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Ma mère, à poil...pour un peu de pinard !

Chapitre 2

La mère de famille se révèle en salope exhibitionniste...

Voyeur / Exhibition
Ce matin-là, les oiseaux chantaient, le soleil brillait... et j’avais une gaule d’enfer ! J’avais eu un peu de mal à m’endormir la veille, car ce mercredi était le jour fatidique, durant lequel nous devions retourner acheter le sacro-saint pinard de mon père ! En fin de compte, peu m’importait... l’intérêt de cette visite vinicole, résidait surtout dans le fait que me mère avait promis de s’exhiber, devant ce vieux cochon de père Grégoire Buisson, pour se venger de l’indélicatesse de mon père, qui n’avait pas hésité à la pousser à bout, en laissant le vieux cochon mater ma mère autant qu’il l’avait voulu !
Avant mon petit-déjeuner, je me présentai devant la porte de la salle de bain... fermée. Je tapai. Une voix féminine me répondit :
— C’est qui ? — Benjamin... — Oh, entre mon chéri, tu vas pouvoir te doucher, j’ai presque fini ! me répondit une voix enjouée. J’entrai dans la salle de bain avec circonspection, pour voir ma mère sortir toute nue de la cabine de douche. Un peu gêné, plus que d’habitude, parce que maintenant, je commençais à cerner la créature sexuelle féminine un peu délurée que j’avais devant moi, et ma mère m’apparaissant plutôt comme une femme en manque de sexe, et exhibitionniste, plutôt que la douce figure maternelle, je me retournai. — Oh, tu peux me regarder, cela ne me gêne pas, dit-elle en se passant sa serviette sur le corps. Après tout, il y a des vieux cochons qui ne se gênent pas pour mater mon intimité, ni des connards de mari pour laisser faire, et exhiber leur femme à poil pour un peu de pinard ! — Hummm... heureusement, tu n’étais pas nue, quand le vieux t’a regardé l’entrejambe ! — Aahhhhh... tu as aussi vu, mon coquin de fils ! Il faut dire que de là où tu étais, difficile de ne pas voir ma culotte ! Oui, je n’étais pas nue, mais cela pourrait changer à l’avenir ! me dit-elle avec un regard troublant. — Mais maman, tu ne vas quand même pas mettre ta menace à exécution ! Déclarai-je d’une voix marquée par le trouble, et une excitation sexuelle difficilement dissimulable. — Je ne sais pas, je ne me suis pas encore décidée, dit-elle en lançant un regard vers la chaise.
Je suivis son regard et vis sur la chaise, la petite robe blanche à fleurs de la dernière fois, celle qui avait été "sauvée" par les soins du vieux cochon de "l’attaque vinicole", un porte-jarretelles blanc, des bas et un string de la même couleur. Devant cette vision, je me mis à bander comme un taureau, et des visions de la chatte de ma mère cernée par les jarretelles s’imposèrent à mon esprit enfiévré.
— Mon Dieu maman, mais tu ne vas quand même pas le faire ! Je sais que papa te fait chier, que vos relations sont souvent conflictuelles, mais quand même, tu ne vas t’exhiber quasi nue devant ce mec ! Et devant moi par la même occasion ! — Pourquoi, ça te gênerait de voir ta mère nue ? Me dit-elle goguenarde, en regardant sa poitrine dénudée au-dessus de la serviette, qu’elle s’était passée au-dessus de la taille, comme un paréo. — Heu oui, mais là, on est en famille ; il n’y a rien de sexuel ! Si tu sors en bas et porte-jarretelles, et que tu t’assois sur ce maudit fauteuil, habillée comme... comme... — Une pute ! C’est cela que tu as à l’esprit ?! me dit-elle, le regard féroce. — Non, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire, mais tu dois faire attention à ta vertu ! — Ma vertu, elle m’appartient, j’en fais ce que j’en veux ! Et toi aussi, tu commences à me faire chier ! Tu es aussi con que ton père ! File maintenant, je dois m’habiller ! Je décidai de m’éclipser devant la vindicte maternelle... courageux, mais pas téméraire. Il est quand même drôle d’avoir une mère qui me laisse rentrer dans la salle de bain, quand elle est à poil, et me demande d’en sortir quand elle s’habille ! me dis-je en souriant.
Ou alors, la féline ne voulait pas que je découvre ses sous-vêtements... ou leur absence ! Bref, c’est extrêmement excité que j’accompagnai mes parents à cette cave du bon vieux père Buisson, visite qui promettait d’être très exaltante ! Dans la voiture, je remarquais que mon père louchait sur les jambes de ma mère, essayant de savoir si elle avait bien mis ce fameux porte-jarretelles sans rien d’autre ! En tout cas, elle portait bien du lycra blanc sur ses jambes ! Déjà un fameux bon point... la question restait : alors bas ou collants ? Question à mille euros !
Le bon vieux père Buisson nous accueillit à bras ouverts, et la verge déjà tendue dans son pantalon de toile !
Il nous fit la même sérénade que la dernière fois, avec nouvelle dégustation de bons vins, au cas où nous en aurions oublié le goût... et surtout le volume d’alcool, car évidemment, ma mère ne se gêna pas pour boire très rapidement deux ballons pleins du divin breuvage... avec les effets que le vieux saligaud attendait en salivant ! Remarquez, il n’était pas le seul. Au moins deux autres hommes attendaient, avec véhémence, les égarements musculaires de ma mère au niveau des cuisses ! Et personne ne fut déçu.
Ma mère riait aux éclats des blagues, plus ou moins stupides et franchement grivoises, que nous débitait le vieux schnock, à la vitesse d’un bûcheron canadien dans un concours de coupe de bois, dans le Saskatchewan ! Et je voyais qu’il attendait avec la plus grande impatience le moment- magique entre tous- quand ma mère se détendrait, et écarterait les cuisses ! Et ce qui devait arriver arriva !

