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Ma mère, pute et soumise

Chapitre 3

Hétéro
Salut ! C’est Anthony, vous vous souvenez de moi ? Le méchant garçon qui a fait de sa maman une pute docile. Après cette soirée ou ma mère s’était fait défoncer par 5 blacks montés comme des ânes, elle m’en voulut un peu. Notre relation se détériora. Elle refusait de venir chez moi et refusait même de me prendre au téléphone. Elle menaçait même d’avertir la police. Annie, ma maitresse, fut folle de rage quand je le lui dis et elle me dit qu’il fallait réagir et « mater » ma mère.

Nous sommes stationnés sur le trottoir en face de la maison de ma mère. Je suis à la fois excité et horrifié par le plan diabolique mis au point par Annie. Je sors du véhicule et vais sonner à la porte. Tout d’abord, Marie refusa d’ouvrir. Je dus lui assurer qu’Annie n’était pas la. J’avais un peu honte de me conduire de la sorte avec ma propre mère mais je voulais assouvir mes fantasmes et la déraison l’emporta. Ma mère me fait entrer. Elle est, comme toujours, habillée à la fois très classe et très sexy. Elle a toujours su accommoder les deux. Elle porte une jupe écossaise s’arrêtant juste au dessus du genou et un chemisier blanc. Ses jambes, allongées par les talons hauts de ses escarpins noirs, sont habillées de nylon voile clairs très fin et certainement très couteux. Ma mère m’accueillit assez froidement. Elle me reprocha de l’avoir fait violer par ces blacks. Je la trouvais un peu hypocrite et faillis lui rappeler qu’elle mouillait comme une chienne et le nombre d’orgasmes qu’elle avait eu. Je lui demandais un café et elle s’absenta dans la cuisine pour le préparer. J’en profitais pour aller ouvrir la porte et faire signe à Annie de venir.

Maman revint en tenant la tasse dans sa main. Marie tressaillit quand elle aperçu Annie dans le salon à coté de moi. Elle en lâcha la tasse qui se brisa sur le sol carrelé du salon. Annie se leva. Habillée d’une minijupe en vinyle noire lui arrivant aux quarts des cuisses et d’un chemisier noire en dentelle sous lequel elle portait un soutien-gorges rouge, qui contenait à peine ses seins. Elle s’avança vers ma mère faisant claquer ses talons aiguilles rouge sur le sol. Maman, hystérique, m’insulta copieusement, moi d’abord et Annie ensuite. Un sourire pervers sur ses lèvres, Annie agrippa la belle chevelure de maman et la contraignit à s’agenouiller à ses pieds. La jupe écossaise remonta sur ses cuisses dévoilant l’attache d’un porte-jarretelles. — J’ai marché dans la merde, lui lâcha Annie, tu vas nettoyer mes chaussures. Marie cria et protesta. Annie lui donna une gifle retentissante et je sursautai malgré moi !Annie appuya sur la tête de ma mère et le visage fin de maman se retrouva à quelque centimètre des escarpins d’Annie. Elle sortit timidement la langue et commença à nettoyer la chaussure de ma maitresse. Le rouge aux joues, elle donna des coups de langue sur le cuir des chaussures. Puis, Annie releva la jambe et contraignit ma mère à lui sucer le talon aiguille.

Annie releva ma mère et la courba sur la table du salon. Tout cela sous les insultes ! Annie traite ma mère de salope, de trainée, de putain qui s’ignore.— Comme t’es une putain, on va te traiter comme une putain. Aujourd’hui, on va t’emmener tapiner dans les bois.J’ai une érection d’enfer en regardant cela, en regardant ma mère se faire avilir par ma maitresse.Annie releva la jupe écossaise de maman et écarta le string rose qu’elle portait. Dévoilant sa chatte. Elle introduisit deux doigts dans sa fente et les fis coulisser rapidement. Elle s’interrompit pour lui donner une violente claque sur ses fesses. Maman poussa un cri. — T’es trempée salope !Une lueur pervers dans les yeux, elle releva Marie et la mettant devant moi lui arracha son chemisier ! Ses seins apparurent contenus dans un soutient-gorge rose. Annie baissa violement les balconnets et tritura les nichons de ma mère qui se laissa faire en soufflant ; les pointes des tétons devinrent vite rouges.— Je vais aller la préparer, me lança Annie en s’emparant du sac qu’elle avait emmené avec elle. Reste ici mon chéri.Et elle partit en direction des chambres de maman, celle-ci avançant péniblement, à quatre pattes derrière Annie..

