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Mes amies du lycée, un harem inattendu !

Chapitre 5

Elle

Hétéro
Salut à tous, me revoilà ! Comme ça fait longtemps, je mets un rappel des personnages à la fin, consultez-le en cas d’oubli.

Chapitre 5 : Elle
Mais qu’est-ce que j’ai foutu ??C’est la question qui me taraude l’esprit alors que je cours à travers le champ qui sépare le village de la villa de Claudia. Quel idiot ! J’ai toujours su que ça finirait comme ça.Mais rien n’est encore perdu, je peux peut-être tout arranger !
Je trébuche et m’étale de tout mon long dans la poussière. Les paumes de mes mains saignent, et mon cœur bat la chamade.Comment ?Comment est-ce que tout a dérapé déjà ?...
6 heures plus tôt :
Assis avec Xavier, Tanguy et JB dans le fauteuil du salon, on mate les filles descendre une par une en tenue de soirée. En temps normal, on se serait plaint du temps qu’elles mettent à se préparer, mais vu le spectacle qu’elles nous offrent...
Claudia descend et Xavier pousse un petit sifflement. Elle porte une chemise blanche prête à éclater avec une cravate, ainsi qu’une jupe rouge à carreaux. Elle s’est même fait des couettes.Pour la soirée du village, le thème décidé par les jeunes cette année est “L’École” et les filles font de ravissantes petites élèves toutes droites tirées des fantasmes d’un amateur de hentai.Cassandre arrive également et sa tenue bien plus osée lui vaut plusieurs regards appréciateurs. Une chemise blanche nouée autour de ses seins à l’américaine, laissant tout son ventre apparent et une jupe noire bien plus courte que celle de Claudia qui dévoilent ses cuisses pleines.
Elle a aussi lissé ses cheveux noirs habituellement ondulés, ce qui la rend très sexy. Elle a trouvé une règle en bois je ne sais où et lorsqu’elle passe devant moi en roulant exagérément des hanches, elle me met un petit coup sur le menton.
— Vous allez avaler des mouches à rester la bouche ouverte comme ça les garçons, glousse-t-elle en nous tournant le dos.— J’aimerais bien lui faire avaler autre chose moi, marmonne JB à côté de moi.
— Elle est où Alicia ? demande Tanguy qui arrive depuis la cuisine.— Elle est toujours malade, du coup, elle vient pas, lui répond Claudia alors qu’il la prend dans ses bras pour l’embrasser.
Au même moment, quelqu’un toque à la porte d’entrée. Étant le plus proche, je me lève pour aller ouvrir. Je tourne le poignet et me retrouve face à deux garçons, un petit brun avec une coupe et une corpulence de militaire et un grand blond assez séduisant.
— Salut, tu dois être un pote à Clau... commence-t-il.— Diego ! s’exclame Claudia derrière moi avant d’arriver en courant dans mon dos.— Euh... oui ? Attends... Claudia c’est toi ? dit-il en écarquillant les yeux.— Oui ! répond-elle en se jetant dans ses bras.
Puis elle aperçoit le blond derrière Diego et rougit violemment avant de lui faire la bise plus timidement. J’entends son nom “Jeremias”.
— Je t’avais pas du tout reconnue... t’as beaucoup changé depuis la dernière fois, explique Diego en observant le derrière scandaleusement rebondi de Claudia moulé par sa jupe pourtant large.
Claudia fait les présentations, apparemment Diego, le brun athlétique est son ami d’enfance, quasiment de la famille une sorte de cousin. Jeremias le grand blond est son meilleur ami, mais Claudia paraît davantage gênée quand elle parle de lui. Une fois toute la petite équipe réunie : Arthur, Moi, Tanguy, JB, Xavier, Natasha, Claudia, Cassandre et ma sœur Anaïs ainsi que nos deux compagnons de soirée, on prend la direction de la grande place du village où a lieu la fête.

***

On arrive sur les lieux alors que le soleil commence à se coucher, teintant le ciel d’orange et de rouge. Il y a une scène pour les musiciens d’un côté et juste en face, un coin-bar avec des tables près d’une fontaine. Je vois qu’il y a une cinquantaine d’adolescents de tous les âges et beaucoup d’enfants, en plus des adultes.On commence à se séparer et je regarde ma sœur d’un œil vigilant, je l’ai vu parler beaucoup trop à l’ami d’enfance de Claudia, ce Diego.
— Anaïs, tu pouvais pas mettre un pantalon normal ? demandé-je.— Il a quoi ? rétorque ma sœur sur un ton agressif en tirant sur son leggings noir qui lui rentre limite dans les fesses.— Arrête de lui prendre la tête pour rien c’est moi qui l’ai conseillée, intervient Natasha.
Il y a un petit moment de silence, la situation est encore tendue entre nous, ça fait un moment qu’on ne s’est pas parlé. Les images d’elle faisant l’amour... non, se faisant brutalement baiser par Jean défilent dans ma tête. Elle me fixe bizarrement, le menton levé et je décide que s’en est assez de ce flou entre nous.
— Viens, on va parler, dis-je en m’éloignant de la place.
