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Ma mère, à poil...pour un peu de pinard !

Chapitre 3

Nettoyage en règle !

Voyeur / Exhibition
Ma mère complètement éclaboussée par la faute de mon père ! Et pas de sperme ! Elle semblait être couverte de sang, telle la reine Margot dans le film éponyme... je sais, je suis trop intello !! Mais ce n’était que du vin, du pinard tant recherché par mon débauché de père ! Pourtant elle semblait choquée... il faut dire que le tonneau s’était écrasé à peine à deux mètres d’elle, d’une hauteur de quatre mètres. Et si "l’auguste" père Grégoire Buisson n’avait pas écarté ma mère, de ses mains calleuses, profitant au passage d’un pelotage en règle, je serais peut être bien orphelin maintenant... sniff ! Une si belle femme, qui n’avait encore révélé qu’à peine cinq pour cent de ses capacités de salope !
Le père Buisson, lui, n’avait pas perdu les pédales... oh que non ! Il avisa mon père, et se dit qu’il fallait mieux que le mari reste en dehors du coup :
— Monsieur, croyez bien que je suis désolé de ce regrettable incident ! La petite dame aurait pu y perdre la vie ! Cela aurait été bien dommage, fan de chichourle ! Je vais l’emmener pour la remettre d’aplomb, et lui nettoyer cette pauvre robe qui en aura vu de toutes les couleurs ! C’est le cas de le dire ! Restez donc sur la banquette dans le petit salon, et goûtez moi ce petit vin millésimé ! Je vous en offre deux bouteilles en plus ! Vous m’en direz des nouvelles ! Gamin, viens avec moi, on va s’occuper de ta mère !
Cela, dit sur un ton plutôt égrillard ...

Le vieux schnock était loin d’être bête. Il éloignait "l’empêcheur de tripoter sa femme en rond", et se faisait un allié objectif du fils vicieux, dont il avait rencontré les doigts, sur la chatte de sa mère ! Ah le vieux salaud, le petit malin ! Décidément, le dicton disait vrai : ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces !" Même si, en la circonstance, c’était "l’honnête mère de famille" qui allait grimacer... de jouissance !
Ma mère, telle un automate, se laissait guider devant le vieux cochon, qui lui mettait une main au cul pour l’emmener vers la salle au lavoir, qu’elle connaissait déjà ! Mais là, le spectacle allait être beaucoup plus pornographique que la dernière fois. Le vieux, l’ayant amenée à côté du lavoir à bouteilles, commença à dénouer les bretelles de lin blanc, qui lui collaient aux omoplates, pour lui retirer la robe souillée de vin. Ma mère n’exerçait aucune résistance. Pourtant j’étais devant elle, à trois mètres environ, et je la matais sans aucune retenue. Et là, tous mes rêves les plus fous trouvèrent leur réalisation !
Le vieux baissa doucement la robe empoissée de vin, collant à la peau de ma mère. Il fit coulisser les pans de tissu avec ses deux mains, le long de son corps, profitant au passage de bien prendre son temps, pour saisir les courbes sensuelles de ma mère, avec ses doigts enfiévrés : il sépara lentement les deux seins de leur prison de tissu, puis amena la robe sur le ventre, suivit la courbe des hanches pleines, et le long des cuisses de ma mère. Se baissant au niveau de ses mollets, il lui fit lever les deux pieds, pour pouvoir extirper la robe, telle un paquet de linge très sale, qu’il porta dans une alvéole du lavoir à bouteilles, pour la laisser décanter dans une bassine d’eau bien froide.
Et ma mère me fit face, elle était sublime : complètement nue, les seins aux pointes turgescentes, la peau rougie partout, et son porte-jarretelles révélés par le vieux ! Elle n’avait pas de culotte, cela je le savais déjà, mais là, la voir debout devant moi, avec son porte-jarretelles blanc, enfin avec des taches de vin par endroits, et ses bas qui surlignaient la toison brune engluée de son sexe... un pur délice pour les yeux.
Je me mis à bander comme un taureau, alors que mon regard était hypnotisé par son pubis poilu, camouflant à peine ses grandes lèvres proéminentes. Certes, je l’avais déjà vue maintes fois nue dans la salle de bain, mais c’était dans un contexte domestique, dans la sécurité de la maison. Ici dans ce lieu incongru, mise nue par le vieux dégoûtant, un peu ivre et manipulée par le sagouin, et avec cette dangereuse nudité pornographique révélée par le fameux porte-jarretelles, elle m’apparaissait clairement comme une autre femme, fatale, au potentiel sexuel et érotique dangereusement attirant. Je savais que c’était ma mère, mais là, en cette circonstance, s’étant laissée mettre nue devant son fils, avec ses accessoires érotiques, je me disais qu’elle avait franchi une limite bien périlleuse.
Nous nous regardions droit les yeux et elle savait ce qui allait lui arriver. Son regard impénétrable était difficilement lisible, mais je sentais qu’elle aspirait à quelque chose de physique, d’un peu bestial, outrageant pour ce qu’elle avait l’habitude de vivre : je sentais la femme bestiale, libre, qui avait envie de connaître des aventures sexuelles intenses et dépravées. Son exhibitionnisme en était la preuve patente.

