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Mes charmantes voisines

Chapitre 8

Trash
Le dimanche suivant lorsque j’arrivais chez Andrée, elle avait fait ce que j’avais dit, une jupe noire qu’elle avait coupé pour être s’arrêter juste au ras de son gros cul, un chemiser blanc presque transparent, mais insuffisamment à mon goût, des bas résilles et des chaussures à talons aiguilles. Dès que j’entrais elle me dit « bonjour mon chéri, je sens qu’on va passer une matinée d’enfer, je suis déjà trempée rien qu’à me préparer et à t’attendre », je la regardais et lui dis « ton chemisier n’est pas assez transparent, enlèves le tout de suite », elle minauda « déjà, tu es pressé à ce point et si tu l’enlevais toi-même ? », je saisis d’une main chaque pan du col et tirais en écartant d’un coup sec vers les côtés, tous les boutons sautèrent et ses seins apparurent, tombants mais je vis tout de suite que les tétons pointaient et avaient l’air bien durs. J’approchais mes mains et flattais chaque tétons, Andrée gémit et se cambra pour s’offrir encore plus, je saisis les deux tétons et les pinçais, une plainte s’échappa de sa bouche « ouiiiii, continues, j’adore ça », je les pinçais et elle gémit à nouveau « oh putain que c’est bon, je suis sur que tu vas me donner tout ce dont j’ai envie ».
Je lâchais ses tétons et elle poussa un petit cri de frustration « non, continues occupe-toi d’eux, ils en ont besoin et ils adorent ça », je mis une pichenette sur chacun des tétons et alors qu’Andrée redescendait sur terre à cause de la douleur, je lui dis « j’aimerais bien un café s’il te plaît, mais avant tu enlèves ton chemisier pas la peine de le garder, et je veux savoir aussi si tu ne portes pas de culotte comme je te l’ai demandé », et passant une main sous sa jupe, majeur en avant, je trouvais sa chatte nue et poilue, je caressais sa fente sur toute sa longueur alors qu’Andrée gémissait de nouveau, puis trouvant l’ouverture de sa grotte, j’y posais le bout de mon doigt et poussais pour le faire pénétrer. André gémit, « petit salaud, tu sais y faire, vas-y branle ma chatte, fais lui tout ce que tu veux, tu sens sur ton doigt ? Elle pleure de plaisir tellement elle aime ce que tu lui fais ».Effectivement, mon doigt glissait tout seul tellement elle était trempée, je fis quelques aller-retour et retirais mon doigt, je le portais à ma bouche et le léchais avec gourmandise, Andrée me regarda faire en gémissant, puis je lui dis « allez, va nous faire un café, pendant ce temps je descends et on se retrouve dehors sur la terrasse ».
Arrivé dans le jardin, je me mis à l’aise, j’enlevais mon teeshirt et ne gardais que mon le jogging que j’avais mis le temps étant couvert, je m’assieds dans l’un des fauteuils et j’attendis Andrée.
Elle arriva avec un plateau chargé de gâteaux, de deux tasses et d’une cafetière, elle le posa sur la table et me regarda avec des yeux pleins d’envies, elle était juste à côté de moi je n’eus qu’à me pencher pour prendre un de ses tétons dans ma bouche et le mordiller, elle se cambra et gémit de plaisir alors qu’une de mes mains partait entre ses cuisses pour caresser sa chatte trempée. Lorsque je relâchais son tétons, elle me dit « moi aussi j’ai envie de t’en faire autant », et moi de lui répondre « rien ne t’en empêche, fais ce que tu veux, tout comme moi je le fais ».
