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Mes amies d’enfance

Chapitre 5

Lesbienne
Chapitre 5 : Opération corruption
    Il y a des jours où je me surprends moi-même. Je n’arrive pas à croire ce que je suis capable d’accepter pour l’amour d’un garçon et de mes sœurs. M’enfin, ce garçon n’est pas n’importe quel garçon, Clay est mon ami d’enfance. Je suis secrètement tombée amoureuse de lui lorsqu’il a commencé à être un homme. J’ai longtemps eu du mal à l’assumer ; étant beaucoup plus jeune que moi, je le voyais surtout comme un petit frère à la base ; c’est ce qui me rendait d’autant plus honteuse.
  Je ne sais pas expliquer comme c’est arrivé, c’est comme ça, c’est tout, j’ai développé un petit faible pour lui. À une époque, je me suis même masturbée en m’imaginant le dépuceler. Je ne suis jamais passé à l’acte, bien sûr. Il était trop jeune. Non seulement ça aurait fait de moi une vraie perverse, mais surtout, je savais que Kamille craquait aussi pour lui. J’étais certaine qu’il se passerait quelque chose entre eux deux. Évidemment, j’en aurais été jalouse, mais j’en aurais été également très heureuse. J’aime ma petite sœur, je ne lui veux aucun mal.
  Je ne sais pas par quel miracle ils se sont passés à côté l’un de l’autre. Du coup, voyant que Kamille avait tourné la page, quelques années et quelques relations amoureuses décevantes plus tard, j’ai décidé de me lancer et de réaliser mon fantasme. Je n’ai pas eu à le regretter ! C’est devenu un bel homme et un bon étalon. J’ai certes eu besoin de lui donner un peu d’encouragement au début, mais maintenant qu’il est parti, on ne l’arrête plus ! J’étais malheureusement loin de m’imaginer que Kamille avait encore des vues sur lui, et encore moins qu’ils finiraient par coucher dans mon dos ensemble. Comme si ce n’était pas suffisant, il s’est tapé aussi Émilie, la pure et tendre Émilie. Je devrais être en colère, lui arracher la tête, lui couper le pénis, au lieu de cela, je ne sais pas pourquoi, Kamille et moi avons accepté de nous le partager. Pire encore, j’ai un plan pour convaincre Émilie de former un quatuor.
    Je dois être un peu folle pour accepter une telle chose. Je ne suis pas sûr de savoir pourquoi je fais ça. Nous avons toujours eu un lien très fort entre sœurs, et puis Clay… il fait un peu partie de la famille finalement. J’ai envie que nous soyons heureux, tous ensemble. Ce serait tellement horrible de s’entredéchirer pour notre ami d’enfance, une si belle histoire ne peut pas se finir comme ça. Puis il a eu un argument de choc : si j’ai assez d’amour pour mes sœurs, pourquoi lui ne pourrait-il pas avoir assez d’amour pour nous aussi ?
  Kamille et moi prenons un bain de soleil tranquillement au bord de la piscine en bikini. Émilie vient nous rejoindre et s’installe sur un transat, elle essaie de faire une petite sieste. Kamille et moi nous regardons toutes les deux : Clay est sorti, nous avons le champ libre : et si nous passions à l’action ? Elle s’approche de moi et se penche pour m’embrasser, nous échangeons un baiser passionné. Émilie ne fait pas attention à nous, il va falloir faire plus de bruit que cela pour se faire remarquer.
— Tu sais ce qu’il te reste à faire, fais-je à Kamille. Lèche-moi la chatte ma petite salope.
  J’aime lui parler mal. Le sexe est le seul moment où je peux la bousculer un peu sans qu’elle ne se rebelle. J’écarte les cuisses pour l’inviter à venir, elle se met à quatre pattes devant moi, la tête entre mes jambes. Je tire délicatement sur le bout de tissu qui lui barre le chemin, elle se presse en avant. Je ne tarde pas à sentir sa langue sur les lèvres de mon vagin. Elle sait exactement comme s’y prendre avec moi. Elle démarre par me chauffer un max en évitant mes parties les plus sensibles ou en les flirtant légèrement. Une fois bien excitée, elle s’occupe enfin de mon clitoris désormais bien dressé. Je mouille atrocement. Personne ne sait prendre soin de mon minou comme elle, elle pourrait presque me faire oublier les hommes. Je pose une main sur sa nuque pour la forcer à prendre soin de moi. Je gémis de plus en plus fort. Je ne fais pas semblant, elle me fait simplement un bien fou.
