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Ma mère Suzie

Chapitre 5

Lesbienne
Le lendemain après-midi, Suzie surveille un partiel de droit à la Fac. De temps en temps, son esprit s’évade pour se remémorer la venue d’Elodie, et la partie à trois avec Loïc, son fils. La découverte de l’excitation incestueuse, de gang bang et deux expériences de gouines l’ont fait entrer dans ce monde du stupre et de la fornication avec pour compléter le tout, l’univers saphique. Elle a trouvé que faire l’amour avec une femme, caresser des seins, exciter le clitoris d’une autre, sucer une chatte voire un cul, se délecter des jets de cyprine et d’urine était très jouissif. Elle est devenue vraiment « Bi » et particulièrement accro au sexe. Son terrain de plaisir sexuel ne sera plus uniquement la chasse à l’homme. Désormais, elle veut s’amuser aussi avec des femmes. Et pourquoi pas avec une étudiante de la Fac ? Est-ce que sa tenue que les garçons trouvent provocante pourrait exciter une jeune fille ?
Sans le vouloir, assise derrière son bureau, Suzie a porté sa main sur son entrejambes en relevant par inadvertance sa jupe jusqu’au haut de ses bas. La température qui règne dans la salle par cette chaude journée a fait qu’elle a dégrafé un bouton de plus à son corsage, laissant nettement voir la gorge de séparation de ses seins. L’amphi est silencieux, chaque étudiant est absorbé par son travail, à l’exception peut-être d’Eliane Gandois assise au premier rang qui regarde fixement Suzie et semble trouver son attitude équivoque. Elle pense que sa prof se touche en pleine classe.
Effectivement, Suzie a introduit deux doigts dans sa chatte et se branle en cachette en caressant discrètement un sein sous son corsage.Eliane la regarde fixement, Suzie s’en aperçoit et cesse son petit jeu.L’étudiante a la confirmation de ce qu’elle pensait. Tout en fixant bien le regard de sa prof, elle aussi esquisse une caresse sur sa poitrine en passant sa langue sur ses lèvres. Suzie pense qu’elle a excité cette élève et qu’elle pourrait peut-être devenir sa prochaine proie.
L’heure de composition est terminée, Suzie Leroy ramasse les copies et en prenant celle d’Eliane, lui glisse un petit mot sur lequel elle a écrit : « A la sortie, rejoins-moi dans la cabane du jardinier au fond du campus »

C’est Suzie qui est arrivée la première. Elle s’assoit sur la table de la petite pièce encombrée d’outils méticuleusement rangés. Sa position a remonté sa jupe en dévoilant les attaches de son porte-jarretelles sur les frises dentelées de ses bas.
- « Cette petite m’a excitée, aura-t-elle le courage de venir ? »
Soudain, la porte s’ouvre lentement en faisant grincer ses gonds. Eliane passe sa tête pour inspecter les lieux et aperçoit sa prof.
- « Entre Eliane et ferme la porte derrière toi, tire le verrou. Alors dis-moi : qu’est-ce qui t’a pris dans la salle tout à l’heure ? »- « C’est simple Madame. Depuis longtemps, je vous trouve toujours élégante, habillée très jeune et très sexy, à la limite de la provocation. Je me suis demandé si vous n’aviez pas un côté exhibitionniste. Les garçons ne se privent pas de discussions grivoises à votre sujet. En me mettant au premier rang cet après-midi, j’ai voulu mieux vous observer »
- « En fait, tu voulais me mater ? »- « C’est un peu ça, et je n’ai pas été déçue, j’aurais voulu me glisser sous le bureau. J’ai pensé que vous pourriez être bien salope »- « Je t’en prie Eliane, un peu de retenue dans tes propos »- « Mais Madame, votre invitation est édifiante, je pense que vous ne m’avez pas fait venir pour jouer au scrabble ! Votre position sur la table m’excite et j’espère mieux découvrir votre corps. »

