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Ma mère Suzie

Chapitre 6

La directrice et l'étudiante

Lesbienne
Note de l’auteur : la première partie de l’histoire est inspirée d’une vidéo trouvée sur un site de sexe.

Décidément, Suzie Leroy donne libre cours à ses pulsions sexuelles et à son envie d’exhibition. Tout a débuté par la découverte d’un rapport incestueux avec son fils Loïc, son entrée dans le lesbianisme avec sa voisine Elodie puis la jeune Eliane une de ses étudiantes, l’expérience d’un gang bang avec des copains de Loïc, son envie de se faire baiser une deuxième fois par Remy l’étudiant black qui l’avait impressionnée par la vue de son énorme phallus.
Aujourd’hui, Suzie est en salle des profs quand la directrice RH de son secteur d’activité, madame Legrand – Claire Legrand – lui indique qu’elle souhaite la voir un instant après 17h pour quelques renseignements.
17h ; Suzie frappe à la porte de Mme Legrand. La directrice, une fort jolie femme attirante d’environ 50 ans est assise derrière son bureau.
- Approchez Suzie. Je vous ai fait venir non pour parler de la qualité de votre travail, mais pour discuter à propos de bruits qui se répandent dans les rangs de la section où vous enseignez.
Mme Legrand se lève de son bureau, remet en place sa minijupe qui s’était relevée plus haut qu’à mi-cuisses du fait de sa position assise et se place très près face à Suzie.
- Madame Leroy, je sais que vous donnez des cours particuliers à certains de vos étudiants et cela fait jaser auprès de quelques-uns.- Je ne vois pas de quoi vous voulez parler madame, mais ce sont certainement des ragots. Non, j’ai surpris une conversation détaillée entre trois garçons qui se vantaient d’avoir eu vos faveurs et qui vous soupçonnaient également de vous intéresser à Eliane, une de leurs copines de cours. Il est vrai que vous avez toujours des tenues très sexy qui doivent faire de l’effet sur tous ces jeunes. Qu’en dites-vous ?- Je vous assure que ce sont des ragots, voire des fantasmes d’étudiants. J’essaie toujours d’être élégante dans votre établissement, voilà tout.- Penchez-vous sur le bureau, Suzie.- Quoi ?- Penchez-vous sur le bureau, vous dis-je.
Avec un brin de réticence mêlé de surprise, Suzie se penche sur le bureau, dévoilant une croupe on ne peut plus excitante. La directrice se place derrière et tout en caressant cette croupe qui inspire le désir, descend lentement ses mains le long des jambes de celle qui devient sa proie.Les douces caresses remontent la minijupe jusqu’à effleurer l’entrejambe.
- Tourne-toi. souffle suavement Claire Legrand à l’oreille de Suzie.

