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La mère de ma petite amie..

Chapitre 7

nouveaux fantasmes

Hétéro
RÉSUMÉ. Sarah, ma petite amie, m’a finalement avoué avoir une relation avec Cécile, la mère d’une amie. Au petit matin, elle me fait cadeau de sa virginité anale. Mais moi, je ne lui ai pas tout dit, d’abord que Karine, sa mère, était collée contre moi pendant que je la faisais jouir, et surtout que moi aussi, je l’avais trompée...

Sarah, épuisée par l’intensité de son premier orgasme et surtout de sa première sodomie, est repartie au pays des songes. Je suis allongée près d’elle, mais, malgré le pied énorme que j’ai pris, je suis bien incapable d’aller l’y rejoindre. Mes pensées s’agitent sous mon crâne, la mère, la fille, les deux, ce qui vient de se passer, ce qui peut... Ce qui va... Ce qui risque de se passer. J’avoue ne plus trop savoir où j’en suis et comme tout homme écartelé entre deux aventures, je me dis finalement que je verrais bien, c’est sans doute lâche, mais je ne suis qu’un homme.
Et puis, finalement, je me sens moins coupable quand en fin de matinée, elle me demande si elle peut sortir voir Cécile. Je lui indique que je n’ai rien à lui interdire et que je ne veux que son bonheur et sa satisfaction. Elle m’embrasse, me serre fort en me disant des mots d’amour et part même plutôt détendue, je trouve.
Je me fais l’effet d’être un peu hypocrite, surtout quand je croise ensuite le regard un peu enfiévré de Karine en revenant à la maison, après avoir fermé le portail derrière Sarah.
Un seul regard et c’est presque une course vers sa chambre et son lit. Nous nous arrachons nos vêtements que je serais bien incapable de décrire, comme pris de fièvre, et nous embrassons à perdre haleine tout en laissant nos mains courir sur le corps de l’autre, touchant, caressant, palpant, dégustant...

On reprend souffle et puis soudain, elle s’épanche, se lâche à moitié en pleurs:
— Comme j’ai honte, comme j’ai honte, me faire jouir, collée contre toi pendant que tu la fais jouir, regarder ma fille se faire prendre et t’y encourager, comme c’est monstrueux, comme, comme...— Comme c’était intense et irrésistible aussi.— Oui, oui, je l’avoue, j’ai joui si fort de te voir, d’y participer presque, oh comme...— Comme tu en avais envie, dis-je en terminant sa phrase informulée.— Oui, oh salaud, quelques jours et tu sais déjà tout de moi, si faible, si...— Si faite pour l’amour, si faite pour le plaisir, si belle penchée sur moi à me mordre et à jouir.— Salaud, j’ai si honte et tu me le redis encore.— Tu n’as pas à avoir honte, elle est très belle, tout comme toi, qui aurait pu résister à la voir, à la sentir presque, à ressentir son plaisir et le mien.— Mais c’est ma Sarah et comme si cela ne suffisait pas de te serrer, de te sentir la prendre, j’avais, j’avais enfin tu sais.— Oui, je sais que tu avais du désir, l’envie de la toucher.— Mon Dieu comme j’ai honte, je plonge dans la fange.
— Non, tu plonges dans le plaisir, dans l’amour pur.— Non, je dois être punie, je le sais, dis-le que je le mérite, dis-le !
Je la regarde, rouge de tension, après son petit discours enflammé, nue, les seins gonflés et les lèvres frémissantes, le corps brûlant et je sombre à mon tour.
— Oui, tu mérites une punition, allonge-toi et ne discute plus.
Elle s’allonge sur le ventre, non sans que je lui aie donné un gros oreiller qu’elle place sous ses hanches, surélevant ainsi son adorable postérieur, véritable appel au sexe.
Je me place près d’elle et déclare d’une voix rauque (hé c’est que je n’ai jamais fait cela moi !)
— Une mère indigne mérite une fessée.
Je lui donne ensuite une claque sur la fesse en disant d’une voix forte UN.
Elle sursaute, mais conformément à ma demande, ne dit rien et encaisse les neuf claques suivantes qui laissent ses fesses gentiment rougies.
Elle me regarde, les yeux brillants, et je passe lentement la paume de ma main sur ses fesses, lui fais écarter les jambes avant de passer mes doigts sur son entrejambe que je trouve comme je l’imaginais, c’est-à-dire totalement ruisselante. Évidemment, j’en rajoute, ayant compris le jeu.
— Mais tu n’es même pas calmée, une mère que je dois presque repousser, qui mouille quand elle est punie, je suis sûr que ton esprit pervers n’a pas honte.— Oh je suis horrible, je suis monstrueuse.
Tout en continuant à la caresser, je reprends:
— Tu voulais toucher Sarah, la faire jouir, avoue.— Non, non.
Je fais aller et venir deux doigts dans sa chatte dégoulinante.
— Avoue,— Non, non, mmmm.— Dis-le.— Oui, ouii, je voulais la toucher, elle est si belle, salaud, tu m’excites, elle m’excite, je me suis branlée comme une chienne toute la nuit.— Attends, je vais te punir, moi, tourne-toi.
Je la pousse pour qu’elle se retrouve à genoux devant moi, mon sexe tendu devant sa bouche et lui dis en la regardant dans les yeux.
— Suce-moi, nettoie-moi de ta fille espèce de pervertie.

