Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 221 J'aime
  • 2 Commentaires

Mes aventures au travail

Chapitre 4

Hétéro
Dès le lendemain matin, je sens une grande agitation en elle. Elle vire au cramoisi rien qu’en venant me dire bonjour. Mais en même temps, son chemisier est largement ouvert sur son décolleté, je peux apercevoir son soutien-gorge noir en broderie.
Elle tremble presque en me tendant la joue.
— Mais qu’est-ce que tu fais ? — Ben, je te dis bonjour...— Euh... Carole... Tu n’as pas oublié quelque chose ?— Quoi ?
Je la sens inquiète d’un coup.
— Ben y a le virus !
Je pars dans un grand éclat de rire, elle parut gênée, mais elle rigole aussi.
— Oui, excuse-moi, mais je suis un peu chamboulée. Je n’ai pas arrêté de penser à ce moment de la soirée, et je m’en veux un peu de m’être livrée ainsi.— Écoute, à qui veux-tu que ça te dérange que tu aies pris ton pied ?— Mais Paul, tu es en couple et moi aussi d’ailleurs.— Je te rappelle que je t’ai dit que pour moi, tu n’étais pas une aventure, ou une histoire ou quoi que ce soit. Tu es venue vers moi, car tu avais des besoins physiques, que je te propose de combler. Je ne quitterai pas ma copine pour toi et de ton côté tu fais ce que tu veux également, tu n’as pas de compte à me rendre. Si tu as apprécié mon traitement d’hier, je te propose de continuer dans cette voie, j’ai déjà quelques idées. Mais je te rassure, je ne ferai rien sans ton accord préalable. Est-ce que tu es d’accord avec tout ceci ?— Je dois y réfléchir, je suis une femme sans histoire...— Oui sans histoire, mais qui a fait du pied à son jeune collègue tout de même...— Arrête, bien sûr que tu me plais, mais je ne pensais qu’à toi en fantasme.
Tiens ! Voilà de quoi rajouter un peu de grain à moudre.
— Dans tes fantasmes ?
Je la vois s’arrêter, toute penaude d’avoir dit ça.
— Oui enfin, tu sais des fois le soir quand tout le monde dort, ça m’arrive de penser à des hommes avec moi...
On dirait une petite fille prise en faute, elle se triture les doigts, je sens que la question du sexe chez elle est encore tabou.
— Et qu’est-ce que l’on te fait ?
Je m’inclus indirectement avec ces hommes pour voir si elle peut se lâcher un peu.
— Souvent, j’imagine plusieurs hommes en train de me caresser. Juste des caresses, mais sur l’ensemble de mon corps. Je sens vos mains sur mon ventre, mes jambes, mon cou...— Et toi ? Tu te caresses pendant ce temps là ?— Oui, je vais dans la chambre d’ami pour pouvoir imaginer tranquillement et me faire un peu de bien au passage.— Et ces hommes que tu imagines, tu les connais tous ?— Non, c’était juste des corps, mais ça fait quelque temps que toi tu es présent.— Tu m’en vois flatté, j’espère que je suis à la hauteur ?— Oh oui !
Elle a répondu dans un grand sourire. Je sens qu’elle est excitée. Peut-être s’est elle un peu lâché, pensant que je ferai quelque chose à ce moment-là, mais je ne suis pas encore prêt pour la suite.
— Bon il faut que je travaille, mais on se voit à midi ?— Oui bien sûr, bon courage.
Je la sens un peu déçue de la fin de cette discussion, mais bon, j’ai vraiment du boulot, et je ne peux pas mettre en place des choses si rapidement.
A la pause de midi, elle descend dans mon bureau, et tout en mangeant, nous parlons de choses et d’autres, en rigolant la plupart du temps. Et d’un coup, je sens son pied contre ma jambe. Je lève les yeux vers les siens et je vois un petit sourire malicieux sur son visage.
J’arrête de manger, pousse son pied et je la regarde droit dans les yeux.