— Hmm, Kamille, fais-je en soupirant.
Elle fait de nombreux bruits de succion en aspirant mon jus. Elle m’enfonce du doigt pour me baiser avec. Elle me fait sentir si bien. Clay avait raison, même si je suis avec lui, je ne pourrais jamais me passer d’elle. Je me pelote les seins et me pince un téton, j’ai besoin d’être stimulée de partout.
— Kamille ? Elena ? Qu’est-ce que vous faites ?!
  Il était temps ! Avec tout le bruit que nous faisions, Émilie s’est enfin rendu compte qu’il se passait quelque chose d’étrange. Nous ne nous interrompons pas pour autant. Pour quoi faire ? Elle n’a pas encore pris la fuite, ce qui est plutôt bon signe. Elle nous regarde d’un air indigné.
— Du bien, lui dis-je en guise de réponse, n’est-ce pas évident ? Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’avais jamais vu deux filles faire l’amour avant ?

  Elle rougit silencieusement en détournant le regard.
— Hmm, continue Kamille, encourage-je ma petite soumise. Montre-lui comment on broute un minou.
  Cette dernière m’enlace les cuisses pour avoir une meilleure prise sur moi. Mon dos s’arque sous le plaisir. Je jette un œil sur Émilie. Elle ose enfin nous observer :
— Mais vous êtes sœurs ! rompt-elle le silence. — Et alors ? Ce n’est pas comme si nous comptions nous marier et avoir des enfants. Nous sommes juste deux femmes célibataires en manque d’amour, nous prenons simplement soin l’une de l’autre. En tant que vierge célibataire, tu dois être capable de comprendre ça, non ? Tu n’as jamais eu envie d’avoir quelqu’un pour te donner du plaisir ? Quelqu’un de proche avec qui tu n’as aucun tabou ? Quelqu’un que tu aimes, comme… une sœur ?
  Je fais semblant de ne pas savoir qu’elle a perdu sa virginité avec Clay. Elle ne dit rien, troublée. Le fait qu’elle n’ait pas piqué de crise ou qu’elle soit encore là prouve que j’ai tapé juste. Elle est choquée, mais curieuse aussi. Je suis sûre qu’elle s’est déjà masturbée devant un bon film lesbien. Peut-être même a-t-elle déjà fantasmé sur nous qui sait ? D’après ce que Clay m’a raconté, sous ses airs très prudes et innocents, c’est une sacrée perverse.
— Hmm, si tu savais comme c’est bon, poursuis-je. Surtout quand c’est fait avec amour.— Peut-être devrions-nous lui montrer ? s’interrompt Kamille.— Bonne idée.
  Nous nous levons toutes les deux et approchons d’Émilie. Elle nous regarde, déconcertée, comme un petit animal sans défense ; elle ne sait pas comme réagir. Nous nous plaçons chacune à ses côtés :
— Laisse-nous prendre soin de toi, lui fais-je. — Mais... non ! Vous êtes folles ! proteste-t-elle sans conviction.— Laisse-nous t’aimer, enchérit ma partenaire de crime.
  Nous posons une main sur son corps et commençons à la caresser tendrement. Elle a un mouvement de recul, mais elle ne nous arrête pas. Je suis la plus ambitieuse des deux en lui pelotant rapidement un de ses seins. Ce qu’ils sont gros, j’en suis jalouse alors que je suis pourtant pas mal non plus dans mon genre. Kamille m’imite et tire sur le maillot pour en dégager le téton, elle le suce sans tarder. Il pointait déjà. Elle nie, mais elle doit être en train de mouiller comme une folle, la petite cochonne. Elle nous fixe la bouche ouverte. Elle est surprise, mais elle se laisse faire, prisonnière de ses désirs cachés. Je lui lèche son autre bout rose en faisant glisser une main vers son entrejambe.
— Non ! Non ! fait-elle fébrilement.
Mes doigts atteignent son fruit défendu. Trempée, comme je m’en doutais. Elle a un frisson électrique lorsque je touche son clitoris. Elle ferme les yeux, elle se détend. C’est bien, elle cesse de lutter. Je le titille puis je la doigte pour lui donner du plaisir. Nous avons gagné, elle est à nous, nous pouvons en faire ce que nous voulons.
