plate ; les mêmes yeux bruns sauf que ceux de Sarah étaient rieurs et chaleureux alors que ceux de sa mère étaient toujours froids. Bon je me doutais qu’il y avait de quoi avec son mari qui la trompait honteusement alors qu’il avait une très belle femme et que seule Sarah ne voyait rien, mais quand même, elle me paraissait très coincée, très grenouille de bénitier comme on dit, parlant de ses œuvres, de sa petite galerie de peinture, de salons d’art et de culture surtout. Je me demandais comment elle avait du succès d’ailleurs, mais peut-être était-elle plus souriante dans cet autre milieu.
Oh, j’avais été bien reçu et n’avait pas commis d’impair, mais Dieu que Sarah était stressée à chaque rencontre, si anxieuse que sa mère lui reproche quelque chose alors même qu’à 23 ans elle avait son petit logis en étant financièrement indépendante et que moi même à 25 ans j’avais déjà une bonne situation comme on dit. Au moins, on ne pouvait pas trop m’accuser d’être un coureur de dot
Enfin, revenons à nos moutons, ou plutôt à mes lunettes.

Elles étaient à verre miroir et c’est cela qui a fait la différence. Comment ? Tout simplement parce que les autres ne peuvent voir ce que vous regardez. Et donc évidemment on en profite pour regarder un peu ailleurs que la bienséance ne le permet. Surtout que nous étions venus profiter de la grande piscine de ses parents et, allongé sur un transat, je ne me lassais pas de mater Sarah. Si belle, si sexy et en même temps parfois si convenue sur le plan sexuel, n’aimant pas que la lumière soit allumée, recherchant l’ombre, se glissant vite sous les draps, pour moi qui était assez (très) branché sexe c’était un peu frustrant. Mais elle me plaisait tant, si vive et si jolie que j’espérais simplement que cela aille mieux et je faisais tout ce que je pouvais pour lui donner plus d’envie et lui exprimer mon amour.
Donc je matais son joli corps doré par le soleil, ne me lassant pas de le contempler côté pile et côté face quand elle se tournait pour bronzer dans son bikini très classique. Sans doute pas assez classique aux yeux de sa mère qui, à peine arrivée lui fit la réflexion que son maillot de bain était un peu décolleté et peu couvrant. Je me crus arrivé chez des intégristes, car comme dit, le maillot était quand même assez sage. C’est d’ailleurs ce que lui répondit Sarah en faisant remonter exprès le bas dans ses fesses m’offrant ainsi ; en passant d’une culotte simple à un haut string, une vision fort excitante. Sa petite rébellion finie, elle se tourna sur le ventre pour clore la conversation non sans rappeler à sa mère que personne ne pouvait nous voir, la piscine étant totalement à l’abri de tous les regards.
Pour ma part, tout en poursuivant ma conversation, enfin en subissant une espèce d’interrogatoire de la part de Karine, je scrutais les fesses somptueuses de ma copine. Heureusement, elle s’était tartinée de crème solaire, car les fesses ainsi dévoilées étaient bien blanches. Ça me donnait des idées, car si nous avions déjà fait l’amour, je n’avais pas goûté à ses fesses. Son petit cul rebondi et musclé se faisait tentateur pour un obsédé comme moi.
Je revins à la discussion ; les questions de Karine devenant plus précises. Je la regardais donc elle, visualisant ce que pouvait devenir Sarah plus tard. Son maillot de bain vert pâle une pièce avait beau la couvrir, il n’empêchait pas de voir ses beaux seins lourds, la finesse de sa taille et ses jolies jambes fuselées.
N’étant pas de la même trempe que son mari qui semblait la craindre et suivait toujours ses avis, ou que Sarah qui essayait d’esquiver les discussions, je lui fis des réponses sans détour. Elle semblait étonnée de se voir devant une opposition, en tout cas quelqu’un qui ne pliait pas devant elle ou son argent.
Je crus même lire une lueur d’appréciation dans ses yeux quand elle voulut à tout prix avoir raison, mais que je lui démontrais clairement que mon avis bien que contraire au sien était finalement plus juste.

