Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 200 J'aime
  • 2 Commentaires

Mes aventures au travail

Chapitre 5

Hétéro
Le week-end arrivant, je me mis à réfléchir sur les possibilités pour humilier le compagnon de Carole, tout en profitant d’elle. Le covid complexifie tout, et franchement, aucune idée ne me vient.J’imagine tout d’abord me servir d’elle, puis je me dis que je vise sans doute trop petit et que je dois moi aussi prendre des risques.
Le lundi matin, il y a de plus en plus de monde au bureau et je pense que mes petites sauteries vont être compliquées à mener en pleine journée. Il va falloir que je diversifie les lieux rapidement sous peine que nous nous fassions attraper.
J’attends que Carole arrive dans mon bureau. Mon téléphone sonne, un fournisseur prend des nouvelles de notre réouverture, je suis obligé de lui faire le discours commercial habituel et je vois que Carole arrive au niveau de ma porte.Je lui fais signe de rester.Elle s’assoit sur une chaise à l’angle de mon bureau, et croise ses jambes. Je la regarde pendant que mon fournisseur parle au téléphone. Elle porte une jupe grise, tout ce qu’il y a de convenable, mais qu’elle a remontée sur ses cuisses en s’asseyant. Elle décroise et recroise ses jambes et me dévoile son sexe par intermittence. Au bout de quelques minutes, je raccroche et lui fais savoir que je suis content qu’elle continue de ne pas porter de sous-vêtements.
Alors qu’elle s’apprête à repartir, je me lève et ferme la porte de mon bureau. Je la vois frissonner.Je l’arrête de suite.
— Il ne se passera plus rien au bureau, il y a trop de monde à nouveau, cela pourrait vite se découvrir. Et puis on est pas censé garder les portes fermées une trentaine de minutes pendant la journée. Je vais devoir trouver de nouveaux lieux pour assouvir tes fantasmes et les miens.”
Elle semble déçue et une petite moue d’adolescente apparaît sur son visage.
— Mais tout ceci est loin d’être fini. Au contraire... Je vais aller bien plus loin à partir de maintenant. Je vais t’expliquer ce que je veux que tu fasses et si tu es d’accord, demain tu viendras sans dessous et sans soutien-gorge”
Je dois avoir un sourire de carnassier, car Carole paraît inquiète tout à coup. Je lui expose mon plan et ça n’a pas l’air de la rassurer. C’est très risqué ce que je m’apprête à faire. Elle me pose quelques questions et sans lui dévoiler tout ce que j’ai en tête, j’essaye de la rassurer et je pense y parvenir.Je lui laisse jusqu’à demain pour se décider et qu’elle montre si elle est d’accord ou non.
De mon côté, je bande déjà comme pas possible ! Trouver des stratagèmes pour avilir cette femme m’excite comme rarement, j’espère qu’elle acceptera, mais au point où on en est arrivé, je pense que ça sera le cas.
Le lendemain matin, elle arrive dans mon bureau, ferme la porte après m’avoir dit bonjour. Elle descend la fermeture éclair de son jeans moulant qui lui va à ravir et le baisse un peu pour me montrer sa toison, exactement comme je l’ai demandé. Elle reste comme ça, me fait un clin d’œil, ouvre sa veste de tailleur et le chemisier qu’elle a en dessous, elle ne porte rien. Elle s’appuie sur mon bureau en me souriant.

— Je ne reculerai pas, tu sais. Même si ce que l’on s’apprête à faire est risqué, je suis tellement excité qu’il a fallu que je me soulage hier soir. Je veux voir ce que tu vas faire et voir ce gros con ne se doutait de rien.— C’est parfait, on fait ça vendredi soir, je suis seul à la maison, je pourrai venir tranquillement chez toi. La semaine va me paraitre longue.— A moi aussi.”
Je me lève, me place derrière elle, empaume ses seins et pince ses tétons. Je descends ensuite mes mains, avec la main droite, je lui claque fortement les fesses et j’immisce la gauche dans son pantalon encore ouvert et caresse main ouverte l’ensemble de son pubis. Elle manque défaillir sous l’ensemble de ses attouchements, je sens qu’elle est très humide. La tentation de la doigter est grande, mais ce n’est pas le lieu ni le moment.
J’en profite pour lui dire, que même si elle est excitée, je lui interdis de se masturber jusqu’à vendredi et que ce que je viens de lui faire sera la seule chose à laquelle elle aura droit durant la semaine.Elle se retourne et se serre contre moi, son visage contre mon torse. Puis elle se réajuste et sort de mon bureau.La semaine est longue. Tous les matins, Carole passe dans mon bureau pour me montrer l’absence de dessous. Je lui ai accordé le droit de mettre des soutiens-gorge à nouveau, car ça serait compliqué pour elle autrement. Elle me fait un rapport de ce qui doit être fait en vue de la soirée et tout se met en place comme il le faut.
