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ma mere toute à moi

Chapitre 8

Inceste
Nous avons tous les deux sursauté, électrifiés par ce coup de sonnette intempestif. Je suis maudit !!!
Nos bouches, si proches l’une de l’autre, se sont éloignées.Après quelques secondes, le temps de reprendre nos esprits, nous retombons dans la réalité, le temps pour cette satanée sonnette de retinter.
Je me lève, avec la ferme intention de virer ces emmerdeurs inopportuns. Je vais ouvrir, et tombe nez à nez avec mes grands-parents paternels. Qu’est ce qu’ils foutent là à cette heure !!!
Ils habitent à deux cent bornes de la maison et n’ont pas pour habitude d’arriver sans prévenir.
— Ah Julien !!! Bonjour mon petit, tu dois être surpris de nous voir, papy et moi, mais nous avons décidé en début d’après midi de passer la journée auprès de ton père demain. Nous passions juste vous saluer avant de chercher un hôtel où passer la nuit. Ta mère n’est pas là ?
S’exclame ma grand-mère, me prenant dans ses bras et m’embrassant bruyamment sur les deux joues.
— Si si.
Dis-je en m’effaçant pour les laisser entrer, fataliste.Ils entrent, rejoignant, le salon, et maman, qui n’a toujours pas bougé du canapé, les jambes encore coupées par l’émotion.
— Ah Christelle !!! Bonsoir ma chère, et bien, je vois que l’on ne s’ennuie pas ici !!
Dit-elle en voyant les verres posés sur la table.
— Vous avez raison ma foi !!
Reprend-elle sans laisser à personne, le soin d’en placer une

— il ne faut pas se laisser abattre par ce drame, et puis Michel va bien vite reprendre du poil de la bête, c’est un battant mon fils, hein Jean ???
Mon grand-père grommelle ce qui doit être un oui, mais il est intéressé par autre chose que la logorrhée verbale de sa femme. Il s’est rendu compte de la tenue de maman, de ses seins qui bougent librement sous le léger polo, des pointes qui transpercent le tissu, ainsi que de ses jambes bien exhibées par la jupe courte.
Ma mère se lève enfin, et les accueille.
— Janine ! Jean! Quelle bonne surprise !!! (c’est ça oui. !!!) vous auriez dû me prévenir, (.Comme ça je n’aurais pas prévu de me faire sauter par mon fils justement ce soir.), je serais allé vous chercher à la gare, (.Et je ne porterais pas cette tenue sexy d’ado exhibitionniste.).
— On ne voulait pas te déranger en ce moment
Répond mon grand-père, qui a enfin levé ses yeux de ses seins
— On ne va pas s’attarder, il faut qu’on trouve un hôtel.
— Vous plaisantez !!! (.nooonn.. !!?..) vous restez dormir ici ( .eh merde !!!...Je le savais qu’elle allait dire ça.) je vais vous préparer la chambre d’amis.
Et les voilà toutes les deux montant à l’étage, me laissant en tête à tête avec grand-père.
C’est un bel homme, très grand et costaud, bien conservé, malgré son embonpoint, toujours bien mis . Le contraire de grand-mère qui elle fait vraiment mémère à côté de lui.
— J’espère que l’on ne vous à pas dérangés en venant sans prévenir ?
Me demande t-il avec un air narquois.
— euh non. tu sais, en ce moment, ce n’est pas vraiment gai à la maison, alors les visites ça nous change les idées .Essayais-je de mentir le mieux possible
— On peut se changer les idées de pleins d’autres façons qu’en recevant des visites de la famille.
Dit-il en me faisant un clin d’oil..
— .Tu as bien grandi ces derniers mois, dis-moi, tu es un homme maintenant.
— C’est le rugby.Dis-je, content de changer le sujet de cette conversation qui commençait à me mettre mal à l’aise
Nous bavardions de chose et d’autres, le temps que les femmes aient terminé. Puis elles nous rejoignirent, pour continuer cette soirée. Après le diner, tout le monde semblant être fatigué, nous décidâmes d’aller nous coucher.