Sarah s’était endormie sous le soleil, les membres relâchés, ses épaules toutes détendues et Karine et moi avions baissé le ton pour ne pas la réveiller.

— Notre discussion m’a donnée soif, désirez-vous un verre de limonade bien fraîche ?— Ce serait l’idéal, je vous remercie.

Comme on le voit, discussion courtoise, un peu guindée même, car cela ne faisait que trois ou quatre fois que nous voyions, je présume que ses parents très vieux jeu voulaient être sûrs que ce n’était pas une passade.
Karine se leva et, à l’abri de mes lunettes, je matais son fessier, tout aussi attirant que celui de sa fille. Après tout, elle était sportive et avait eu Sarah très jeune donc elle était dans une toute petite quarantaine. Son maillot était un peu remonté et je notais avec surprise que la partie visible de ses fesses était, à l’inverse de celles de sa fille bien bronzée. Quand elle revint, elle me tourna le dos pour poser le plateau et son maillot remonta encore plus, dévoilant clairement qu’il n’y avait nulle trace de peau blanche. Soit elle bronzait avec un string soit elle bronzait nue. Je commençais à me poser des questions sur la dichotomie entre son attitude officielle et ce genre de petits détails.
Car oui, il y en avait d’autres comme ce petit coup de langue régulier entre ses lèvres entrouvertes, ce soupir un peu rauque après avoir bu un peu, sa position toute détendue assise en tailleur devant moi me donnant une vie directe sur son ventre légèrement bombé et son entrejambe et surtout son regard désormais caché lui aussi derrière des lunettes noires

Je n’ai aucun doute sur le fait qu’elle aussi m’examine, passant de mes cheveux bruns indisciplinés à mes yeux gris, mon nez patricien, mes lèvres minces, mon torse et mon ventre plat dus à ma pratique du volley et de la course à pied (d’où notre rencontre avec Sarah), mes longues jambes.
A la tension de ses épaules, elle doit regarder la ligne de poils sombres qui vient se perdre dans mon maillot de bain et la bosse un peu gonflée qu’il contient.
Je dis un peu gonflé car elle est vraiment attirante et j’ai commis la bêtise de suivre la course des gouttes d’eau générée quand elle a bu sa limonade fraîche. Goutte lourde coulant à la commissure de ses lèvres, le long de son cou et venant se perdre dans la grande vallée entre ses seins lourds.

Mais je ne suis pas un débutant et si elle a noté que mon maillot s’est gonflé, moi j’ai bien noté que ses pointes de seins sont désormais visibles. Son maillot vert pâle présente aussi une petite tache d’humidité à un endroit très stratégique.
Notre conversation dérive sur l’art et des phrases à double sens sont prononcées qui font affluer le sang dans certains de nos organes.
Elle se redresse plusieurs fois, bombant un peu le torse, et quand je me lève pour proposer de nous baigner un peu, je me tiens bien droit faisant comme si j’ignorais que mon sexe gonfle bien mon maillot et que ses yeux sont juste en face.
Nous descendons doucement dans l’eau, celle-ci étant encore un peu fraîche. Nous nageons un peu et quittons nos lunettes de soleil pour des lunettes de natation tout aussi foncées, donnant ainsi l’occasion de regarder le jeu des muscles, la souplesse du corps de l’autre.
Ensuite on se rapproche, vers Sarah qui s’étire et commence à bouger, notre tête dépasse juste de la margelle, nos corps étant invisibles.
Nous sommes tout proches l’un de l’autre et discutons avec Sarah qui se réveille doucement et hésite à venir dans l’eau dont nous vantons la chaleur.
Chaleur qui est peut-être due au fait que nous nous sommes frôlés par pure mégarde. Comment imaginer que j’ai pu effleurer une fesse autrement ? Comment imaginer que son léger frottement de main sur la bosse de mon sexe ait pu être autre chose qu’un accident ?Oui, vraiment ; seul un esprit pervers ou malintentionné pourrait penser qu’on se provoque l’un l’autre...
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