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La mère de ma petite amie..

Chapitre 8

un rêve de trio...

Avec plusieurs femmes
Résumé: Alors que Sarah ma petite amie est partie retrouver son amante, sa mère qui avait assisté en cachette à nos ébats, revit la même scène avec moi et m’avoue ses sombres fantasmes...
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Karine et moi sommes encore enlacés dans son lit quand la sonnette du portail résonne. Nous réalisons alors que nous nous sommes endormis et que Sarah est revenue de son escapade.J’ai juste le temps de me jeter sous la douche qu’à peine une minute plus tard, Sarah vient m’y rejoindre. J’ai vraiment l’impression d’être dans une comédie franchouillarde à base de portes qui claquent et d’armoires remplies d’amants ou de maîtresses.
— Aie, t’es douchée, moi qui voulais me baigner avec toi, j’ai besoin de me détendre et d’échanger.— Qu’à cela ne tienne, je mets un maillot et on y va.— Oh pas besoin, ma mère vient de partir on peut rester nus.— Hé bien toi qui ne voulais pas faire de naturisme !— J’ai beaucoup réfléchi à nous, à la façon dont tu me comprends, à plein de choses en fait.
J’attrape deux grosses serviettes dans le placard et reviens pour la suivre, mais elle a encore été plus rapide que moi en laissant simplement tomber sa robe à bretelles en tas sur le sol. Et comme elle ne portait rien dessous... Nous marchons donc nus vers la piscine et j’admire son corps, la lumière du jour l’enveloppe et rehausse encore sa beauté naturelle. Tout en l’observant, je ne peux m’empêcher de penser à ses hésitations, sa oui, sa pruderie, ses demandes de clair obscur dans la chambre et ses premiers changements cette dernière semaine. J’étends les serviettes sur les transats et vais la rejoindre dans l’eau où, moderne naïade elle a déjà plongé.
Nous faisons quelques brasses, savourant l’extraordinaire sensation de liberté que nous offre l’absence de tout vêtement sur la peau, la beauté de notre offrande au soleil, à la nature. Elle nage sur le dos et les mouvements de dos crawlé mettent ses seins en valeur d’une façon mmm waouh...
Nager nous détend et nous nous retrouvons ensuite l’un près de l’autre accoudés au rebord du bassin.
Je sens qu’elle a besoin de parler et je lui laisse le temps d’ordonner ses pensées, le bruit des feuilles qui s’agitent dans le vent léger, le chant des oiseaux et des cigales de ce début d’été, tout concourt à la détente et à l’harmonie. Enfin, elle se lance et sans entrer trop dans les détails, elle me raconte avoir succombé à la passion dans les bras de Cécile.
— Je sais que ce n’est pas évident à entendre, mais je dois te dire que ton attitude et la sienne à qui j’ai tout raconté m’ont comme libérée des carcans de mon éducation, tu le vois bien, j’étais plutôt coincée et maintenant, c’est comme si un poids m’était enlevé, ta gentillesse, ta compréhension surtout me redonnent confiance, je me sens presque revivre. Je la regarde qui s’épanche, qui libère sa parole et puis mon regard dérive vers ses seins qui sont à moitié immergés. Les gouttelettes d’eau ruissellent sur le haut de son corps et forment comme de petites rivières de diamants ; je me sens poète alors qu’en même temps, une petite voix me murmure que je ne suis qu’un hypocrite pervers. Je reviens au présent quand elle m’indique que tout cela a fait naître des fantasmes en elle. Je la serre dans mes bras et lui murmure des mots doux. Eh oui, je les pense profondément. Cette "nouvelle" Sarah plus forte, plus affirmée m’enchante. Nous nous embrassons tendrement avant de sortir de l’eau, quel corps bon sang, quel corps, fuselé, brillants de mille feux avec les gouttes d’eau qui renvoient la lumière de ce début d’été. Nous nous allongeons nus sur les transats que nous avons accolés et elle commence à raconter, me confiant que Cécile est repartie quelques jours avec son mari et leur fille, qu’elle est heureuse de voir que je ne la rejette pas, car elle a d’autres besoins, d’autres envies. En parlant d’autres envies, elle voit avec joie que mon sexe s’est redressé.— Tu bandes ?— Hé bien, je note avec joie que ta parole s’est libérée, tu m’excites ainsi.— C’est moi ou de t’imaginer d’autres scènes ?