Elle me suit sans un mot, je m’engage dans une rue plus calme et on se faufile entre les vieilles bâtisses traditionnelles. Je trouve une toute petite ruelle, bien plus sombre, car loin des éclairages de la fête. Natasha s’adosse nonchalamment contre un mur. Elle porte une chemise bleue dont elle a ouvert presque la moitié des boutons, dévoilant ses seins fermes serrés dans un soutien-gorge noir, et une jupe en cuir qui moule son cul musclé. Contrairement à Claudia ou Anaïs qui ont choisi de jouer aux élèves, Natasha est plutôt prof sexy. Elle est bien maquillée, mettant en valeur sa peau claire et ses yeux verts. Alors que j’ouvre la bouche, elle me devance :
— Alors ? La vue t’a plu ?
Je me fige. Elle me parle de la soirée ? Ou de Cassandre tout à l’heure ?Non, bien sûr que non.
— Donc tu savais depuis le début que j’étais là ? réponds-je.— Peut-être bien, me dit-elle en souriant.
Je m’approche d’elle et pose ma main sur le mur à côté de sa tête. Tout à son honneur, elle garde son petit sourire et ne bouge pas. Ses mains dans le dos et la poitrine en avant, tendue vers moi.
— Ça a l’air de beaucoup t’amuser...ça t’a plu que je joue les voyeurs ?— Ce qui m’a plu avant tout c’était ce que m’a fait Jean-Baptiste... après, c’est vrai que c’était excitant de te voir bander en regardant.
J’essaye de soutenir son petit regard malicieux même si j’ai du mal à garder mon assurance, car elle me déstabilise beaucoup. Je détourne le regard quelques secondes en gloussant, mi-nerveux, mi-amusé.
— Dis-moi Mehdi, tu t’es branlé en nous regardant ?
Je manque de m’étouffer, mais je garde contenance.
— Non, j’ai préféré garder mon énergie pour quand ça serait mon tour.
Cette fois, c’est elle qui perd contenance. Elle pousse un petit rire alors que je me penche vers elle.
— Qui te dit que tu auras le droit à ton tour ? m’interroge-t-elle.— C’est simple, si tu me chauffes comme ça, c’est qu’il y a une raison (puis en approchant mon visage vers elle) il faut bien finir ce qu’on a commencé non ?
Tout en parlant, je caresse son cou et je fais glisser sa chemise, révélant son épaule nue.Il y a une seconde d’hésitation, elle lève un sourcil en souriant et l’instant d’après, on se saute dessus. Je la plaque contre le mur en l’embrassant passionnément et descends ma tête dans son décolleté pour embrasser sa poitrine brûlante. Je la couvre de baisers alors qu’elle enfonce ses doigts dans mes cheveux.J’essaye de glisser mes mains sous sa jupe, mais elle m’attrape les poignets et en me poussant, elle inverse de position avec moi, me plaquant contre le mur. Je lève un sourcil intrigué.
— On va finir ce qu’on a commencé oui... reprenons là où nous en étions... m’explique-t-elle d’un murmure à l’oreille.
Elle me lèche le cou en mordillant mon oreille tout en commençant à frotter la bosse de mon pantalon d’une main experte. La minute d’après, elle est à genoux, déboutonnant mon pantalon alors que je caresse ses cheveux bruns. Très vite, mon pénis bandé se retrouve dans sa main.
— Comme on se retrouve, marmonne-t-elle avant de lui mettre un coup de langue.— Ah... j’attendais ça depuis longtemps.— Bah, profites en bien, je suce presque jamais... enfin, t’as dû remarquer ça la dernière fois avec Jean, petit voyeur.
Sur ces mots, elle se met à lécher mon gland en me branlant. Je pose ma tête contre le mur derrière moi et je profite pleinement de sa belle bouche. Elle alterne mouvements rapides du poignet et mouvements plus lents et amples où elle tète mon gland.Sa bouche ne descend pas plus loin que mon gland et elle prend un malin plaisir à couvrir entièrement ma queue de salive avec sa langue sans jamais la prendre en bouche, ce qui me frustre.
— Alors tu kiffes ? me demande-t-elle avec un petit sourire.— Ouais, mais arrête de jouer maintenant et suce-moi, réponds-je un peu agacé.— Peut-être que si tu demandes poliment...
Alors que je m’apprête à lui demander, je me remémore la scène avec Jean, je ne me rappelle pas l’avoir vu demander poliment... Du coup, alors qu’elle tète à nouveau mon gland, je l’attrape par les cheveux et j’enfonce mon chibre dans sa bouche. Je l’entends pousser un cri de surprise, suivi de petits gémissements. Elle se stabilise sur le mur derrière moi pour ne pas tomber sous mes assauts, mais ne tente pas de m’arrêter. Alors je continue de baiser la bouche de l’Ukrainienne, qui me lance un regard embrumé par l’excitation, sa joue déformée par mon gland.
— Qu’est qu’il y a ? Tu veux que j’arrête peut-être ? C’est trop pour toi petite Natasha ? demandé-je en souriant.— Glloo, ggloo, gloglo...— Ah oui, tu peux pas répondre, c’est vrai...
