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Mes charmantes voisines

Chapitre 7

Trash
Le lendemain matin quelque peu troublé par ce qu’il s’était passé la veille chez Andrée, j’arrivais chez Val qui m’attendait avec impatience car dès que nous fûmes sous la tonnelle, elle m’embrassa à pleine bouche puis me dit « pas de jardin aujourd’hui, tu t’occupes de moi et tu me fais jouir », les idées sombres s’en allèrent immédiatement et je commençais par lui dévorer la chatte avec gourmandise jusqu’à ce qu’elle jouisse sur ma langue, puis je recommençais, après avoir jouit une seconde fois elle me supplia « arrêtes maintenant prends moi, et s’appuyant sur le banc elle me tendit son splendide cul pour que je l’investisse, j’y posais mon gland et d’un coup de rein je l’enculais, une fois bien au chaud je commençais à la limer, mon ventre claquait sur son cul à chaque coups de reins, et j’avais du mal à me retenir.
Entre deux coups de reins, je tournais la tête vers la fenêtre d’Andrée et quelle ne fut ma surprise de voir cette dernière à la fenêtre, je ne voyais que le haut de son corps mais c’était suffisant, elle portait un soutien-gorge à balconnets qui laissait la moitié de ses seins à découvert et elle était entrain de les caresser, lorsqu’elle vit mon regard, elle sourit et passa sa langue entre ses lèvres en signe de gourmandise, de la voir nous mater et se caresser me stimula, j’accélérais mes mouvements dans le cul de Val et j’explosais en quelques minutes dans un dernier coup de rein qui me propulsa au fond de son cul où je me vidais les couilles alors que Val ne pouvant se retenir gémissait de plaisir.
Val partit prendre une douche et en attendant je regardais à nouveau en direction de chez Andrée, celle-ci, me fit un petit sourire, leva le pouce en l’air et me dit « c’est ça que je veux, et je l’aurais ». Après la douche, Val revint avec des boissons fraîches. « C’est dingue, je n’ai jamais joui comme ça, tu es formidable, j’adore tout ce que tu me fais que ce soit avec tes mains, ta langue ou ta bite, j’adore quand tu me caresse et que tu me la mets partout, j’ai le cul en feu mais j’adore ça » puis voyant que ce qu’elle venait de me dire commençait à faire effet au niveau de mon sexe qui redressait la tête, elle posa son, verre se pencha en avant, saisit ma queue et l’enfourna dans sa bouche puis elle commença un doux va et vient sur toute la longueur de mon sexe alors que de sa main libre elle malaxait mes couilles, à se rythme, je rebandais rapidement, et je lui dis « arrêtes j’ai envie de toi, je veux la mettre dans ta chatte et jouir en même temps que toi », aussitôt dit, aussitôt fait, Val se leva, me tourna le dos, se pencha en avant et m’offrant la vision de son cul me dit « prends moi mon chéri, fais moi du bien avec ta bite », je la pris en levrette et la tenant par les hanches je la limais jusqu’à ce que nous jouissions tous les deux. Puis je rentrais chez moi et me reposais car le lendemain il était prévu que j’aille voir Martine, et il était hors de question que j’y arrive fatigué, elle ne l’aurait pas supporté.En fin d’après-midi, en rentrant, je passais devant chez Andrée, je vis que la voiture de sa fille était là, cette dernière, mariée et mère de famille venait souvent voir sa mère, et je décidais de voir si je pouvais m’amuser un peu.