— Carole, je prends ce mouvement de pied comme une invitation à continuer ce que nous avons commencé hier et je m’en réjouis, car en plus d’être une femme séduisante, j’ai moi aussi envie de me découvrir dans ce que nous allons faire, mais sache qu’à partir de maintenant, je serai le seul à décider où, quand et comment se passeront nos... séances. Tu ne décideras de rien et tu devras accepter mes directives.— Je veux qu’il y ait des limites.— Bien sûr, je ne franchirai jamais certaines limites, je ne ferai rien d’extrêmement dégradant autant psychologiquement que physiquement, ni dangereux pour toi, je te le jure. Je n’oublie pas que tu es mère de famille et que tu as des obligations et des responsabilités. Tu peux aussi dire “Arrêt” à tout moment et j’arrêterai dans l’instant.
Je ne prendrai également aucune photo ni vidéo sans ton consentement. Si tu dois m’en envoyer, je les effacerai instantanément.Bien sûr, il faut que tu joues le jeu de ton côté et ne pas tout refuser sinon cela ne sert à rien.Est-ce que cela te convient ?
— Oui tout à fait.— Parfait, alors pour fêter notre accord, tu vas me donner ta culotte.— Quoi ? Maintenant ? Comme ça ?— Je crois que tu n’as pas bien compris...— Oui bien sûr Paul.
Je la vois se tortiller sur la chaise et me tendre le bout de tissu.Encore une culotte standard... Verte... Pas terrible... Mais, je vois qu’elle est humide.
— Hmmmmm c’est pas terrible comme dessous, mais je vois que tu es bien excité encore...— Oui...
Elle baisse les yeux... Je reprends mon rôle.
— Regarde-moi quand je te parle ! Pour commencer, tu vas acheter des dessous un peu plus haut de gamme. J’ai bien vu quelques soutiens-gorge un peu sexy, mais ça n’est pas terrible dans l’ensemble. Et j’aime les femmes qui prennent soin de leurs sous-vêtements.— Mais les magasins sont fermés. — Dans ce cas-là, tu ne mets plus de sous-vêtements.— Mais... Mais...— Tu veux déjà arrêter? Si tu ne te mets jamais en danger, tu n’apprendras rien.— Non bien sûr que non, je ferai ce que tu voudras.— Très bien, à partir de demain, c’est chatte à l’air et je veux une preuve tous les matins. Tu vas voir, tu vas aimer ça.
Je ne sais pas si elle va oser. J’ai peur de partir de plus loin que ce que j’imaginais.
La pause finie, elle repart dans son bureau pour l’après-midi.Le soir venu, et mon travail terminé, je ne vais même pas lui dire au revoir. Elle doit décider par elle même.Je passe une partie de la soirée à me demander si elle va oser ou non et le lendemain matin, j’arrive bien émoustillé au travail.Mes horaires ne sont pas les mêmes que ceux de Carole et j’attends impatiemment son arrivée.
Aux alentours de l’heure où elle est censée arriver, j’entends quelqu’un faire le tour des bureaux de l’étage.Une fois à mon niveau, je vois que c’est Carole. A ce moment-là, mon cerveau est en ébullition et je me demande ce qu’il en ait.Elle rentre dans le bureau, me souhaite le bonjour et nous nous mettons à parler de tout et rien. Elle porte une tenue moderne avec une veste jaune, un top blanc, un jean troué et des talons ouverts. Elle a agrémenté cette tenue avec des larges lunettes finement cerclées en doré, qui lui donnent encore plus d’allure. C’est très en vogue, j’apprécie ce que je vois et je lui en fais la remarque. Bien sûr, elle sait où je vais en venir, mais je vois que ça lui plaît de me faire un peu travailler à mon tour.
— J’aime beaucoup ta tenue. Tu as fait attention... aux détails.— Oui, j’aime bien, ça fait moderne, sûre de soi.— Ca te va à ravir et ça correspond à ton état d’esprit.— Oui je voulais te montrer que je savais où je voulais aller !
