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Ma merveilleuse famille

Chapitre 2

Chapitre 2 : Mon Cousin

Inceste
La main droite d’Adrien plaquée sur la bouche, l’autre sur le cou, je me sens si faible. Écartelée entre cette envie d’assouvir mon plaisir, et cette peur des représailles. Après tout, l’inceste est un sujet tabou. Presque malsain. Je me sens coupable de ressentir autant de plaisir face à un membre de ma famille. Surtout avec qui j’ai grandis. Accepter cette situation n’allait-elle pas détruire notre cadre familial qui me plaît tant ? Pourquoi ai-je autant envie de lui, là, maintenant, de suite ? Pourquoi mon excitation emprisonne t-elle le bas ventre au point où je sens maintenant ma mouille dégouliner en abondance le long de ma peau ?
Un profond plaisir envahit mon ventre. Adrien a décidé pour moi. Sa main s’agite entre mes cuisses. Je sens sa peau, si douce contre mon clito puis dans mon vagin. Ses doigts titillent mon intimité avec une extrême douceur mais une certaine bestialité. Je m’offre a lui, écarte mes jambes, m’enfonce sur ses doigts. Rien à foutre de la bienséance, rien à foutre des représailles, rien à foutre de la famille. Je veux juste le sentir en moi, profondément. Et maintenant. Ses mouvements s’amplifient, je sens que je monte. Je sens que je vais jouir. Mais je ne veux pas m’en arrêter là.Je m’arrache à ses doigts et agrippe de mes mains tremblantes de plaisir son bas de pyjama que je m’empresse de faire tomber à ses genoux.Son pénis est dressé, là, devant moi. Sa taille était impressionnante. Son gland luit de plaisir également. J’aimerai la prendre en bouche, lui montrer a quel point je peux moi aussi lui faire du bien.
Mes cheveux sont violemment tirés vers le sol. Je me cogne contre un meuble et tombe sur le parquet, à quatre pattes. Je suis sonnée. Ma tête est tirée en arrière. Le luminaire m’aveugle. Je ne sais plus où je suis. Je vois flou, mon crâne me brûle. Venait-il de me jeter par terre ? Mais pourquoi ?Ses mains s’agrippent à mes seins. Triturant avec force mes tétons. J’ai l’impression que mes seins vont exploser tant ils sont sollicités. Il pince, tire, et tourne mes mamelons. Je sens son corps nu dans mon dos. J’imagine son sexe gigantesque s’enfoncer en moi. La brûlure de mon bas ventre s’accentue. J’aime cette violence. Cette bestialité. Cette douleur pourtant si agréable. Je pousse mes fesses contre lui. A la recherche de son membre veineux comme je les aimes tant. Il le presse enfin contre ma croupe tendue a souhait. Je le sens à travers mon jogging. Si dur, Si gros. Mon vagin dégouline de plaisir et trempe le tissus de mon vêtement. Je suis persuadée qu’ainsi pressé contre moi, son pénis trempe dans la mouille lui aussi. J’ai envie de le sentir au plus profond de moi. L’accueillir entre mes reins.Ses mains quittent mes seins meurtris afin de retirer mon jogging.
— Tu es trempée Hannah. Tu n’imagines pas à quel point tu m’excites.
Adrien plaque sa main sur mon dos et me force à rester au sol, à quatre pattes. Le front cloué au sol, je ne peux voir ce qu’il prépare.Soudain, une sensation étrange m’envahit. Je sens un souffle frais sur mon clitoris. Je n’ai jamais été léchée et je mouille comme une femme fontaine. Il ne pouvait pas le faire maintenant. Et si elle avait un goût ignoble ? L’angoisse monte. La honte aussi. Je me sens oppressée. J’essaie de me dégager de la pression exercée par Adrien. Mais il est fort. Beaucoup trop fort pour moi. Il continue de me clouer au sol.
— Ne bouge plus. Tu dois m’obéir si tu veux prendre du plaisir Hannah.
Ma petite voix interne hurle. Tu dois m’obéir ? Pardon ? Mais pour qui se prend t-il celui la ?
Avant que je ne puisse répondre, sa langue s’enfonce dans mon intimité sans crier gare. Mon angoisse disparaît aussi vite qu’elle est venue. Mon dieu que c’était bon. Des décharges électriques de plaisir traversent mon corps qui ondule contre sa bouche. Oubliant toute gêne. Il s’active autour de mon clitoris. Je mouille comme une véritable chienne mourant d’envie de se faire prendre. Le plaisir monte, encore et encore. Je n’avais jamais ressenti autant d’excitation. Putain que j’aime ça. Toujours a quatre pattes sur le parquet, Adrien ravage de sa langue magique ma chatte toujours plus dégoulinante de mouille. Je me sens salope, là, couchée en levrette sur le sol. J’étais sa salope. Son jouet. Mais je me sens aussi terriblement excitante. J’aime la soumission à mon cousin. J’aime être sa chose. J’aime qu’il me domine et me force à subir l’assaut de son désir. J’aime sa langue ravageuse. J’aime ses doigts détruisant l’intérieur de mon corps. Une vague d’excitation monte. Mon corps tressaille, se tords, ça y est, je vais venir. Je convulse et jouis dans la bouche de mon cousin.
Mon corps s’écroule sur le sol. Mes bras ne peuvent plus me soutenir. Mes jambes non plus. Je suis épuisée, essoufflée. J’ai chaud, vraiment chaud. Et je suis exténuée. Je m’en veux d’avoir jouis aussi fort, aussi longtemps sans avoir pu le rassasier lui aussi. Mais après tout, il l’a bien cherché, pourquoi avoir autant insisté ? Pourquoi m’a t-il jetée au sol alors que j’allais le sucer ? Fébrile, je me retourne lentement et lance un regard plein de questions à Adrien. Le luminaire m’aveugle toujours autant. Les yeux plissés, j’essaye de le distinguer. A contre-jour, le sourire aux lèvres, il me regarde. Il a un objet dans les mains.Un flash puissant m’aveugle, me poussant à fermer les yeux.  *Clic*
Que...Quoi ? Une photo ?

— Maintenant, tu es à moi Hannah.
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