Mais ce que ne partage pas avec elle c’est que ma sauvagerie imaginaire à son égard augmente de façon extrêmement rapide. J’ai des flashs de plus en plus trash où elle se retrouve dans de plus en plus de situations extrêmes. Je me souviens qu’elle m’avait parlé de son fantasme où plusieurs hommes la caressaient, et je me dis qu’il faudrait peut être aller au bout de ce fantasme avec un bon gros gang bang où je la livrerai en pâture à une meute d’hommes libidineux, et je l’imagine complètement groggy après avoir été saillie pendant de longues heures, trempée dans une mare de foutre, je veux la voir prise d’assaut, avalant des sexes d’homme dans tous les trous. Je n’en peux plus, j’ai mille et une idées pour Carole et à partir de vendredi, tout sera possible.
Le matin, elle se présente dans mon bureau, je suis excité comme un fou, mais je ne montre rien. Je lui demande placidement si tout est en place pour ce soir. Elle me répond par l’affirmative. Je lui dis que je me présenterai chez elle à 21h comme prévu.
Elle trépigne, elle me demande ce que j’ai prévu, je ne moufte pas. Son excitation est palpable et d’ailleurs elle me dit clairement que son excitation l’a empêchée de dormir une bonne partie de la nuit et qu’elle traverse cette journée comme portée par un nuage.Je lui répète qu’elle ne sera pas déçue, puis je lui dis de sortir, tout en lui mettant une claque sur les fesses, elle se retourne et tortille ses fesses que je sais vierges de dessous jusqu’à l’angle du couloir. Mon pantalon est à deux doigts de craquer tellement je bande.
Le vendredi soir arrive et je prends l’ensemble des accessoires dont j’ai besoin, le reste est déjà sur place.
J’ai le ventre serré, l’excitation a fait place au doute. Ce que je m’apprête à faire est vraiment horrible dans un sens. Mais plus question de reculer.
Je vais jusqu’à la maison de Carole et comme convenu, je trouve la porte ouverte. Je sais que la petite n’est pas là, car Carole a prétexté la fin du confinement pour une soirée de couple et à envoyer sa fille chez sa sœur. Je rentre rapidement pour ne pas me faire repérer par le voisinage, si Carole n’a pas fait ce qu’il fallait faire le premier écueil est là.J’entre directement dans le séjour et tout est éteint. Parfait.
J’attends quelques minutes et je la vois descendre l’escalier. Dans le noir, je la devine, il me tarde de la découvrir. Plus elle s’avance et mieux je la vois, et je reste estomaqué. Elle est renversante, elle a scrupuleusement respecté ce que je lui avais demandé. Elle a tressé ses longs cheveux noirs en une seule tresse. Elle porte des escarpins noirs qui lui donnent une classe folle et une silhouette élancée, des bas autofixants, car elle m’a avoué qu’elle n’avait pas de porte-jarretelles, mais cela lui va à merveille avec ce tanga brésilien noir. Et enfin un petit haut noir brodé qui s’arrête au-dessus du nombril.Elle s’est légèrement maquillée, mais sans trop. Un rouge à lèvres foncé vient rehausser son visage. Quelle femme... Quelle vision dans la pénombre...
Elle se jette sur moi, m’embrasse goulûment et sincèrement, je n’ai aucune envie de la repousser. Mais mon envie de posséder une telle femme s’en trouve décuplé et je pense que je vais être bien plus sadique d’ici quelques minutes.
Elle pose sa main directement sur mon entrejambe et se met à me masturber tout doucement.
— Je n’en pouvais plus de t’attendre. Paul, je dégouline de partout tellement je suis en feu, prends-moi comme une chienne à même le sol ! De suite...”
Je n’en crois pas mes oreilles, dire qu’il y a quelques semaines, cette femme de 15ans mon ainée était sexuellement frustrée et maintenant, bon, elle l’est toujours, mais de la bonne manière, et se permet ce genre de discours.
J’attrape son visage par la mâchoire et lui parle en fixant mon regard dans le sien.