JACKPOT
— Et où ça ?— Regarde...
Avec un sourire malicieux, elle prend un des trous de son jean et le détend un peu sur le côté pour me montrer qu’elle ne porte rien en dessous. Je vois sa toison bien distinctement. Elle est rayonnante.Mais je ne veux pas lui laisser le dernier mot. Je me lève, la fixe et je lui demande de ne pas bouger, je dois m’en assurer par moi même.
Ma main se glisse par le même trou du jean et en la regardant dans les yeux, je glisse ma main à l’extrême orée de ses lèvres sans toutefois les toucher, et je remonte doucement sur sa toison, elle a un léger mouvement de recul dû au chatouillement, mais ses yeux se sont fermés.Je lui glisse à l’oreille:
— C’est bien, je suis heureux que tu l’aies fait, mais tu devras maintenant t’entretenir. Je veux que tu gardes un triangle, mais fin et très court.
Elle est en train de se mordiller la lèvre. Il me suffirait de descendre de quelques centimètres pour lui glisser un doigt dans sa chatte que j’imagine humide à cet instant pour la faire monter, je la pistonnerais entre douceur et puissance afin qu’elle prenne son pied, puis je m’agenouillerais entre ses cuisses pour la lécher jusqu’à plus soif et enfin je la prendrais sauvagement contre la porte de mon bureau pour la faire crier, mais j’enlève ces visions de ma tête, il est encore trop tôt pour ça.
— Alors ça fait quoi de se sentir nue sous tes vêtements ? — C’est... indescriptible, ça m’amène une confiance en moi incroyable tout en me rendant vulnérable à tes assauts, c’est une sensation hors du commun, je suis tellement excitée depuis ce matin que je suis obligée de vérifier que l’on ne voit pas que je suis humide en permanence.
Je remarque qu’elle n’a parlé que de mes assauts, et pas de n’importe qui d’autre. Ca me donne de mon côté aussi, un sentiment de puissance vraiment grisant, mais de savoir que je suis en train de la libérer décuple ce sentiment.
— C’est exactement ce que j’attendais... Et ce n’est que le début. Tu trouveras dans le tiroir du bas de ton bureau un paquet. C’est un cadeau de ma part pour avoir relevé cette étape, mais tu ne l’ouvres que quand je te le dirai.— Qu’est-ce que c’est ?— Parce que tu crois que je vais te le dire ?
Elle s’en va tout en me lançant un regard inquisiteur.
Je me mets au travail, mais j’ai bien du mal à me concentrer. Je ne tiens pas bien longtemps, je compose son numéro abrégé, elle décroche, je l’entends dire “oui ?” d’une voix peu assurée. Je lui dis uniquement d’ouvrir son cadeau et je raccroche.
Quelques secondes plus tard, je reçois un email: “Maintenant ?”Je réponds de suite: “Oui, je veux que tu aies commencé quand j’arrive”
J’attends quelques instants et je monte à son bureau. Je suis surpris, sa porte est ouverte, même s’il n’y a que nous en permanence quelques collègues passent tout de même de temps en temps. Elle prend la confiance, c’est excellent.
Je l’observe un peu, je sais ce qu’il se passe. Elle est affalée sur son fauteuil, les yeux clos, la bouche entrouverte. Je perçois son bras qui fait de petits mouvements répétitifs.
Des flashs me parviennent à nouveau, je la vois à genoux devant moi pendant que je lui fouette le creux des reins, je l’imagine perdue entre violence et plaisir, je me vois couché en train de me faire chevaucher pendant qu’elle monte et descend langoureusement sur ma queue. J’ai envie de l’attraper par les cheveux pendant que je la sodomise avec vigueur, je veux voir cette mère de famille bien sous tout rapport dégradé par mes soins, je veux voir mon foutre sur son visage...
— Tiens et si on commençait par ça ?
