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Mes chères amies

Chapitre 4

Monsieur

SM / Fétichisme
Le lendemain soir en rentrant du travail, je mets à préparer une machine le linge. Je vide le bac et y trouve le pantalon que je portais samedi lors de la balade avec les filles. Machinalement, je vérifie si les poches sont vides et dans l’une d’elles, je retrouve le papier plié que l’homme m’avait donné dans le sex-shop. Je l’avais oublié, mais en le voyant, mes mains tremblent un peu. Je déplie le papier et j’y vois écrit en lettres noires et d’un style énergique : Monsieur – 06 17 xx xx xx
Je n’ai donc pas rêvé, ça s’est bien passé. Je pose le papier sur le meuble, un peu dérouté, puis retourne à ma lessive, puis reviens relire ce papier. Enfin décide de le mettre dans le tiroir du secrétaire dans l’entrée.
Toute la soirée, cette histoire me taraude et éprouve le besoin de me caresser. Mais en me caressant, je me dis qu’il avait sûrement raison pour la cage. Ça peut éviter que je me caresse et orienter mon plaisir ailleurs. Faut peut-être que je cache cette petite chose qui bande peu et souvent mou et ne représente pas grande utilité à mes yeux.
Ma nuit sera agitée et je vais y penser souvent. La suivante également. Le mercredi, j’appelle Sarah pour lui dire que j’ai très envie de tester, mais j’hésite encore et puis c’est peut-être ridicule, etc. On en parle longuement au téléphone, Sarah m’écoute, me questionne puis me dit « écoute, tu en as envie, mais tu as peur d’être jugé. Je ne te jugerais pas, bien au contraire. Et je trouve que ce serait bien pour toi... alors rendez-vous demain soir à Rochechouart, on retourne au même endroit et on l’achète, d’ac MA chérie ».
L’approbation de mon amie m’ôte un poids, me libère.
Le lendemain soir, je retrouve Sarah et nous allons ensemble acheter l’objet. J’ai le rouge aux joues quand je passe en caisse, mais en fait le vendeur s’en fout royalement. Il en voit d’autres ! Sarah est contente pour moi et me dit « hum hum... une cage, un collier, un rosebud... la soumission te tente de plus en plus... ». Je reste évasif sur ma réponse. Nous rentrons tranquillement et chacun rentre chez soi ensuite.
En arrivant, je pose l’objet dans la salle de bain, je n’ose pas le déballer tout de suite. Il faudra attendre que le lendemain soir pour que je déballe, le nettoie bien et que je l’essaie. Oh là là, ça fait bizarre à mettre la première fois. Pour une fois, ça m’a même fait bander... il a fallu attendre quelques instants que ça retombe pour l’enfiler. Le temps de s’habituer, j’ai ressenti une sensation de bien-être, de plénitude... comme si cet objet était nécessaire. J’appelle aussitôt Sarah pour lui raconter tout ça. Elle est heureuse pour moi et me félicite d’avoir fait ce que j’avais envie de faire. Et me dit « ça t’ira très bien avec ton bijou anal MA chérie ». Nous partons tous les deux dans un grand éclat de rire.
Je garde la cage toute la soirée et je ne peux m’empêcher de repenser à cet homme... Monsieur... je ne sais rien d’autre. Je ressors le papier où est écrit le numéro, l’envie de l’appeler me taraude, mais j’ai peur. Finalement, je me décide à lui envoyer un SMS.
— Bonjour Monsieur, je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, on s’est croisé au sex-shop samedi, vous m’avez laissé votre numéro.

J’hésite avant de l’envoyer et puis je me lance, il est désormais parti. A l’instant même, je le regrette, je suis con, je n’aurais pas dû faire ça. Je me raisonne et finalement s’il me répond, je dirais que je me suis trompé, mais en même temps, l’idée m’excite. Je n’ai pas de réponse. Une heure plus tard, je me dis qu’il ne me répondra pas, je me suis fait un film. C’est mieux ainsi.