— Elena… Kamille… gémit-elle.— Cela te plait ? lui demande cette dernière.— Oui…— Tu veux qu’on continue ? — Oui… s’il vous plait…
  Nous nous occupons toutes les deux de notre petite sœur, plus par malice, mais par amour. Cela fait un moment que je rêvais de faire ça avec elle, je l’avoue. Elle était trop pure, j’avais peur de la souiller avec ma perversité. Maintenant que je sais que c’est déjà fait, je n’en ai plus aucune honte ; merci Clay.
  Kamille l’embrasse sur les lèves. Elle réagit étonnamment bien en lui rendant son baiser. C’est beau, Émilie aime ses sœurs comme nous l’aimons. Nous sommes vraiment toutes unies désormais. Elles se mettent la langue, je suis presque jalouse. La mienne se sent un peu esseulée. Je décide de la mettre à profit en m’insérant entre les jambes d’Émilie. Je me débarrasse du string de son maillot et démarre un cuni. Distraite, elle ne m’a pas vue venir. Elle a le réflexe de refermer les cuisses. C’était peut-être au début pour tenter de me chasser, mais bien vite, c’est pour me garder près d’elle. Je prends soin de son antre d’amour comme si c’était la chose la plus précieuse du monde. Elle goute bon, comme Kamille. Au-dessus de moi, cette dernière lui masse les seins tout en continuant ses baisers.
  Nous poursuivons ainsi durant de longues minutes. Nous pourrions la faire jouir, mais ce n’est pas notre but. Je me dis qu’il est temps de passer à l’étape supérieure :
— Émilie, et si tu donnais un peu d’amour à ta sœur, lui fais-je. — Que... quoi ? s’exclame-t-elle.
  Si je ne la connaissais pas, je dirais qu’elle est défoncée. Elle semble tout étourdie, comme à moitié dans un rêve. C’est si mignon, on dirait un ange :
— Nous te faisons du bien, mais il faut nous en faire aussi. Tu n’as pas envie de donner du plaisir à Kamille ?— Oui, s’il te plait Émilie, répond l’intéressée. J’ai envie de toi. — De… moi ? Tu es sûre ?— Oui, s’il te plait. — Je ne sais pas si je pourrais…— Bien sûr que tu peux, l’encourage-je. Tu l’aimes, non ?— Je… oui…— Alors montre-le-lui. Fait-il lui sentir.
  Kamille la regarde dans les yeux, pétillante d’amour. Elle s’installe sur le transat d’à côté. Avec encore un peu d’exhortation de ma part, Émilie se lève et se met en position. Elle est hésitante. Je peux la comprendre, c’est un peu intimidant la première fois. Elle a la chatte coulante d’une autre fille juste devant son nez ; en plus, c’est celle d’une de ses sœurs, il y a de quoi avoir peur.
— Je t’en supplie, Émilie, lèche-la-moi.
  Elle se penche en avant. Ça y est, elle le fait. Sans être lesbienne, elle broute un minou. Je me masturbe un instant en les regardant toutes les deux, c’est magnifique. Tant d’amour, tant de tendresse. Kamille la guide pour l’aider un peu, elle lui caresse les cheveux ; elle ne tarde pas à gémir. Émilie prend sa tâche très au sérieux. Si elle est un peu timide au début, elle s’applique très vite. Elle ne le fait pas juste parce qu’on le lui a demandé, elle en a envie, cela lui plait, cela se sent. Elle aime sa sœur, elle veut lui faire du bien pour le lui montrer. Elle est comme nous désormais.
  Je ne peux pas continuer à regarder sans rien faire. Tandis qu’elles sont occupées, je viens discrètement derrière Émilie. Je pose mes mains sur ses fesses et commence à lui lécher la chatte. Elle me vexe presque, elle n’a aucune réaction, à peine un sursaut de surprise ; on dirait qu’elle est trop concentrée sur ce qu’elle fait. Je lui enfonce deux doigts pour la stimuler davantage, je parviens enfin à la distraire un peu. Elle remue du bassin comme si des frissons parcouraient son corps, je continue malgré son déhanché constant.
