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Mes amies d’enfance

Chapitre 4

Avec plusieurs femmes
Chapitre 4 : Complications
   C’est désormais officiel, je me tape les trois sœurs Mallory en même temps, sauf qu’évidemment, aucune d’entre elles n’est au courant pour les autres. Les gens normaux me traiteraient de connard s’ils savaient, ils penseraient que je ne suis qu’un sale profiteur qui ne peut pas s’empêcher de fourrer sa queue partout ; ce n’est pas tout à fait faux, mais les choses sont bien plus compliqués que ça. Je suis peut-être un pervers dégueulasse, mais je ne suis pas un enfoiré sans cœur. Ces filles, ce ne sont pas n’importe quelles filles, ce sont mes amies d’enfance. Je les aime toutes, je les aime sincèrement. Elles sont géniales et incroyablement belles. Je suis vraiment dans la merde, je sais très bien que je fais une énorme connerie. À jouer à ce petit jeu, je risque de les perdre toutes stupidement ; je ne m’en remettrais pas.
  Si j’étais quelqu’un de sage, j’en larguerais deux pour m’en contenter d’une ; mais comment voulez-vous que je choisisse ?!! J’ai été amoureux secrètement de Kamille, la petite rousse, pendant une bonne partie de mon adolescence, le choix pourrait donc paraitre évident, mais à force de coucher avec Elena, sa grande sœur, j’ai développé des sentiments. Ça me tue de ne pas savoir ce qu’elle veut vraiment, si ça se peut, elle cherche juste à s’amuser et je m’attache à elle pour rien, mais pour moi, c’est bien plus qu’une histoire de cul.
   À côté de ça, il y Emilie. Aaah, Emilie… C’est fou ce qu’elle a changé en quatre ans. C’était qu’une gamine, et maintenant, c’est une véritable bombe. Je regrette de ne pas l’avoir remarqué plus tôt, de ne l’avoir vue que comme une sœur plutôt que comme une femme. Aujourd’hui que j’ai ouvert les yeux, je ne peux plus l’ignorer. Je la veux, elle me rend dingue.
  Ne me regardez pas comme ça, c’est facile de juger lorsqu’on n’est pas directement impliqué, mais sérieux, qui aurait réagi différemment ? Elles m’ont toutes avoué ouvertement qu’elles voulaient coucher avec moi, comment aurais-je pu résister ? J’ai l’air de me chercher des excuses ? C’est sans doute vrai. En vérité, je suis terrifié. Je vis peut-être un véritable rêve en ce moment, mais j’ai peur que le réveil fasse très mal. C’est simple, je n’arrive pas à en dormir de la nuit. Qu’est-ce que j’ai fait ? Est-ce que ça en valait la peine ?
  Il est trois heures du mat, je me lève. J’ai besoin de me vider la tête et de me rafraichir les idées. Je me change et me dirige vers la piscine pour un bain de nuit. Quelle n’est pas ma surprise en constatant qu’Emilie est là aussi.
—    Je ne trouvais pas le sommeil, se justifie-t-elle gênée.—    Moi non plus. —      Je la rejoins dans l’eau et nous discutons un peu tous les deux. Les choses en amenant une autre… elle m’embrasse et me fait savoir qu’elle a envie de moi. J’ai envie d’elle… Je ne devrais sans doute pas, mais je ne parviens juste pas à dire non. Elle se penche contre un des rebords dans la piscine pour s’offrir à moi. Je lui baisse la culotte de son maillot et la fourre sur le champ. Mes va-et-vient provoquent des vagues. Ses seins sont tellement gros et lourds qu’ils pendent contre le dallage. Je ne suis peut-être qu’un enfoiré, mais sa chatte est juste trop bonne ; et puis, je l’aime tellement.
—    Emilie, fais-je en soupirant.—    Clay… me murmure-t-elle.
 Ce n’est que la deuxième fois que nous baisons, pour elle, c’est sa deuxième fois tout court, je ne m’attendais pas à ce qu’elle réclame comme ça un coup de bite, elle qui est si innocente. C’est beau de la voir assumer ses désirs, et encore plus de savoir que c’est moi qui la met dans cet état.
—    Clay ?—    Oui, ma chérie ?—    Tu… tu veux bien m’enculer s’il te plait ?

  Oh putain, la petite salope...
