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Ma mère et ma soeur, salopes et soumises

Chapitre 2

Ma soeur goûte à ma bite

Inceste
Voilà la suite de l’histoire en 3 chapitres que j’ai écrite il y a quelques années et que je publie aujourd’hui, même si je n’assume plus vraiment le côté porno-cliché. À vous de juger !

Le lendemain matin, maman est déjà partie au travail quand je me lève. Dommage, j’aurais bien aimé une petite pipe matinale ! Mais ma petite sœur Alice est là, seulement vêtue d’une courte nuisette qui me met la gaule direct. Je la mate un peu en entrant dans la pièce, puisqu’elle est de dos et qu’elle ne m’a pas entendu entrer.Ma sœur est vraiment super bonne ! Elle a un petit cul de dingue, tout rond et ferme, et même si ses nichons sont moins gros que ceux de ma mère ils restent très corrects ! J’aurais encore largement de quoi y coller ma bite pour me branler dedans, tout en lui pistonnant sa jolie petite bouche de pucelle...
— Salut ! me lance-t-elle en s’apercevant de ma présence.
Je lui réponds en me bougeant un peu pour éviter qu’elle voie que je la fixe. Ou plutôt que je lui fixe les fesses.Soudain, elle se met sur la pointe des pieds pour attraper quelque chose en hauteur, ce qui relève sa nuisette. Son petit cul s’offre alors à mon regard, surtout qu’elle ne porte qu’un string microscopique qui ne cache rien ! Putain ce que ses fesses sont belles, j’aimerais tellement lui défoncer...Au bout d’un moment je me décide à aller l’aider, mais je n’ai pas d’autre choix que de me coller à elle pour espérer attraper son fichu bol. En faisant cela, ma bite vient se loger entre ses fesses, ce que ma sœur peut probablement sentir malgré nos sous-vêtements. Surtout que ma queue est gonflée à bloc dans mon caleçon qui peine à la contenir.
— Tu bandes ! me lance ma sœur.— Ouais c’est souvent comme ça le matin...
L’excuse vaut ce qu’elle vaut, mais étrangement elle ne se pousse pas. Ce serait quand même plus logique de s’écarter pour me laisse accéder au placard ! De toute façon je pourrais facilement attraper l’ustensile en me mettant sur la pointe des pieds, mais où serait l’intérêt de la chose ?Au lieu de ça je fais mine de me contorsionner pour atteindre ma cible, mais j’en profite surtout pour me branler entre ses fesses. Putain ce que c’est bon ! Son petit cul est vraiment merveilleux...
— Qu’est-ce que tu fais ? me demande-t-elle au bout de quelques secondes, quand il devient évident que je ne fais absolument aucun effort pour attraper le bol.— Je fais ce que je peux...— Tu te fous de moi, tu crois que je sens pas ta bite ? Tu m’as prise pour une pute ou quoi ?— T’arrêtes pas d’agiter ton cul sous mon nez et tu penserais vraiment que tu t’en tirerais comme ça ? dis-je en glissant une main sous sa nuisette pour lui peloter les nichons.
Je m’attendais à ce qu’elle me repousse en criant, mais au lieu de ça elle frotte ses fabuleuses petites fesses contre ma queue.
— Je me demandais combien de temps tu mettrais à le remarquer ! me répond-elle.
Cette réponse me rend dingue, je lui déchire sa nuisette sans pitié. Je caresse fiévreusement son corps, je le palpe, c’est fou comme ma sœur m’excite !
— T’es trop bonne, grosse cochonne ! lui lancé-je en soupirant de désir et de plaisir.— Je suis à toi grand frère, fais de moi ce que tu veux... répond-elle en s’abandonnant totalement à mes attouchements.
Je la retourne et je prends ses tétons entre mes lèvres. Ses seins bien fermes sont un régal pour mes mains qui ne se lassent pas de les découvrir. C’est maintenant contre sa vulve que je frotte ma bite, même si nos sous-vêtements nous séparent encore. Son string est trempé.J’en peux plus, je fais descendre mon caleçon à mes pieds et je présente ma bite face à elle, prêt à la baiser contre le meuble de cuisine. Je tire sur son string pour le décaler sur le côté, histoire d’insérer ma bite en elle, mais elle me repousse pour la première fois.
