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La mère de ma voisine

Chapitre 1

Erotique
Je suis étudiant en chimie. Alors que je rentrais de cours, arrivé dans le hall de ma résidence, je rencontrais Mélanie accompagnée de sa mère. Elle montaient péniblement un carton volumineux dans son appartement au 1er étage sans ascenseur."- Attendez, je vais le prendre".Elle posèrent le colis sur une marche. Il s’agissait d’un four à rôtir. On monta tous les 3 à notre étage. Mélanie ouvrit sa porte. On entra, je posai le carton sur le sol."- Merci Bastien.— Il n’y a pas de quoi.— Je te présente ma mère."Cette dernière me tendit la main. J’étais subjugué mais ne laissa rien paraître. Sa mère devait avoir entre 40 et 45 ans, blonde élancée, elle avait un air de ressemblance avec Brigitte Lahaie, c’est dire si elle était belle. Je sortis de chez Mélanie, refusant le café qu’elle m’offrait et gagnais le mien. En début de soirée, alors que je m’efforçais d’étudier, on sonna à ma porte. J’ouvris et à ma grande surprise, la maman de Mélanie se tenait dans l’encadrement."- Bonsoir, je ne te dérange pas ?— Non, non.— Mélanie m’a dit que vous étiez dans le même TD. Je voulais te demander si tu voulais bien l’aider. Elle a quelques difficultés et elle m’a dit que tu t’en sortais bien.— Oui bien sûr. Vous voulez entrer ? Je vous offre un café."Contrairement à moi plus tôt, elle accepta. Je la fis asseoir sur la banquette qui me servait de canapé. Elle ôta son imperméable, laissant apparaître ses longues jambes galbées dans un collant de couleur noire. Je lui servis un café et on discuta des études, de sa fille et un peu de tout. C’est ainsi que j’appris qu’elle s’appelait Martine, qu’elle était divorcée, que Mélanie était sa seule fille et qu’elle mettait tout en oeuvre pour qu’elle réussisse ses études qu’elle n’avait pas pu faire du temps où elle était plus jeune. Après un peu moins d’une heure, Martine me demanda si elle pouvait utiliser les toilettes. Je lui indiquais la salle de bain, en précisant que le verrou de la porte ne fermait pas. Martine me remercia et se leva. Je matais son cul au travers de sa jupe. "C’est vraiment une belle femme" pensais-je. Soudain, un déclic se produisit en moi. A mon tour, je me dirigeai vers la salle de bain. Arrivé devant la porte, je pris une grande respiration, puis j’abaissai la poignée de la porte et la tirai vers moi. Martine apparut face à moi, assise, se soulageant. Elle fut plus que surprise en me voyant entrer, et laissa échapper un "mais...", mais j’étais déjà près d’elle, le caleçon et le pantalon sur les chevilles, ma queue raidie d’excitation à proximité de son visage."- Suce-moi !" Dis-je d’un air sûr et autoritaire. Elle ne se le fit pas redire et commença à s’exécuter. Je fermais les yeux et savourais cet instant. Sa main droite tenait délicatement ma verge et je sentais sa bouche aller et venir le long de ma tige. Le seul bruit qui perturbait ce moment était celui que faisait son urine qui tombait dans l’eau de la cuvette des wc. Je rouvris les yeux et la regardais. Nos regards se croisèrent. Elle fit alors jouer sa langue sur mon gland puis interrompit la fellation :"- On s’arrête là ou tu veux aller plus loin ?— Je veux te baiser dans mon lit. Je t’attends dans ma chambre.— D’accord, laisse-moi quelque minutes pour me nettoyer. Tu ne vas pas lécher une chatte qui sens l’urine."Arrivé dans ma chambre, je jetais mes fringues en vrac au sol et m’allongea, nu sur le lit. J’entendais l’eau de la douche couler dans la salle de bain. 5 minutes après, Martine entra dans la pièce, complètement nue. Elle ferma la porte derrière elle. Elle avait un corps superbe, ses seins étaient volumineux et ronds. A peine fut-elle sur le lit que je m’attelais à les peloter tout en l’embrassant à pleine bouche. Très vite, je la fis se coucher sur le dos pour m’occuper de sa chatte. Ma langue rencontra son bouton et le titilla doucement. Je levais les yeux vers Martine. Maintenant, c’est elle qui savourait l’instant. Elle se mordait la lèvre inférieure, les paupières baissées. J’introduisis mon index et mon majeur dans son vagin humide et la branla tout en lui suçant son petit bout de chair. Ensuite je descendis ma langue sur ses lèvres bordées de poils clairs. Je la fis glisser sur toute la fente. Martine gémit de plaisir. Je posai ma bouche sur son vagin et la lécha quelques minutes sans m’arrêter. Ma partenaire se raidit de tout son long. Je sentis son pied droit glisser délicatement sur le haut de mon dos, alors que je me délectais de sa cyprine."- Prends-moi !"A ces mots, je cessai mon cunnilingus, me redressai pour attraper une capote dans le tiroir de la table de nuit et l’embrassai. Elle me prit le préservatif des doigts et l’ouvrit. J’étais debout devant le lit et lui présentais mon sexe. Elle déroula le latex pour "m’habiller" et se coucha sur le dos, jambes écartées. Je me positionnais sur elle. Sa main guida mon sexe vers le sien et je n’eus qu’à me laisser aller pour m’enfoncer en elle. Je commençai à bouger doucement tout en l’embrassant dans le creux du cou. Les mains de Martine tenaient mes fesses et appuyaient dessus comme pour que je la défonce totalement. Elle dit :"- Me fais pas l’amour, baise-moi".Elle se mit à 4 pattes, m’offrant sa croûpe. Je la pénétrais plus rudement cette fois-ci, mes mains tenaient ses hanches, les siennes serraient le couvre-lit et très vite, elle se mit à crier dans la pièce, poussant des "han" à chaque coup de boutoir. J’étais de plus en plus excité par cette situation et pensais furtivement à Mélanie 3 appartements plus loin, pensant que sa mère était rentrée chez elle et loin d’imaginer qu’elle pouvait être chez son collègue de TD à se faire tringler par ce dernier. Le lit grinçait en cadence avec les cris de Martine. Je me retirai, m’allongeai sur le dos et Martine vint s’asseoir sur moi. On bougeait en même temps, mes mains glissaient sur tout son corps. Elle se pencha pour m’embrasser et se redressa. Je la fis rebasculer en avant et introuisis mon index dans son anus. Surprise, mais pas mécontente elle dit :"- T’es un coquin toi. Tu veux m’enculer ?— Oui".Je changeai de capote. Elle se remit à 4 pattes et moi derrière elle. Je m’enfonçai dans son trou du cul et commençais mes va-et-vient. Martine plongea la tête dans l’oreiller pour étouffer ses cris. Je baisais son cul comme un déchaîné. Je sentis ma jouissance arriver et sortis de son emprise. J’enlevai le préservatif. Martine me branla énergiquement et me fit jouir, orientant le canon vers sa poitrine. Une grosse giclée blanchâtre jaillit, et arrosa ses seins, le surplus glissant le long du poignet de ma maîtresse.On resta silencieux, à s’essuyer avec des mouchoirs en papier. Elle se leva et fila dans la salle de bain. Elle prit une douche. Quelques minutes après, elle revint dans la chambre, habillée.On s’embrassa et je la raccompagnai à la porte. Avant de sortir, Martine me donna son numéro de portable :"- La prochaine fois, on ira chez moi ou dans un endroit insolite et discret. Je n’ai pas envie que Mélanie soit au courant.— Pas de problème". Répondis-je.
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