  Je sors ma queue de son vagin pour lui bourrer le fion. Je ne pensais pas que je tomberais un jour sur une fille qui me le demande spontanément. Son cul est tellement divin que je pourrais définitivement me passer de sa chatte. Je lui attrape les nibards et les presses tellement ils m’excitent. Je me courbe sur elle pour la prendre comme un animal. Elle tourne le visage vers moi pour m’embrasser, son regard dégage tellement de passion.
  J’augmente la cadence. Nous ne faisons plus l’amour, nous copulons. Si je suis le dernier des salauds, elle, c’est une chienne qui ne demande qu’à se faire saillir. Nous nous laissons aller au plaisir et à nos instincts. Lorsque je la sens jouir, je ne peux plus me retenir et vient avec elle. Je grogne en déchargeant mon sperme au fond de son petit trou. Après cela, nous nous enlaçons l’un contre l’autre heureux et repus, puis elle me quitte une dizaine de minutes plus tard, le cul débordant de foutre. Je ne me sens pas mieux en la suivant pour retrouver ma chambre.
   Les jours suivants, malgré mon mal-être, je ne peux pourtant pas m’empêcher de baiser dans tous les coins. Devoir gérer Kamille et Elena en même temps, c’était déjà épuisant, mais là, c’est devenu carrément un sport olympique. Elles me chauffent et me font des signes dès qu’elles en ont l’occasion pour me faire savoir qu’elles ont envie de moi. Les seuls moments où je ne bande pas, c’est quand ma queue vient de tirer son coup. Elles cherchent toutes des excuses pour essayer de se retrouver seule en tête à tête en ma compagnie, c’est limite si elles ne s’engueulent pas parfois. Je prends un pied d’enfer, elles sont toutes une façon différente de faire l’amour. Emilie est du genre soumise, je prends alors un malin plaisir à lui faire prendre des initiatives. Depuis que j’ai pu lui faire avaler du sperme en éjaculant dans sa bouche, elle le fait souvent toute seule. Elena est une véritable femme libérée, sans complexe, sans gêne, irradiante d’érotisme. Quant à Kamille… elle apprend à assumer ses instincts et n’a pas peur d’être crue et bestiale : « Pilonne-moi avec ta queue ! Salaud ! » « Je vais te sucer à t’en vider les couilles. » « Baise-moi plus fort putain ! Je ne suis pas faite en carton ! »
  Je ne me l’étais jamais imaginée comme ça. Grincheuse comme elle est, je pensais plutôt qu’elle serait dû genre à ne jamais avouer son plaisir devant un mec et à toujours critiquer ses performances. Du coup, j’adore la voir exprimer ses orgasmes sans retenue, je prends chacune de ses jouissances comme une victoire.
  Un matin, je me réveille par une pipe surprise d’Elena. Ce genre de choses devient de plus en plus fréquent. Parfois, c’est même moi qui me rend directement dans leurs chambres ; c’est difficile de choisir laquelle sauter dans ces cas-là. Elle me suce divinement comme elle sait si bien le faire. Je suis au paradis, elle prend si bien soin de ma queue.
—    Oooh, Elena… —    Hmm, la queue de Clay, quel régal. J’ai rêvé d’elle cette nuit, du coup, j’ai eu une envie folle de la sentir dans le vagin.   —    Crois-moi qu’elle a très envie de te défoncer là. —    Je vais l’exciter encore un peu, histoire d’être sûre.  Je ferme les yeux, me laissant aller aux sensations, quand tout à coup, j’entends quelqu’un crier : —    ELENA ?!!!
  Je panique, c’était la voix de Kamille :
—    Mais qu’est-ce que tu fous la ? s’emporte-t-elle. Qu’est-ce que vous faites tous les deux ?—    Kamille ?! Et toi ? Qu’est-ce que tu fais dans la chambre de Clay à moitié à poil à cette heure-ci ? —    Je n’arrive pas à y croire ! Comment tu peux me faire ça à moi ! Ta propre sœur ! Tu sais très bien je suis amoureuse de lui depuis des années ! —    Tu rigoles, j’espère ? Tu n’arrêtes pas de te plaindre de lui en le traitant d’idiot. Du coup, tu m’excuses, mais vu que tu n’en voulais pas, je suis passée à l’action. —    Sauf que Clay est MON petit ami ! Nous comptions annoncer notre relation à la fin des vacances !—    Quoi ?! Clay ! Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?!