Alors que je fais le malin, elle m’attrape par les hanches et à ma grande surprise, elle enfonce ma bite bien plus loin qu’avant ! Mon gland se retrouve au fond de sa gorge chaude et la sensation m’arrache un gémissement. Elle continue sa gorge profonde avec brio et je n’arrive plus à parler. C’est la première fille qui me fait une vraie gorge profonde depuis "Elle" qui est une pro dans le domaine et même si Natasha n’est pas au même niveau, j’ai l’impression de défaillir.Elle tousse et des filets de salives tombent de sa bouche sur les pavés. Bordel, combien de temps est-ce qu’elle va tenir cette cadence ?
J’entends alors des gens parler dans la rue sur laquelle notre ruelle donne. Merde ! On va se faire repérer. Pourtant, Natasha continue à me sucer alors que le bruit se rapproche. Elle fait trop de bruit ! J’attrape sa tête et la maintiens immobile, son front contre mon ventre et ma bite fourrée plus profonde qu’elle ne l’a jamais été dans sa gorge. Un couple de petits vieux passe dans la rue, ils sont dans la lumière et je les vois bien, mais eux ne tournent pas la tête vers mon coin d’ombre. Une fois passés, je pousse un soupir puis baisse les yeux vers Natasha qui est toute rouge. Je la relâche et elle ne recrache pas ma bite ! Par contre, elle se met à tousser et ses yeux pleurent un peu. Elle se remet à aspirer comme une forcenée tout en levant ses yeux embués vers moi, et dans son regard, je peux voir... de la moquerie.
Je comprends alors.Elle essaye de me faire jouir le plus vite possible.Et c’est réussi, l’excitation de la situation alliée à sa fellation parfaite me fait jouir d’un coup. Je pousse un gémissement en m’adossant au mur et j’éjacule dans sa bouche. Je m’attends à ce qu’elle avale, mais elle me recrache aussitôt. Ça n’empêche pas un dernier jet de sperme de salir sa chemise, mais elle ne semble pas remarquer, trop occupée à essuyer celui qui coule sur son menton.
— Et bah... tu n’as même pas duré cinq minutes je suis déçue, jubile la brune.— T’inquiète pas, il me faudra aussi moins de cinq minutes pour être à nouveau au garde à vous et te baiser.
Elle se relève, l’air un peu gêné pour la première fois.
— Écoute Mehdi, c’était sympa, mais je t’ai surtout sucé parce que je t’en devais une après le cunni de la dernière fois, mais je pense pas que ça ira plus loin.— Hein ? réponds-je, abasourdi.— C’est pas contre toi ! Tu me plais et j’avais vraiment envie de m’amuser avec toi de temps en temps, mais... c’est par amitié.— On peut être amis et baiser non ? rétorqué-je en plissant les yeux.— Pas l’amitié entre toi et moi débile, c’est juste que... euh...ça se fait pas pour... quelqu’un d’autre que je ne veux pas blesser, m’explique-t-elle confuse, viens on retourne à la soirée ! s’exclame-t-elle en sortant de la ruelle.— Me dis pas que tu parles d’Alicia là ? crié-je dans son dos.
Mais elle a déjà disparu et je reste seul dans le noir et le silence. C’est quoi ces conneries encore ?
Je décide donc moi aussi de retourner à la soirée. En revenant, je repère un peu tout le monde, Xavier discute avec Anaïs et Jeremias, Claudia danse avec Tanguy, Cassandre avec Diego et Natasha est en train de masser les épaules de... Arthur ? Voilà qui est surprenant. Mais je suis content pour lui, et il est plutôt beau gosse ce soir, je me suis occupé de le préparer et il porte un pantalon de costume noir moulant, une chemise à motif et ses cheveux blonds bouclés sont coiffés et disciplinés en arrière grâce à du gel.
Évidemment je ne peux empêcher une pointe de jalousie de percer chez moi... mais il ne sait pas que Natasha me plaît... et de toute manière, soyons réalistes, Natasha ne fera rien avec lui même s’il était le dernier homme sur terre.
Apercevant un petit groupe de Portugaises qui ont salué Claudia plus tôt, je décide d’aller danser près d’elles. A ma grande surprise, Arthur me rejoint, l’air un peu mal à l’aise et il se met à danser. Il a décidément décidé de me surprendre ce soir ! Bon, il a l’air complètement stressé derrière ses lunettes, mais il n’aurait jamais dansé comme ça en soirée il y a un mois.
— Alors Arthur, tu kiffes ? demandé-je en glissant à ses côtés.— Ouais... c’est... c’est sympa, répond-il en souriant.— Bon mon vieux... si tu continues comme ça, ce soir tu pécho, lui dis-je avec un clin d’œil.
Il serait temps pour lui d’enfin pouvoir tirer un coup, ça, c’est sur. On continue à danser et je finis par aborder le groupe de filles, en anglais. Parmi elles, l’une m’interpelle, une brune aux cheveux bouclés, pas un canon, mais nettement plus jolie que les autres avec un regard de braise et surtout une énorme paire de seins, plus gros que le bonnet E d’Alicia, qui s’agite lourdement quand elle danse. Mais les autres filles semblent d’ailleurs l’exclure pour une raison qui m’échappe et je n’ai pas l’occasion de lui parler.
