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La mère de ma petite amie..

Chapitre 6

Surprises

Hétéro
Résumé : Karine, la mère de Sarah, ma petite amie, a laissé sa vraie nature... Et j’en profite ...Mais tout ne se déroule pas toujours comme on pense.Encore une fois, si vous n’avez que peu de temps, rendez-vous aux *********C’est la sonnerie du téléphone qui nous tire de notre torpeur, Karine et moi. La petite musique identifiant l’appelant nous renseigne (c’est quand même pratique, n’est-ce pas ? ) et nous comprenons donc tout de suite que Sarah doit être à la grille d’entrée. Pendant que sa mère lui répond, je prends vite une douche grâce au jet installé à côté de la piscine et elle fait de même durant les quelques minutes que je prends pour aller lui ouvrir la grille.
Sarah a l’air un peu tendue et je m’enquiers courtoisement de l’état de sa copine Stéphanie, en vrai chevalier servant. J’ai droit à une histoire un peu abracadabrante sur les états d’âme de son amie d’où j’en déduis que celle-ci a l’air d’un vrai aimant à problèmes.Revenus à la piscine, je propose aux deux femmes de se détendre et de leur préparer un petit repas que nous pourrons déguster au bord de la piscine. Karine est assez fatiguée et les talents culinaires de Sarah sont proches du néant, tant sa mère a toujours tout géré. Elles acquiescent avec enthousiasme et je mets donc un point d’honneur à préparer une bonne salade agrémentée d’œufs mimosas que je... Enfin bref, on n’est pas dans un James Bond où le méchant décrit le repas en détail.
Soudain, alors que je suis occupé à préparer les plats, mon téléphone sonne à son tour. La sonnerie est celle que je réserve aux importuns, mais comme je suis d’humeur joyeuse, je réponds et retrouve Stéphanie au bout du fil. Je n’ai (heureusement d’ailleurs) pas le temps de lui demander quoi que ce soit quand elle demande un renseignement lié à l’informatique, Sarah lui ayant vanté mes talents dans ce domaine. Je lui explique le topo et soudain au cours de la petite conversation, je commence à m’interroger. Aussi, je lui demande incidemment si elle est chez elle.
— Non, non, je suis au boulot, j’ai été rappelée ce matin, un truc non prévu. Pas la peine de venir chez moi, il n’y a que ma mère qui doit encore faire son jardin.
Je finis rapidement mes explications et elle raccroche en me remerciant, me laissant donc très pensif, car Sarah partit à pied puisque la villa de Stéphanie est à quelques centaines de mètres n’a pu aller très loin en dehors des quelques maisons proches, et je n’ai vu aucune voiture sur la route qui serpente en contrebas.
Quelques instants plus tard alors que nous devisons tranquillement tout en dégustant notre dîner, je l’écoute raconter sa journée avec Stéphanie. Je suis admiratif devant ses mensonges et espère juste être à la hauteur avec les miens. J’ai la quasi-certitude que le glaive d’une justice immanente s’est abattu sur moi pour avoir cédé à la luxure avec sa mère et je repense un peu à toute notre histoire.
Karine est la première à bâiller, ce qui déclenche immédiatement nos réponses et rapidement, nous gagnons nos chambres. Une bonne douche pour chacun puis elle vient se blottir contre moi. Collée contre moi, je sens tous les battements de son cœur et surtout les tensions qui émanent d’elle. Plusieurs fois, je la sens se crisper comme si elle voulait se lancer avant de renoncer, et je dois dire que je ne suis pas très détendu non plus.
Finalement, elle me prouve que les femmes sont plus courageuses que les hommes quand elle prend doucement la parole.
— Tu m’aimes chéri ?— Oui.— Vraiment.— Oui.
— Je dois t’avouer quelque chose, je, je t’ai menti, je n’ai pas vu Stéphanie, ni cette fois ni la dernière, je enfin c’est, tu vas me enfin, je,
J’ai soudain une illumination en repensant à certaines attitudes quand nous avions rencontré Stéphanie et sa mère Cécile sur un marché et je la reprends au vol ; la voyant bloquée dans ses paroles.- Cela dure depuis longtemps avec sa mère ?
— Un mois, je... Mais comment tu sais ?
La sensation du glaive de la justice sur mon cou est presque physique quand je lui réponds.