— Attends, je suis vierge ! m’apprend-elle.
Un sourire mauvais déforme mon visage : vierge ? Très bien, je vais adorer la déflorer. Parce que c’est moi qui m’en chargerais, certainement pas un autre ! Mais pour l’instant je la fais simplement s’agenouiller devant moi, en prenant le temps d’admirer ses jolis nichons, puis je lui ordonne de me sucer.Le pire c’est qu’elle obéit sans broncher, elle commence à me pomper la bite en me regardant droit dans les yeux. Je me demande comment j’ai pu croiser ce regard-là tous les jours, ce regard de petite chienne en chaleur, sans comprendre qui elle était et sans la défoncer au coin d’un couloir ! En la regardant faire, je n’arrive pas à croire que ma sœur est une jeune vierge inexpérimentée : elle me suce comme une reine ! Elle alterne les moments où elle lèche ma tige en y déposant des filets de bave avec ceux où elle me tète le gland, puis avec des succions lentes et profondes... le tout en me caressant doucement les couilles, c’est merveilleux !
— Aspire bien la tige de ton grand frère, comme une bonne petite chienne, lui dis-je en glissant une main dans ses cheveux.
Soumis à ce traitement des plus plaisants, je sens que je ne serais pas très long à me répandre au fond de sa gorge. Ma petite sœur le sait et elle semble l’attendre avec impatience : elle gémit comme une pute et se caresse le clito avec sa main valide.Bien décidé à la frustrer encore un peu de son repas ultra-calorique à base de foutre, je retire ma bite de sa bouche pour faire durer un peu plus longtemps, puis je commence à lui en donner des coups sur les joues. Elle ne dit rien, elle reste la bouche ouverte et la langue pendante, comme si elle attendait avec impatience sa douche de sperme.Je décide de ne pas trop la faire attendre, alors je lui colle de nouveau ma queue dans la bouche. Elle reprend sa délicieuse succion sur ma verge, mais je la force maintenant à la bouffer jusqu’au bout.
— Prends-la bien dans ta gorge, salope !
Les bruits de déglutition que produit ma sœur pendant que ma bite lui obstrue la bouche sont bandants à mort. Quelle chienne, quelle petite pute ! Si j’avais su que ma mère et ma sœur étaient de telles affamées de queue... La sauce commence à monter dans ma verge, alors je la sors encore une fois et je me branle devant le visage d’ange de ma petite sœur. Je gueule ma jouissance tout en l’aspergeant d’une immense quantité de sperme bien chaud et visqueux. Je regarde les jets s’écraser un à un pour lui recouvrir petit à petit la face d’une épaisse crème blanchâtre. Quand elle en a bien partout sur le visage, dans les cheveux et sur les seins, je réintroduis ma bite dans sa bouche pour la faire cracher les dernières giclées sur sa langue. Ma sœur ne dit rien, elle accepte son sort en silence, comme si être traitée comme un objet sexuel par son frère était ce qui pouvait lui faire le plus plaisir. C’est tellement bon de la voir me nettoyer la queue en gémissant alors qu’elle est couverte de mon sperme. Son visage d’ange paraît beaucoup plus malicieux avec un chibre en bouche ! Le pire est que sa bouche chaude et humide me fait déjà rebander...
— Lève-toi, sale pute ! lui demandé-je gentiment.
Je mate son corps de rêve couvert de sperme, puis je lui donne une bonne claque sur les fesses pour lui apprendre qui commande.
— T’es vachement bonne petite sœur, si j’avais su je t’aurais baisée bien avant.
Je lui attrape encore les seins, je ne me lasse pas de les caresser.
— Je vais te baiser maintenant, tu l’as bien cherchée.— Non ! réagit-elle enfin. Je suis vierge, s’il te plaît grand frère...
Je l’observe quelques secondes, en m’attardant bien sur son petit cul de coquine.
— OK, mais je vais au moins t’enculer.
Elle baisse la tête honteusement.
— D’accord, mais vas-y doucement, cède-t-elle. Je suis vierge aussi par là !