Le vieux revint, et lui, n’ayant pas toutes mes interrogations psychologiques, lui passa négligemment une main sur le pubis, ce qui fit frissonner ma mère et lui dit :
— Alors ma bonne dame, c’est bon de se retrouver à poil, comme une pute devant son fils, en train de bander comme un sagouin et un vieux pervers comme moi ? Tu réponds rien, hein ? Encore un peu honte ? Tu verras, dans cinq minutes, tu auras oublié tes restes de scrupules, pendant que ton mari se jette sur mes bouteilles de pinard, et que ton fils te mate comme un obsédé ! Ils sont tous et toutes comme ça... tu n’es pas la première, loin de là.
Bon, on va commencer par te nettoyer... et après... “ lui dit-il, avec un air égrillard.
Ma mère se taisait, semblant attendre, et compatissant à son sort “funeste”.

Elle aurait encore pu répondre, se défendre, dire que le vieux se faisait ses films, qu’elle était une femme honnête, qu’il l’avait piégée avec son vin, mais non rien, rien ! Elle ne prenait même pas le prétexte de ma présence, et de sa nudité pornographique devant son propre fils, comme échappatoire. Et bien tant pis, je savais que le vieux allait en profiter, et moi j’aurais eu l’air bien con de n’être pas de la fête. Après tout, une femme qui fait la salope et qui veut se faire prendre, on accède à ses désirs !
Le vieux la prit par la main, et la fit s’installer sur le rebord en béton du lavoir, et il lui fit écarter les jambes, "pour bien frotter dans les coins", dit-il, avec une lueur amusée dans les yeux. Il me donna un tuyau de caoutchouc, pendant que lui, prenait une éponge et un pain de savon rugueux.
— Gamin, on va laver ta mère de tout ce pinard, moi je frotte et je savonne et toi, tu rinces... fais bien dans tous les recoins ! "

Le tuyau suintant d’un petit jet d’eau à la main, je regardais le spectacle incroyable. Ma mère, les jambes ouvertes, cuisses bien écartées, les genoux un peu repliés vers elle, était totalement "ouverte" ! Elle exhibait l’intégralité de son sexe ; ses grandes lèvres, son clitoris grossi comme un pois chiche, sa fente entrouverte. Elle avait posé ses mains sur le béton, et soumise, attendait le savonnage du vieux. Elle ne cachait rien, assumait tout. Une envie torride me prit dans le ventre. Je savais que je m’apprêtais faire des choses très très vilaines !