— Comme une chienne ? Tu sais ce qu’elles font les chiennes, elles obéissent d’abord à leur maître et après elles sont récompensées. Est-ce que tout est prêt là haut ?— Oui tout est prêt, je l’ai travaillé toute la semaine, ça n’a pas été facile, mais il a accepté, je lui ai dit que ça pouvait relancer notre vie sexuelle comme tu m’avais dit de dire ! Là, je lui ai dit que j’allais me préparer et que ça pouvait prendre un peu de temps. J’ai fait mine de partir et en revenant vers lui, j’ai tapé dans mes mains à côté de sa tête et il n’a pas bougé. Il ne se doute de rien ce con.— Très bien, t’es une bonne chienne oui alors... Et comme je te disais, je vais te récompenser. Je tenais à te dire que tu étais splendide ainsi apprêtée, et que tu dépassais toutes mes attentes.— Oh merci, c’est vraiment gentil, j’ai fait tout ce que je pouvais pour que tu me trouves attirante au possible. Et comme tu me l’avais demandé, il ne m’a pas vue ainsi. Je ne l’ai fait que pour toi.— Tourne un peu que je puisse te voir en entier.”
Je la prends par le bras et la fait tourner sur elle-même, j’ai envie de me jeter sur ses fesses pour les lui manger pendant des heures.
— Et si on passait aux choses sérieuses ? Montre-moi la chambre.”
On monte à l’étage et elle tortille du cul sous mon nez en montant les marches, j’en profite pour lui infliger une claque sonore sur les fesses.
En arrivant devant la porte de la chambre, je vois qu’une veilleuse est allumée. J’entre et je vois le compagnon de Carole, à poil, attaché en croix aux pieds et aux mains, avec un bandeau sur les yeux et un casque anti bruit sur les oreilles. Il n’a pas un physique très avenant, il a du bide, et il n’est pas vraiment entretenu. Un homme de 50ans lambda... Ce n’est pas de sa faute, mais je comprends qu’il ne vende pas du rêve.Le pauvre ne se doute pas du tout de ce qu’il va se passer, comment le pourrait-il ? Il est en pleine érection et il doit attendre Carole avec impatience.
Je regarde celle-ci et lui dis :
— A partir de maintenant, plus de recul possible, si ça ne marche pas, tu t’exposes à des représailles de sa part, moi je serai protégé par mon anonymat.— On y va, de toute façon je n’ai plus rien à perdre avec lui, j’aurai fini par le quitter quoiqu’il arrive alors si ça marche, j’aurai au moins gagné quelque chose.— Très bien, je suis fier de toi. Mais je vais te rajouter une obligation, je ne veux pas qu’il jouisse en toi, tu te retires à chaque fois.— Très bien.”
Très bien, c’est parti, ce que je m’apprête à faire est vraiment tout nouveau pour moi, j’espère que je saurai m’y prendre. Je suis un peu anxieux, mais je me dis qu’en suivant mon instinct, ça devrait plutôt bien se passer, après tout, j’en suis déjà arrivé jusqu’ici.
Carole me regarde, attendant mes instructions. Elle ne bougera pas tant que je ne lui dirai pas quoi faire. J’ôte mon t-shirt et je lui dis :
— Prend sa bite en main, commence à la masturber tranquillement.”
Elle s’active et ce con se met à gueuler: “Tu en as mis du temps.”
Merde ! Avec le casque, il est obligé de crier pour s’entendre, j’aurais dû demander à Carole de lui mettre un bâillon, mais je ne suis pas sûr qu’il aurait accepté en plus du reste.Carole est surprise elle aussi, je lui fais signe de lui poser le doigt sur les lèvres pour lui faire comprendre de la fermer. Elle s’exécute et il répond par une mimique de compréhension. Il devrait nous laisser tranquilles, mais j’ai l’impression de moins en moins bien gérer mon coup.
Allez, il faut que je me ressaisisse !
— Reprends-le en main !”
Carole reprend ses mouvements et je viens me mettre en face d’elle. Je me caresse par-dessus mon jean pour faire remonter notre excitation. Elle se met à me regarder comme une chienne à quatre pattes devant moi.
— Tu reprends tes airs devant moi ? Cette fois, tu n’y couperas pas, je vais te fesser pour que tu t’en rappelles.”
Je viens derrière elle et je claque du plat de ma main droite sa fesse gauche. J’ai claqué très fort, elle est surprise, mais elle a gémi.
Dans un souffle, elle me dit que ça l’excite à mort. Je lui réponds que c’est une bonne chienne.J’abats ma main à nouveau deux fois, elle continue à tortiller des fesses devant moi. On en oublie l’autre con qui commence à gémir à côté.