— Non, c’est toi, nus au soleil, un vent léger qui caresse nos corps, cette sensation de liberté, mais de quelles autres scènes tu veux parler en fait ?— Ben, je viens de te dire que j’ai réfléchi, à d’autres idées, d’autres fantasmes, pour tout te dire, j’aimerais faire l’amour avec toi et enfin.— Enfin ?— Ce n’est pas si facile à dire, tu sais.
Je comprends soudain.
— Tu veux dire que tu aimerais euh tous les trois ensemble.— Je suis perverse, je te choque hein ?— Choqué non, je suis un peu étonné tout simplement.— Tu sais en revenant, j’ai fait un assez long détour par la garrigue, et je me suis dit que je devais être franche avec toi. Je ne veux pas te faire souffrir et elle non plus, je suis bien avec chacun et je voudrais tout simplement être bien avec les deux. J’aimerais juste que tu y réfléchisses pour le moment, d’accord ?— Pour le moment, je veux juste être tranquillement là à profiter de ces premiers jours de chaleur à se détendre à savourer tout simplement. Eh oui, je suis OK pour réfléchir à tout cela ma chérie. Elle me tend la main et nous nous endormons dans nos transats comme le couple d’amoureux que nous sommes.
Je me réveille en pleine forme, débarrassé de toute montre, de toute urgence, je reste un long moment à la regarder dormir et à réfléchir à comment tout pourrait se mettre en place. Elle dort longtemps et quand elle se réveille, j’ai mis en place tous les éléments... On repart se baigner même si on reste surtout enlacés au bord avant de remonter en riant vers sa, enfin, notre chambre.
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Je reviens à ses envies et confessions et lui propose de jouer un peu.
— Comment cela ?— J’ai compris que tu étais impatiente d’assouvir tes envies alors en attendant qu’elle revienne et pour me, nous habituer à cette idée, car ce n’est pas évident, je te propose d’imaginer tout cela.— Comment veux-tu que j’imagine ?— Euh (je fais l’hésitant alors qu’évidemment...) voilà tu va mettre un bandeau noir sur les yeux et je vais te décrire les scènes, si on arrive à tout supporter, je veux bien t’aider à concrétiser ton fantasme.— Cela me parait assez excitant.
Je lui noue une épaisse cotonnade noire autour des yeux et la fais s’allonger sur le dos. Les fenêtres sont un peu ouvertes, laissant entrer un doux souffle d’air et les rideaux bien repoussés laissent entrer la lumière à flots. Je me lance :
— Nous te regardons tous les deux, tu es nue, allongée et offerte, entièrement offerte.
Elle comprend et écarte largement les jambes.
— Voilà, ta petite chatte est parfaitement visible, ton fin ticket de métro ne cache rien de tes lèvres roses et de ce petit bouton encore caché qui ne demande qu’à sortir.— Tu racontes bien mon chéri, on s’y croirait.— Merci. Je reprends ô tentatrice. Nous nous approchons et détaillons ton superbe corps, nous échangeons un long baiser devant toi.
Voilà, c’était délicieux de s’embrasser devant toi. Mon sexe se tend et elle joue avec du bout de ses doigts, elle a même un air admiratif, tu souris devant notre harmonie, devant cette envie qui se réalise. Je caresse son corps de mes doigts et poursuis :
— Mmm c’est délicieux et elle ?— Pour l’instant, elle regarde, il faut aller petit à petit, tu sais.— Oooh tu as raison, continue.