Je garde un œil sur Cassandre à côté qui danse avec Diego, remuant son cul rond contre le portugais qui n’a pas l’air plus intéressé que ça. Pourtant, elle est plus fraîche que toutes les filles de son village là... apercevant mon regard, elle me lance un clin d’œil, passant la main dans sa chevelure noire et lisse en se cambrant. Je me sens réagir au niveau du caleçon, elle est clairement en train de me chauffer.
Mais à ce moment, Claudia arrive et Diego change de cavalière, abandonnant l’Eurasienne pour la Portugaise. Cassandre semble très vexée, mais Claudia ne le remarque pas. Je décide de retourner danser avec les filles et je finis par parler à la fille aux gros seins, j’apprends qu’elle s’appelle Diana. Je pensais, vu son regard, que je l’intéressais, mais elle passe son temps à lancer des petits coups d’œil à Diego, qui lui l’ignore. Je m’interroge, c’est peut-être sa copine ? Logique qu’elle soit jalouse, vu comment il danse avec Claudia. Je décide de lâcher l’affaire et je m’éloigne. A ce moment, j’entends une bousculade, surpris, je me retourne et découvre Tanguy, complètement éméché, un verre à la main qui crie sur Claudia.En parlant de jalousie...
— Tu joues à quoi là ??! l’apostrophe-t-il.— T’es sérieux là ? Je danse juste avec Diego, c’est comme mon grand frère ! Tu me fous la honte là ! répond-elle en s’éloignant de lui, des éclairs dans les yeux.
Je glousse en voyant la déconvenue de mon vieux rival et m’en vais.Cette soirée se fait un peu ennuyeuse... et je suis toujours frustré par Natasha. Je passe un peu de temps à discuter avec Xavier et le copain de Pénélope, qui fument en regardant les filles se trémousser sur la piste puis je m’éloigne un peu de la soirée, loin de la musique et m’assois sur les marches de l’église, plongé dans mes pensées.
— Bah alors qu’est-ce qu’il se passe Mehdi ? me demande une voix goguenarde.
Je lève la tête.Ah, c’est Elle.
— Bof, je m’ennuie un peu.— Je vois... moi aussi... j’ai peut-être un remède à ça... susurre-t-elle en battant des cils.— Hein ?— Fais pas l’ignorant, tu sais très bien...
Elle s’approche de moi et soulève un peu sa jupe, me dévoilant ses cuisses pleines. Je déglutis.
— Mais... on avait dit qu’on ferait rien tant qu’on était en vacances ici !— Et moi je dis que ça fait trop longtemps.
Elle se penche vers moi et me met son décolleté sous les yeux. Je laisse mon regard se promener et... c’est dur de dire non, j’en ai très envie aussi.Je me lève et la prends par la main. Elle glousse en me suivant à travers les rues sombres. Quelques instants plus tard, je la plaque contre une sorte de grange à l’écart de la fête, devant laquelle on passe lors de nos trajets entre la villa de Claudia et le village. Je l’embrasse avec férocité. Elle se laisse aller en passant les bras autour de mon cou et en m’entourant d’une jambe, me serrant contre elle. Elle grogne en sentant mon érection et attrape la bosse de mon pantalon avant de me tirer vers la porte de la grange. Je l’éloigne de moi un instant pour ouvrir la grange.
Je réussis à faire coulisser la lourde porte en bois et la lumière envahit l’endroit. Il n’y fait pas trop noir grâce à une ouverture en hauteur. Alors que je bande mes muscles pour refermer le battant, je la vois pianoter sur son téléphone puis prendre une photo de sa tête.
— Quand tu auras fini ta petite séance photo, on pourra reprendre ? dis-je d’un ton acerbe.— Oui oui désolé chou me voilà...
Elle s’approche de moi et se met à genoux tout en me souriant.
— Non, on a pas le temps, ils vont remarquer notre absence, dis-je.— Oh... dommage, j’avais bien envie de goûter à ta queue... marmonne-t-elle avec une moue innocente.
Je regrette à moitié mon choix, de la douzaine de filles que j’ai pu me faire, aucune ne suce aussi bien qu’Elle. Elle se relève et sachant qu’elle aime que je prenne les devants, je la retourne et la pousse sur une table en bois au milieu de la grange. Elle pousse un petit cri puis se redresse sur les coudes, la tête posée entre ses paumes, le cul tendu vers moi.
— C’est quoi la suite du programme ? déclare-t-elle sur son ton moqueur au travers duquel je perçois toutefois son excitation.— T’inquiète pas, ça arrive...
Je soulève sa jupe puis me mets à genoux pour mordiller ses belles fesses. Elle frémit alors que je fais glisser sa culotte le long de ses jambes. Je prends quelques instants pour regarder sa petite chatte rasée dans l’ombre et passe un long coup de langue dessus qui la fait gémir.Je me relève et Elle tourne la tête vers moi en souriant avant de remuer ses fesses comme une danseuse.
— Tu veux ta fessée c’est ça ?— Je sais pas, à toi de voir si j’ai été sage...