Bip ! je viens de recevoir un message. C’est lui... mon cœur s’affole. Le message est lapidaire, sans bonjour, sans rien.
— Tu es la jolie tapette de samedi ?
Mes yeux se brouillent un peu... que faire, laisser tomber ou répondre, je ne sais plus. Machinalement, j’écris « oui Monsieur » et j’envoie. La réponse arrive 10 minutes plus tard.
— Rendez-vous demain 20h30 à Love Palace bd de Clichy. Tu vas au rayon vêtements en bas et tu m’attends. Ne m’envoie plus de message !
Ma nuit est agitée, je suis souvent réveillé en pensant à ce texto, le lendemain au boulot, c’est pareil, j’ai la tête ailleurs. J’hésite. Mais après tout, qu’est-ce que je risque ? Et puis c’est bien moi qui ai pris l’initiative de lui envoyer le message. Le soir, je rentre chez moi, je vais prendre une douche et me préparer. En bon métrosexuel que je suis, je passe du temps dans la salle de bains à me préparer. Vient ensuite le choix de la tenue. J’opte pour un pantalon slim noir que je vais porter avec une chemise satinée, ma veste et des bottines. Mais détail important, j’emprisonne ma petite queue de cette cage rose, il me semble évident de la porter et je suis sûr qu’il va s’en apercevoir. Et par-dessus sans réfléchir un seul instant, je mets un tanga en dentelle, un sous-vêtement féminin.
Il est 20h25 quand je rentre dans cet espace dédié au sexe, c’est grand. J’ai le cœur qui bat la chamade. En entrant, je vois la compagne de Monsieur qui discute avec l’homme derrière la caisse, sûrement le patron. La femme me voit arriver et me sourit puis retourne la tête et reprend sa conservation. J’ai beau chercher du regard, je ne vois pas Monsieur.
Je me déplace dans le magasin sans trop me presser, comme un client lambda ferait puis me rend au sous-sol comme prévu. Je trouve facilement l’espace vêtements. Il y a des vêtements en cuir, en latex... je fais mine d’être client qui regarde les articles. Ma gorge est serrée et mon cœur bat vite. L’espace est vide, il n’y a personne, et Monsieur n’est pas là. Et le temps s’écoule sans que personne ne vienne. Je commence à trouver le temps un peu long et me dire que je vais rentrer, qu’il s’est moqué de moi. La pression que j’avais tout à l’heure retombe quand soudain je sens quelqu’un derrière moi et comme la première fois, sa main glisse sur mes fesses avant de se poser dessus. Dans mon dos, je sens un souffle d’air dans mon coup et il me dit :
— C’est bien, tu es venue petite tapette.
Et comme l’autre fois, sa main passe par-devant pour effleurer mon sexe, mais avec plus d’insistance, son doigt contourne la petite forme de la cage, et il me dit :
— Très bien, tu es obéissante petite tapette.
Je ne suis plus où je suis, j’ai l’impression d’être dans un monde parallèle et de perdre pied. Il se colle à moi et je sens son sexe en érection contre moi.
— Rejoins-moi dans la cabine !
Et se détache de moi, se déplace d’environ 8 ou 10 mètres pour rejoindre la troisième cabine, la plus au fond. S’engouffre dedans et ferme le rideau.
Sans réfléchir, je vais le rejoindre, écarte le rideau et entre. Je le vois réellement pour la première fois. Il a une cinquantaine d’années, cheveux bruns et bien coiffés, un certain charme cintré dans un costume sombre porté sans cravate. Son regard est pénétrant, il est directif, sûr de lui... son allure est légèrement hautaine. Je suis devant lui debout, de sa main droite, il caresse mon visage puis mon cou qu’il enserre sans serrer fort, mais il maintient mon cou en me regardant fixement et silencieusement. Je ne soutiens pas son regard et baisse les yeux. A ce moment-là, sa main lâche mon cou pour descendre sur ma poitrine, puis elle descend sur mon ventre toujours par-dessus mes vêtements, puis descend plus bas, et sa main se referme sur mon sexe protégé de sa cage et la garde fermée, par-dessus mon pantalon serré. Je n’ai plus aucune résistance, je suis hors sol.