— Allez maintenant sois une bonne chienne obéissante et prends le jouet en bouche, je vais te donner une partie de ce que tu souhaites toi aussi”
Elle se penche pour prendre la bite de son compagnon en bouche, elle est obligée de relever son bassin. J’en profite pour décaler son tanga et je me jette pour goûter sa chatte. Après plusieurs semaines d’envie, je peux enfin me lâcher ! Elle aussi est contente, elle relève sa tête, pose sa main sur l’arrière de mon crâne et appuie pour que j’aille plus loin.
— Ah putain Paul, oui... J’en rêvais que tu me manges comme ça. Lèche-moi bien, donne-moi du plaisir...”
Pour le coup, c’est moi qui suis bien obéissant et je fourre ma langue dans tous les endroits où je peux la mettre. Carole continue de sucer son compagnon qui finit par dire qu’il allait venir. Ca avait pris encore moins de temps que prévu. Elle prend bien soin d’enlever sa bouche de son sexe puis elle se met à le masturber. Il éjacule d’un coup une forte proportion de sperme qui vient s’écraser sur son torse et un peu sur son visage.
— Tu continues de le branler puis tu lui grimpes dessus.— Je suis vraiment obligé ? Je ne voudrais m’offrir qu’à toi !— Oui tu l’es, il faut qu’il croit que c’est lui qui mène la danse pour que l’on puisse le briser après. En plus, j’aimerais tenter quelque chose pendant ce temps. Imagine qu’il n’est qu’un gode très ressemblant à une bite, je veux que tu te concentres uniquement sur le plaisir que je te donnerai.”
Pendant qu’elle le branle, je me mets à la relécher allègrement, elle se contracte, serre les jambes, gémit. J’ai tellement envie de la prendre en cet instant, je veux m’enfoncer en elle, je veux qu’elle me sente, je veux la voir se pâmer à force de labourage intensif. Encore un peu de patience...
L’autre con se remet à bander, c’est le moment que je choisis pour aller chercher deux des accessoires que j’ai amenés, une cravache de jockey et un collier-de-chien. En les voyant, Carole est inquiète.
— Qu’est-ce que tu vas faire avec ça ?— Passez à la vitesse supérieure comme convenu. Et puis depuis quand les chiennes posent des questions ? Mets ça, avec ça, tu seras vraiment une chienne... et tu te mettras à quatre pattes après.”
Elle tremble, mais je ne sais pas deviner si c’est de peur ou d’excitation, sans doute un peu des deux. Elle met son collier, je n’y crois pas. Puis elle se met à quatre pattes.
Je me place derrière elle et décoche un premier coup avec la cravache. Elle lâche un “Han” sonore qu’a entendu l’homme sur le lit, car il s’exclame “qu’est-ce que c’était ?”Carole se retourne vers moi, les yeux embués de larme, je me baisse pour embrasser l’endroit de l’impact sur les fesses puis je passe un doigt sur sa fente, elle est complètement trempée. C’était donc bien de la peur et du plaisir, mon sadisme s’en trouve démultipliée.
— Ca t’a plu, espèce de chienne, tu es même une bonne salope. Grimpe sur cette bite, on va voir comment tu résistes à ses deux stimulus en simultanée”.
Je dévie de ce qui était prévu, et elle me regarde, interloquée. Je la prends par le bras, et la jette sur le lit. Elle se place sur la bite puis s’y empale dessus, mais elle est voutée vers l’avant. Dans cette position, j’ai ses fesses bien dégagées pour y aller franco.
Schlack, premier coup, elle se redresse et se cambre. Elle monte et descend et lâche un “Wouah”. Elle halète et répète “Encore,... encore...”
Schlack, deuxième coup sur les fesses. Elle commence à être bien rouge. Je l’attrape par le collier autour de son cou et ramène sa tête vers l’arrière.
— Sors ma bite, suce-moi, vite”
Elle s’exécute et m’enfourne directement en bouche. Je ne vous raconte pas le spectacle. C’est grandiose, à cet instant-là, je me sens tellement fier, tellement puissant.
Schlack, troisième et quatrième coup s’abattent coup sur coup. Carole a ma bite toujours en bouche, elle n’a pas serré les dents, rien. Elle a reculé son postérieur pour que j’y aie bien accès et elle gémit et révulse les yeux après chaque coup.
Je me retire de sa bouche pour aller chercher d’autres accessoires de mon sac. Je les prends et installe les deux pinces tétons sur ceux de Carole. Elle ne semble pas à l’aise avec, mais je lui remets ma bite en bouche avant qu’elle ne dise quoi que ce soit.