C’est l’heure de notre petit rituel... je caresse un peu son beau cul ferme tout en profitant de la vue. Au loin, la musique s’arrête, ils doivent être en train de changer de son. La grande pièce est donc totalement silencieuse.Elle retient sa respiration.Ma main s’abat violemment sur sa fesse droite lui arrachant un cri au moment où la musique suivante démarre.Je réitère mon geste, ma main frappant sa croupe blanche sèchement en rebondissant sur la chair tendre. Elle pose la tête contre la table en grognant et tend les bras loin devant elle, se cambrant vers moi.
— Tu adores ça hein...—...— Réponds !— Humm...
Ma main s’abat à nouveau, plus fort cette fois.
— AH ! OUI ! Continue...
Elle frissonne alors qu’à chaque fessée, je m’attarde de plus en plus longtemps sur sa peau, la malaxant doucement. Ses fesses et ses cuisses se couvrent de chair de poule à mesure que je m’approche de sa chatte.Elle finit par essayer de se redresser, mais d’une main, j’attrape sa hanche pour la maintenir dans cette position.
— Tututut, tu ne vas nulle part... tu m’as trop chauffé avec toutes tes photos ces derniers jours... tout ça dans le dos des autres. Ça t’excite, je parie ?
CLAP !
— AAAAHH... c’était pour te faire plaisir... dit-elle d’un ton implorant.
CLAP !
— Non non, c’était juste pour me faire bander en sachant que je pouvais rien y faire...
J’aperçois alors son petit sourire satisfait.
CLAP !
— AAAAAAHHHH...— Petite allumeuse... je sais que t’adores ça... d’ailleurs, tu vas me demander toi-même de te fesser.— Ah... non... tu rêves haha... répond-elle, essoufflée.
Je l’observe sans rien dire puis je glisse doucement un doigt entre ses deux fesses. Je m’attarde sur son anus, le masse un peu, ce qui la fait gémir puis j’atteins son sexe qui est totalement trempé. Elle mouille énormément quand elle est vraiment excitée et je ne suis pas déçu. Elle respire de plus en plus fort.
— Ta petite chatte est brûlante, plus vite tu me demanderas ta fessée, et plus vite je viendrais te la remplir.— Hum... mets-moi une fessée... dit-elle d’une toute petite voix qui décuple mon excitation.— J’ai pas entendu.
CLAP ! (j’ai frappé moins fort cette fois)
— OUI FESSE-MOI ! PLUS FORT MEHDI !
CLAP !
— Bon... maintenant, je vais te baiser.
Elle ne répond pas, mais commence à s’agiter, toute contente, si Elle avait une queue (de chien pas d’homme hein...) Elle la remuerait. Elle se cambre en sautillant alors que je sors ma queue. Je viens buter contre sa chatte, mais je n’entre pas dedans. Elle tourne la tête vers moi, intriguée. Je m’amuse alors à frotter son sexe de bas en haut avec mon gland.Elle est tellement excitée qu’elle grogne en respirant tout en tendant ses fesses vers moi, bougeant son bassin comme pour aspirer ma bite en elle. Mais j’attends encore un peu.
— C’est bon Mehdi j’en peux plus, mets-la-moi !— Hum... je suis pas encore convaincu, rétorqué-je en frottant son clitoris.—... S’il te plaît, prends-moi je veux ta queue, supplie-t-elle.
Je coince ma queue entre ses fesses puis frotte toute la longueur de sa raie des fesses avec. Ses gémissements deviennent des lamentations et au moment où elle se met sur la pointe des pieds pour essayer de provoquer la pénétration d’elle même, je m’enfonce en elle d’un coup sec. Mon coup de bassin la propulse en avant et elle serait tombée sans la table pour l’accueillir.
— HHHUUUMMMM... OOHH... putain ça faisait longtemps c’est si bon...— Tu kiffes que je te remplisse hein...— Oui ! Allez baise-moi !
Je glousse, ça se voit qu’elle est en manque, elle ne s’abaisse jamais à demander ou à supplier d’habitude. Je prends mon pied à la mettre dans cette position pour une fois. Son vagin est à la fois trempé et en feu. Elle râle d’excitation alors que je commence des petits va-et-vient. Puis je m’amuse à la sortir entièrement avant de revenir la pénétrer jusqu’au fond. Je commence à la bourrer doucement et mon pubis vient bientôt claquer contre ses grosses fesses. Elle pousse des petits cris à chaque fois, les mains, la joue et les seins plaqués contre le bois de la table.

Mais ça ne me convient pas ça, je veux l’admirer. Alors je la tire en arrière par la taille et la plaque contre moi. Collée à moi, elle m’offre son cou que je commence à mordiller en lui mettant des coups de reins de plus en plus puissants, lui arrachant des cris de plus en plus bruyants. Je lui arrache rapidement sa chemise pour voir ses seins se balancer. Puis je la fais se repencher en avant, mains sur la table. Je lui ai laissé sa cravate qui se balance entre ses deux seins, toujours serrés dans son soutien-gorge. Face à ses cris désormais trop dangereux, je ramasse sa culotte et lui fourre dans la bouche pour la faire taire.Elle est incroyablement excitée et curieusement, j’ai l’impression que je n’en suis pas la cause. Il s’est peut-être passé un truc au cours de la soirée...