Sa main me lâche le sexe et revient s’appuyer sur mon épaule. Cette petite pression m’invite à m’agenouiller, ce que je fais. Pendant ce temps, il défait sa ceinture et le bouton de son pantalon de costume qui tombe à ses chevilles et il est en caleçon lycra devant moi. Le caleçon est déformé par une grosse érection. Sans ordre, mais sachant instinctivement ce que je dois faire, j’accroche le caleçon avec les doigts des deux cotés afin de le faire descendre. Sa queue jaillit devant mes yeux, magnifique, droite, assez fine et longue. Elle est tentante. Le caleçon rejoint le pantalon et ma main prend le sexe, commence à jouer avec et ma bouche se rapproche du gland, un petit coup de langue, je joue avec puis doucement l’embouche, puis coulisse lentement en tenant la base de ma main droite. L’une de ses mains tient fermement mes cheveux.
— C’est bien, tu es experte, continue petite tapette.
Je remarque qu’il ne me parle qu’au féminin. Je retire le sexe bien dur de ma bouche et lui dis :
— Merci Monsieur, et fermement, sa main dans mes cheveux ramène ma tête sur son sexe. Je reprends ma fellation comme j’aime faire aux hommes avec qui je couche.
Je veux être le plus doux possible, j’alterne entre lécher son gland, sa hampe, mettre son sexe le plus possible dans ma bouche et ma main coulisse sur son manche. C’est bon, j’adore ce que je fais. Sa queue est tendue de désir et je m’active dessus avec une douceur infinie. Je sens une contraction et je sens qu’il se gère. Il ressort de ma bouche, un filet de salive relie mes lèvres à son gland. Je suis déçu, j’aurais voulu plus... mais il en décide autrement.
En me tirant par les cheveux, il me force à me relever puis me retourne. Je suis désormais face à la paroi.
— Descends ton pantalon !
Je m’exécute et fais glisser sur mes chevilles mon pantalon en me dandinant et il découvre mon tanga en dentelle.
— Je m’en doutais, petite tapette ! ça moule bien ton cul qui semble bon.
Instinctivement, je me cambre pour remonter mes fesses comme pour lui offrir.
Sa main caresse mon sexe, caresse la cage, j’ai peine une érection molle. Je me sens soumis ainsi encagé, mais à ce moment-là, il me parait normal que je la porte... j’ai envie de m’offrir à lui. Il descend ma culotte qui rejoint mon pantalon à mes pieds. Il me fait me courber encore plus, le cul offert. J’attends. En retournant ma tête, je le vois mettre un préservatif puis sortir de sa poche un tube de gel qu’il met sur deux de ses doigts. Ceux-ci trouvent immédiatement mon trou, il écarte les fesses et commence à me préparer. Je suis si excité que je pense que ce n’est pas nécessaire, mais je me laisse faire, c’est bon, je sens un doigt, puis deux doigts me fouiller...
— Tu as l’habitude de te faire enculer petite tapette, ça se voit, me glisse-t-il à l’oreille.— Oui Monsieur... souvent... j’aime ça.— Tu vas encore plus aimer avec moi parce que tu découvres ta soumission.
Et en disant ça, je sens son gland se poser sur mon œillet, puis forcer l’anneau, s’arrêter, puis avancer un peu... je sens son sexe commencer à me pénétrer. La petite tension ne m’est pas douloureuse, mon anneau se distend et s’habitue à son sexe pour prendre possession de moi. D’abord lentement, il progresse en moi, ses mains se posent sur mes hanches, puis plus franchement. Lui aussi a l’habitude de sodomiser des partenaires, ça se voit.
