Je me mis au travail, mais après quelques minutes je ne pus m’empêcher de lever la tête pour voir ce qu’elle faisait, et là je restais prostré, Valentina était penchée en avant et s’occupait effectivement de ses jardinières mais le fait qu’elle soit penchée faisait remonter sa blouse, qui maintenant j’en étais sûr, étais plus courte que celle de la semaine précédente. En effet, cette blouse était tellement courte que j’avais sous les yeux son cul offert, je restais quelques minutes à profiter du spectacle puis posant la bêche que je tenais, je m’approchais d’elle doucement, plus j’approchais d’elle, plus je sentais ma bite qui se tendait et quand je fus juste derrière elle, je bandais comme un âne. Une envie énorme d’elle me pris, je sortais ma bite et m’approchant encore plus, je cherchais rapidement l’entrée de sa grotte et avant qu’elle ne bouge, j’étais en elle, en me disant qu’après tout, si je prenais une baffe, ça valait le coup. La baffe ne vient pas, dans la position cela aurait été difficile, au contraire, Valentina gémit et dit « enfin, j’ai cru que tu n’allais pas comprendre, j’en avais tellement envie » entre deux coups de reins je lui demandais pourquoi elle m’avait dit qu’elle ne voulait plus quelques minutes plus tôt, Valentina gémit car je venais, à nouveau de m’enfoncer au fond de sa chatte et me dit « je voulais que ce soit toi qui décide, que tu prennes la décision si tu le voulais vraiment, je voulais que tu me prouves que tu avais envie de moi » et à la fin de sa phrase elle jouit une première fois, je restais au fond d’elle, sans bouger pour qu’elle profite de son orgasme et quand je sentis qu’elle « revenait », je recommençais à la limer et j’accélérais le mouvement, elle jouit encore une fois avant que je ne me vide dans sa chatte, puis quelques minutes après ma queue sortit toute seule. Valentina ne bougeait pas, alors je m’agenouillais derrière elle et écartant ses fesses à deux mains je commençais par lui lécher la raie, puis alors qu’elle gémissait un « nonnnn », j’attaquais, avec ma langue, son p’tit trou, je le picorais, le titillait et le forçais avec le bout de ma langue, je me régalais et Valentina gémissait de plus en plus fort, elle me dit « jamais on ne m’avais fait ça, tu es un démon, mais j’adore ce que tu me fais, tu pourras recommencer quand tu voudras », devant cette approbation, et alors que de bouffer son cul, m’avais remis en forme, je me redressais, appuyais mon gland sur son p’tit trou et avant que Valentina ne dise quoi que ce soit, je poussais mon gland qui franchit le petit passage étroit, elle gémit et dit « non, ça ne se fait pas, c’est contre nature », mais c’était trop tard, mon gland était passé et je donnais un coup de reins qui me fit entrer d’un coup au fond de son cul, Valentina poussa un cri qu’elle étouffa en mordant sa main et alors que je m’immobilisais, elle me dit « salaud, tu aurais pu faire doucement, c’est la première fois », je lui répondis que je m’excusais et que j’allais faire doucement, et dans de longs va et vient je commençais à lui pilonner le cul, je sortais presqu’entièrement, à chaque fois et replongeais avec plaisir dans ce cul tout chaud et très accueillant, Valentina gémissait de plus en plus et lâchant une de ses hanches que je tenais, je passais ma main sur sa fente que je trouvais trempée, je trouvais son bouton que je caressais et je lui dit « tu es trempée, après je t’essuies avec ma langue », j’étais en train de pincer son clito en lui disant cela et elle jouit instantanément, son plaisir s’écoula sur ma main et en même temps je jouissais à nouveau, remplissant son cul de mon sperme.
