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Mes charmantes voisines

Chapitre 3

Trash
Valentina me dit « tourne-toi que je t’essuie devant, sauf si cela te gêne », je me tournais complètement et surtout très rapidement, je voulais qu’elle comprenne que j’avais envie qu’elle continue, quand je lui fis face, elle avait le visage qui était rouge, et elle dit en bafouillant un peu « tu veux le faire toi-même ? », « non, je réfère sentir vos mains le faire » cela m’avait échappé, mais c’est exactement ce que je voulais, elle rougis encore plus et posa la serviette sur mon torse et commença à bouger ses mains sur tout le haut de mon corps, très vite elle s’aperçut de mon émoi, et ne disant rien, elle posa la serviette sur mes tétons ses mains par-dessus et fit mine de les essuyer, en fait je sentais ses paumes me caresser les tétons qui durcirent encore plus, et dans mon short j’étais, maintenant très à l’étroit.
Tout en continuant à m’essuyer, Val me dit « au fait tu ne crois pas que ce serait mieux si tu me tutoyais, on se connait bien et ce serait mieux non ? », je lui répondis « oui, je pense aussi », puis elle posa la serviette et dit « tu ne vas pas remettre ton teeshirt trempé, si tu n’as pas froid tu peux rester torse nu mais à ce moment là je te passe de la crème solaire car je ne voudrais pas que tu attrapes des coups de soleil par ma faute, je reviens » et elle partit pour revenir quelques minutes plus tard avec un flacon de crème solaire.Elle l’ouvrit en fit couler dans sa main et me commença à l’étaler doucement sur mon dos, dans de longs mouvements circulaires, la crème était grasse et ses mains glissaient sur ma peau augmentant encore mon plaisir, puis elle dit « je t’en mets devant ou tu le fais toi-même ? »Je me tournais pour lui faire face et lui montrant mes mains sales « je préfère que tu le fasses, j’ai les mains sales et puis j’aime bien sentir tes mains, elles sont douces, Valentina, rougit à nouveau, et dit « bon d’accord, tournes toi ce sera plus facile par derrière » une pensée fugace et surtout très cochonne me traversa l’esprit alors que je me retournais, effectivement ce serait bien que ce soit facile par derrière. Je sentais le trouble chez Valentina, et je compris qu’elle ne voulait pas voir mes yeux alors qu’elle me passait de la crème, elle me dit « lèves les bras » je levais mes bras et croisais mes mains derrière ma tête, ses mains passèrent de chaque côté de mon torse et se posèrent dessus.
Valentina commença à étaler la crème en faisant de large cercle sur mon ventre, puis remonta doucement pour arriver sur mon torse et ses mains se posèrent enfin sur mes tétons, dont elle massa la pointe durcie avec ses paumes, je ne pus retenir un gémissement, elle stoppa net sans pour autant enlever ses mains, « je t’ai fait mal ? », dans un soupir je répondis « non, au contraire, continues s’il te plaît », les mains reprirent leur massage mais ne bougeaient plus d’où elles étaient et c’est par petits cercles qu’elle caressa mes tétons, je me reculais pour me coller contre elle, me sentant contre elle, elle s’y appuya un peu plus et je sentais le renflement de son bas ventre contre mes fesses alors que ses mains continuaient leur caresse, puis elle arrêta et me dit alors que je me retournais pour lui faire face « ça y est, tu es près pour le soleil », elle était toute rouge, je lui répondis « ben non pas tout à fait, il reste les jambes ». Valentina ne dit rien, je repris, « si tu t’assois sur le banc et que je pose mon pied dessus, tu n’auras pas à te baisser » et prenant une de ses mains, je tirais dessus pour qu’elle fasse ce que je venais de dire, elle se laissa faire et se laissa tomber sur le banc, avant qu’elle ne réagisse, je posais mon pied sur le banc juste entre ses cuisses qu’elle n’avait pas refermé, le temps qu’elle réagisse, elle les referma su mon pied, je le fis glisser jusqu’à toucher sa culotte avec mon gros orteil, elle sursauta et murmura « ce n’est pas bien, puis reprenant le flacon, elle en fit couler sur ma cuisse et commença à l’étaler très lentement, j’étais aux anges, elle faisait