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Mes aventures dans le porno

Chapitre 1

Les débuts

Hétéro
Pour des raisons d’anonymat, les noms de toutes les personnes ont été modifiés. Cela ne modifie en rien la véracité des faits.
19 septembre 2017
Je m’appelle Tom, et aujourd’hui, c’est mon anniversaire. J’ai enfin l’âge de la majorité. Physiquement, il n’y a pas de changements : j’ai toujours les yeux marron, les cheveux noirs et un corps mince qui mesure 175 centimètres. Je suis tout ce qu’il y a de plus banal.Ce jour-là, je suis allé m’inscrire chez UberEats, l’argent me manquait, donc il me fallait un job avec des horaires flexibles qui ne m’empêchent pas d’aller au lycée et d’obtenir mon bac.
23 Septembre 2017
Cela fait deux jours que ma copine m’a largué, nous étions ensemble depuis presque une année, mais nous n’avons jamais couché ensemble, elle disait vouloir attendre le bon moment. Si j’avais su, j’aurais insisté pour faire ma première fois avec elle.
Aujourd’hui, j’ai également reçu le sac UberEats qui va me permettre de commencer à travailler.
30 Septembre 2017
Je fais des livraisons depuis une semaine, je m’autorise à travailler une heure par jour. Ce soir, il me reste une livraison qui est, à ma surprise, énorme. J’arrive sur mon scooter au lieu de la livraison : une maison à l’autre bout de la ville. Le portail est ouvert, je rentre. En m’approchant de la porte, j’entends plusieurs voix qui émanent d’une fenêtre ouverte : plusieurs femmes qui rient et un homme énervé qui râle. L’homme se plaint si fort que j’arrive à décrypter ses phrases : « Je vous jure que s’il n’est pas là dans trente secondes, je vais dans la rue, et je prends le premier gars que je vois et je le fais tourner à sa place ! » « Il a une heure de retard, ce trou duc’ ! ». Puis, j’entends une femme se plaindre à son tour : « Ne me parle pas de cul ! Moi, je suis venue m’amuser, pas attendre ».
Je ne fais pas attention aux voix et je sonne à la porte, j’entends des bruits de pas forts et rapides. La porte s’ouvre violemment. C’est un homme en chemise et pantalon que je vois, il porte également des lunettes.
— Qui est ce gars, crie-t-il dans la maison.— Ça doit être ma commande, mais j’ai aussi commandé pour vous, répond une femme que je n’arrive pas à voir.
L’homme repart dans la maison et une jeune femme arrive. Elle est brune avec des yeux marron et est légèrement plus grande que moi. Elle porte une brassière jaune fluo qui enferme ses seins développés et laisse son ventre à découvert, en bas, elle porte un legging noir dans lequel j’aperçois le triangle de son entrejambe. Elle est magnifique.Un courant d’air passe, elle frissonne.
— Il fait froid, dit-elle. Ça vous dérangerait de déposer notre commande à l’intérieur ?— Non du tout !
J’entre dans la maison avec mon sac, l’intérieur est grand. Au milieu de la pièce, il y a un canapé éclairé par des parapluies de lumière. La jeune femme me montre une table sur laquelle je dépose la commande. D’autres personnes sont là, un autre homme, et une autre femme; tous les deux habillés normalement. La jeune femme vide mon sac sur la table et me le rend.
— Il manque mes sushis et mon saké, dit-elle en posant sa main droite sur sa hanche.— Je suis désolé, je ne m’occupe que de la livraison, c’est le restaurant qui s’occupe de remplir mon sac.— Je sais, ne t’inquiète pas, mais ça fait plusieurs fois que ce restaurant oublie certaines choses; je vais aller récupérer ma commande et lâcher un coup de gueule.
L’homme à lunette qui m’a ouvert la porte soupire :
— Tu ne vas pas nous laisser, toi aussi, dit-il à la jeune femme.— Il a une heure de retard et l’on ne sait même pas s’il viendra, moi, je ne travaille pas dans ces conditions.
La jeune femme se tourne vers moi :
— Pouvez-vous m’indiquer l’adresse du restaurant ? me dit-elle.— Je ne l’ai pas sur moi, mais je l’ai sur mon GPS, je dois y retourner pour me faire payer, donc je pourrais vous y déposer.— Je veux bien !
La jeune femme met une veste et enfile des Vans rouges. Elle salue les autres et m’accompagne à la sortie, elle me dit s’appeler Emma et je me présente à mon tour. Sans nous en rendre compte, nous nous tutoyons. Une fois devant mon scooter, je lui tends un casque, elle le met. Je m’installe sur le scooter et le démarre, elle monte à son tour.