J’attendis quelques minutes dans le salon. Attente insupportable tant j’étais impatient de voir comment ma mère allait être habillée. J’entendais par moment un cri de protestation, des gémissements.Enfin Marie apparut. J’en eu le souffle coupé. On ne la reconnaissait pas. Elle ! La bourgeoise respectable et respectée, la bonne mère de famille. Si ses voisins l’avaient vu ! Marie était revêtue d’une robe « Léopard » moulant son corps plantureux. Elle devait surement être d’une taille trop petite et ses gros seins débordaient littéralement du décolleté. La robe s’arrêtait aux trois quart des cuisses. Ses jambes gainées de bas noirs à couture était retenue par un porte-jarretelles en vinyle. Elle portait aux pieds des escarpins « léopard » également mais avec des talons aiguilles en acier et qui faisait au moins 18 cm. Ce qui obligeait ma mère à se tenir cambrée et surtout à marcher maladroitement avec n’étant pas habitués à porter des talons aussi grands. Maman, le regard implorant me regardait. Autour de son cou, un collier avec un anneau ou était attaché une laisse. Elle était maquillée outrageusement. Le rouge à lèvres faisait ressortir ses lèvres pulpeuses. Une vraie pute !
S’emparant de la laisse, Annie me regarda :— On y va ?

Nous sommes sorties de la maison de Marie et l’avons conduit dans notre voiture. Nous avons croisés un des voisins de maman qui la regarder avec des yeux ronds pendant que ma mère rougissait violemment de honte. Annie et Marie à l’arrière, je pris la direction de la sortie de la ville où se trouvait la forêt et le coin réputé « chaud » de la région..J’essayais de me concentrer sur la conduite et ce ne fut pas facile. A l’arrière, Annie faisait couiner maman. Je jetais un oil dans le rétroviseur et vis Annie qui masturbait Marie, elle avait enfoncé ses doigts dans la chatte de maman et lui titillait le clitoris. Ma mère se tordait sur le cuir des sièges. La bouche ouverte, haletante. Annie, perverse jusqu’au bout surveillait la montée du plaisir sur le visage de maman et s’arrêtait avant qu’elle n’ait un orgasme la laissant dans un état de nerfs indescriptibles.

La nuit commençait à tomber quand nous sommes arrivés sur le petit air de stationnement qui se situait à quelques mètres du bois, lieu de rendez vous des putes et de leurs clients. L’endroit était cachés par des arbres et de la route nationale on ne l’apercevait qu’à peine.Des voitures étaient déjà la et quelques putes commençaient à arpenter les lieux. Je me garais un peu à l’ écart. Annie sortit en tirant Marie par sa laisse.Les graviers crissèrent sous les talons aiguilles. Plusieurs regards se posèrent sur ma mère. ; Les clients habituels étaient un peu étonnés. Maman ne ressemblant pas aux putes habituelles qui étaient plus jeunes qu’elles. Certains s’avancèrent déjà. Un gros, petit, soufflant, demanda le prix et il fut un peu étonné quand ce fut Annie qui annonça les tarifs. 40 euros la passe. Le gros sortit l’argent et tendit les billets à Annie mais celle-ci insistât pour que ce soit Marie qui les empoche. Annie donna alors la condition sine qua non : la passe devait se dérouler devant ou sur la voiture qu’elle désigna. Le gros type se dit qu’il était tombé sur une drôle de pute mais acquiesça.

