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Mes chères amies

Chapitre 5

Travesti / Trans
Nous sommes lundi soir, je suis chez moi et Sarah m’appelle au téléphone.
— Tu sais l’autre jour quand tu étais chez moi, que tu étais en jupe... — Euhh oui.— Léa et moi on trouve que ça te va trop trop bien... samedi on voudrait te faire plaisir, que ça soit TA journée.— Ma journée ? C’est-à-dire ? — Et bien tu ne t’occupes de rien, c’est nous qui nous occupons de toi, on te chouchoute, on t’habille, on te maquille et on passe la soirée à la maison entre filles... et de rajouter dans un éclat de rire « on fera de toi une bombasse ».
Je me doutais que Sarah me relancerait, mais je ne me doutais pas qu’elles voulaient me transformer.De toute façon, je ne peux pas résister encore plus à l’insistance répétée des filles. Et puis peut-être qu’au fond de moi, je n’ai pas envie de résister plus longtemps.
— Bon d’accord, j’emporterai la robe et les chaussures.— Non non, tu ne t’occupes de rien je te dis ! On se charge de tout avec Léa. De toute façon, on connaît tes mensurations et ta pointure. On ira faire quelques emplettes dans la semaine. — OK OK... c’est bon, vous avez gagné les filles... mais je viens avec vous.— Ah non pas question, c’est une surprise ! Et puis c’est un cadeau, alors tu découvriras samedi. — Bon d’accord ! Vous êtes infernales quand même.— Ah au fait, n’oublie pas par contre d’emporter tes nouveaux joujoux, ta cage, ton collier et ton rosebud.— Oullaaa, ça promet ! — Allez MA chérie, je dois te laisser ce soir, bonne soirée... gros bisous.— Bisous Sarah.
Bip bip bip...
Toute la semaine, je me demandais bien ce que les filles pouvaient bien manigancer.
Le samedi, j’arrive chez Sarah à 14h comme prévu. Léa est déjà là. Elles m’accueillent avec engouement.On prend un café ensemble et me détaille ce qui m’attendait. Oulala une vraie journée de fille.Je ne faisais même plus semblant de résister ni de m’offusquer... et je laisse emmener dans leurs délires et j’avoue que la perspective me séduisait.Il s’était passé beaucoup de choses depuis quelque temps, j’avais envie d’aller au-delà et laisser un peu plus d’espace à ma féminité. Je laissais donc les filles jouer à la poupée avec moi, on verra bien.
L’après-midi commence par une épilation. N’ayant que très peu de poils, cela allait être rapide. Mon visage doit être rasé de très près. Là, également ma faible pilosité est un avantage.Puis une douche pour me débarrasser de toutes ces petites impuretés et bien me laver de partout. J’ai l’habitude de faire des lavements pour être d’une hygiène irréprochable. J’en fais un là.Je sors juste de la douche pour me sécher que Sarah rentre dans la salle de bains sans frapper et me tend un peignoir en satin que je devrais enfiler une fois sec, mais aussi ma petite cage. Elle décide de me la positionner sur mon petit sexe (pas bien viril) et de verrouiller le cadenas. Je m’attendais à la porter bien sûr, mais je suis surpris que ce soit Sarah qui me la positionne. J’espère juste qu’elle ne perdra pas la clef.J’apprécie le port de cet objet.Sarah ressort puis revient avec une paire de mules toutes jolies avec des talons d’environ 5 centimètres.
Enfin, nu sous mon peignoir en satin que je trouve très agréable à porter, mon sexe emprisonné, je retourne voir les filles en marchant avec les mules. Marcher avec des talons ne pose pas de problèmes, je le fais souvent chez moi. Je les rejoins dans la cuisine. Elles vont œuvrer dans la cuisine parce qu’elles ne veulent pas que je puisse me voir dans un miroir avant la transformation terminée.
Vient ensuite une épilation des sourcils et une pose de faux ongles.Puis vient une séance de maquillage en règle. Je vois des faux cils se poser puis s‘enduire de mascara, je sens les pinceaux glisser sur ma peau, des crèmes puis des poudres s’appliquer, mes yeux ourlés de couleurs, je vois le rouge brillant très joli s’appliquer avec précision sur les ongles longs posés pour l’occasion. Puis un rouge similaire s’appliquer sur mes lèvres. C’est doux, c’est agréable, c’est sensuel, les odeurs me plaisaient, les textures également... j’aime ce que l’on me fait. Je suis entre leurs mains expertes et je me laisse faire avec délice. A ce moment-là, je ne suis plus un garçon.
Léa ramène les boucles d’oreilles qu’elles avaient préparées. J’ai les oreilles percées et un petit diamant sur chacune. Léa ôte mes diamants et les remplace par des boucles d’oreilles en pendentif.J’avais déjà porté des pendentifs et j’apprécie de sentir les fines lanières de perles bouger quand je bouge la tête.Pour mes cheveux, n’ayant pas assez long pour une coupe féminine sympa, les filles ont acheté une perruque brune, cheveux mi-longs aux épaules qu’elles positionnent et fixe sur ma chevelure.Je prends plaisir à me faire chouchouter, pomponner. Je ne sais pas ce que cela donne. J’appréhende un petit peu, mais j’ai confiance totale en Sarah et Léa.On papote, on rigole, les filles s’appliquent... ça dure un petit moment.Sarah dit « mais au fait il faut te trouver un prénom féminin »Je n’avais pas pensé à ce détail... des prénoms sont proposés, mais rien ne me séduit