  Surtout, ne jamais contrarier une femme qui a votre bite entre les mains. Je ne sais pas quoi lui dire, je suis vraiment dans la merde. C’était évident que ce genre de situation allait arriver. Honnêtement, je m’étonne que ce ne soit pas arrivé plus tôt.
—    Tu couches avec elle et moi en même temps ? C’est ça ? insiste-t-elle furieuse. —    Et avec Emilie aussi, avoué-je.
 Putain, mais quel con, je ne pouvais pas fermer ma gueule ?
—    Parce que tu t’es tapé Emilie aussi ?! s’indigne Kamille. Putain, mais elle était vierge ! —    Bah elle l’est plus, souligne l’évidence Elena. —    Tu n’es qu’un sale enfoiré de pervers ! Je vais te couper la bite, tu vas voir ! Ça t’apprendra à voler la virginité de ma petite sœur !—    Qu’est-ce que tu croyais, Clay ? Que tu pourrais coucher avec nous trois éternellement sans qu’on s’en rende compte ?—    Non ! Non ! Ce n’est pas ça ! fais-je pour essayer vainement de me défendre. —    Tu nous as pris vraiment pour des connes ? Je pensais que tu valais mieux que ça. Tu me dégoutes !—    Je suis désolé ! Mais je ne savais même pas si tu cherchais quelque chose de sérieux, moi. Depuis le début, tu t’amuses avec moi. —    C’est une blague ? C’est ÇA ton excuse ? Bordel, Clay ! Je t’aimais moi ! Ce n’était pas assez clair ? Tu me prends pour qui ? Une pute ? Tu crois que j’aurais couché avec mon ami d’enfance dans le dos de mes sœurs juste comme ça, pour « m’amuser » ? —    Mais je n’en sais rien, moi !—    Ce n’était pourtant pas compliqué, Clay, tu n’avais que l’embarras du choix. Tu n’avais qu’à en choisir une d’entre nous. Tu m’aurais dit que tu préférais Kamille, ou même Emilie, je l’aurais comprise ! Mais ça ! Sérieux ! Tu es un véritable enfoiré ! —    Je ne pouvais pas ! Je ne pouvais pas choisir ! Je vous aime toutes ! —    Tu nous aimes ? pouffe Kamille. Alors ça c’est la meilleure ! —    Je vous jure ! Je suis amoureux de vous trois ! Je ne peux pas choisir !  —    Et bien on va t’aider à faire le choix à ta place. Je peux t’assurer qu’une fois qu’on aura prévenu Emilie, tu te retrouveras tout seul !
  C’est la goutte d’eau, je n’en peux plus, j’explose :
—    Putain, mais vous êtes de sacré hypocrite quand-même toutes les deux ! —    Alors ça, c’est la meilleure ! —    Non, vraiment. Vous vous saviez avec moi, ça ne vous a pourtant pas empêcher de continuer à coucher ensemble. —    Quoi ? éclate Elena. Kamille ? Tu le lui as dit ?!—    Je n’ai rien dit, il le savait déjà.—     Qu’est-ce que ça a à faire dans cette histoire d’abord ?—    Vous couchez ensemble parce que vous vous aimez, fais-je pour m’expliquer. Cela ne vous empêche pas de coucher aussi avec moi pour les mêmes raisons. Alors Pourquoi cela vous semble si incroyable que, moi, je puisse vous aimez toutes les trois ?! Ça fonctionne pour vous, mais pas pour moi, c’est ça ?—    C’est totalement différent ! intervient Kamille. Nous ne couchons pas ensemble « parce que nous nous aimons », c’est juste une façon de… se réconforter entre filles. —    Au début, peut-être, rougit Elena, mais je t’avoue que par la suite… —    Elena ?! fait sa sœur choquée. —    Bah quoi, il n’a pas tort. Nous ne nous sommes jamais arrêtée quand j’ai eu un petit copain. —    Je pensais que… c’était juste parce que moi, j’étais toujours seule ; que tu voulais continuer à me faire sentir… bien, rougit-elle. —    Non, j’ai continué parce que j’en avais envie. Tu as beau être chiante parfois, tu es ma petite sœur, Kamille. J’ai tellement pris gout à faire l’amour avec toi que c’en est devenu un moyen d’exprimer combien je t’aime.  —    Je… j’ai ressenti ça aussi, a-t-elle du mal à avouer. Ce n’est pas comme être amoureuse d’un garçon mais… —    … c’est très fort aussi, voire même peut-être plus.—    C’est ça.—    Vous me comprenez alors ? fais-je. —    Je ne sais pas, Clay, répond Elena sérieusement. Si j’ai de l’amour assez pour deux personnes, je peux accepter que tu en aies aussi. Mais est-ce vrai ? Est-ce que tu m’aimes sincèrement ? —    Tu ne peux pas savoir…—    Alors ça va. Aime-moi, et je ne serais jamais jalouse de mes sœurs. Et toi Kamille ? Es-tu prête à nous aimer tous les deux ? —    Je… Oui, je pense que oui. —    Alors viens nous rejoindre, et faisons l’amour tous les trois.