Elle continue à pousser des cris sourds tout en commençant à se caresser frénétiquement le clitoris. Face à tout le boucan qu’elle fait et à la mouille que je vois couler le long de ses jambes, je comprends qu’elle ne va pas tarder à jouir même si on vient de commencer. C’est vrai qu’on n’a jamais baisé dans un contexte aussi excitant et je bande comme rarement j’ai bandé. Elle est de plus en plus fébrile et pousse de véritables gloussements de plaisir.
— T’es... ANH !... vraiment une grosse cochonne toi !— HHHUUMMMMMMM !!
Je malaxe à pleines mains ses fesses bombées en parcourant des yeux son corps. Sa cambrure parfaite, son dos musclé luisant de sueur, son cul imposant qui rebondit sur ma bite...J’augmente la cadence, la démontant dans les règles.Mes mains enserrent sa taille de guêpe et elle ne peut qu’endurer mes coups de reins en gémissant et en s’agrippant à la table, entièrement soumise à ma volonté.Je la bourre tellement fort que ses lunettes sautent de son visage et tombent par terre. Heureusement, ce sont des fausses.Dehors, la musique s’arrête à nouveau. La grange sent le sexe à plein nez et les bruits sont amplifiés par le silence de la nuit, ses cris étouffés, mes grognements, mes couilles qui claquent, la table qui grince...Je lâche sa taille et saisit ses deux couettes, la tirant en arrière, réalisant un vieux fantasme. La tête en arrière, elle est cambrée à l’extrême et ses cris virent dans les aigus.

C’est quoi ce son ?
Il m’a semblé entendre un grincement. Elle n’a pas l’air de l’entendre avec tous ses geignements. Je tourne la tête.La porte de la grange est entrouverte.
...Arthur.Il se tient immobile dans l’embrasure, son visage affichant une expression totalement vide.Il me regarde, moi.
Moi et Claudia que je suis en train de démonter en levrette.
Je croise son regard, mais il ne semble plus me voir. Il se retourne et s’en va brusquement. Je lâche les couettes de Claudia et m’immobilise. Cette dernière me lance un regard assassin en crachant sa culotte par terre.
— Pourquoi tu t’arrêtes ! J’étais sur le point de jouir !— Euh... je... tu n’as pas... ?— Non j’ai pas joui, allez on continue !
Elle se met à se déhancher sur ma queue, s’empalant d’elle-même en venant me frapper avec sa croupe parfaite. Je voulais dire “tu n’as pas vu ?”, mais elle m’a interrompu. Je comprends rapidement qu’elle n’a pas remarqué Arthur. Je reprends doucement mes coups de reins, totalement perturbé. Je crois apercevoir à nouveau une ombre au niveau de l’embrasure de la porte, mais quand je tourne la tête, je ne vois rien.
— Allez plus fort comme tout à l’heure ! Qu’est-ce qui t’arrive ? gémit Claudia en ondulant du bassin contre moi.
Je me reprends et décide de mettre Arthur de côté pour l’instant dans ma tête. Mieux vaut que Claudia n’apprenne pas ça.
Je lâche donc ses hanches et l’attrape par ses avant-bras délicats. Puis, lui tirant les bras en arrière, je reprends une levrette brutale. Ses gros seins remuent dans tous les sens et l’un d’eux jaillit de son soutien-gorge, exposant son téton rose et dur à l’air libre. Nos deux corps claquent avec violence l’un contre l’autre et sans son bâillon improvisé, elle gueule comme une folle. Je me demande bien comment je fais pour continuer comme si de rien n’était après ce qui vient de se passer, mais la réponse est sous mes yeux, cette fille est une déesse du sexe, son physique est entièrement fait pour ça, qu’il s’agisse de sa voix mélodieuse poussant des cris obscènes ou de sa peau douce recouvrant une chair ferme, mais généreuse. Malgré tout ça... je ne suis pas dedans, je sens que je ne vais pas finir.
Soudain, je sens qu’elle jouit, elle cesse de crier, à bout de souffle et pousse des petits couinements incontrôlés. Son corps est agité de spasmes et elle m’éclabousse de mouille. Ses jambes ne la portent plus et elle tombe à genoux, moite de sueur, baignant dans un plaisir intense.
Sans réfléchir, je me rhabille aussitôt. Encore dans les vapes, Claudia ne le remarque pas directement. Puis elle fronce ses jolis sourcils.
— Mais... tu vas où ? T’as pas fini toi.— Désolé j’ai... euh... un truc à faire.— T’es sérieux ?
Sans lui répondre, je me dirige vers la sortie. De toute manière, impossible pour moi de terminer maintenant, je suis trop perturbé. Je sors de la grange puis cherche autour de moi où est passé Arthur. Au moment où je m’éloigne, j’entends un petit cri dans la bâtisse. C’est vrai que je n’aurai pas dû laisser Claudia toute seule comme ça après l’avoir baisée, elle doit être en train de m’appeler, furieuse. Je fais demi-tour, mais quand je regarde par l’embrasure, je m’aperçois que ce n’était pas un cri de colère, mais de surprise.Claudia est toujours par terre près de la table, en train d’enfiler sa chemise, mais elle a le regard tourné vers quelqu’un d’autre, je n’avais donc pas rêvé en voyant une ombre se glisser dans la grange !Jean se tient à quelques mètres d’elle, en train de se branler.