Foutue soirée. C’était loin d’être celle dont j’avais rêvé.
Enfin bon, ils ne s’installaient pas non plus à la maison. Une nuit, c’est rien, quand on en a des dizaines d’autres à vivre.Surtout que les regards discrets, que nous avions échangés maman et moi, durant le repas m’avaient laissé espérer que ce contretemps ne changerai rien à notre future relation.
Tout le monde alla rejoindre sa chambre respective.
J’allais me coucher un peu plus serein, en me disant que, d’attendre un peu, rendrait encore meilleure notre première fois ensemble.
J’étais baigné d’optimisme, allongé dans mon lit quand je me rendis compte que j’avais oublié de me brosser les dents. Je me relevais sans faire de bruit, pour filer dans la salle de bains. Elle était encore allumée. Ma mère devait finir de se préparer pour la nuit. Tant mieux, je pourrais profiter de ces quelques minutes, seul avec elle pour la serrer dans mes bras.
Je m’approchais joyeux, et entrouvris la porte. pour tomber nez à nez avec maman. et grand-père !!! A ma vue celui-ci s’écarta vivement de maman, mais j’avais vu.
J’avais vu. la main de grand- père enfoncée sous la chemise de nuit de maman, posée sur ses fesses, ou plutôt.entre ses fesses.dans sa raie.
-.j’ai oublié de me laver les dents.
— Comme moi !! Dit grand-père. C’est pour ça que je suis revenu .Bon allez au dodo bonne nuit tous les deux !!
Maman ne disait rien, le visage rouge. Ils partir bien vite dans leur chambre respective, me laissant dans un monde de perplexité et d’interrogations.
Je n’avais pas rêvé, l’image était bien incrustée dans ma mémoire. Mais quels étaient leurs rapports? Etait-ce la première fois ? Etaient-ils intimes ? Grand-père avait-il profité de la situation après avoir compris ce que nous projetions maman et moi ? Au contraire, la sautait-il depuis des années ?
Toutes ces questions naviguaient dans ma tête, les images repassant en boucle.Ma nuit allait bel et bien être pourrie !!

Comme prévu, mon sommeil fût agité, entrecoupé de réveils nombreux, de rêves, bien sur, ou je voyais ma mère et mon grand-père en pleine copulation. Enfin bref, je me levais le lendemain avec encore plus de question que la veille, mais avec en plus un bon mal de crâne.
Il fallait que j’éclaircisse vite la situation avec maman, qu’elle me donne une explication à ce que j’avais vu dans la salle de bain.
Malheureusement, il fût impossible de se retrouver seuls ce matin, mes grands-parents étant toujours plus où moins dans les parages, et je partais à la fac sans avoir pu lui parler. Seuls nos regards s’étaient croisés à de nombreuses reprises, et à chaque fois, j’avais lu dans ses yeux une gêne certaine.
Grand-père aussi n’était pas fier.
La seule qui ne se rendit compte de rien fût grand-mère qui imperturbable parlait, sans jamais s’interrompre. A croire qu’elle n’avait pas besoin de respirer.
Enfin ce soir nous serions de nouveau tous les deux et j’en saurais plus.
La journée à la fac semblait ne jamais vouloir finir, mais finalement le prof finit par nous libérer vers 16h.Je ne trainais pas, et rentrais directement à la maison attendre son retour.
Je lui sautais dessus dès son arrivée l’interpelant durement
— Qu’est ce que tu faisais avec grand-père hier !!! J’ai bien vu qu’il te touchait le cul !!! T’es une vraie salope !!!
C’était sorti comme ça, aussi brutalement, aussi méchamment, alors que je ne voulais pas être aussi dur.
Devant l’agression, elle blêmit, puis balbutiant, essaya de trouver ses mots, puis comme ils ne venaient et voyant mon regard, elle fondit en larme.
— .J’ai rien fait !!!... c’est lui qui est venu me retrouver ... qui m’a dit qu’il avait compris ce que nous faisions quand ils sont arrivés . et qu’il voulait lui aussi profiter de moi. Avant que j’ai pu répondre quoi que ce soit.il m’avait mit la main aux fesses . et puis tu es arrivé !!!...Me racontât-elle entre deux gros sanglots.