Annie revint dans la voiture et s’assit à coté de moi..— On va pouvoir mater ta chienne de mère se faire baiser.Elle posa sa main sur ma queue déjà gonflé bloc. — Ca t’excite petit salaud de voir ta mère faire la pute..Devant nous, le gros a courbé maman sur le capot de la voiture et il la pénètre d’un violent coup de reins..Maman halète sous les coups de boutoirs de l’homme. Son gros ventre de buveur de bière claque contres les fesses de Marie.Annie a dégagé ma bite et me branle furieusement.Le gros type secoue ma mère comme un prunier et Marie couine. Le type sortit et éjacula sur les fesses de ma mère. Elle resta affalée sur le capot et Annie dut lui crier de retourner au boulot.Maman se releva, lissa sa robe et avança vers ses nouveaux clients..

Annie me pompe la queue, sa langue s’enroule autour du gland. J’observe à travers le pare brise Marie qui vient d’empocher 40 nouveaux euros. Un petit brun à lunettes, genre intello, qui l’a renversé sur le capot, lui a soulevé les jambes à la verticale et la pilonne comme un fou en ahanant. Un sein de Marie s’est échappé de sa robe et gigote sous les coups de reins du petit. Annie me suce la bite comme une folle, relevant la tête par moment pour voir la déchéance de ma mère se faire traiter comme une pute par ses clients.Je donne des coups de reins pour mieux m’enfoncer dans la bouche d’Annie.

Ma mère fit plusieurs passes au cours de la nuit. Des petits, des gros, des maghrébins, des blacks, des ouvriers. Ma mère dut tous les satisfaire. A genoux, pompant des bites, à quatre pattes se faisant enfiler, courbés sur le capot, enculé.Ses cris se transformèrent en gémissements. On éjacule partout sur son corps. Elle est recouverte de spermes. Des filaments coulent sur ses seins, totalement à l’air maintenant, rouge d’avoir été malaxés par ces pervers. Plusieurs de ses clients, lui ont lâché leurs foutres sur son visage. Du sperme coule du front jusqu’aux lèvres. Elle a tenté plusieurs fois de recracher le foutre qu’on lui déverse dans la bouche mais la plupart du temps elle a été contrainte d’avaler leurs semences. certains se sont branlés entre ses gros seins.

Annie s’est empalée sur ma bite et gémit pendant que je la bourre violemment alors que ma mère est prise a partie par quatre jeunes qui veulent absolument qu’elle leur fasse un tarif de groupe. Elle se retrouve vite à genoux, deux bites dans la bouche, la mâchoire déformée par l’épaisseur des membres. Annie halète et gémit :— Qu’est ce qu’elle va prendre la salope.Je lui agrippe les seins et la pistonne encore plus violemment. Marie pompe les quatre bites à tour de rôle. Sans ménagement, elle est plaquée contre un arbre, les escarpins plantés dans la terre, la robe troussée sur sa taille. Les jeunes sifflent en découvrant le porte-jarretelles en vinyle. Un des jeunes s’engouffra dans la chatte de ma mère et s’agrippant au hanches se mit à la pilonner..

J’ai sorti Annie de la voiture et je l’ai courbée sur le capot. Jupe retroussée, je lui défonce le cul.Elle gueule comme une furie, haletante, gémissante, ne perdant pas Marie d’un oil.Celle ci, courbée en avant, doit sucer un des jeunes pendant qu’un autre s’agite dans sa chatte. Les quatre jeunes prennent plaisir à baisée une femme mature et encore...Si ils savaient que ce n’est pas une professionnelle.
Annie me suce et me branle en même temps. Ne pouvant plus me retenir, j’éjacule sur ses seins, les recouvrant de mon sperme qu’elle lécha ensuite.

Marie a été défoncée par les quatre jeunes jusqu’à ce qu’ils n’aient plus de sperme dans les couilles... C’est à dire longtemps. Il est quatre heures du matin. Maman, les bas déchirés, la robe en lambeaux, le cul éclaté et la chatte irritée par les kilomètres de bites qu’elle a du acceptés somnole à l’arrière de la voiture pendant que je la ramène chez nous.