Je sonnais, et quelques minutes plus tard Andrée sortit et me dit « ma fille est là, tu ne peux pas repasser plus tard ? », je lui souris et lui dis « ben non, je voulais voir les outils que tu pouvais mettre à ma disposition et si je ne peux pas les voir maintenant, je ne viendrais pas m’occuper de ton jardin, donc c’est toi qui vois », à contrecœur, Andrée me fit entrer, je saluais sa fille alors qu’elle lui disait « je descends au garage pour lui montrer les outils, il va venir s’occuper du jardin et veut savoir ce qu’il y pour le faire, je n’en ai pas pour longtemps, bois ton café tranquillement en m’attendant », puis se tournant vers moi, elle dit assez sèchement « suis moi », nous rejoignîmes le sous-sol par un escalier intérieur et arrivés en bas, Andrée se retourna et me dit « tu exagères, tu aurais pu aussi bien voir ça la semaine prochaine », alors je lui dis « non, tu vois en passant devant chez toi, je voulais savoir ce que tu pouvais mettre à ma disposition, et j’ai eu une brusque envie de savoir si ta bouche pouvait contenir ma bite » Andrée posa son index sur ma poitrine et ponctuant chaque mots commença à dire « alors là mon p’tit bonhomme, c’est hors de question… », je ne lui laissais pas finir sa phrase, je claquais la main qui s’avançait à nouveau vers ma poitrine pas pour faire mal mais pour la stopper, Andrée regarda bêtement sa main et alors qu’elle ouvrit à nouveau sa bouche, je lui coupais la chique « ça suffit maintenant, tu as dit que tu aimais les hommes qui annonçaient leurs besoins et qui savaient assouvir leurs envies, alors voilà, tu te mets à genoux et tu me suces la bite tout de suite ou alors je pars et je ne reviendrais pas, pour ton p’tit chantage, je m’en fous, je suis peut-être mineur, mais en dehors d’une réprimande de ma mère et le fait qu’elle risque de se fâcher avec Val, ce sera tout, par contre si tu fais ça, je te promet que ce ne sera pas la même chose pour toi, je dirais que tu m’as forcé à faire certaines choses, et je pense que tu as plus à craindre et à perdre que moi, voilà, c’est toi qui vois, mais tu vois tout de suite ».
André réfléchit très vite et elle se mit à genoux, un peu difficilement à cause de la jupe droite qu’elle portait, puis elle ouvrit mon pantalon et pris ma bite à pleine main, au moment où elle ouvrait la bouche pour l’avaler, la voix de sa fille retentit « ça va maman, tu en as pour longtemps, tu veux que je descende ? », Andrée réagit très vite sans lâcher ma queue qu’elle commença à masser doucement « non, non ma chérie, on vérifie juste le matériel et on remonte, on va essayer de faire vite », puis elle passa un coup de langue gourmand sur mon gland, et relevant mon sexe vers le haut, elle me lécha des couilles jusqu’au méat et engouffra ma bite dans sa bouche, et étui chaud et humide pour mon sexe en grande forme.
Ensuite, Andrée se déchaîna je compris qu’elle voulait faire vite pour éviter que sa fille ne descende, de plus elle était douée, et ce n’était pas sa première pipe, cela se sentait, je la laissais faire, j’étais déjà bien excité et malgré l’après-midi torride avec Martine, la maitrise d’Andrée m’amena très vite à la jouissance, elle le sentit et voulu reculer, j’attrapais sa tête pour l’en empêcher et jouis au fond de sa gorge, elle toussa, régurgita et fut bien obligée d’avaler mon sperme, quand je la lâchais, elle était en colère « espèce de petit con, j’ai failli m’étouffer, tu es complètement malade, ne t’avise plus jamais de recommencer ça » alors ma main partit toute seule et c’est une belle gifle qu’elle reçu, elle en resta bouche bée alors que je lui disais « il faudrait savoir ce que tu veux, du plaisir comme tu l’aime ou rien du tout, maintenant ça suffit comme ça, tu t’excuse ou bien je pars et tu te démerderas toute seule », la réponse que j’attendais sortit de sa bouche « non, s’il te plaît, promis je ne recommencerais plus, je ferais tout ce que tu voudras » son regard et sa voix étaient suppliants, et je vis dans ses yeux des éclairs d’envie et de plaisir, je lui répondis « ok, je viendrais dimanche prochain, tu porteras une jupe qui t’arrivera juste sous les fesses et un chemisier transparent, je me moque de la couleur, par contre, pas de soutif et pas de culotte, mais des bas de préférence à résilles et un porte-jarretelles bien sur, ah et aussi des chaussures à talons, et mettons-nous bien d’accord, au moindre refus, à la moindre rebuffade, je pars et tu ne me revois pas, tu n’as aucun droit, si ce n’est celui de faire ce que je te demanderais ». Je partis non sans avoir fais la bise à sa fille.
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