— J’ai eu Stéphanie au téléphone, je sais qu’elle a passée sa journée au travail, tu n’as donc pu voir que sa maman, c’est une très belle jeune femme et le souvenir de ta colère et ta tension quand je l’ai regardée au marché m’ont fait réfléchir, c’est tout. En plus, j’avais entendu quelques histoires au café alors...— Tu vas me quitter ?— Ce n’est pas moi qui devrais te demander cela ?— Non, je vous aime tous les deux. Elle a su réveiller quelque chose de latent en moi tout comme toi tu as su me faire reprendre goût à la vie après ma précédente histoire. Mais tu ne t’énerves pas ?— Ma chérie, j’ai appris il y a longtemps qu’on ne peut tout maîtriser, que parfois on a le cœur assez grand pour plusieurs amours, et tu n’es sans doute pas la seule à aimer deux personnes.
(Mais arrêtez de crier, j’ai bien compris le mot hypocrite la première fois !)
— J’avais si peur, c’est arrivé tellement bizarrement, comme dans une espèce de rêve.
Elle dit cela et, comme vidé par son aveu, se plonge dans le monde des songes d’un seul coup. Son souffle devient lourd et je l’écoute respirer contre moi. Les yeux ouverts, je songe à ces derniers jours en méditant sur les proverbes tels que « bien fait pour toi » et autres maximes. Oui, je médite aussi sur la lâcheté dont je fais preuve comparé à elle. Je m’endors finalement en ignorant totalement comme nous allons poursuivre même si je suis, aussi étonnant que cela paraisse avec tout ce qui c’est passé toujours très amoureux d’elle.
Au matin, encouragée par la quiétude de ces instants de douceur dans un lit chauffé par nos corps, elle me raconte comment Cécile a su la séduire, comment elle en est arrivée là. Oui avec presque tous les détails, je subis et ce n’est pas évident, mais je sais que c’est le prix à payer pour mes turpitudes.
**********************************Et comme je ne suis qu’un homme et qu’elle raconte vraiment bien, une certaine partie de mon corps commence à avoir sa propre vie. J’ai bien essayé de maîtriser le phénomène de gonflement du corps caverneux, cela ne fonctionne pas, bien au contraire. Elle doit visiblement sentir ce qui se passe et j’ai l’impression qu’elle en rajoute dans ses descriptions, la façon dont elles se sont embrassées la première fois, suite à tout un jeu de séduction les premières caresses, le délicat ballet des langues sur des entrelacs de dentelle et de peau dévoilées.
Je suis donc totalement surpris quand d’un coup, au milieu de son histoire racontée d’une voix sensuelle, elle lâche.
— Ça te fait triquer mon salaud hein ?
Je dois ressembler à un lapin pris dans les faisceaux des phares, la bouche ouverte dans un grand O, le souffle coupé. Mais je n’ai même pas la possibilité de le reprendre quand elle m’assène un coup final en lâchant d’une voix rauque.
— Et je te comprends, moi je mouille comme une folle. Et j’ai follement envie de baiser.
Puis elle se jette sur moi telle une sangsue, alors que je suis figé, totalement désarçonné, sans pensées cohérentes.C’est Shiva aux 4 bras même si j’ai l’impression qu’il y en a bien plus. Je suis serré, palpé, caressé, empoigné, tripoté, masturbé et quand j’essaye de respirer, sa langue fouille ma bouche pour se battre avec la mienne. Elle est déchaînée, comme si une digue avait cédé et je sais d’où elle tire cette attitude. J’ai la pensée de tout lui dire, tout lui avouer, mais la chair est faible et surtout la crainte de me faire trucider me freine.
Heureusement, nous étions nus, sinon nos vêtements seraient en lambeaux. Je profite d’un moment où elle me suce ou plutôt m’aspire tant elle y va de bon cœur pour, enfin, reprendre mon souffle et pouvoir lui répondre comme il convient. A force de caresses, de coups de griffes, de petites morsures et de gestes endiablés, on se retrouve en 69. Elle n’a pas menti, sa petite chatte dégouline de cyprine que je lape et déguste comme un forcené pendant que je sens mon sexe tendu dans la chaleur humide de sa bouche. Nos corps sont brûlants, c’est intense, en quelques instants, je suis tendu de partout et prêt à jouir.
Je manque d’ailleurs de jouir quand elle me lâche d’une voix encore plus rauque qu’avant.