    Je suis si heureuse de pouvoir donner du plaisir à Émilie, et elle l’est manifestement tout autant de donner du plaisir à Kamille. Ce n’est pas de l’inceste, c’est de l’amour à l’état pur. Ce n’est pas seulement les sensations des caresses qui nous font monter au septième ciel, ce sont les sentiments que nous ressentons les unes pour les autres. Je ne lui dévore pas le sexe pour la torturer ni l’humilier, mais par pure dévotion. Je veux qu’elle sente combien je l’aime, ma petite sœur adorée. Si j’avais mon gode-ceinture à proximité, je la baiserais.
  Kamille soupire de plus en plus fort. Son souffle saccadé annonce un orgasme imminent. Émilie le sait, et cela la fait redoubler d’efforts. Cela me touche beaucoup de la voir se prendre autant au jeu. Elle utilise ses doigts pour l’achever, elle va et vient dans son antre de plaisir comme si c’était le sien. Ce qui devait finir par arriver arrive, Kamille explose de jouissance en poussant un cri si fort qu’il pourrait en alerter les voisins.
— Emiliiiiiiiiiiie, ouiiiiiiiiiiii !
  Qu’avons-nous fait ? Nous l’avons corrompue, convertie à notre cause. Je n’en ressens bizarrement aucun remords. Juste de la fierté et de l’amour.
  Je regarde ma sœur se tortiller tandis qu’elle se perd au nirvana. Lorsqu’elle s’apaise, elle est toujours étourdie, preuve que notre cadette a bien fait son boulot. Elle sourit, béate. Je l’envie.
— Je suis si fière de toi, Émilie, lui dis-je sincèrement. Regarde comment tu l’as rendue heureuse. Tu as été merveilleuse.
  Elle rougit au compliment, toujours un peu gênée par ce qu’elle a fait. Je l’embrasse pour la rassurer. Le contact de ses lèvres me fait mouiller. J’en avais tant rêvé au fond de moi.
— Viens, ma chérie. Il est temps de nous faire du bien toutes les deux.
  Je l’invite à faire un soixante-neuf. Elle fait sa timide, mais elle vient au-dessus de moi sans rechigner. Elle ne lutte pas, elle se laisse aller à ses instincts. Nous nous broutons mutuellement, prenant soin chacune de nos minous respectifs. Je peux confirmer qu’elle se débrouille bien. Elle fait vibrer mon clitoris avec sa langue, elle aspire même mon jus quand je déborde un peu trop. J’ai du mal à croire que c’est sa première fois. Qu’elle ne vienne pas me dire qu’elle n’y avait jamais pensé en tout cas, je ne la croirais pas.
  Kamille nous regarde, mais ne dit rien. Ce moment n’appartient qu’à nous, entre filles. J’imagine combien Clay serait en train de se branler s’il pouvait être là. Il craquerait et viendrait fourrer l’une de nos chattes, sans aucun doute. C’est mieux qu’il soit absent.
  Ce que nous vivons est divin, mais j’ai l’envie perverse de faire quelque chose d’autre avec Émilie. Je l’invite à changer de position, elle m’écoute avec attention. Nous nous plaçons en ciseau, de façon à pouvoir coller nos chattes l’une contre l’autre. Elle découvre, mais comprends rapidement le principe. Nous nous frottons nos vulves, clitoris contre clitoris. J’agrippe l’une de ses cuisses pour la tirer vers moi. Nous gémissons bruyamment, ce que je regrette de ne pas avoir mon double gode pour agrémenter le tout.
  Nous gémissons de plus en plus bruyamment. Je ne sais pas ce que je trouve le plus incroyable, que je fasse ça avec Émilie, ou que celle-ci soit capable de le faire avec moi. Le plaisir monte, je deviens folle. J’ai envie de jouir, fort, grâce à la chatte de ma petite sœur.
— Elena, geint-elle. C’est trop.— Et alors, tu n’aimes pas ?— Si…— Tu en veux encore ?— Oui…— Tu vas venir ?— Oui…— Moi aussi, viens avec moi. Jouissons toutes les deux.
  Nous remuons de concert, nous n’en pouvons plus, nous voulons nous finir. C’est la dernière ligne droite, je sens une explosion au fond de mes entrailles grandir avant de se libérer, je pousse un hurlement d’extase. Émilie me rejoint la seconde d’après, nous crions ensemble, nos corps nus et moites tremblant sous l’intensité de l’orgasme. Lorsque l’onde de plaisir passe, nous demeurons essoufflées, étourdies, heureuses. Je la prends dans mes bras, puis l’embrasse. Kamille, un peu jalouse, vient réclamer un baiser à son tour. Nous nous caressons et nous câlinons toutes les trois, des sœurs, proches comme aucune autre.