  Kamille vient vers nous. Je n’arrive pas à y croire, elles m’ont pardonnée toutes les deux ? J’ai eu si peur, j’étais tellement certain que je les avais perdues. J’en avais rêvé, mais je n’aurais jamais cru qu’elles accepteraient que je puisse sortir avec plusieurs d’entre elles en même temps. Et pourtant… nous y sommes. Mieux encore, nous allons baiser tous ensemble. C’est la première fois que je vais coucher avec deux filles, je suis terriblement excité, c’est un véritable fantasme qui se réalise. Néanmoins, j’ai une pensée soudaine pour la petite dernière :
—    Et pour Emilie ? fais-je. Que fait-on ? Je l’aime aussi, et je n’ai plus envie de lui cacher la vérité. —    On ne peut pas le lui dire, répond Kamille. Cela la détruirait. Elle ne l’accepterait jamais.—    Je lui parlerais, déclare Elena. Elle comprendra. Ne t’en soucie pas pour le moment.
   Je suis toujours allongé dans mon lit, Elena à quatre pattes devant ma queue. Kamille s’installe à ses côtés dans la même position, puis elles se mettent à me sucer toutes les deux. Putain, c’est divin. Elles me pompent goulument chacune à leur tour. Quand l’une me prend dans sa bouche, l’autre passe sa langue sur ma verge ou joue avec mes boules. Parfois, elles me lèchent le bout du gland ensemble. Ça les fait sourire de me voir gémir comme un fou. C’est tellement splendide de voir le visage de ces deux sœurs côte à côte en train de prendre soin de ma bite. Leur complicité me fait me demander si c’est vraiment la première fois qu’elles font ça.
  Même si elles sont de la même famille, elles s’aiment, cela se lit dans leurs yeux lorsque leurs regards se croisent. C’est trop craquant lorsqu’elles s’embrassent à travers ma pine. Elles ont autant envie l’une de l’autre que de moi. Certains pourraient trouver ça scandaleux ou pervers, moi je trouve ça fantastique, c’est de l’amour pur.
  Je leur caresse les cheveux pour les encourager à continuer. Je ferme les yeux un instant pour me régaler des sensations et des bruits de succions. Je suis mort et je suis arrivé au paradis, ce n’est pas possible.
—    Je n’en peux plus, j’ai trop envie de te sentir dans ma chatte, déclare soudain Elena.—    Hey ! Pourquoi tu serais la première d’abord ? se rebelle sa sœur.—    Parce que j’étais là avant ? —    Pfff, ce n’est pas juste.
  Elena grimpe sur moi et s’insère ma bite dans le vagin. Elle me fait sensuellement l’amour en me rebondissant dessus. Je pose mes mains sur ses fesses pour l’accompagner, son regard brule de désir. Pendant ce temps, Kamille se masturbe furieusement en nous observant. Cela me fait trop bander de voir la petite rousse se donner elle-même du plaisir. Son minou dégouline de mouille, ce que j’ai hâte d’aller la défoncer.
—    Vous êtes si beaux tous les deux, commente-t-elle.
  Ma partenaire se penche vers moi pour m’embrasser. Je l’empêche de quitter mes lèvres en la collant contre moi lorsqu’elle veut se redresser. Je lui donne des coups de reins pour lui faire sentir mon envie d’elle. Elle parvient à s’échapper à mon étreinte, je me venge en me ruant sur ses seins pour lui sucer les tétons. Ils sont beaux, d’une taille moyenne, mais d’une forme parfaite ; je me régale. Elena me repousse brusquement contre le matelas en me lançant un sourire vicieux. Elle roule du bassin en gémissant. Elle est si belle, si femme, je suis amoureux.