— Mais on est bêtes... bah c’est Justine évidemment.
Bah oui évidemment, en s’appelant Justin, ça paraît si évident que personne n’y avait pensé avant.OK, va pour Justine... après tout c’est un peu moi quand même.
Après cela, vient l’habillage.Les filles me prennent par la main pour m’emmener dans la chambre de Sarah en me masquant les yeux au cas où nous croissons une glace.
Nous arrivons dans la chambre et je vois, préparés sur le lit, d’un côté, une parure de sous-vêtements composée d’un soutien-gorge, d’un porte-jarretelles large avec 6 jarretelles et un tanga. Le tout en satin et dentelle, noir et rose poudré avec des petits croisillons en tissus sur les côtés.La lingerie est charmante.De l’autre côté, il y a une jupe droite anthracite et un chemisier noir à pois blanc en tissu polyester. Entre les deux, il y a un emballage sombre d’une marque de bas et une boîte carrée sans inscription dessus.Je reste contemplative devant tout ça.
— Ça te plaît ma chérie ?
Je prends le porte-jarretelles entre les doigts pour toucher la douceur.
— Oui, beaucoup ! Vous êtes folles les filles ! — C’est pour toi, pour ta première journée de femme, c’est important non ?
Je n’ose répondre. Je touche le corsage, la jupe... puis prends l’emballage.
— Ce sont des bas Gerbe, Justine, me dit Sarah. « Ce sont les mêmes que ceux que je porte ».
Je regarde les jambes de Sarah joliment gainées et tourne sur elle-même, faisant virevolter sa jupe. Mais permettant de mettre bien en évidence les coutures sur ses mollets.
— Toi aussi Léa ? dis-je.— Nan, ce sont des Cervin, me répond-elle en se déhanchant.— Mais pourquoi un soutien-gorge les filles ?
Certes ma poitrine est un peu plus développée que celles des garçons et mes tétons un peu plus larges et sensibles (que j’aime caresser), mais pas au point d’avoir besoin d’un soutien-gorge.
— Justement on a tout prévu, dit Léa en prenant la boîte blanche carrée et l’ouvre en dévoilant deux prothèses, des seins en silicone.
Elle en sort un et me le place sur ma poitrine par-dessus mon peignoir
— Tu vas voir, tu vas adorer Justine.
Je suis dans un autre monde, fait de douceur et de frou-frou et je m’identifie à une femme, j’ai oublié mon genre et j’aime évoluer dans ce boudoir avec mes deux amies.
Je reste admiratif devant les vêtements étendus sur le lit quand Léa et Sarah prennent les choses en mains. Elles défont la ceinture du peignoir qui s’ouvre sur ma nudité, juste contrariée par cette petite cage rose puis enlèvent le peignoir et le jettent sur le fauteuil. Elles me demandent d’ôter les mules.Tiens au fait, je n’ai pas vu les chaussures ? Certainement plus tard.Les filles commencent à me mettre le porte-jarretelles et l’attache dans mon dos, puis défont les bas de leur emballage soigné. Ils sont noirs, fins, transparents, c’est très joli. Elles me font asseoir sur le fauteuil puis déroulent le délicat morceau de nylon sur ma jambe toute lisse, puis attachent le bas aux attaches métalliques des 3 jarretelles. Puis recommencent sur la jambe gauche. Je ne peux m’empêcher de caresser ma jambe avec le nylon dessus, c’est terriblement plaisant.Je me mets debout et sens les jarretelles se tendre et tendre légèrement les bas en même temps, la sensation est des plus agréable.
Sarah m’enfile le tanga par-dessus le porte-jarretelles en m’expliquant que c’est ainsi qu’on doit le porter pour ne pas être gêné lorsque l’on va aux toilettes. Le fin tissu prend naturellement sa place sur mes fesses et la partie plus large du devant masque correctement mon petit sexe recourbé dans sa coquille de latex rose.
Le tanga et le porte-jarretelles sont très jolis, très doux, je passe ma main par-dessus, et j’aime ce que je vois, ces deux mains fines aux magnifiques ongles rouges glissent sur le satin de ma lingerie puis sur la légère courbe de mon sexe. Sarah et Léa me regardent en souriant.
C’est doux, c’est joli, c’est sensuel, j’aime beaucoup...Sarah me positionne maintenant le soutien-gorge, qu’elle ajuste les bretelles sur mes épaules alors que Léa qui a pris les objets en silicone vient me les placer sur ma poitrine dans chaque bonnet du soutien-gorge. Les prothèses prennent leurs places sans problème et commencent à prendre la température de mon corps et finissent de se positionner.
— Tu as quand même une morpho de nana, dit Léa.