Honteux de mon comportement, et craquant complètement devant sa fragilité, je la pris dans mes bras, comme une petite fille.
— Ca va aller maman, excuse-moi, je ne voulais pas m’emporter, mais j’ai vu rouge quand je t’ai vu avec lui.
— Mais comment on va faire avec lui ? Il a compris ce qui se passe.
— Ne t’en fais pas maman chérie, je vais régler ça avec lui. De toute façon son attitude à lui n’est pas claire non plus. Nous avons tous des choses à nous reprocher et je pense que nous arriverons à trouver un terrain d’entente.
A mes paroles apaisantes, mais pleines de sous entendus, elle a légèrement rougie, comprenant que le terrain d’entente sera sans doute le sacrifice de sa petite personne.
Elle a arrêté de pleurer. Puis après quelques secondes de réflexion, elle me donne son consentement, se pelotonnant dans mes bras. Mes mains caressent doucement ses épaules, descendant dans son dos en larges mouvements. Puis je m’écarte et l’observe des pieds à la tête.
— Tu es drôlement belle habillée comme ça dis moi.Mais j’aimerais bien que tu t’habilles comme tu l’étais hier, tu veux bien ?
— Oh oui mon chéri !! Ta maman va s’habiller comme hier si tu le désires, je ferais tout comme tu le veux.
A ses mots, mon cour bondit dans ma poitrine, et quelque chose d’autre remue dans mon pantalon. Elle m’excite grave maintenant. Toute cette attente, toutes ces émotions n’ont fait que démultiplier mon envie d’elle.
Je prends son visage entre mes mains, et l’ambiance d’hier soir revient, comme par magie. J’observe de près sa bouche dont les lèvres roses sont entrouvertes. Abandonnée maman ferme les yeux, me laissant toute l’initiative. Mes doigts touchent sa bouche, joue avec elles, entrent légèrement la forçant à s’ouvrir un peu, puis touche sa langue. Elle lèche mes doigts servilement comme une petite bite.
Apres quelques secondes, je retire mes doigts, et approche mon visage du sien. Nos lèvres se touchent, une fois. puis une autre. et encore une autre.Nos bouches s’entrouvrent. se soudent plus fortement, ma langue part à la rencontre de la sienne, sa bouche est fraiche, délicieuse. Nos langues se touchent, juste un peu, puis se séparent, jouant un ballet passionné.
Elles s’enroulent maintenant l’une contre l’autre sans plus aucune hésitation, mélangeant nos salives. Ma langue prend possession de sa bouche, en explorant les différents recoins, essayant d’aller le plus loin possible, lui faisant subir un baiser « plus que profond » auquel elle essaye de répondre comme elle peut.
Je suis enivré par ce baiser tant attendu, tant espéré. Nos bouches se séparent, nous sommes essoufflés, tous les deux dans le même état de déstabilisation. Puis elles se retrouvent, très vite, pour un nouveau manège à deux.
Mes mains partent à sa découverte, déboutonnent les deux boutons de son tailleur, écartant le tissu, puis plongeant vers sa poitrine, que je palpe enfin.
Elle sursaute quand mes mains la touchent enfin, sa bouche se serre encore plus conte la mienne. Sa langue s’active. Elle gémit
— Huummm.
Je ne sais plus le temps qui passe, je ne sais plus le temps qu’il fait.Je ressens une émotion encore inconnue, mêlant à la fois une excitation titanesque, et un sentiment amoureux au moins aussi gigantesque.
Mes mains sont maintenant sous son soutien-gorge, et palpent sans ménagement ses rotondités élastiques, excitant au passage ses tétons qui sont devenus durs comme du bois.
Ayant perdu toute notion du temps, je ne saurais dire le temps que nous avons passé à flirter. Mais finalement, nous nous écartons l’un de l’autre. On se regarde, puis, sans un mot, nous donnant la main, nous prenons ensemble le chemin de l’escalier, vers sa chambre.
( à suivre.)
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