Je la cravache à volonté, et sous l’ensemble des stimulus, elle se met à jouir longuement. En la voyant, je ne peux plus me retenir, je lui prends l’arrière de la tête, et commence à lui baiser la bouche, doucement, mais sûrement. Au bout de quelques secondes, je jouis à mon tour dans sa bouche. Elle avale ce qu’elle peut, mais ça ressort de sa bouche aussi et lui coule le long du menton.
Son regard à cet instant me transperce, elle me remercie pour tout sans un mot, elle sait que j’ai fait ça pour son plaisir, et qu’elle a profondément aimé ça.
L’autre commence à avoir également des soubresauts, signe de la jouissance prochaine. Elle se retire difficilement de lui avec ses jambes flageolantes. Il lui demande pourquoi elle s’en va, mais comme elle le reprend en main de suite, il ne pose pas plus de questions et au bout de quelques minutes, elle le fait à nouveau juter de la même façon.
C’est parti, c’est maintenant que tout se joue. Je n’avais pas prévu que j’ai déjà profité de Carole à ce moment-là, je devais avoir les idées plus claires, mais je n’en pouvais plus non plus.
Il n’arrête pas de dire “waouh” ce con... Carole se tient derrière moi, accrochée à mon bras, comme si je la protégeais.
Je lui enlève le casque anti bruit, mais pas le masque pour ne pas qu’il me voie.
— Ah ma chérie, si je m’atte...”
Je lui déclenche une claque magistrale en pleine joue.
— Ta gueule Ducon.— Quoi ? Qui est-ce ? Carole ? Qu’est-ce qui se passe ? Carole ?”
Il a très peur d’un coup, ses traits se sont marqués. Bien... il ne fait pas le fier-à-bras, mais je m’en doutais, j’avais demandé à Carole de me décrire le personnage.
— Ta gueule connard, si tu l’ouvres à nouveau, je t’en recolle une encore plus forte et tu n’es pas en position de te défendre. Tu vas m’écouter à présent, mais surtout tu vas la fermer.
Tu pensais que tu niquais avec Carole, mais la vérité, c’est que c’est moi qui lui donnais son plaisir, de façons dont tu ne peux même pas imaginer. Tu étais juste un instrument pour moi, tu n’es plus rien pour elle et elle n’est plus rien pour toi.Ca fait plusieurs semaines que je prépare Carole à cet instant et chaque parcelle de son désir lui a été dictée par moi et personne d’autre.”
Je me retourne vers elle pendant cette dernière phrase, la regarde, prends un peu de mon sperme qui se trouve sur son visage sur mon pouce, puis je le lui fourre dans la bouche. Elle avale sans broncher tout en me dévorant du regard.L’autre ne dit rien, il tremble de peur.
— Maintenant, c’est Carole qui dirige à la maison et c’est moi qui dirige Carole. Alors si je sais qu’après cette nuit, tu lui poses des problèmes, tu seras bien embêté pour expliquer les photos que l’on a prises ce soir.— Quoi ? Quelles photos ? Carole enf...”
Je lui balance une gifle en revers dont il se souviendra bien longtemps, je pense. Ca le fait taire à nouveau.
— Tu as du mal à comprendre ou quoi ? Carole a été bien plus vite dressée que toi. C’est ma chienne à présent. Tu devrais la voir, elle est fantastique. Je vais la dresser comme une championne de concours, je vais complètement la libérer et faire sauter ses fantasmes les uns après les autres. Et après tout qui sait, peut-être que tu pourras en profiter aussi... si elle le désire.”
J’ai de suite senti que la dernière phrase l’avait intéressé. Je m’en doutais, en laissant la porte ouverte, ce genre de type était encore plus facile à manipuler.
— Bien... Je vois que tu commences à comprendre. Pour sceller cet accord, unilatéral après tout, je vais m’offrir Carole à côté de toi pour que tu comprennes une fois pour toutes qui commande ici.”
Je me retourne vers Carole, son sourire est rayonnant. On a réussi, ça a marché. Je me sens fort à un point à cet instant, c’est incroyable.
On s’embrasse pendant un moment avec Carole, elle a de mon sperme partout, mais je m’en moque. Nos mains redeviennent baladeuses. Je la caresse partout puis je la couche sur le lit et je rentre deux doigts en elle et enfin je peux la doigter. Je la pistonne généreusement tout en lui gobant les tétons. Je m’amuse en haut et en bas.Elle est complètement liquide au niveau de la chatte, je fais des bruits de mouille à chaque aller/retour. Elle peut enfin se lâcher.
— AH oui, tu me donnes du plaisir avec tes doigts.— Oui tu as raison, tiens, goûte ton plaisir.”