— Tu es comme nous désormais, fais-je à Émilie. Tu as couché avec tes sœurs, et avec Clay.— Quoi ?! revient-elle à elle subitement.
***
  Je reviens après avoir fait un tour à la plage. Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait une balade tout seul. Généralement, je suis accompagné d’une des sœurs Mallory, et cela se finit toujours par un quickie dans un endroit insolite. C’est Elena qui m’a conseillé de partir en solitaire. Elle a soi-disant « un plan » pour tout arranger avec Émilie. J’aurais bien aimé savoir ce qu’elle a en tête, cela m’aurait peut-être rassuré ; je me sens comme une merde.
  Je rentre à la maison. Émilie m’accueille sur le pas de la porte. Ça sent la mauvaise nouvelle. Elena lui aurait déjà parlé ? Elle… n’a pas l’air vraiment en colère. J’ai un peu de mal à décrypter son langage du corps. Je la sens… nerveuse, gênée, honteuse ? Mais de quoi ? C’est moi le coupable dans l’histoire.
— Clay, il faut qu’on parle. — Oui, je m’en doute oui, fais-je stupidement.
  Nous allons dans sa chambre pour être plus tranquilles. Je n’ose pas dire un mot, peut-être qu’elle ne sait rien et qu’elle stresse pour autre chose, je ne voudrais pas vendre la mèche en ouvrant la bouche. Son silence me tue, qu’est-ce qu’elle attend ?!
— J’ai quelque chose à t’avouer, m’annonce-t-elle enfin.— À m’avouer ?— Oui. Je… J’ai couché avec Elena et Kamille. — Je… heumm… Quoi ?!
  Je ne comprends plus rien. Il se passe quoi là ? C’était ça le plan ? En quoi ça nous aide ?
— Et bien, heum… ce n’est... pas grave, j’imagine, fais-je. — Si c’est grave ! Ce sont mes sœurs ! C’est de l’inceste ! Et pire encore, je t’ai trompé ! Pourtant, j’ai aimé… j’en avais envie… — Si tu te sens mal par rapport à moi, rassure-toi, ce n’est pas grave. Je ne peux pas être jaloux de tes…— Elles m’ont dit aussi qu’elles couchaient avec toi, me coupe-t-elle.
Bim… Dans la gueule. Pendant une seconde, je pensais que le sujet avait été évité. Je suis mal, je ne sais pas quoi dire.
— Je suis désolé. — Ça m’a fait un choc ! — Je comprends. Je… suis vraiment une ordure. Je n’aurais jamais dû coucher avec toi.— Pourquoi ? Tu ne m’aimes pas ?— Si, bien sûr que si. — Mais tu aimes mes sœurs, aussi.— Je… oui…
  Qu’est-ce que je me sens con. Je savais que tout cela allait me retomber sur la gueule un jour. J’ai refusé de réfléchir aux conséquences. Tout ce que je voulais, c’était planter ma queue dans les sœurs Malory comme un gros porc. Bizarrement, je ne la sens toujours pas vraiment en colère.
— Je comprends, dit-elle.
  Quoi ? Elle est sérieuse là ?
— Je l’aurais appris hier, j’aurais été furieuse. Furieuse, Clay ! poursuit-elle. Mais aujourd’hui… Je serais mal placée pour juger. J’ai couché avec mes sœurs me sachant avec toi. Je n’ai… même pas essayé de résister. J’ai presque été soulagée lorsqu’elles m’ont dit la vérité. Je me suis sentie… moins honteuse. Je n’ai rien fait de pire que ce que tu as déjà fait.
  Je n’ose pas la regarder dans les yeux, elle non plus. Ne la voyant plus continuer, je réunis tout mon courage pour ouvrir la bouche et essayer d’éclaircir les choses :
— Où est-ce que cela nous mène, toi et moi ? — Je ne sais pas, Clay. Je suis déçue de toi, mais je suis déçue de moi aussi. Si elles ne m’avaient rien dit, j’aurais recouché avec elles sans hésiter sans jamais t’en parler. Je me sens sale. — Moi aussi. — Elles m’ont… parlée d’autre chose mais… Avant, j’ai besoin de savoir : tu t’amusais juste avec moi ? Ou tu ressentais vraiment quelque chose pour moi ?— Je te l’ai dit, je t’aime ! Je t’ai caché des choses, mais je ne t’ai jamais menti, j’ai pensé chaque moy que j’ai prononcé. — Si c’est vrai, alors pourquoi suis-je la dernière avec qui tu as fait l’amour ?