—    C’est à mon tour ! se plaint soudain Kamille. —    Hey ! Je n’ai pas encore joui, conteste sa sœur. —    Je m’en fou. J’ai attendu trop longtemps. Je ne tiens plus !
  Elena se retire de ma bite à contrecœur, mais c’est limite si Kamille ne la bouscule par pour la dégager plus vite. Sans plus attendre, elle s’empale sur moi comme une furie. Elle se sert de ma queue comme d’un gode michet.
—    Ah ! Oui ! Oui ! Oui ! gémit-elle.
  Sa façon de baiser n’a rien à voir avec Elena, mais c’est tout aussi merveilleux. Son vagin se resserre autour de ma bite comme pour me supplier d’éjaculer, ça devient dur de se retenir. Je ne me lasse pas de l’admirer. Elle est petite et maigre, mais je trouve ça aussi excitant que les courbes généreuses d’Emilie. Elle a de tout petits nichons. Peut-être qu’on ne peut pas jouer avec comme avec ceux d’Elena, mais je les trouve tout aussi adorable, je ne peux pas m’empêcher de les regarder ; elle a les tétons qui pointent. Les traits de son visage sont tordus par le plaisir, des mèches de ses cheveux crollés lui tombent devant les yeux. Ça me rend fou de voir la femme qu’elle est devenue alors que je l’ai connue gamine. Je la veux, je suis amoureux d’elle aussi.
—    C’est trop bon, je ne peux pas me contenter de vous regarder comme ça, intervient Elena qui se branlait jusque-là.
  J’ai à peine le temps de comprendre ce qu’il se passe qu’elle m’enjambe pour me coller son minou sur la figure.
—    Allez Clay, lèche-moi la chatte.
  Je m’exécute avec plaisir. Je la fourre avec ma langue et me régale de son jus. Je la suce comme je peux. Je suis devenu l’esclave de deux filles qui se servent de moi juste pour se faire du bien ; je ne m’en plains pas. Je ne vois rien de ce qui se passe au-dessus, mais au bruit que j’entends, elles doivent être en train de s’embrasser. J’enrage de rater ça.
—    Elena… —    Kamille…—    Je t’aime…—    Moi aussi…   Nous changeons de position. Elena veut que je la prenne à quatre pattes. Je la défonce comme la petite chienne qu’elle est. Kamille se colle contre moi pour m’embrasser. Je lui rends passionnément son baiser.
—    Moi aussi, je veux que tu me prennes comme ça, me dit-elle.
  Elle s’installe dans la même position à côté de sa sœur. Je ne résiste pas, je change de trou pour la limer à son tour.
—    Baise-la bien, cette petite salope, m’encourage Elena. Regarde combien elle aime ça. —    Aaah ! Oui ! gémit l’intéressée. —    C’est comme ça que tu la baises quand tu utilises ton gode ceinture ? fais-je.—    Hmm, plus fort encore. Crois-moi, elle en redemande.
  Elle se relève et vient m’embrasser à son tour :
—    Alors, tu aimes baiser ma sœur ? me demande-t-elle.—    J’adore. —    Quelle chatte tu préfères, la mienne ou la sienne ? me demande-t-elle.—    Les deux. —    Petit joueur…
 Je pensais que je serais gêné de faire l’amour avec les deux en même temps, mais non. Je me lâche sans aucune retenue. Elles sont elles-mêmes étonnement très à l’aise avec ce que nous faisons. Elena m’abandonne et vient se placer devant sa sœur. Elle s’allonge sur le dos en écartant les jambes :
—    Allez, lèche-moi, Kamille. Montre-lui comment tu es une bonne petite pute.
 C’est déjà excitant de l’entendre parler comme ça à sa propre cadette, mais ça l’est encore plus de voir cette dernière lui obéir sans rechigner. Elle râle tout le temps, mais lorsqu’il s’agit de sexe, il n’a plus aucune limite. C’est à son tour maintenant de se faire utiliser comme un objet de plaisir, avec ma queue dans le vagin et la chatte de sa sœur en bouche.
—    Vas-y ma petite chienne, balance Elena. Montre-lui comme on fait un vrai cunni. Personne ne me broute comme toi. Ça te plait ce que tu vois, Clay ? —    Trop ! Putain !