— Bouffe-moi le cul, je veux que tu me prennes par là.— Tu es ?— Lèche-moi bordel, vas-y tu mérites bien ce cadeau, oh hmmmm puutain.
Ses mots deviennent rapidement incompréhensibles, elle a heureusement lâché ma queue, car j’étais prêt à jouir et ce n’est plus que petits cris, gémissements ; surtout qu’en plus de ma langue qui taquine son œillet brun, j’ai rajouté un index inquisiteur qui la fait carrément feuler de plaisir.Je ne l’ai jamais vue ainsi et je me demande quand je vais recevoir la facture quand elle se laisse rouler sur le côté avant de se mettre à quatre pattes, tête vers le mur avant de me déclarer.
— Vas-y prends-moi, encule-moi,
Je me redresse un peu, me place à genoux derrière elle qui a enfoui sa tête dans l’oreiller et positionne ma queue tendue sur le petit anneau brun, luisant de salive et assoupli par mon doigt.Je m’apprête à pousser doucement quand je sens un courant d’air dans mon dos. Je jette un œil en arrière et vois Karine sur le seuil de la porte, les yeux grands ouverts, le visage rouge qui nous observe fascinée, une main dans l’échancrure de son peignoir l’autre sur la poignée de porte.
Un très court instant, nos regards se croisent puis la voix de Sarah s’élève pour me demander " d’y aller".Je pousse alors doucement, mais fermement et m’enfonce un peu plus facilement que je ne le prévoyais entre ses fesses. Son petit trou est serré et les parois me compriment, mais lentement, je pousse et viens finalement m’empaler entièrement en elle pendant qu’elle gémit doucement. Son mmmmm me rassure et pour faire bonne mesure, je me penche et lui caresse la poitrine par en dessous. Ses seins sont tendus et les pointes que je fais rouler sous mes doigts sont dures, me prouvant si besoin en était son intense excitation. Sous mes bourses collées contre son adorable fessier, je sens parfois le bout de ses doigts, car la petite coquine se caresse en même temps.
Je l’y enjoins d’ailleurs en lui murmurant à l’oreille que j’aime la sentir se branler et que je l’aime tout court.
Je la sens désormais plus détendue et commence lentement à bouger d’avant en arrière et vice-versa, l’amplitude est faible puis, comme elle gémit plus fort, j’amplifie mes mouvements.Je les amplifie surtout quand je sens un corps sans doute encore plus brûlant que celui de Sarah qui se colle dans mon dos et une morsure dans mon cou. Karine prend tous les risques tant elle est excitée, je sens ses seins durs, sa main qui bouge, car elle aussi se caresse, rendue folle par le spectacle de la sodomie de sa fille.Sa fille qui par des mots hachés entre deux gémissements m’enjoint d’y aller plus fort Et, rendu moi aussi fou de désir, je m’y emploie, entrant et sortant totalement de son petit cul, le cerveau explosant entre les cris de Sarah et le " encule-la fort " murmuré à mon oreille d’une voix chargée de toute la tension du monde.
— Encooore, encoore gémit Sarah.— Vas-y, vas-y murmure Karine.
Mon bassin est animé d’une vie propre, j’ai abandonné ses seins pour empoigner ses hanches et me pousser en elle.Les cris sont de plus en plus forts, les paroles plus fortes.
— Je me branle, je me branle pour toi, oh puuutain mon cul, mon cul, c’est booon, je vais pas tarder, je vais jouir, je vais jouir.
Et c’est là que, au paroxysme de l’excitation, Karine se penche par-dessus mon épaule, son souffle se mélangeant avec le mien avant qu’elle ne lâche un filet de salive sur ma queue alors qu’elle ressortait du cul étroit, son acte pervers, comme si cela l’associait encore plus à la sodomie que je prodigue à sa fille me donne un coup de fouet et, conjugué au cri de jouissance lâché par Sarah, je me vide d’un coup entre ses fesses pendant que je sens une morsure libératrice dans mon épaule, signe que nous sommes trois à jouir au même moment.Je sens mes genoux flageoler et Sarah s’écroule sur elle-même. Avant qu’après quelques fortes inspirations, on ne se love l’un contre l’autre.J’ai l’impression d’avoir rêvé, mais la petite goutte de sang qui coule de mon épaule me renseigne sur la réalité de ce qui vient de se passer...
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