Je n’en reviens pas, en quelques minutes, je me vois affubler d’une magnifique poitrine protégée par un élégant soutien-gorge.Je ne peux que me caresser les seins... décidément que c’est bon !
— Tu vois ma chérie, je t’avais dit que tu aimerais, me dit Sarah.— Tu as raison Sarah... quelle sensation incroyable.— Toutes les meufs veulent une belle poitrine, renchérit Léa.

Après la lingerie, les filles me font mettre cette jupe droite qui se ferme par une fermeture éclair sur l’arrière. Puis le chemisier qui est boutonné devant est qui épouse ma nouvelle et ravissante poitrine.Du peu que je vois, je me trouve élégante. Sobre et élégante. Et je reconnais que les filles ont l’œil sur les tailles, elles ne se sont pas trompées.
Sarah a quitté la pièce et revient avec deux boîtes à chaussures, l’une normale et la seconde plus grande que l’autre. Elle les ouvre et je découvre dans la première boîte, une paire d’escarpins noirs à talons effilés de 9 centimètres.Je prends les chaussures que je trouve très belles.Sarah ouvre la seconde et je découvre une paire de bottes en daim, noires également. Avec des talons sensiblement de la même hauteur que les escarpins.
— Avec Léa, nous n’arrivions pas à choisir, alors on a pris les deux, dit Sarah.— Tu ne nous en veux pas Justine, rajoute Léa en riant.— Ahhhh les filles, mais vous êtes folles, c’est magnifique, et je les prends dans mes bras pour les embrasser.— Attention ton maquillage !!!
J’hésite, mais je choisis les escarpins que je chausse. Je me relève pour faire quelques pas, je suis sur les talons, la jupe, mes jambes voilées, les jarretelles que je sens, cette poitrine... les cheveux qui bougent quand je balance la tête, ces ongles... décidément je me sens bien.
— Merci merci les filles, je vous aime... — Mais nous aussi ma chérie, on t’aime !
« Tu aimes Justine ?
— Ouiii j’adore, merci... merci de ce cadeau.
« Bon tu veux te voir dans la glace ? »
— Ouiiiiiiiiiiiii, réponds-je, même si j’appréhende un peu quand même.— OK ferme les yeux, ne triche pas.
Et elles me prennent chacune les mains et m’emmènent dans le salon où se trouve un grand miroir. Les talons claquent sur le carrelage. Je me laisse guider les yeux fermés.On stoppe, nous devons être devant.
— Tu es prête pour le grand choc Justine ? Tu peux ouvrir les yeux !

J’espère que vous appréciez toujours l’histoire.Je prépare la suiteBisous
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