Jusque-là, tout se "passait bien ", ma mère restait avec les genoux bien croisés, qui nous interdisaient la moindre vue sur sa "bonbonnière". Et puis elle commença à jouer des jambes, comme la fois précédente... En même temps, la petite robe blanche semblait se remonter progressivement, comme par magie, jusqu’à faire apparaître la lisière des bas blancs et les jarretelles, sur quelques centimètres ! Le père Buisson en restait transi de désir, les yeux toujours rivés sur le bas du corps de ma mère, même lorsqu’il déblatérait ses conneries. Quant à mon père, lui aussi jetait un regard torve sur les cuisses de sa femme, en maintenant une conversation basique et insipide comme sait le faire tout bon fonctionnaire ! Il semblait attendre avec une impatience, le moment où ma mère céderait à ses pulsions exhibitionnistes, pour révéler la présence ou pas, d’une culotte pour préserver son intimité ! J’étais dans le même état d’excitation !
Un vieux dégoutant lubrique, un fils voyeur et obsédé, un mari candauliste qui n’attendait que sa femme s’exhibe pour d’autres hommes... on peut dire que ma mère était bien entourée !

A un moment, ma mère se pencha en avant pour reprendre son verre de vin, et se projeta littéralement en arrière de rire, grâce à la blague grivoise que lui avait assénée le vieux schnock : ce faisant, ses cuisses étaient grandes ouvertes, et je pus apercevoir avec fièvre les jarretelles blanches tendues, la fente rouge, le clitoris qui bourgeonnait, entourés par les poils bouclés noirs de ma mère ! Le vieux en resta béat d’admiration, la cigarette pendante sur ses lèvres, qu’il finit par faire tomber par terre. Me penchant rapidement pour la lui récupérer, il ne faut jamais laisser une personne âgée se pencher en avant, tel le bon samaritain serviable que je suis, j’en profitai pour mater de bas en haut le sexe de ma mère, entièrement ouvert sur le monde. Ma mère me suivit des yeux, un petit sourire aux lèvres ! La salope ne se gêna plus dès ce moment, pour laisser ses cuisses toujours écartées, offrant la pleine vue sur son sexe, qui je le pensais était en état d’ébullition !
Et cela pour la plus grande joie de mon père, qui bandait de voir sa femme se révéler impudiquement au vieux dégoutant, et à son propre fils, la chatte à l’air !
Le vieux tout émoustillé par la situation, se pencha pour poser une main sur la cuisse de ma mère, sans aucune réaction de ladite, ni du mari. Caressant doucement la cuisse, ses doigts allant même au niveau de la peau nue près de la jarretelle, il dit à mes parents :
— Madame, votre toilette est un ravissement pour les yeux, je suis content d’avoir pu assurer.
Mon père acquiesça les yeux brillants et ma mère se leva, un peu pompette. Elle faillit se vautrer par terre, retenue de justesse par le vieux, qui ne manqua pas d’empoigner un sein au téton turgescent, pour l’occasion ! Mon père ne disait toujours rien ! Alors le vieux allait en profiter en embarquant ma mère dans un nouveau traquenard !
Et c’en était un beau ! Alors que mon père regardait avec ferveur les différentes bouteilles disposées sur une étagère de cinq mètres de long, sur trois de hauteur, il présenta un petit escabeau sur lequel ma mère dut monter, pour choisir une bouteille du millésime 1976, sis à deux mètres de hauteur. Ma mère, sur le troisième échelon, nous présentait son petit cul savoureux et ses bas blancs au niveau de notre visage. Il faisait assez sombre dans la cave, et mon père avait pour mission d’éclairer ma mère dans son choix, vers la hauteur. Le vieux en profita pour placer sa main sur la croupe de ma mère, qui ne regimba pas. Alors il leva doucement le tissu de la robe au-dessus des fesses, présentant le petit cul offert et dénudé, le porte-jarretelles apparent, et la chatte à portée de ses doigts.
Il passa sa main directement devant son bassin, et caressa la toison brune du pubis. Il avait les yeux rivés sur le sexe de ma mère. Dans un moment de pur égarement, et n’en pouvant plus, je tendis ma main pour palper une fesse, et devant l’absence de réaction, je caressai la moule offerte, dégoulinante de jus. D’un doigt hésitant, je caressai le clitoris gonflé, et fis pénétrer deux doigts dans le sanctuaire aquatique. Le vieux vint rejoindre mes doigts, dans la chatte entrebâillée, nullement étonnée d’y trouver les miens.
Ma mère était doigtée par quatre doigts, de deux hommes différents, dont son fils. Mais son état d’excitation et d’humidité était tel, que l’on aurait aussi bien pu y faire rentrer une bouteille de vin par le goulot. Je levai mes yeux vers elle, toujours occupée à choisir la bouteille de vin alibi, pour la voir, les seins tendus à l’extrême, dont les mamelons semblaient vouloir déchirer le tissu fin de la robe, et son visage crispé de plaisir. Ma mère se mordait les lèvres pour se retenir de ne pas gémir de jouissance ! Et puis je repris bien sagement ma place de fils parfait...
Quand enfin, elle daigna redescendre de l’escabeau, avec la fameuse bouteille de vin bien méritée, elle avait les yeux dans le vague, le rouge aux joues, un peu de sueur au niveau de son cou : j’avais l’impression que si nous le lui avions demandé, elle aurait enlevé sa robe pour se retrouver nue, en porte-jarretelles, au milieu de nous trois, hommes en état de rut, et que nous l’aurions prise comme une putain, pour son plus grand plaisir !