Les deux femmes sont face à face.Le corsage dilaté de Suzie a l’air d’intéresser particulièrement la directrice qui enrobe les seins de sa vis-à-vis de ses mains caresseuses. Un, puis deux puis trois boutons du corsage sont dégrafés, laissant apparaître une magnifique poitrine sous un soutien-gorge en dentelle ouvert sur les tétons. Claire, dont une main s’attarde sur l’entrejambe de sa partenaire, couvre le cou de Suzie de baisers jusqu’à atteindre les lèvres pour un baiser que cette dernière refuse en tournant la tête. Les caresses se font plus pressantes, particulièrement sur les seins dont le soutien-gorge est tombé à terre.
- Je vois que tu aimes ce je que te fais : tu fermes les yeux, tes tétons sont bandés et ta culotte commence à être mouillée.
Effectivement, la respiration de notre prof se fait de plus en plus rapide et si elle est restée passive tout en se laissant pelotée, elle prend de l’assurance et esquisse une caresse sur les jambes de sa directrice, lui remonte la jupe jusqu’au haut des bas. Claire en profite pour réitérer son baiser sur la bouche, et là, Suzie desserre les dents, sort sa langue, et commence alors un roulage de pelles presque frénétique. Les langues entrent et sortent, se lient, se délient pendant que les mains s’égarent sur les poitrines. C’est au tour du soutien-gorge de Claire de voler sur le parquet. Les poitrines se rapprochent et les seins se frottent langoureusement, tétons contre tétons.
- Dis-moi que tu aimes. Est-ce que tu as vraiment joué avec Eliane ?
Suzie se libère :
- C’est elle qui m’a provoquée en matant avec insistance mes cuisses sous le bureau. J’ai remarqué qu’elle avait porté sa main dans sa culotte sous sa jupe et probablement qu’elle se masturbait en passant ostensiblement sa langue sur ses lèvres. En déduisant qu’elle pouvait être salope malgré son âge, je lui ai proposé de venir me rejoindre dans la cabane du jardinier dans le bois du campus. Elle est vraiment très cochonne avec une imposante et attirante poitrine pour son âge, elle avait très envie de se faire jouir avec une femme mature.- J’imagine la scène. Tu es donc gouine et ça m’excite grave. J’ai envie de ton corps, que tu me bouffes la chatte. Je sens que je mouille...
Sans se faire prier, Suzie fait glisser la jupe de Claire puis son string, et les mains agrippant les fesses de sa partenaire, elle s’abaisse pour enfouir sa langue dans l’abondante toison qui s’offre à elle. La cyprine a déjà humecté, pour ne pas dire trempé, le pubis à sa portée.
- Aspire-moi le clito et lèche mon jus, je sens que je n’arrête pas de mouiller. Continue, je vais jouir. Branle-toi en même temps.
L’orgasme de la directrice est tellement puissant qu’elle émet un râle de bête en rut. Ses jambes sont prises d’un tremblement qui la fait chavirer par terre, entraînant Suzie qui en profite pour se placer à califourchon sur la bouche de Claire et frotte sa chatte jusqu’à obtenir elle aussi son orgasme.
Après un léger repos des « guerrières », c’est Claire qui rompt le silence :
- Crois-tu que nous pourrons inviter la jeune Eliane et en faire notre jouet sexuel de chair fraîche ?- Je ne sais pas, mais je vous laisse le soin de la convoquer, voire de la provoquer ; cela ne devrait pas être trop difficile car ces jeunes n’ont pas froid aux yeux.- J’ai trop envie, je dois avoir son téléphone portable sur sa fiche. Je vais essayer de la joindre.
Fébrilement, Claire cherche le numéro dans ses dossiers et lance l’appel sur son portable.Après quelques sonneries, une voix se fait entendre :
- Bonjour. Qui êtes-vous ? Je ne connais pas ce numéro.- Bonjour, c’est madame Legrand ; Claire Legrand, la directrice. Pourriez-vous passer à mon bureau si vous êtes encore sur le campus ? J’ai quelques renseignements à vous demander et des documents à vous remettre.- Oui, je suis toujours là. Je serai dans votre bureau dans un instant.
Lorsque la porte du bureau s’ouvre, la jeune Eliane essaie de cacher sa surprise de voir également sa prof dans le bureau. Elle repère aussi les dessous (strings et soutien-gorge) laissés négligemment sur une chaise.
- Mademoiselle Eliane, madame Leroy m’a raconté votre rencontre dans la cabane du jardinier. Elle semblait en être particulièrement satisfaite. Je n’ai pas envie de vous faire des reproches : vous êtes une étudiante assidue, sans problèmes. J’aimerais que vous me disiez pourquoi avoir choisi une femme qui pourrait être votre mère pour entrer dans le monde saphique.
Après avoir piqué un fard, les pommettes rosies, Eliane ne se démonte pas :
- A vrai dire, Madame la directrice, c’est madame Leroy qui m’a provoquée avec des jeux de jambes et sa minijupe troussée sous son bureau. C’est une fort jolie femme très attirante avec un corps désirable - comme vous - et je me suis laissé entraîner sans réticence. J’ai souvent fantasmé sur ma mère qui vous ressemble sans pouvoir concrétiser mon fantasme. Peut-être ai-je fait un transfert.- Tu dis que nos corps sont désirables. Je te propose de jouer avec nous, mais c’est moi qui dirige. Si tu n’es pas d’accord, je ne t’en voudrai pas et nous n’en parlerons plus. Je te le promets.- L’expérience me tente beaucoup. En voyant vos sous-vêtements sur la chaise, j’avoue que j’étais un peu excitée, d’autant que je reconnais mon soutien-gorge que j’avais laissé à madame Leroy à sa demande après l’avoir bien humecté de ma mouille.
Claire Legrand s’approche d’Eliane, et en lui caressant les cheveux lui demande à l’oreille :
- Déshabille-toi. Fais-nous un strip-tease. Montre-nous tes seins, ta chatte, ton cul.
Très docile, Eliane commence à se caresser la figure, entre et sort un doigt de sa bouche puis passe sensuellement sa langue sur ses lèvres. Ses mains descendent lentement sur son corsage qu’elle déboutonne, libérant sa poitrine ; sort un sein de son bonnet, le masturbe en jouant avec le téton. Le soutien-gorge dégrafé tombe à terre ; elle le ramasse et le jette à sa directrice qui l’attrape au vol et le promène sur sa figure. Les mains d’Eliane descendent le long de sa jupe qu’elle trousse jusqu’à dévoiler sa chatte velue sans culotte. La scène est tellement excitante que les deux matures ont porté leurs mains sous leur jupe et se masturbent allègrement.
- Maintenant, tu vas nous déshabiller chacune à notre tour et bouffer nos entrejambes.
Chacune a donc droit à une langue fouineuse qui pénètre les cons et une bouche qui aspire les clitos, provoquant d’importants jets de cyprine.Claire va derrière son bureau et sort d’un tiroir un gode-ceinture qu’elle enfile. Avec la grosse queue évidemment en érection permanente, elle s’approche de la jeune étudiante.
- Penche-toi en avant, écarte les jambes ; je vais te baiser en levrette. Toi, Suzie, prépare ton cul avec ta mouille.
Eliane semble particulièrement apprécier la pénétration ; elle accompagne les mouvements en ne cessant de dire « C’est bon, oui encore, je veux jouir » L’orgasme monte et éclate dans un râle bestial. Le gode tout gluant de cyprine sort de la chatte et Claire le présente à l’entrée de l’œillet de Suzie.
- Allez-y doucement au début, Claire, mais j’ai tellement envie que je veux me faire ramoner à fond.
Comme Éliane il y a un instant, Suzie accompagne les allées et venues de la pénétration.
- Oui, bouge, bouge, Eliane, viens lui bouffer la chatte en même temps.
C’est un déluge de cyprine qui accompagne l’action des deux femmes, mature et jeune, jusqu’à un puissant orgasme que Suzie accompagne de cris de jouissance.La séance terminée, la directrice demande à ses partenaires de vite se rhabiller car il est l’heure du passage de la femme de ménage dans les bureaux.
- J’espère que vous vous souviendrez de cette fin d’après-midi, mes chéries, mais toutes les bonnes choses ont une fin. Demain sera un nouveau jour de travail ou d’étude pour toi, Eliane.
Juste après cet au-revoir, la femme de ménage, une belle femme plantureuse vêtue d’une blouse bleue à peine fermée qui laisse deviner une poitrine imposante entre dans le bureau. Suzie ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil à sa directrice en passant sa langue sur ses lèvres. Claire ne répond pas et souhaite une bonne soirée à ses deux visiteuses.
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