— Mais ça va pas la tête ? Depuis... depuis quand t’es là !? Pervers !— Depuis bien assez longtemps pour profiter du spectacle, mais pas assez pour me finir moi aussi. Tu veux pas m’aider ? répond-il avec un sourire goguenard.
Claudia, mortifiée, se cache le visage avec les mains. Jean vient se placer juste devant elle, il ne se branle plus, mais sa queue assez grosse se balance devant la jeune fille.
— Oh putain... sale voyeur, t’as que ça à faire ?? reprend-elle.— Oh arrêtes, vu la coquine que t’es en réalité, je suis sûr que ça t’excite de savoir qu’on te mate. Après tout, tout le monde te reluque H24 et t’as jamais l’air de remarquer ou d’y réagir... mais en fait, tu kiffes nous allumer hein...— Non je... je...éloigne ta bite de là ! réponds Claudia en tournant le regard.— Oh allez, juste une petite gâterie en souvenir du bon vieux temps où on était ensemble et qu’on a jamais rien fait. Faut rattraper ça, maintenant que t’es plus ouverte.
Jean la regarde de haut, sourire aux lèvres et Claudia tente de soutenir son regard. Mais ses yeux ne peuvent s’empêcher de faire des petits allers-retours en direction de l’érection glorieuse de Jean.
— Bah alors... c’est moi qui te fais cet effet-là ? minaude-t-elle finalement en se tapotant la lèvre du bout des doigts.— Tu peux pas savoir comme tu m’excites Claudia... t’es devenue tellement bonne... allez, fais-moi plaisir, ça durera pas longtemps je suis à bout là, susurres maintenant JB.— Bon, si t’as bientôt fini... mais pas de fellation, je te termine juste à la main.
Putain la salope ! Je ne m’y attendais pas du tout. Claudia saisit sa queue bronzée qui semble gigantesque dans sa petite main blanche. Alors qu’elle commence à le branler, Jean pousse un râle en écartant d’une main la chemise de Claudia. Je l’entends siffler en apercevant son soutien-gorge et le trésor qu’il contient.
— Putain, si j’avais su... tu caches bien ton jeu, grogne Jean.
Je secoue la tête et m’éloigne de là.Claudia fait ce qu’elle veut, notre relation n’engage à aucune exclusivité. Bon, plus le temps de réfléchir. Je pique un sprint jusqu’à la place du village où la fête bat toujours son plein. J’aperçois Cassandre qui discute avec Tanguy assis sur des marches, l’air de le réconforter. S’il savait où était sa “copine” en ce moment...
Mais pas d’Arthur. Avec le choc, il a dû rentrer directement chez Claudia. Je fais donc demi-tour et je repasse devant la grange, au moment où je dépasse l’entrée, la porte coulisse derrière moi et j’entends Claudia et Jean sortir.
— T’es chiant Jean ! T’aurais pu me prévenir, t’en as foutu partout, je suis toute collante maintenant !— Oh, c’est bon, tu t’es essuyée non ? Bon et si on rentrait pour passer au plat de résistance...— Alors là tu... oh merde, cache-toi !
Je me retourne et vois Claudia pousser JB dans une ruelle adjacente. Je me cache sous un porche moi aussi. Deux silhouettes arrivent depuis la fête en riant fort. Je reconnais Diego et Jeremias, les amis d’enfance de Claudia, lorsqu’ils s’approchent d’elle.
— Ah tu étais là ! s’exclame Diego.— Sacrée soirée, pas vrai ? marmonne Jeremias en scrutant Claudia.— Haha, ouais ça c’est sûr, répond la Portugaise en reboutonnant précipitamment les derniers boutons de sa chemise.
Diego glousse alors.
— Claudia, t’as un truc blanc et visqueux juste là...
dit-il.
— Ah... euh... oui c’est... répond Claudia en rougissant violemment.— Du calme du calme... je suis pas ton grand frère, je dirai rien à tes parents haha... il faut bien que jeunesse se fasse.— Hein ? Mais c’est pas du tout ce que t’as l’air de croire, s’exclame Claudia en reprenant contenance.— Mais oui, bien sûr... bon allez viens, je suis venu te ramener à la fête, ça fait longtemps, faut profiter de notre temps ensemble.
Diego fait demi-tour en riant, il a l’air un peu saoul. Ce type me paraît vachement sympathique pour le coup, contrairement à ce qu’il vient de dire, il a vachement l’air du grand frère de Claudia. Jeremias sort un mouchoir et, toujours aussi peu bavard, le tend à Claudia qui le remercie en baissant les yeux au sol. Elle paraît étonnamment gênée face à lui, je l’ai rarement vue comme ça.
— Merci c’est sympa, lui dit-elle.— Allons-y, répond-il en lui faisant signe de passer devant.