Nous arrivons à la maison. Maman fit mine de vouloir se diriger vers sa chambre à coucher, épuisée, éreintée par cette nuit de folie mais Annie la rappela à l’ordre :— Ou tu vas salope ? Tu m’as pas donnée le fric que t’as gagné cette nuit.Maman se retourna, hagarde et balbutia :— Mais...Mais ? comment, je.— Le pognon que tu viens de te faire à la sueur de ton cul et en te comportant comme une chienne, tu crois peut être que tu vas le garder ? Fasciné, je réalise que ma maitresse est devenue le mac de ma mère.Maman, tête baissée, sortie les billets qu’elle avait glissée dans son soutien-gorge. Il y en avait pour 500 Euros.— C’est tout, T’es pas douée ma salope, va falloir te dresser ! Je vais me charger de te donner une formation spéciale et accélérer, crois moi !Ma mère ne répond pas, baissant la tête.
Annie entraine maman dans la salle de bain pour qu’elle puisse se laver et enlever le sperme qui macule son corps. Elles reviennent quelques minutes plus tard. Annie a encore humilié ma mère. Elle avance à quatre pattes, tenue en laisse par Annie, la mâchoire déformée par une boule enfoncée dans sa bouche et attachée par des lanières autour de sa tête. Elle grogne à travers son bâillon. Elle est habillée d’une guêpière laissant les seins apparents ou sont accrochés des bas résilles. Annie la relève et la tirant par la laisse l’entraine vers le canapé. Ma mère titube sur les talons aiguilles de ses cuissardes. Annie pousse Marie sur le canapé et s’accroupissant lui lèche sa fente. Très vite, Marie gémit a travers son bâillon. Annie a enfilé son gode-ceinture. Elle ordonne à Marie de me sortir la bite et ma mère s’exécute servilement, soumise.Elle me branle un moment et sous les instructions d’Annie elle s’empale sur ma bite dressée. Ses seins contre mon torse, elle présente son cul à Annie qui l’encule avec le gode-ceinture. Maman pousse un cri étouffée par le bâillon. Ses yeux exorbités se posent sur moi. Annie les mains posées sur ses hanches pilonne le cul de maman pendant que je la soulève pour qu’elle s’empale sur ma bite. Les corps de maman gigote. Elle secoue la tête dans tous les sens. Je sens sa chatte s’humidifier de plus en plus...une vraie fontaine ! Je sens la cyprine coulé sur mon membre. Annie lui martèle le cul en l’insultant...Les reins de maman accompagne mes coups de reins..La bave coule sur la boule.Nous changeons de positions et c’est moi qui encule ma mère. Annie lui retire le bâillon-boule et maman halète.— Hon.Non, Non.Pas ca.Oh Mon dieu, je suis devenue une salope.J’accélère mes mouvements, ses fesses tressautent sous mes coups de reins violents. Marie contrainte par Annie suce le gode-ceinture.N’en pouvant plus, je me retire du cul de ma mère et me positionne au dessus de son visage ravagé, je lâche des trainées de sperme qui vont s’écraser dans ses cheveux, son cou, son nez, coulant sur ses lèvres..Annie se précipita et lécha le sperme sur le visage de Marie l’embrassant à pleine bouche au passage..Annie tira maman par les cheveux et la contraignit à s’allonger sur le carrelage du salon. Ma maitresse se positionna, cuisses écartées, sexe béant, au dessus du visage de ma mère et lui pissa dessus. Maman poussa un cri de protestation et voulut se relever mais Annie la menaça de se faire baisée par des chiens la prochaine fois si elle ne se laissait pas faire ! Les jets d’urine se répandent sur son visage, maman tourne la tête en tentant d’éviter l’urine qui coule sur ses gros seins. — Ouvre la bouche, salope ! Bois ma pisse ! T’es bonne qu’à ça, t’es une putain, une bourgeoise salope ! lui hurla Annie.Ma mère ouvrit timidement la bouche et fut contrainte d’avaler la pisse qui s’y engouffrait..

Annie et moi sommes rentrés abandonnant ma mère dans un triste état. Nous échafaudons des plans pour l’humilier d’avantage. Les pires perversions nous passe par la tête.Si vous le souhaiter, je vous raconterais bientôt la suite de la déchéance de ma mère.
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