  Je prends Kamille encore plus fort, elle semble aimer ça. On entend le claquement de mes couilles à chacun de mes assauts. La pièce est emplie de nos gémissements de plaisirs. Pauvre Emilie, si elle savait ce qui se passe dans cette chambre, elle ne s’en remettrait pas. Elle doit n’avoir aucune idée que ses sœurs sont de telles salopes. Ça m’excite de les voir se faire des choses incestueuses, c’est beau de voir deux femmes ensembles, c’est encore meilleur quand on peut participer.
—    Continue Kamille, tu vas me faire jouir !
  Kamille est tellement concentrée sur ce qu’elle fait que j’ai presque l’impression de la déranger en lui donnant mes coups de reins. Elle est collée sur la moule de sa sœur. Elle joue avec son clito en lui enfonçant des doigts en même temps.
—     Aaah ! Oui ! Continue ! fait Elena.  
  Je n’ai jamais vu un spectacle aussi bandant. Au bout de quelques minutes, Elena referme les cuisses sur le visage de sa sœur en poussant un cri. Elle est emportée par la jouissance. Elle tremble en se pinçant les lèvres.
—    Oooh, ouiiiiiiiii ! Tu es la meilleure…
  Nous échangeons nos places Elena et moi. Kamille me suce la bite tandis que sa sœur se place derrière elle.
—    C’est à moi de prendre soin de toi maintenant, déclare-t-elle.
  Elle aime prendre, mais elle aime aussi donner. Elle se met à lui lécher la chatte à son tour et à la doigter furieusement. Je suis touché par sa dévotion à lui faire du bien. Kamille est tellement en transe qu’elle en a du mal à me pomper. Elle gémit à travers ma bite tout en tortillant du cul comme pour en redemander. Je suis presque jaloux de voir qu’elle prend plus son pied qu’avec ma queue. Elle essaie vraiment de s’atteler à sa tâche, mais elle n’y arrive pas. Je suis plus excité par ce que je vois que par sa fellation. À un moment, elle pousse un cri étouffé :
—    Hmmmmmmmmmmmmmm !
 Elle est foudroyée par un orgasme. C’est magnifique à voir, mais je me sens un peu inutile. Elles ont joui sans avoir besoin de moi. Je me dis que je vais devoir me dépêcher à éjaculer puisqu’elles ont fini toutes les deux quand Elena me rassure :
—    Viens, Clay. J’ai encore envie de me faire prendre.
  Elle s’allonge sur le dos et m’invite à la rejoindre. Je la saute en missionnaire, quel bonheur. Je joue avec ses seins jusqu’à ce que Kamille se mette dans le chemin. Elle se place à quatre pattes au-dessus d’Elena en pointant son cul dans ma direction :
—    Moi aussi, j’ai encore envie. Tu as intérêt à pas me délaisser !
 Je ne sais plus où donner de la bite ! Je change de trou pour m’occuper de Kamille, puis je retourne un peu dans Elena. Je n’en reviens pas de coucher avec deux femmes. Ces deux chattes m’appartiennent et je vais pouvoir les prendre quand je veux. Je ne sais pas si elles se rendent compte que je suis en train de devenir accro. Pendant que je me fais du bien, mes deux partenaires s’embrassent et se caressent :
—    Hmm, il baise bien, non ? commente Elena.—    Oh oui ! Sa queue est trop bonne ! déclare Kamille que je suis en train de limer. Dit, on peut le garder ? —    Je sens qu’on va même l’inviter très souvent, cet animal.
  Leur façon de parler de moi comme si je n’étais pas là me donne la sensation de n’être qu’un vibro sur patte. Si je ne prenais pas un pied d’enfer, je pourrais m’en vexer. Je retourne dans Elena pour la faire taire un moment, puis je retourne à nouveau dans Kamille avant qu’elle ne se plaigne de se sentir vide. Je défonce mes petites chiennes comme une bête. J’ai un besoin cruel de les fourrer.
—    Oh ! Putain ! Je vais encore jouir ! nous prévient Kamille.—    Vas-y, ma petite salope, fait sa sœur. Je veux te voir jouir par sa bite. —    Aaaah ! Ça vient ! Ça vient ! —    Oui ! Oui ! —    Aaaaaaaaaaaaah ! crie-t-elle en jouissant—    Oh oui ! Ce que tu es belle, ma chérie ! s’exclame Elena.  