Je m’approche, et ferme doucement la porte, au cas où, car ce qui va suivre risque de ne pas être visible par tous, surtout au travail.
Elle ouvre les yeux et me regarde en souriant.
— Merci pour ce cadeau.— Je suis ravi qu’il te plaise, mais continue, ne fais pas attention à moi.
Maintenant que la porte est fermée, Carole peut se permettre de se lâcher un peu, elle referme les yeux et se passe la main sur son sein. Elle accélère le rythme.
Je m’approche d’elle et je la détaille en train de se masturber. Elle a passé la main dans le même trou que ce matin qui se distend dangereusement. Le gode qu’elle utilise et que j’ai choisi tout spécialement pour elle dans notre collection est incurvé et relativement effilé, il permet aussi via une petite fourche de stimuler le clitoris à chaque aller-retour. Je n’ai pas choisi un gros modèle pour ne pas l’effrayer et cela était plus facile à emballer discrètement.
Je pose ma main sur son épaule, elle tressaute. Lentement, je fais descendre le col de sa veste pour dénuder le haut de son dos et sa nuque.Je caresse délicatement son cou, elle ouvre les yeux, c’est notre premier contact physique.
Elle a arrêté son mouvement masturbatoire, alors je prends son bras et dirige son va-et-vient pendant quelques secondes. Une fois qu’elle est repartie, je m’appuie sur le bureau et je commence à me caresser à travers mon jean. Elle est tellement ingénue comme ça ! J’ai envie de la souiller, mais c’est encore trop tôt, je dois y aller par étape sinon elle prendra peur.
— Alors il te plaît mon gode ? T’as pas mis longtemps à te le mettre dans la chatte pour quelqu’un qui en avait jamais eu...
Mon ton la surprend tout d’abord, mais mon assurance l’excite, je le sens. Elle me répond entre deux halètements.
— Oui... J’y aurai jamais cru.— C’est bien, te voir en extase comme ça, ça m’excite moi aussi, regarde, je vais casser mon jean à force.
Elle me regarde et me voit en train de me toucher. Ca doit la faire vriller, car elle pousse un gémissement plus fort et plus profond. Elle se mord la lèvre tout en refermant les yeux.Je me rapproche de son oreille.
— Oui... Tu le sens le plaisir monter, retiens-toi un maximum... Quand ça va venir, ça va être foudroyant.
Ma main se pose sur son sein, je l’englobe, le prends à pleine main et je me mets à le pétrir doucement, en appuyant sur son mamelon.Je vois un frisson parcourir son corps et la chair de poule sur ses bras.
Elle commence à accélérer, elle est à deux doigts de jouir et elle ne pourra pas se retenir.
C’est parti.
Je sors ma queue et je me mets à me branler devant elle tout en me rappuyant sur le bureau.Elle écarquille les yeux, pas parce que j’ai un monstre de 40 centimètres, ce n’est pas le cas, mais parce que j’ose faire ça en face d’elle.
— Maintenant, je veux que tu prennes le gode en bouche, je veux que tu goûtes ta propre mouille, ta propre excitation. Commence à t’aimer.
Elle sort le gode et le porte à sa bouche, je ne vois aucun signe de recul chez elle, elle en a envie, elle m’écoute et elle m’obéit.

Elle commence à lécher puis se le rentre entière dans la bouche. A ce moment-là, elle se met à me regarder comme une petite chienne.

Comme je m’y attendais...
— Pourquoi tu me regardes comme ça ? Tu veux m’exciter ? Tu crois que j’ai besoin de plus pour être excité? Regarde ma queue ! Tu n’as toujours pas compris qui mène ici, tu fais ce que je te dis de faire ! Il va falloir que je t’apprenne encore.
Je m’avance, j’attrape ses cheveux et je mets son visage à l’horizontale, sa tête posée sur l’arête haute de son dossier de fauteuil.
— Recommence à te branler avec le gode.