Et puis le vieux nous conduisit dans une cave souterraine, avec ses meilleurs tonneaux de vin, entassés sur environ trois mètres de hauteur, dans un équilibre qui semblait bien instable ! Cette fois-ci, ce fut mon père qui dut monter sur une échelle, pour aller chercher deux tonneaux de cinquante litres, tout en haut, nous laissant seuls en bas, la salope et les deux gougnafiers !
Le vieux mit sa main sur la hanche de ma mère, pour la faire se déplacer, lui disant que la manipulation des fûts de vin pouvait être dangereuse. Et pendant que mon père s’escrimait à attraper le fameux fût, grimpé sur son échelle branlante, pour s’approprier le divin nectar, le père Buisson, lui s’appropriait une fois de plus le cul de ma mère. Le vieux était tellement absorbé à passer sa main sur sa cuisse gauche, puis à remonter doucement sous le tissu de la robe, pour faire apparaître la jarretelle blanche, puis aller fouiner au niveau du sexe de ma mère, qu’il ne remarquait pas que moi, je le matais discrètement. Je bandais comme un malade devant cette vision obscène, ma mère tripotée de son plein gré par un vieux croulant !
Le vieux saligaud avait maintenant les deux mains qui se promenaient sous la robe, l’une palpant le cul et l’autre fourrageant dans les délicates boucles noires du pubis de ma mère. J’en aurais éjaculé sur place. Cette fois-ci, il occupait toute la place, je ne pouvais que mater le “couple improbable” !
Ma mère, elle, avait le nez en l’air pour admirer les contorsions de mon père, pour ramener vers lui la barrique. Visiblement, elle appréciait de se faire mettre la main à la moule par le vieux cochon, pour la seconde fois ! Je devinais sous la robe les mains qui palpaient la chatte, la fente, les fesses et même devaient s’engouffrer dans les deux trous de ma génitrice. Celle-ci avait la tête en arrière, et gémissait doucement !
Et puis catastrophe ! Était-ce voulu ? En tout cas, la barrique que mon père tirait vers lui, en déstabilisa une autre, qui vint rouler sur l’amoncellement des tonneaux, et tomba sur le sol, à peine à un mètre de ma mère. Depuis une hauteur d’environ quatre mètres, le bois certainement ancien, ne pouvait résister au choc sur le sol, et le tonneau de cinquante litres éclata comme un fruit mûr, éclaboussant ma génitrice ! Celle-ci eut un grand mouvement de panique, et poussa un cri strident quand elle fut aspergée des pieds à la tête de vin rouge ! Sa petite robe blanche à fleurs devint rouge et poisseuse...
Mon père jeta un regard en bas, pour découvrir sa femme plus nue qu’habillée : le vin poisseux avait fait se coller le fin tissu sur sa peau, si bien que l’on voyait parfaitement, dans cette cave pour le coup assez bien éclairée, une femme à la robe dégoulinante de vin et devenue transparente, ses jarretelles apparentes sur ses cuisses, son mont de Vénus avec la toison brune assez luxuriante, son ventre et ses hanches aux courbes délicates, et ses seins aux tétons dressés au maximum. Le vieux se régalant du spectacle, dit en rigolant : — Et bien, ma petite dame, on pourra dire qu’elle en a pas eu beaucoup de la chance, cette petite robe blanche ! Suivez-moi, on va nettoyer tout ça ! “
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