Elle sait bien que je n’ai aucune odeur sur moi, puisqu’elle a encore fait quelques longueurs de piscine avec moi il n’y a pas une heure, mais nous sommes tous deux pris dans un scénario pervers.
Elle engouffre (je ne peux pas dire autre chose) immédiatement, mon sexe gonflait et se met à me sucer comme possédée, j’ai l’impression d’être face à une succube tant elle m’aspire
En même temps, je la branle avec deux doigts et puis comme elle tend ses fesses vers moi, je lui effleure son œillet avec mes doigts, générant un sursaut de son postérieur.
Je me retire, la regarde, vivante, image du désir ; la bouche ouverte, les lèvres gonflées. Ma queue est luisante de salive, c’est tout juste si elle ne tente pas de happer mon sexe en passant.
— Mais rien ne te calme ma parole, cette fois, je vais te faire passer l’envie !
Je la pousse à peine qu’elle se met elle même à quatre pattes, reproduisant la position qu’avait Sarah le soir précédent. Impatiente, elle quémande d’une voix brûlante d’envie.
— Encule-moi, punis-moi comme elle.— Suffit, écarte-toi que je te donne une bonne correction.
Elle écarte ses fesses, me dévoilant son intimité la plus secrète, sa chatte est brillante de sucs, car elle sait bien quel type de "correction" elle va prendre
J’humidifie son petit trou avec sa mouille et me positionne derrière elle, le gland contre l’entrée. C’est elle même qui pousse ses fesses en arrière, cherchant l’intromission en demandant à être punie. Je pousse entre ses parois étroites, mais heureusement élastiques et, pris dans son délire verbal à base de " Punis, moi, prends-moi..." je m’enfonce rapidement dans son petit cul.
Je me sens aspiré et mon ventre claque contre son fessier ferme et chaud.
— Je vais te punir, salope indigne.
Mes mots qui rejoignent les siens sont un feu vert pour une logorrhée de mots crus entrecoupés de gémissements lascifs et de cris hauts perchés.
Nous reproduisons la scène vécue avec Sarah à l’exception de sa présence contre moi, Karine reprend tout, reprenant position, gestes et cris de Sarah. Elle se caresse comme sa fille se caressait, laissant le bout des doigts s’égarer sur mes bourses et j’y vais de bon cœur, ma queue dans son étroit conduit.
Le plaisir n’est pas long à venir tant nous sommes excités, et sous un dernier encouragement à " la bourrer comme un soudard" (je ne fais que retranscrire) je jouis en criant moi aussi. Encore une fois, c’est énorme comme sensation.
Emmêlés l’un à l’autre, nous échangeons un long baiser tendre, scellant encore plus notre complicité notre voyage vers le plaisir, tous les plaisirs...
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