Nous sommes arrivés devant le restaurant, elle descend du scooter et retire son casque; je fais de même, et me secoue les cheveux qui avaient passés leur soirée enfermés dans le noir. Le voyage et le casque ont bouclé les longs cheveux d’Emma. On entre dans le restaurant japonais et Emma se plaint de l’oublie dans sa commande auprès du gérant, ce dernier pour se faire pardonner, offre à Emma la commande et la double. On ressort du restaurant, et je demande à Emma si elle habite loin, elle me répond qu’elle habite à l’opposé du restaurant. Je lui propose de la raccompagner, elle accepte en souriant.
En milieu de trajet, elle me demande de m’arrêter, je m’arrête dans un endroit sûr. Emma montre du doigt un terrain avec plusieurs bungalows.
— Je n’ai jamais compris ce que c’est, me demande-t-elle.— Un camping, mais il est vide; personne ne passe ses vacances dans un camping en pleine banlieue parisienne.— Allons voir mon cher Tom.
Je fais le tour du camping avec Emma. Malgré le peu de clients, le camping est bien entretenu, les bungalows sont de toutes tailles, allant du petit bungalow simple au bungalow familial avec une terrasse.
— C’est pas mal ici, dit Emma.— Oui, dommage qu’il n’y ait personne.— Je vais louer un bungalow, ça peut être marrant.
J’accompagne Emma à l’accueil, elle loue un bungalow familial pour une semaine. Elle insiste pour que je vienne manger des sushis avec elle, j’accepte.
J’entre dans le bungalow juste après Emma, mais je reste dans l’entrée. Emma m’autorise à visiter et me demande de m’installer dans la chambre.La chambre est une petite pièce, elle n’est remplie que d’un lit double et de deux tables de nuit. Les murs sont en bois tout comme le sol. Elle est éclairée par une ampoule jaune au plafond, une couleur orange se propage dans la pièce.
Emma entre dans la chambre avec deux plateaux remplie de sushis, de bols à sauces et de verres. Elle les dépose sur le lit.
— Fais comme chez toi, me dit-elle. De toute façon, ce n’est pas chez moi non plus.
Je m’installe dans le lit, Emma me rejoint.
— Merci d’avoir accepté ma proposition à dîner, je me serai sentie gênée de ne pas te remercier après tout ce que tu as fait pour moi ce soir.— Ne t’inquiète pas, ce n’est pas grand-chose, dis-je pour la rassurer.— Il faut peut-être que je te rembourse l’essence.
Je souris.
— T’es folle ? Je n’accepte pas ton argent.
Elle sourit à son tour, je remarque que sa dentition est parfaite.
— Ce serait indiscret de te demander combien tu gagnes Tom ?— Non, je gagne environ 12 euros par heure. Ce n’est pas grand-chose, mais c’est un petit job. Et toi ? Je ne sais même pas ce que tu fais dans la vie.— Tu vas me trouver bizarre si je te le dis.— Mais non !— Tu le promets ?— Promis !
Elle met un temps à répondre.
— Je suis actrice X.
Je me mets à rire.
— Tu mens, lui dis-je. Une fille aussi belle ne peut pas faire ça. — Je te remercie, mais le milieu de la pornographie est un milieu sécurisé. Les gens qui entrent dans ce milieu s’aident beaucoup, c’est comme une grande famille, sauf qu’on est incestueux, dit-elle avant de rire.— Donc t’es vraiment actrice porno ?— Oui, mais la plupart des gens ont des préjugés sur ce métier, je trouve ça dommage.— Alors, explique-moi Emma. J’aimerais savoir comment fonctionne ce milieu.
Emma me sourit :
— Je ne sais même pas par où commencer, la rémunération est de 800 euros par scène pour les femmes et de 600 euros pour les hommes. Une scène, ça correspond à six positions sur le tournage.
Je laisse Emma m’expliquer le milieu de la pornographie, plus elle parle et plus je me rends compte que c’est un milieu dans lequel on gagne beaucoup d’argent facilement et que l’on couche avec de très belles femmes très facilement.Emma termine ses explications.
— Voilà ! Tu sais tout ce que moi je sais, Tom.— Honnêtement, je suis assez surpris, tout à l’air simple avec le porno. Ça donne vraiment envie.— Dans ce cas, rejoins-nous, dit Emma, avant de rire.— Emma, j’aimerais bien, mais je ne pense pas que mon visage soit fait pour le porno.— Pas de problème, on peut s’arranger pour ça.— Mon second problème est un peu plus personnel, je suis puceau.
Emma se met à rire encore plus.
— Je comprends, tu veux le faire avec une fille qui t’aime et que tu aimes en retour.— Non, du tout, je suis sorti un an avec une fille et on n’a jamais couché ensemble. Je veux seulement le faire avec une personne en qui j’ai confiance.— Dans ce cas, le fait que tu sois puceau c’est même un avantage pour toi. Je ne sais pas si tu es sérieux ou non, mais si tu l’es, sache que je devais tourner une scène ce soir, mais l’acteur nous a lâchés; tu pourrais le remplacer très rapidement, tout serait déjà prévu.