Je lui mets les deux doigts dans la bouche, elle prend plaisir à lécher son propre jus.Je rebande à nouveau, je la fais se mettre à genoux, je lui mets les mains derrière la tête et je me satisfais dans sa bouche durant plusieurs minutes, assez doucement au début puis de façon bien plus rude au fil du temps. Carole commence à avoir des larmes qui coulent des yeux, j’y vais à fond durant dix secondes puis j’arrête.
Elle est toujours à genoux, je l’attrape par la tresse et je me mets à lui biffler le visage. Je n’ai même pas réfléchi avant de faire ce geste, mais elle ne réagit pas.
Elle gémit, elle s’appuie contre le lit, je vois sa main entre ses cuisses. Tout à mon plaisir, je n’avais pas fait attention, mais elle s’est caressée pendant toute la fellation. Elle a de la mouille partout.
— J’aurais jamais imaginé que ça t’excite autant de te faire maltraiter. Putain, toi la petite secrétaire coincée, te voir comme ça... T’es vraiment une bonne chienne...— Oui, je suis une chienne, je n’en peux plus, je suis en feu, prends-moi, prends-moi, s’il te plaît, comble-moi...— Oui... Ca va venir... On s’en rapproche... Lève-toi et allonge-toi sur le ventre sur le lit.— Tout ce que tu veux...”
Elle se met en position de levrette en appui sur le bord du lit et je me mets à lui bouffer la chatte, le cul, je la lèche de partout, tout en lui mettant deux doigts dans la chatte. Elle me hurle de la prendre, de la défoncer, que ce n’est que ce qu’elle mérite.
Ma bite est dure comme du métal à l’entendre parler ainsi. Je n’ai jamais autant bandé dur de ma vie entière.
Je me décide à la délivrer, je me positionne et rentre tout doucement en elle.
— Savoure ce moment” je lui glisse à l’oreille. Elle a arrêté de parler, elle s’est accrochée au drap du lit, elle a le visage écrasé contre le lit, la bouche entrouverte, les yeux fermés.
Elle est si excitée que je glisse complètement en elle. Je fais à peine quelques aller-retour, que je l’entends murmurer qu’elle va jouir. Je la prends avec force d’un coup et elle se met à crier qu’elle jouit.
Je continue de plus belle, c’est une poupée de chiffon que j’ai entre les bras, je la ballotte dans tous les sens, je suis un vrai sauvage, un forcené complet.
J’attends un peu, puis je lui dis à l’oreille :
— Tu as joui, mais pas moi... Pour te punir, je vais te prendre comme une vraie chienne, je vais te défoncer le cul...”
Elle est prise d’un frisson terrible à la suite de ma phrase.
Je la prépare pour ce que j’imagine être sa première ou une de ses premières sodomies. Je lui remange le cul pendant quelques secondes, en y enfonçant ma langue. Vu son excitation et ma bandaison, ça devrait le faire sans problème.
Je me présente et commence à forcer. Comme je m’en doutais, ça n’a pas eu trop de mal, je vois que Carole se mord la lèvre et lâche un “Ouf” et je me dis que le mélange plaisir/douleur doit lui plaire à nouveau.
Je commence par faire de tout petits va-et-vient puis j’amplifie mon mouvement pour enfin y aller franchement au bout de quelques instants.Carole ne pousse plus que des “Han” à chaque fois que je me remets en elle.
Je la saisis et comme dans mes flashs, je la pousse par terre, lui relève le cul, je lui force le visage par terre avec une main et je bloque ses deux bras dans le dos avec l’autre, dans une position obscène de domination et je la laboure pendant plusieurs minutes.
Elle pousse tout à coup un long gémissement et se met à lancer ses fesses vers ma bite, elle est en train de jouir. Je n’en suis pas très loin non plus, tout ce spectacle et cette puissance ressentie ne demandant qu’à sortir.
Je la relève en l’attrapant par sa tresse, je lui serre ma main autour de son cou, lui tourne la tête et je l’embrasse tout en continuant de l’enculer sauvagement.
Et soudain, je décolle. Je crois que je n’ai jamais eu un tel orgasme. Si puissant, qui vienne de si loin. Je ne m’arrête pas de la pistonner et mon orgasme continue ce que je trouve être un long moment.
Je lâche Carole doucement, elle n’est plus que sensation. Son corps lâche et elle s’effondre à moitié sur le lit.
Je me baisse et je la relève tranquillement. On se regarde et nous nous embrassons passionnément.
On est couvert de nos fluides, mon sperme, sa mouille et nos transpirations se mélangent sur nos corps. On est dans notre bulle, j’aurais pu rester ainsi une vie entière.