  Je rêve ou c’est de la jalousie que je ressens chez elle ?
— Émilie… Ça s’est fait comme ça, c’est tout. Ce n’est pas une histoire d’ordre de préférence. Je t’aime… sincèrement. Si fort que je t’ai toujours considérée comme ma petite sœur. Mon trésor à protéger et à prendre soin. Mais justement, c’est ce qui a rendu si difficile d’accepter le fait que j’ai développé… des sentiments pour toi. C’était presque… incestueux, tu comprends ? Il m’a fallu du temps pour l’accepter et y laisser libre cours, mais maintenant que c’est fait, je ne veux plus revenir en arrière.
  J’attends un signe, un mot, quelque chose, mais elle reste stoïque. Elle s’approche de moi, puis vient m’embrasser :
— Je te crois Clay. C’est ce que mes sœurs m’ont dit aussi. — Je… vraiment ? — Oui. Mais je voulais l’entendre de ta bouche.— Qu’est-ce qu’elles t’ont dit d’autres ? — Qu’on pouvait s’aimer, tous les quatre. — Ah… Et qu’est-ce que tu en dis ? — Que c’est ce que je veux moi aussi. Si j’ai assez d’amour pour toi et mes sœurs, je peux comprendre que toi et elles pouvez ressentir la même chose. Je voulais juste être sûre que tu m’aimais vraiment. — Et c’est le cas ?— Oui. — Émilie… je…— Chuuut. Aime-moi Clay. Fais-moi l’amour, maintenant.— Que… quoi ? Tu es sûre ? — Oui… Je veux te sentir à moi, en moi, au moins pour ce moment.
  Nous tombons dans les bras l’un de l’autre puis nous échangeons un baiser. Rapidement, nous nous retrouvons nus allongés sur le lit. Elle écarte les cuisses pour m’inviter à la saillir, je la prends en missionnaire. Je ne me suis jamais senti aussi bien de ma vie. Je peux enfin la baiser sans honte, sans remords. Le poids insoutenable qui me pesait ces derniers jours s’en est soudainement allé. Fini les cachoteries et les mensonges, je peux enfin me laisser aller librement. J’ai du mal à croire que tout ceci est réel : elles m’ont pardonné, elles m’ont toutes pardonné, et mieux encore, elles veulent encore de moi auprès d’elles. Je n’aurais jamais parié là-dessus.
  Je la saute sans retenue, elle n’est pas fragile. Elle a ses bras et ses jambes refermés sur moi pour m’emprisonner au fond d’elle. Je la lime en me régalant de l’intérieur de son con.
— Clay.— Oui ma chérie ? — J’ai envie de toi dans mon autre trou.— Sérieusement ? Tu as envie ? — Oui. S’il te plait.
  Elle est vraiment incroyable. D’elle-même, elle se met à quatre pattes devant moi, le torse écrasé contre le matelas, la tête dans l’oreiller. Elle écarte son petit orifice de ses mains pour m’inviter à m’y introduire. C’est si obscène de sa part, je craque. Je lui enfonce ma queue dans l’anus, dieu ce que c’est bon. Je la défonce, elle crie de plaisir en m’encourageant à continuer. La plus innocente est décidément la plus dépravée. Même dans mes fantasmes les plus pervers, je n’aurais jamais imaginé Émilie me supplier que je l’encule. Comme je vois qu’elle aime ça, je n’ai rien de doux. Elle ne tarde pas à jouir la première. Je ne résiste pas à l’envie de la rejoindre et me décharge dans son cul. Je libère mon sperme au fond de ses entrailles. Je la souille peut-être de mon jus impur, mais c’est du jus d’amour. Nous nous écroulons tous les deux après. Nous faisons une petite sieste serrés l’un contre l’autre. Simplement, comme ça, dans sa chambre, avec la porte non fermée à clé, sans plus aucune peur d’être surpris.
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