De ma main gauche, je continue de la saisir par les cheveux de façon ferme pour la garder en place, mais assez lâche pour ne pas lui faire mal, et de ma main droite, je continue à me branler.
— Non, j’ai pas besoin de toi, tu vas voir, je vais te le montrer.
Elle halète de plus en plus rapidement, elle est excitée par tout ça, ma violence et ma voix la transportent. Je lui porte l’estocade finale.
— Maintenant, je vais jouir sur ton visage, oui ça me plaît bien ça... Je vais te marquer... Je vais te souiller avec mon foutre...
Elle décolle, elle se met à marmonner des petits “oui, oui, ah, ah”, puis de plus en plus fort. Elle jouit de façon soudaine et se cambre sur le fauteuil. Je n’en peux plus non plus, j’accélère le rythme, prends bien en main ses cheveux pour qu’elle ne bouge pas et je jouis sur son visage. Puissamment !
Waouh ! Quel pied !
J’envoie deux jets en plein milieu de son visage en diagonale. Elle en a sur les lèvres, sur le nez, sur les lunettes, sur son front et un peu sur les cheveux.
Un dernier petit jet finit sur son menton et sur le haut de son torse.
J’ouvre les yeux, elle est magnifique ainsi. Je prends ma bite et j’étale un peu avec mon foutre sur son visage. Elle est rouge et elle se met à soupirer, elle a sa main encore sur son sein et l’autre dans le trou de son jeans.
Et d’un coup, elle me surprend ! Sa main qui était sur son sein s’élève jusqu’à son visage, prend avec deux doigts un peu de mon sperme et apporte ses deux doigts jusqu’à sa bouche, aspirant ainsi une partie de mon jus. Le fait qu’elle le fasse spontanément d’elle-même m’excite, elle n’est peut-être pas si ingénue au final...
Elle rouvre les yeux et me regarde presque surprise de son propre plaisir.
— Waouh... Paul... Waouh... C’était encore mieux que la première fois... Je me sens si bien...
Elle se tortille sur le fauteuil, elle a un sourire éclatant.Je dois avouer que mon plaisir était sensationnel aussi, mais je ne lui dirai pas.
— C’est tout ce que tu mérites, mais n’oublie pas ce que j’ai dû faire pour que tu aies ce plaisir.
Je commence à me rhabiller. Elle est toujours semi-couchée sur son fauteuil, elle n’a pas bougé.
— Tu gardes le gode dans un tiroir de ton bureau, mais interdiction de l’utiliser sans que je t’en aie donné la permission. Il est connecté, si tu t’en sers, je le saurai.
Je vais vérifier qu’il n’y a personne dans les alentours pour que tu puisses aller aux toilettes pour te débarbouiller.
Elle se lève, me regarde et souffle un merci. Je vois tellement de gratitude dans ses yeux que j’ai envie de l’embrasser. Mais je ne peux pas, ça ne fait pas partie du contrat que je nous ai imposé.
Je sors de son bureau et je fais un rapide tour des bureaux où je ne trouve personne. Je reviens dans son bureau, elle est en train de s’enlever le plus gros avec des mouchoirs.En me voyant, elle se remet à sourire.
— Tu peux y aller.— D’accord... Paul ?— Oui ?— J’ai vraiment aimé ce que tu viens de me faire, j’en suis la première surprise, mais je suis vraiment en demande de tout ça.— C’est ta permission pour aller un peu plus loin ? Ca risque de me prendre un peu de temps à organiser, surtout en ce moment.— Oui, emporte-moi dans ce monde, rien que d’en parler, je me mets à brûler.— C’est noté, j’y ai déjà réfléchi de toute façon. A plus tard Carole.— A plus tard Paul.
Je reviens à mon bureau et j’ai bien du mal à me remettre au travail, plein de pensées viennent en moi et une en particulier est vivace.
Si je veux la libérer, la prochaine étape, c’est le connard de compagnon.
J’ai mon idée, je souris, et je me remets au travail.
Diffuse en direct !
Regarder son live