Je n’ai pas débandé, et Carole le sent bien entre nous deux. Elle me regarde et me dit :
— Si je suis une bonne chienne, je dois vous faire baisser la queue... Maître.”
Sur le coup, en entendant ce mot, c’est moi qui suis pris d’un frisson sur tout mon corps. Waouh, je n’oublierai jamais cette sensation, quand quelqu’un vous dit ça pour la première fois de façon spontanée. C’est absolument jouissif et au risque de me répéter, d’une puissance d’esprit incroyable.
Pendant ce laps de temps, elle s’est remise à genoux devant moi et me suce avec ardeur.
— Attends, lèche-moi les couilles et branle-moi en même temps.”
Elle s’exécute sur-le-champ. Son regard est à tomber, je sens toute sa gratitude et son envie de me faire plaisir à travers ses yeux.
On reste ainsi quelques instants.
— Arrête, je vais chercher un dernier accessoire dans mon sac, je vais en avoir besoin pour te préparer pour la suite.”
Je vais vers le sac, saisis un gode de bonne taille et me retourne. Elle est toujours à genoux, elle n’a pas bougé, prête pour quand je vais revenir devant elle.
— Pourquoi tu prends un gode ? Tu n’en as certainement pas besoin en te voyant en ce moment.— Et pourtant, cela va te préparer pour la suite des événements. L’imminente et la plus lointaine.— Comment ça ? Qu’est-ce que tu as prévu ?— Ne pense pas si loin, profite juste du plaisir que je vais t’offrir.”
Je la relève en la tenant par le menton et je la pousse sur le fauteuil qui se trouve à côté du lit. Je lui fais bien écarter les jambes et je l’embroche directement. Je reprends mes va-et-vient tantôt doux, tantôt rudes. Notre plaisir remonte rapidement, nous nous regardons intensément. Je la tiens par les hanches pour pouvoir la prendre avec toute ma vigueur. Soudain, je m’arrête et je m’aventure à nouveau dans son anus. Je me saisis du gode et l’insère dans sa chatte. Ca rentre tout seul.
La voilà bien remplie. Son visage respire la sensation de bonheur.Je commence à la prendre et j’alterne entre mes mouvements dans son cul et avec le gode. Tout cela lui plaît à elle aussi. Je la vois se tortiller dans tous les sens pour se sentir pleinement remplie.
Mais je sens qu’il n’y en a pas assez. Je me mets à baffer ses seins, tout en essayant de garder le gode en place avec le bas de mon torse et en continuant de l’enculer.La gymnastique n’est pas aisée, mais j’arrive tout de même à lui faire bien sentir. J’alterne les baffes à pleines mains sur ses seins et les pincements sur ses tétons.
Je l’entends dire qu’elle aime ça, qu’elle aime quand je lui fais mal pendant que je lui fais du bien, qu’elle n’y croit pas comment tout mon traitement est bon.
— T’aimes ça être avilie, tu aimes être considérée comme une moins que rien, je traiterai même pas une pute comme je suis en train de te traiter, je te fais du mal et tu aimes ça.— Oui, continue de me faire ça, c’est fou comme ça m’excite, rends-moi pire qu’un animal.
Et soudain, pris dans l’élan, je lui crache dessus. Elle est tout d’abord surprise, mais je vois que mes mots l’ont excitée encore plus.
— Oui voilà comment je vais te traiter maintenant, comme une sale traînée sur laquelle on crache dans la rue. T’es dans le caniveau là...”
Je lui recrache dessus et j’échange les emplacements de ma bite du gode. Je la fouraille dans tous les sens, je lui mets encore quelques claques sur les seins.
— Mais je peux te jouir dedans toi, t’as plus de problèmes avec tout ça, je vais pouvoir te tapisser la chatte, ma belle petite chienne”
Carole est en nage, mes mots la transpercent, elle a les yeux dans le vague, elle cherche l’air. Je ne sais pas si je suis allé trop loin, mais tout ça m’a excité de façon phénoménale.
Je sors le gode de son cul, l’attrape vigoureusement par les hanches comme au début et je me mets à la baiser frénétiquement tout en restant dans mon personnage.
Elle ne met pas longtemps à jouir et je la suis dans son plaisir.
— Oui je viens directement en toi, putain je me lâche dans ta belle petite chatte... Avale tout mon foutre.— Vas-y, vas-y, mets-moi tout, donne-moi tout, je l’accepte, je le veux, je le veux.
On s’affaisse tous les deux suite à ses ultimes efforts et elle vient se blottir tout contre moi.
Je me sens vidé... Mais tellement heureux. Carole rompt le silence dans un murmure.