Je laisse mes doigts effleurer le coquillage rose de son entrejambe, coquillage déjà bien humide. Sarah gémit plus fort. Je la caresse un peu plus et poursuis mon histoire.
— Je te caresse et pendant qu’elle est occupée à se caresser, je lui donne de temps en temps mes doigts à lécher. Elle suce mes doigts, ses yeux sont fous, elle en veut encore. Dois-je lui donner ta mouille ?— Oui, ouiii. Alors elle aime ?— Oh oui, je fais des allers-retours entre ta chatte trempée et sa bouche, elle en salive, tu sais.— Oh j’imagine bien, vu comme tu racontes.
Je branle Sarah avec mes doigts et puis stoppe.
— Elle fait quoi ?— Je lui badigeonne le visage avec ton jus, elle a un regard halluciné.— Oh, caresse-lui les seins avec tes doigts et mon jus.
Je regarde Sarah, allongée, les pointes de seins tendues, déjà ruisselante de plaisir, le bandeau sur les yeux et qui nous imagine tous les trois.
— Elle adore ton goût, mais j’ai une autre idée.
Je me rapproche de Sarah et continue à parler lui disant.
— Ouvre la bouche ma chérie, elle veut te voir me sucer de tout près.
J’avance ma queue qui a atteint sa plénitude et m’enfonce entre les lèvres de Sarah puis ressort :
— Elle te suce aussi ? — Oui, un coup ta bouche et un coup la sienne.— Oh, putain comme tu m’excites, j’ai l’impression de vraiment vivre cela.— Elle est toute proche, elle me pompe comme une vraie salope.— Elle t’avale à fond ?— Oui, jusqu’au bout.— Reviens dans ma bouche, je vais t’avaler jusqu’aux couilles.— Elle te regarde faire, elle en bave d’envie, elle se branle en te regardant me sucer.
Sarah n’émet plus que des bruits de succion, ma verge entièrement dans sa bouche puis j’en ressors avec un bruit obscène :
— Baise-moi chéri, baise-moi tu me rends folle, t’as eu une idée de malade, continue continue.— Elle me tient la queue, elle me dirige vers ta chatte, oh comme t’es mouillée, elle me regarde te prendre, oh c’est bon dans ta chatte ma chérie.— Elle fait quoi ?— Je l’ai fait mettre plus bas au pied du lit, elle me lèche par dessous. Attends.— Oh reviens.— Je lui fais lécher ma queue entre deux pénétrations, elle adore ta cyprine.— Oh, oui génial, fais-lui déguster.
Puis ce ne sont plus que gémissements, j’ai du mal à raconter tant c’est bon d’aller et venir.
— Oh chéri, je monte, je monte, je vais jouir.— Moi aussi oh bon sang c’est bon, garde le bandeau, je te fais une surprise ensuite.— Oh oui, oh oui, oh ouiiii.
Sarah part dans un hurlement de plaisir, frémit de tout son corps et se relâche :
— Ouvre la bouche.
Ma petite chérie s’exécute immédiatement, confiante dans mon sens du plaisir :
— Je me suis vidé dans sa bouche, elle va faire couler mon foutre chaud dans la tienne.— Oui, oui, qu’elle me donne ton jus ! Oh, je sens ton foutre dans ma bouche mon salaud c’est bon.
Je regarde Sarah qui se la joue vorace à déguster mon sperme, ivre de plaisir. Comme elle est belle.Je lui enlève ensuite le bandeau. Elle cligne des yeux et me dit alors :
— Oh comme c’était intense, avec ton idée, je croyais vraiment qu’elle était avec nous, c’était délicieux.
Je lui réponds :
— Pour moi aussi ma chérie, pour moi aussi.
Et ce tout en fixant rêveusement la porte par laquelle vient de sortir Karine...
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