- « Approche, moi aussi j’ai envie de voir et caresser cette poitrine dont beaucoup de filles ou femmes moins pourvues doivent rêver. Mais dis donc, tu n’as pas de soutien-gorge ? »- « Non, je l’ai mis dans mon sac avant de venir, j’ai aussi enlevé ma culotte pensant que ça vous plairait. A votre approche, je sens mes tétons se durcir et en devinant votre chatte, je mouille déjà. »
- « Tu as employé le mot de salope, mais je crois qu’il s’adresse aussi à toi ? Non ? Même si tu es bien jeune.»
La petite salope donc, après avoir déboutonné entièrement son corsage et l’avoir laissé tomber à terre s’est accroupi aux pieds de sa prof, elle lui enlève délicatement ses escarpins, promène sa langue le long de ses jambes, mouille bien ses bas et atteint l’entre cuisses. Suzie non plus n’a pas de culotte. Sa toison a commencé à s’humecter sérieusement, elle saisit les cheveux d’Eliane pour faciliter le contact bouche chatte.
- « Bouffe-moi, mets ta langue dans ma grotte et suce mon clito, fais-moi jouir une première fois. Branle-toi en même temps »
A force de succions, d’aspirations du clito, l’orgasme monte et Suzie éclate de plaisir dans un râle digne d’une bête en rut. Inévitablement, un puissant jet de cyprine inonde la figure de sa partenaire.
- « Donne-moi tes lèvres que je suce mon jus. Viens à califourchon sur mes cuisses que je sente bien ta chatte mouillée, enlève mon soutien-gorge et frotte tes seins contre les miens »
Eliane attrape la tête de sa prof à deux mains et ne se contente pas de laisser Suzie lécher sa mouille, elle écarte ses lèvres pour lui administrer un passionnant roulage de pelle. Les langues se lient, se délient, entrent et sortent, les corps se frottent, se trémoussent. Sous l’excitation, les cuisses dégoulinent de cyprine peut-être mêlée d’un peu d’urine.
- « Allongeons-nous sur la table en 69 cette fois, c’est moi qui veux ta chatte, moi aussi, je vais te bouffer.- « Oui Suzie, j’ai envie de votre langue, même sur mon cul avec un ou deux doigts en plus »
Les deux chattes sont en bouche et deux orgasmes prennent naissance simultanément.
- « C’est bon Eliane, je sens que nous allons jouir ensemble »
Aussitôt dit, les deux corps entrent en transe, secoués de soubresauts.
Après un bref repos, les deux femmes se séparent, remettent de l’ordre dans leur tenue, s’embrassent affectueusement sur la bouche
- « Eliane, je voudrais te demander une faveur. Laisse-moi ton soutien-gorge, essuie ta chatte trempée avec, je penserai à toi quand je le mettrai, nous devons avoir la même taille. Si tu veux, je te laisse le mien. »- « Bien volontiers, Suzie, votre proposition est très excitante, mouillez également le vôtre »
- « Nous pouvons sortir ensemble, je pense qu’il n’y a plus grand monde dans le campus. Evidemment Eliane, nous avons maintenant un grand secret entre nous »- « Bien sûr Madame Leroy »
**De retour à l’appartement, elle trouve sur le pas de porte un petit colis portant la mention : « Pour Suzie ». Elle se doute de la provenance, probablement de sa voisine Elodie. Arrivée dans sa chambre, elle défait fébrilement le paquet et découvre une bouteille en forme de phallus avec comme bouchon, le réalisme du gland. Un petit mot accompagne le cadeau : « Chose promise chose due, c’est un mélange de ma mouille recueillie en me branlant en pensant à toi et de ma pisse. Suggestion : badigeonne-toi les seins et la chatte avec le liquide et chevauche la bouteille comme une grosse bite. C’est d’une bonne dimension qui devrait te convenir. Orgasme assuré ! Si tu peux, fais-moi une petite vidéo avec ton téléphone que je partage ton plaisir ou encore mieux, viens me voir.Suzie se sent envahie par une débauche de sexe. Elle sort le soutien-gorge d’Eliane, l’humecte du liquide d’Elodie, se le passe sur la figure avant de l’agrafer, humide sur sa poitrine.
Loïc a laissé un petit mot sur son lit, indiquant qu’il rentrerait probablement tard et de ne pas se préoccuper de son dîner.
Avide de sensations malgré son double orgasme dans la cabane du jardinier, elle appelle sa voisine.- « Allo Elodie ? Je suis terriblement excitée. J’ai envie d’aller te voir. »- « Viens maintenant si tu veux, je suis libre »
Juste vêtue d’une nuisette transparente, Suzie enfile rapidement une robe de chambre. Même s’il n’y a qu’un étage qui sépare les deux appartements, elle ne veut pas risquer de rencontrer quelqu’un.A l’ouverture de la porte d’Elodie, les deux femmes s’embrassent passionnément à bouche que veux-tu.
- « Viens ma Suzie, moi aussi j’ai envie de toi, je veux tes seins, ta chatte, ton cul, je vais te faire découvrir quelque chose que tu ne connais peut-être pas. »
Arrivées dans la chambre d’Elodie, une étrange machine est en exposition à côté du lit.
- « C’est un sexe-machine dernier cri, on peut l’armer avec tout type d’objet de masturbation. Elle est télécommandée. Je peux te dire qu’elle m’a donné des orgasmes délirants. Tu vois le double siège, c’est pour l’utiliser à deux. Mais avant, viens que je te caresse, que je te suce. Tu as eu mon jus, je veux le tien, je veux que tu m’inondes par terre et que nous nous roulions dans nos liquides. Ça fait partie des jeux d’uro que je t’avais annoncés. »- « Là tu m’excites grave ma salope. Couche-toi, je vais me branler sur toi, faire jaillir mon jus et le compléter avec ma pisse. »
Debout, les jambes écartées au-dessus du corps d’Elodie, Suzie agite frénétiquement ses doigts sur et dans sa chatte. Le clapotis provoqué par la mouille abondante est du plus bel effet d’excitation. Un puissant jet jaillit que Suzie dirige partout sur le corps de sa partenaire. Elle se couche ensuite sur Elodie et s’ensuit un ballet de frottements des deux corps. - « Donne-moi tes seins salope de voisine, regarde tes tétons ils sont droits comme des petites bites. »- « Oui, vas-y, ils sont à toi, ils aiment être sucés, aspire, mordille, je n’arrête pas de mouiller. Attention, je sens l’orgasme monter. Ça y est, je pars, c’est merveilleux, tu m’envoûtes. »- « A toi de me faire jouir, prends mon cul et fiste-moi, tu dois pouvoir entrer ta main entière »
Effectivement, sans ménagement, la main de Suzie pénètre entière dans les entrailles de sa partenaire.
- « Oh oui, c’est bon, bouge tes doigts, je me caresse le clito en même temps. Ça y est, je pars, c’est sublime, qu’est-ce que tu es bonne ! »
Exténuées, nos deux gouines s’étendent côte à côte pour un repos bien mérité.
- « Ma belle Suzie, je crois que nous expérimenterons la machine une autre fois, j’avais trop envie de toi seule. »- « D’accord tendre voisine, à l’occasion »
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