Je commençai par lever le tuyau et lui aspergeai les seins. Comme le niveau était faible, je pinçai l’extrémité pour avoir plus de pression. Ma mère reçut le jet dans la figure et elle s’étouffa un peu ; alors je me baissai, et consciencieusement, je nettoyai le sein gauche puis le droit. J’avais l’impression d’en voir les tétons encore remonter sous le jet d’eau froide. Et puis vicieusement, je dirigeai le tuyau sur le ventre et puis entre ses cuisses. Pour finalement lui envoyer toute la pression sur son pubis et entre ses cuisses, sur la moule toute grande ouverte et certainement bouillante de luxure, je m’amusais à masser le clitoris avec le jet puissant et vigoureux. Ma mère commença à gémir sous cette pression aquatique sur ses parties les plus intimes. Je me régalai de lui mettre le jet dans sa petite chatte de salope, toute grande ouverte !
Ma mère semblait adorer le traitement, sa figure était déformée par le plaisir. Il faut dire que de son côté, le vieux schnock s’occupait aussi très bien de ma mère : il avait pris un gant de toilette, en plus de l’éponge, et après l’avoir copieusement recouverte de savon noir, il les passait avec sensualité sur la peau de ma mère. M’étant arrêté de lui titiller le berlingot avec le jet d’eau, je regardais fasciné, les gros doigts du vieux, qui ayant quitté le gant de de toilette, après avoir recouvert tout le corps de ma mère de son savon moussant, astiquait consciencieusement les seins de ma mère. Pas de doute, l’homme était un esthète et un bon ouvrier ! Après avoir astiqué, nettoyé, caressé avec application, chaque mamelle maternelle, il ne pouvait plus rester la moindre souillure sur les deux globes blancs, dont les pointes tiraient plus que jamais vers le firmament...
Puis il passa à la petite chatte de ma mère... après avoir délicatement savonné l’intérieur des cuisses, il passa sa grosse main sur le pubis touffu, écartant avec amour chaque touffe de poils englués. Alors il badigeonna généreusement les grandes lèvres du sexe de ma mère, vérifia avec méticulosité la propreté du clitoris, en y revenant à de maintes reprises dans un mouvement continu, qui faisait se pâmer ma mère de plaisir !Enfin, il dirigea deux gros doigts vers la grotte plus qu’accueillante, qu’il pénétra de bon aloi. Ma mère ne se retint plus d’ahaner et de crier son bonheur de femme, si délicieusement maltraitée...
Je regardais le spectacle surréaliste de ma mère à poil, les cuisses grandes ouvertes, caressée, lavée, branlée, le sexe pénétré par les doigts du vieux. Et tout cela, sans aucune honte de sa part, sous les yeux de son fils. Il allait falloir que je fasse quelque chose, car la tension sexuelle devenait absolument monstrueuse pour mon pauvre petit corps !
Le vieux, après avoir repris le tuyau et aspergé copieusement ma mère, la fit mettre à quatre pattes sur le rebord de béton, le cul offert dans ma direction... alors les petites séances de savonnage et nettoyage en règle reprirent sur la "face nord"... Ne dérogeant pas à la courtoisie des gens de bonne société, il s’assura que le fondement de ma mère était lui aussi exempt de toutes impuretés, faisant coulisser à de maintes reprises un gros doigt, bien enduit de savon noir, dans le petit trou du cul de ma mère !Celle-ci se mit à gémir, au diapason des intromissions hygiéniques du vieux cochon, dans sa grotte la plus secrète !
Et puis, le vieux n’y tenant plus, lui non plus, il se posa derrière le cul de ma mère et ouvrant sa braguette, il en sortit une bite énorme et bien vigoureuse pour l’âge canonique du propriétaire, et palpant la chatte toute mouillée et grande ouverte, il s’y enfonça avec délectation. Il baisa ma mère avec vigueur, celle-ci criant son bonheur de "femme abusée", et se libéra très vite dans un grand cri rauque.
— Pfouh, j’vais pisser un bon coup après tout ça ! Si tu veux gamin, la place est chaude ! “
Le père Grégoire, était également, en plus du reste, un auguste poète, hygiéniste et courtois avec ces dames !!
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