Andrée se pencha en avant et commença à lécher puis mordiller mes tétons alors qu’une de ses mains s’aventurait entre mes jambes pour attraper mes couilles et les masser, puis sa main remonta et se posa sur la bosse que formait mon érection dans mon jogging, lâchant le téton dont elle s’occupait, elle posa ses mains de chaque côté de mes hanches et, attrapant les côtés de mon jogging, me dit « soulève-toi un peu », ce que je fis en prenant appui de mes deux mains sur les bras du fauteuil, elle tira vers le bas et ma queue libérée de son écrin de coton, se dressa fièrement, Andrée ne pris pas le temps d’enlever complètement mon jogging, elle se pencha en avant et sortant sa langue en mit un grand coup sur mon méat, puis elle baissa la tête tout en m’écartant les cuisses au maximum et sa langue commença à danser sur mes couilles, je gémit de plaisir sous cette caresse, puis elle fit remonter sa langue de mes couilles à mon gland et finit par m’avaler tout entier , elle commença alors de lents va et vient avec sa bouche m’avalant en entier à chaque fois. Quand je sentis que le plaisir montait, j’attrapais ses cheveux et tirais en arrière, elle fut obligée de stopper, elle leva la tête et me demanda « tu n’aimes pas ? », je lui souris et dis « si j’adore, tu suces très bien mais je n’ai pas envie que de ça, je veux profiter de toutes les possibilités qui sont offertes, et d’abord je veux te dévorer ton minou, alors assieds toi que je glisse ma langue dans ta fournaise.
Andrée s’assied sur la table, ouvrit ses cuisses en grand et me dit « mange-moi mon trésor, fais-moi du bien avec ta langue et après avec ta queue, je la veux au fond de moi, je veux la sentir me remplir la chatte et je veux sentir ton foutre me gicler dedans et me remplir ». Je commençais par lui dévorer la fente, Andrée était trempée et gémissait de plaisir puis quand je l’eu fait jouir, je me redressais, posais mon gland sur l’ouverture de sa grotte et, d’un coup de reins j’investis son vagin, Andrée ouvrit les yeux et la bouche en grand, une plainte s’échappa de sa bouche ouverte alors que je commençais à la limer, après quelques aller-retour, elle gémit « plus vite, s’il te plaît, plus vite et plus fort », j’accélérais mes mouvements et très vite Andrée jouit à nouveau, je sentais son jus couler sur mes couilles et cela me stimula, je continuais à la limer et une seconde jouissance la submergea, elle gémit « oh putain que c’est bon, à mon âge, me faire mettre par un gamin plein de fougue et de vigueur, vas-y, encore, continues s’il te plaît, et je veux que tu te vides au fond de ma chatte maintenant », demandé comme ça, je ne pouvais pas refuser, et je donnais satisfaction (c’est le cas de le dire) à Andrée car quelques minutes plus tard je jouissais et me vidais les couilles dans un dernier coup de reins.Andrée descendit de la table, elle vacillait sur ses jambes « tu m’as tué, j’ai adoré ce que tu viens de me faire, je n’avais pas jouit comme ça depuis un bon bout de temps, on va prendre une douche pour se nettoyer » et elle commença à avancer vers la maison « stop, regardes, ma queue dégouline de foutre et de ton jus alors tu nettoies sinon ça va tomber par terre » elle se retourna et dit « ben non, c’est dégueu, hors de question » je la saisis par le bras et la forçant à se retourner je lui dis « dis donc, quand je fourre ma langue dans ta chatte et que tu jouis dessus, ça ne te dégoûte pas, alors maintenant tu nettoies et vite » et tirant son bras vers le bas je la forçais à s’agenouiller, devant ma queue dégoulinante, elle fit la moue, « lèches et nettoies bien ma bite si tu en veux encore », elle sortit sa langue et commença à me lécher, après quelques secondes, elle se transforma et m’avala en entier, me faisant coulisser entre ses lèvres alors que sa langue virevoltait autour de ma bite, puis je la repoussais, elle rechigna et en se relevant me dit « en fin de compte, c’était pas si dégueu que ça, j’adore nettoyer ton zob et le sentir gonfler dans ma bouche » effectivement, le traitement qu’elle venait de m’infliger m’avait redonner de la vigueur, je lui claquais les fesses et dis « à la douche ma grosse salope, je vais bien te nettoyer partout et tu vas m’en faire autant ».
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