très doucement, mon regard plongea dans le décolleté de la blouse, j’y voyais la naissance de ses deux gros seins, je ne pouvais en détacher mon regard de plus je sentais la chaleur de ses mains, je le lui dis « tu as les mains brûlantes », elle ne dit rien mais n’en continua pas moins ses caresses, ses mains remontaient le long de ma cuisse, je baissais le regard et vis qu’elle fixait la bosse que faisait mon érection dans mon short, je saisis les bords de ce dernier et les roulais pour dégager encore plus de peau, mon regard repartit dans le décolleté, Valentina fit monter ses mains très haut et quand un de ses doigt toucha mes couilles, elle recula sa main comme si elle s’était brulée, et elle leva la tête, voyant ce que je regardais elle sourit et dit « ça va, ne te gêne surtout pas, la vue te plaît j’espère », je levais mes yeux pour la fixer et lui dis « ben c’est comme un paysage tronqué, on a envie d’en voir plus » puis en baissant le son de ma voix « j’ai envie d’en voir plus, s’il te plaît », la main qui était resté sous mon short caressa mes bourses et elle dit « ce n’est pas bien nous ne devrions pas, tu te rends compte que je pourrais être ta grand-mère », mais tout en disant cela un second doigt commença à folâtrer sur mes couilles, je me penchais un peu et déboutonnais un à un les boutons qui m’empêchaient de vois ses seins et je lui dis « mais ce n’est pas le cas ».
La respiration de Valentina était haletante, mais elle ne bougea pas, se contentant de dire « il ne faut pas », pendant que je défaisais les boutons, mon gros orteil jouais sur sa culotte, elle se déplaça presque imperceptiblement et il se retrouva contre sa fente, je commençais à le bouger de haut en bas, Valentina gémit, je venais d’ouvrir le bouton qui me permettais de voir ses superbes seins, un peu tombant soit, mais gros et d’une blancheur laiteuse.
J’avais les mains pleines et mes pouces titillèrent ses tétons durs et dressés, elle gémit à nouveau « non, il ne faut pas ce n’est pas bien », je me penchais en avant, ce qui eu pour effet d’emprisonner sa main sous mon short et je pris un des tétons dans ma bouche, je commençais à le lécher puis à le mordiller, Valentina gémissait de plus en plus, je descendis mon pied du banc et quand sa main tomba sur sa cuisse, elle gémit à nouveau un « non » pas convainquant du tout, je m’agenouillais et tout en reprenant un téton dans ma bouche, je finis de déboutonner la blouse, je lâchais le tétons et j’écartais les pans à deux mains, Valentina posa ses mains sur le banc et se souleva légèrement, c’était une invitation, je saisis sa culotte au niveau des hanches et tirais doucement dessus, Valentina se souleva encore un peu et la culotte se trouva à mi-cuisses rapidement, je l’enlevais doucement, puis somme elle avait refermé ses cuisses, je les écartais à nouveau et plongeais ma tête entre ses cuisses.
Dans un premier temps, posant ses mains sur mon front, Valentina tenta de me repousser, mais ma langue était déjà sur ses grandes lèvres, et très vite je trouvais son clitoris, alors les mains changèrent de place et se plaçant derrière ma tête elle appuya dessus pour coller ma bouche à sa fente en disant « c’est trop, ça faisait longtemps, il ne faudra rien dire » puis un gémissement finit sa phrase et son premier orgasme coula dans ma bouche, je lapais cette jouissance et continuais de la fouiller avec ma langue, après un second orgasme, elle sembla reprendre ses esprits, me repoussa et dit « ça suffit, on n’aurait pas du faire ça » et elle se releva pour échapper à mes mains qui continuaient à caresser ses cuisses, j’étais à genoux à ses pieds, elle me toisa et dit « il ne faudra rien dire hein, tu promets » je lui répondis que oui en espérant qu’on allait continuer, mais elle boutonna sa blouse et dit « allez on y retourne il y a du boulot ». J’étais à la fois déçu et en colère, Val avait pris son pied et moi je restais avec mon érection et dans tous mes états, je la suivi en fixant son cul qui roulait sous sa blouse sachant qu’elle n’avait pas remis sa culotte.
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