Il la suit et pose une main sur ses fesses pendant quelques secondes avant de la remonter sur ses reins. Claudia semble surprise, mais elle ne dit rien. Quant à moi, je sors de l’ombre et me mets à courir en direction de la villa. Alors que je traverse un champ à toute allure, mes pensées se bousculent les unes les autres. Comment ai-je pu être aussi stupide et inattentif ? Évidemment qu’Arthur est toujours amoureux de Claudia ! Mais bon sang... s’il m’en avait parlé, les choses seraient peut-être...Non.Non, la situation serait identique.Au fond de moi, je l’ai toujours su, mais je ne voulais pas me l’avouer, je ne voulais pas que la culpabilité m’empêche de profiter d’un plan cul pareil. Une fille pareille, on en baise une qu’une fois dans sa vie.Et Arthur... ce pauvre Arthur, lui qui l’idéalisait tant, il a fallu que ce soit de cette manière qu’il apprenne qu’elle n’est pas celle qu’il croit...Il faut à tout prix que je lui parle, que je m’explique que...
Mais qu’est-ce que j’ai foutu ??C’est la question qui me taraude l’esprit alors que je cours à travers le champ abandonné qui sépare le village de la villa de Claudia. Merde quel idiot ! J’ai toujours su que ça finirait comme ça. Rien n’est encore perdu, je peux peut-être tout arranger !
Je trébuche et m’étale de tout mon long dans la poussière. Les paumes de mes mains saignent, et mon cœur bat la chamade.
Je me relève et fonce vers la maison dont les lumières paraissent éteintes à première vue. Je reprends mon souffle en constatant mon échec. Arthur n’est même pas là. Je rentre à l’intérieur puis me dirige vers la cuisine afin de nettoyer mes mains. Alors que je bois un verre d’eau en réfléchissant, j’entends un bruit à l’étage. Une sorte de râle...
Je monte doucement l’escalier, essayant d’être le plus silencieux possible. Le bruit vient de la chambre de Natasha.Je glisse un œil dans l’embrasure et j’aperçois quelqu’un couché dans le lit. Je reconnais les cheveux bouclés d’Arthur. Il est couché sur le dos, torse nu et... j’aperçois une forme sous la couverture, au niveau de son entrejambe. Il est en train de se faire sucer ! La pompeuse a la bouche bien remplie et elle produit des bruits de gorges et des gémissements éloquents sur le plaisir qu’elle prend à la tâche.
Eh bien... moi qui m’inquiétais. Je m’éclipse en m’interrogeant toutefois, qui était la fille sous la couverture ? En me remémorant la soirée, je me rappelle à quel point Natasha était proche de lui. Et ils sont dans sa chambre.
Bon sang !

Peu importe, même si j’éprouve un peu de jalousie, c’est ma culpabilité qui pèse le plus actuellement. Je ressors dehors et pousse un soupir en regardant les lueurs de la fête au loin.Quel merdier...

Merci pour votre attente, chapitre assez pivot, j’espère que ça vous aura plu, laissez-moi un commentaire, j’adore vous lire ;).
Rappel des personnages :
Importants actuellement :
— Mehdi : Moi même, est-il réellement nécessaire de vous rappeler qui je suis ? — Arthur : Mon meilleur ami, geek, blondinet, "mignon" d’après certaines. La nature l’a doté d’un prodigieux appareil, c’est sans doute ça qu’elles trouvent "mignon"...— Xavier : Un pote à moi, petit blond qui aime se la raconter.— Tanguy : Un ami à Arthur qui "sort" avec Claudia. Grand, châtain, cocu. Il a des difficultés à jouir. Haha.— Jean-Baptiste : Un grand métis musclé du lycée qui a réussi à s’incruster dans notre petit voyage. Malheureusement pour nous, un gros baiseur. Il a sauté Natasha sous mes yeux. — Diego : Ami d’enfance de Claudia, physique de militaire, classe et très sûr de lui.— Jeremias : Meilleur ami de Diego, il connaît aussi Claudia depuis longtemps, c’est un grand blond assez séduisant. — Claudia : Notre hôte, latina incendiaire dont les courbes défient l’imagination. Cheveux châtains, yeux bleus, lèvres pulpeuses et bonnet D. — Anaïs : Ma petite sœur, et encore une fois, allez vous faire foutre si vous vous attendez à une description. — Alicia : Petite blonde au physique de poupée qui est malheureusement sur moi. Incroyablement belle, superbement dotée d’un bonnet E, mais malheureusement pour elle, pas mon type de personnalité.— Natasha : Brune sportive aux fesses bien musclées et à l’énergie inépuisable. Refuse mystérieusement à mon charme, à ma plus grande déception. Bonnet B.— Cassandre : Eurasienne à la coupe au carré, Cassandre est aussi intelligente qu’arrogante. Un Bonnet C appétissant et des fesses qui valent le détour. Je suis sûr qu’elle me chauffe.— Lola : Ma meilleure amie, rousse, garçon manqué, avec un bassin sacrément large et un bonnet D.

Moins importants :
— Pénélope : Cousine de Claudia, un physique semblable, mais moins généreux, les cheveux teints de rouges, j’ai réussi à la baiser à une soirée déguisée en me faisant passer pour son mec.— Diana : Fille du village de Claudia que j’ai rencontrée à la soirée du village, elle a une énorme paire de meules...— Éléonore : La plus belle fille du lycée, rousse, des formes incroyables, un visage de magazine, elle m’a sucé pendant que son mec la trompait dans une penderie avec Claudia.
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