— Paul, c’était fantastique, je ne savais pas... Je ne savais pas tout ça... Je me suis découvert un monde ce soir...— C’était fantastique pour moi aussi. Tu as été fantastique, je suis ravi que tu aies tout accepté.— J’aurai tout accepté de ce que tu m’aurais demandé, c’était tellement loin là où j’étais, waouh, j’en tremble rien que d’en parler.”
En effet, elle s’est mise à trembler de tout son corps.
Elle me pousse sur le dos, nous sommes par terre sur le tapis. Elle me monte dessus et se met à m’embrasser. Elle attrape ma bite et se la met dans la chatte. Elle se met à monter et descendre langoureusement. Je n’ai pas débandé tellement je suis excité par toute cette soirée. Mais le problème c’est que là, on est en train de faire l’amour et pas autre chose.
Mais sur le moment, je m’en fiche et je profite de cet instant. Elle accélère le rythme et je la saisis par les fesses. Elle est en train de redécoller, pour moi ça sera plus difficile, mais je la sens jouir au bout de quelques minutes. Elle doit en avoir à rattraper la pauvre. En plus, je l’ai quand même fait mariner pendant un moment.
Elle se rafaisse contre mon torse et me murmure :
— Ne pars pas.— Tu sais bien que si, c’est le contrat, on n’est pas ensemble. Je ne suis là que pour ton plaisir sexuel et le mien. Je dois rentrer chez moi, j’aime ma compagne. — Oui je sais, mais ce soir, je ne me suis jamais sentie aussi bien avec un homme et il n’est même pas à moi.— Je t’ai dit que tu étais libre. Tu peux te trouver un homme à toi. Juste maintenant, je suis ton maître et j’ai toujours l’avantage sur les autres.— Je sais, je sais, embrasse moi une dernière fois pour ce soir.”
Je m’exécute.
— Tu vois, là, c’est toi qui m’as obéi.”
Je souris, la regarde droit dans les yeux et lui adresse une grosse claque sur les fesses.
— Pour cette unique fois alors.”
Je la fais rouler sur le côté et me relève. Je vois le compagnon de Carole encore attaché sur le lit, je l’avais complètement oublié celui-là. Je vois qu’il s’est rejuté dessus. Ce con a été si excité par le fait que je baise sa compagne devant lui qu’il en a joui.
— Regarde-moi ce con, je l’avais oublié... Mais il s’est juté dessus, ça t’a excité de me voir en train de sauter Carole ? Ca t’a excité d’être cocu ? Tu as vu ce que je lui offre Ducon ? Tu l’a bien entendu gueuler hein ?”
Il hoche la tête. Je ne sais même pas pourquoi. Je me prends un peu de pitié et je le détache en lui disant d’aller se laver.
On se retrouve tous les deux, la chambre est dans un état indescriptible. Carole aussi. Elle a des liquides qui lui sortent de partout, sa tresse est dans un état pitoyable, ses vêtements et son maquillage aussi, mais je la trouve radieuse ainsi. Elle a l’air d’avoir rajeuni de 10ans.
Elle me sourit, je la prends contre moi pour l’embrasser.
— Je vais aller me laver moi aussi avant de repartir. S’il te pose le moindre problème, tu m’appelles et j’arrive de suite, mais je suis certain qu’il ne fera rien.— Non, il n’y aura aucun problème, avec la confiance que tu m’as donnée, il va bien se comporter envers moi j’en suis sûr. De toute façon, à partir de maintenant, on fait chambre à part.”
Nous allons tous les deux sous la douche, nous nous lavons mutuellement en laissant les traîner les mains, mais il ne se passera rien de plus, nous n’en avons plus l’énergie.
Je me rhabille et je vois Carole, juste emmitouflée dans une serviette qui m’accompagne jusqu’à la porte. Je tire sur la serviette pour la voir nue avant de partir, l’embrasse une dernière fois et repars en voiture avec Carole nue sur le pas de la porte.
Waouh... Quelle soirée... J’ai un sourire d’un kilomètre de long jusqu’à chez moi.
Je vois qu’il est minuit passé et mon téléphone sonne. C’est ma compagne qui m’envoie des photos osées d’elle alors qu’elle vient d’arriver à son hôtel. Timing parfait.
En arrivant, je rentre un peu dans son jeu pour profiter d’elle aussi. Puis nous nous quittons pour dormir.
Avant de m’écrouler, je repense à cette soirée et je me remets à bander. C’est fou. Maintenant je me demande jusqu’où cela va aller ?
Diffuse en direct !
Regarder son live