Il impose la cadence régulière, il me pilonne et sa longue queue va au plus profond de mon ventre. C’est trop bon. Je suis courbé contre la paroi, les mains à plat dessus pour me maintenir et cet homme qui me baise. Je me fais tringler comme une vulgaire salope, en plus mon sexe emprisonné, et j’aime tellement cette situation. Mon excitation monte, je pousse des petits gémissements.
— Je savais que tu allais aimer ça petite tapette.
Je ne l’entends plus, je suis concentré sur mon plaisir, qui est intense, et au plaisir de m’offrir à cet homme inconnu. Je jouis avant lui... une première fois et au moment où un second orgasme me ravage, mes doigts se crispent sur cette paroi lisse et... le rideau s’entrouvre. Une brusque panique s’empare de moi et je distingue la femme se glisser dans la cabine et assister à l’assaut de son maître sur moi... à ce moment-là, il se raidit, se contracte, je sais qu’il jouit à son tour. Il ressort de mon cul doucement
— Putain qu’elle est bonne ! dit-il le souffle coupé.

Et je vois sa femme le débarrasser de sa capote pleine de sperme et de le sucer son homme pour nettoyer sa queue encore maculée de semence. Je me suis retourné et regarde la scène, un peu ébahi. Elle tient la capote pleine de sperme par le haut pour éviter qu’elle se vide et je la vois le sucer avec avidité, puis se redresse et vient vers moi et sans me demander quoi que ce soit, m’embrasse à pleine bouche pour partager le sperme sur ses lèvres. Elles sont rares les fois où j’ai embrassé une femme sur la bouche. Je suis surpris et j’ai un léger mouvement de recul. Elle quitte ma bouche. Monsieur s’est rhabillé et refait le geste de tout à l’heure en posant sa main sur mon cou et me dit :
— Tire la langue et garde la sortie bien droite.
Je m’exécute sans trop savoir pourquoi faire et je vois la femme déverser le contenu de la capote sur ma langue. Monsieur me tient toujours la gorge et lâche un ordre.
— Avale et remercie-moi.
Je rabats la langue chargée de son sperme dans ma bouche et j’avale méticuleusement. Il sent ma déglutition, car sa main enserre toujours ma gorge.
— Merci Monsieur.
La femme avait déjà quitté la cabine.
— C’est bien, petite tapette... si tu veux aller plus loin avec nous, laisse-moi un message.
Il ôte sa main de ma gorge, réajuste sa veste et rajoute
— Et n’oublie pas, t’es faite pour porter une cage.
Et rapidement, il quitte la cabine d’essayage.
Je reste pantois de ce qui s’est passé en quelques minutes, appuyé contre la paroi, le pantalon et ma culotte baissés. J’ai le sentiment d’avoir été un jouet, d’être souillée, et en même temps, une plénitude s’empare de moi. Je reste quelques instants comme ça. Je viens de me faire enculer par un homme que je ne connais pas, mais qui m’a dominée, dans une cabine d’un sex-shop. Ça peut paraître un peu glauque ou une aventure excitante.
Je reprends mes esprits et me rhabille et sors de la cabine. Il n’y a toujours personne, je remonte les escaliers et me dirige vers la sortie. Je cherche le couple des yeux, mais je ne les vois pas. J’appréhende le type à la caisse. J’ai l’impression qu’il est au courant de tout, j’ai un peu honte. Je passe devant lui et disant un petit au revoir. Il me regarde, me sourit et me souhaite une bonne soirée. Je ne saurais jamais s’il savait ou non ce que j’ai fait dans la cabine. Une fois dehors, je me suis dépêché de prendre un métro et rentrer chez moi me laver. J’ai le goût du sperme dans la bouche. Jamais je n’aurais été autant appelé petite tapette que ce soir-là. Et étrangement, ça ne m’a pas dérangé. Au contraire, ça me semblait normal. Chez moi après une bonne douche réparatrice, je me suis endormi comme une masse, en gardant la cage rose.
J’ai mis du temps avant de raconter ça à mes amies.
A suivreL’histoire vous plaît-elle toujours ? Je continue ?Merci de vos commentaires les amis
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