Je me mets à rire.
— C’est tentant Emma. Mais je ne sais pas baiser.— Je vais t’entraîner, t’inquiète pas.— Si c’est toi, je veux bien.
Emma quitte le lit et va dans la salle de bain. Elle revient deux minutes plus tard avec un flacon de crème hydratante.
— Bon, tu es sûr de vouloir tenter Tom ?— Oui !— OK, sors ta queue; je vais te sucer.— Maintenant ?— Oui, j’ai besoin de voir ton endurance.
Je suis gêné, c’est la première fois que je vais me faire sucer, je n’ai pris une douche qu’avant de partir faire mes livraisons et j’espère ne pas avoir trop transpiré. C’est également la première fois que je vais montrer mon sexe à une fille, j’ai la boule au ventre. Je défais ma ceinture, ouvre le bouton de mon jean, descends la braguette, puis retire mon jean et mon boxer dans le même temps. J’ai l’air débile, le sexe bandant à l’air et en tee-shirt, je le retire donc également.Emma pointe du doigt mon sexe :
— Ta queue à l’air, contente de me voir, dit-elle en souriant.
Elle s’approche de mon sexe, tend la main vers lui et le touche du bout des doigts tout en vérifiant mes réactions à chaque fois. Elle l’attrape enfin et le met en entier dans sa bouche. Elle la ressort pleine de salives et me sourit; elle se met à le lécher puis à le faire glisser sur ses lèvres tel un rouge à lèvres.
— Je ne vais pas te mentir, mais c’était mon objectif de la soirée, dit Emma en souriant.
Elle lèche mon sexe sur toute la longueur, puis met mon gland dans la bouche et l’aspire tout en me masturbant. Elle dépose sa deuxième main sur ma queue et se met à me sucer le gland en me masturbant plus fortement. Jusqu’à ce moment, je ne me rendais pas compte de ce qu’il m’arrive, mais là, j’ai l’impression de pouvoir jouir continuellement dans sa bouche. Emma sort sa langue et me lèche tout autour du gland, elle continue en me léchant toute la queue.La sensation est trop bonne, je me mets à sourire bêtement. Elle gobe mon sexe en entier puis fait des va-et-vient bruyants. Elle sort parfois mon sexe de sa bouche pour me masturber tout en avalant mes boules.
— Emma, je ne vais pas tarder à éjaculer.
Emma acquiesce en levant le pouce. Mon sexe en bouche, elle continue ses va-et-vient; mais cette fois-ci, lors de ses allées, elle me lèche; et lors de ses retours, elle m’aspire la queue comme si c’était une paille.Sa technique ne manqua pas de me faire éjaculer dans sa bouche. Emma avale.
— Pas mal pour une première, me dit-elle. Mais peut mieux faire.— Ce n’est pas facile de tenir, c’était si...chaud et humide.— Chaude et humide, c’est tout moi ça, elle rit. Bref exercice deux !
Emma reprend son flacon de crème et s’en applique une grosse quantité entre les seins; elle ne retire pas sa brassière. Elle s’allonge sur dos et écarte les bras.
— Mon petit Tom, tu vas me baiser les seins, tu as le droit de les toucher, de les attraper et d’ajuster ta prise pour mieux les baiser. Allez, viens sur moi.
Le principe de l’exercice me fait rire. Je me mets à genoux par-dessus Emma. J’enfonce ma queue entre ses seins assez facilement grâce à la crème. C’est chaud et serré grâce à la brassière qui maintient les seins d’Emma en place.Je commence mes va-et-vient lents et de la crème commence à se rependre. Je continue ce mouvement facile et répétitif, mais Emma m’interrompt : - Je ne suis pas vierge, Tom.
— Pardon ?— Tape plus fort !
Emma rit. Comme demandé, je me mets à taper plus fort et je mets de la crème partout sur le buste d’Emma. Je ressens moins de plaisir lorsque je tape fort, car les seins vont trop en avant. Je les attrape et les maintiens donc à leur place afin de remédier à ce défaut. J’ajuste la vitesse et la force de mes coups en fonction de mon plaisir et de mon endurance. Je jouis rapidement sur le visage d’Emma qui essaye de lécher du sperme qui était arrivé sur sa joue.
Emma me tend une serviette que j’attrape.
— Je t’entraînerais souvent afin que tu puisses gagner en endurance.— Je ne dis pas non, c’était incroyable Emma.— Je sais.
Je m’allonge sur le lit épuisé.
— Tu peux dormir ici si tu veux, me dit Emma.— J’accepte volontiers, merci !
Emma s’approcha de mon visage et m’embrassa.— C’est moi qui te remercie.
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