Je jubile : tu parles que je vais y aller doucement !
— Fous-toi à quatre pattes par terre, pour le reste on verra.
Elle s’exécute, petite chienne docile. Son divin petit cul de pucelle pointé vers le ciel me rend dingue, je ne vais pas prendre de gants pour l’enculer. Je me présente déjà contre sa rondelle, mais je ne fais même pas semblant pendant la pénétration comme avec ma mère : là je l’enfile d’un coup sec.Ma sœur hurle et m’insulte, mais je n’en tiens absolument pas compte : je la défonce en lui donnant de grandes claques sur les fesses, jusqu’à ce qu’elles soient toutes rouges. Bien sûr, je l’insulte moi-aussi. Elle essaye de se retirer, mais je la maintiens en place : hors de question de m’arrêter maintenant.
— T’es vraiment un salaud ! me lance-t-elle.— Putain ouais... Mais t’aimes ça, non ?
Elle glousse, elle ne peut même pas le cacher.
— Oui c’est vrai.
Quelle sale petite cochonne, comme sa mère ! Elle fait mine d’être impressionnée et timide, mais tout ce qu’elle veut c’est se faire défoncer par son grand frère. Je compte bien lui faire ce plaisir...Je la ramone pendant de longues minutes tout en l’insultant, sans me lasser de faire aller et venir ma bite dans son petit cul serré. Elle a vraiment des fesses parfaites, toutes rondes et super bandantes ! Je crois que maintenant que j’y ai goûté je serais incapable de m’en passer...Je la baise tant et si bien que l’orgasme commence à monter, je me vide alors en hurlant dans ses boyaux. Putain ce que c’est bon ! Mon chibre enfle en crachant sa semence brûlante dans le fondement de ma petite sœur qui pleure, à la fois de douleur et de plaisir. Je sens que je me vide complètement en elle, évacuant toutes ses années durant lesquelles j’ai fantasmé sur elle sans pouvoir la déglinguer. C’est comme si je me rattrapais en une seule fois !Quand j’ai fini de cracher, je me retire enfin d’elle et j’observe le liquide blanchâtre dont j’ai inondé son cul ressortir doucement pour tomber sur le sol. Toujours sans pitié pour le morceau de viande délectable qui était ma petite sœur, je la fais se coucher sur le sol et lécher ma semence à peine sortie de sa rondelle... Et elle s’exécute en gémissant comme une pute !La voir lécher mon sperme sur le sol, docile et soumise, me colle déjà la gaule. C’est pas possible d’attendre, je vais devoir lui prendre sa virginité par la chatte aussi. De toute façon, c’est déjà un crime qu’une garce aussi bonne reste vierge après ses 18 ans ! Il va falloir remédier à ça...
Je la fais se relever, puis je la positionne contre le meuble de la cuisine. Elle est encore un peu sonnée par la sodomie sauvage qu’elle vient de subir, elle n’a même plus le cœur de m’interdire l’accès à sa moule trempée d’hypocrite...Soudain, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir, la panique me gagne. Avant que je ne puisse réagir, je vois ma mère entrer dans la cuisine. Surprise, elle s’arrête en nous regardant avec des yeux ronds.
— Qu’est-ce que vous faites ?! nous demande-t-elle.
J’ai eu peur sur le moment, car je me suis dit que ça pourrait être papa, mais je ne crains pas ma mère. Après tout, il serait encore plus hypocrite de sa part de m’interdire de baiser ma sœur ! Alors je me réinsère dans les fesses d’Alice en narguant ma génitrice du regard.
— On baise m’man, lui réponds-je enfin. Alice est vierge, alors elle voulait goûter à ma queue elle aussi. Tu veux te joindre à nous ?— Quoi ?! s’exclame ma mère, stupéfaite. Mais non, vous ne pouvez pas, vous êtes frère et sœur !
J’explose de rire.
— Ça t’a pas dérangé hier, quand c’est toi que je déglinguais par tous les trous...— Qu’est-ce que tu racontes ? rougis ma mère en regardant Alice, qui s’abandonne au plaisir tandis que je la ramone comme une bête.
Décidément, sa première fois sera intense et pas très tendre !
— Je suis au courant maman, répond Alice pour moi. Je vous ai vus hier soir, alors inutile de jouer les innocentes. Tu criais bien quand Max te défonçait le cul, et maintenant que j’y ai goûté je comprends pourquoi !
Une larme perle le long de l’œil de ma mère. Elle semble hésiter entre la culpabilité, la désapprobation et... l’excitation. Soudain elle cède, elle se déshabille entièrement et elle se jette sur moi.
— OK petit salopard, mais maintenant il va falloir assumer : tu vas faire jouir ta sœur, mais t’as intérêt à en garder sous le coude pour ta maman ! Et accroche-toi parce que j’ai faim...
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