 Kamille s’écroule tandis que sa sœur l’enlace dans ses bras. Je suis fier d’avoir pu lui donner cet orgasme. Il est temps de passer à la suivante maintenant.
—    Bordel, fais-moi jouir Clay ! m’ordonne-t-elle tandis que je la saute. Fais-moi jouir, et je te jure qu’on te videra les couilles toutes les deux en te suçant la bite. N’est-ce pas Ma puce ?—    Oui, répond Kamille toujours à moitié étourdie. —    On te laissera même nous éjaculer dessus.
  Je comptais me laisser jouir avec elle mais voilà une promesse qui me fait redoubler d’ardeur. Je la baise tellement fort que même Kamille ressent mes coups. Plus son plaisir monte, plus Elena la serre dans ses bras.
—    Oh oui ! Il va me faire jouir ! Notre amoureux va me faire jouir ! Oooh, mes amours, je vous aime tous les deux, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
 Elle vient à son tour. Je me retire avant de la rejoindre, il s’en est fallu de peu. Elle est magnifique. J’admire mes deux femmes comblées par mon sexe. Je suis l’homme le plus chanceux du monde. Je serais également le plus heureux après avoir décharger mon coup. Ma queue me fait mal à force de bander aussi. Je sais que je devrais attendre un peu qu’elles se remettent de leur émotion, mais je suis beaucoup trop impatient :
—    Pitié, les filles, je ne tiens plus ! —    On va t’aider, déclare Kamille.
 Je me mets debout hors du lit. Mes deux chéries se mettent à genoux et commencent à me pomper. Mes couilles trop pleines crient à l’agonie. Je n’ai plus à me retenir, juste à me laisser éclater. Je ferme les yeux, leurs bouches me font un bien fou. Et dire qu’elles ne font ça rien que pour moi, par amour, pour me faire éjaculer un trop plein de sperme.
—    Oh, les filles, je vais jouir ! —    Hmm, oh oui Clay. Alors, tu veux nous jouir à la figure ? me provoque Elena. —    Oh oui, petites salopes ! Je vais me vider sur vos gueules !
 Trop c’est trop. J’ai atteint le point de non-tour. Je sens mon jus sortir de mes bourses et grimper le long de ma tige. Je prends mon sexe en main et me l’astique furieusement. Mes deux amoureuses se pressent leur visage l’un contre l’autre en ouvrant la bouche pour m’exciter et s’apprêter à ma recevoir. Je grogne en leur envoyant une première giclée de foutre :
—    Oui ! s’exclame Elena. Vas-y ! Recouvre-nous ! —    Aaah ! Mes petites putes ! Prenez ! Prenez !
   Je perds la tête. Je leur décharge mon jus et leur en mettant partout. Je fais aller ma bite de l’une à l’autre pour leur en donner de façon équitable. Quelle vision ! Mes deux amies d’enfance avec mon sperme gluant dégoulinant sur leurs trognes. Je suis au nirvana. Je leur donne tout ce que j’ai jusqu’à la dernière goutte. Ma queue continue de pulser même quand je n’ai plus rien à tirer. Il me faut un moment pour redescendre et me rappeler où je suis. Je suis un gros dégueulasse, mais je les trouve trop belles souillées de cette façon. Elles me sourient, heureuses de m’avoir mis dans cet état. Elles s’échangent un regard amoureux, puis s’embrassent en se le partageant. Putain ! J’aurais aimé pouvoir filmer ça ! Elles se font leur toilette comme deux petites chattes, se léchant le visage pour récupérer mon foutre, puis elles s’occupent de ce qu’il leur est tombé sur la poitrine. Kamille lèche le téton d’Elena, puis celle-ci lui rend la pareille. Lorsqu’elles ont terminé, il n’en reste plus rien. Je ne sais pas si je dois être triste de ne pas avoir pu les admirer recouverte de jus assez longtemps, ou excité qu’elles aient tout avaler.
  Après cela, nous faisons un câlin tous les trois dans mon lit. J’ai déjà été en couple, mais je ne pensais pas possible de s’aimer en trio de cette façon. Cela me fait repenser soudain à Emilie. Je suis plus que décidé à ce qu’elle soit mise en courant, j’espère juste qu’elle prendra bien la nouvelle.
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