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Mes chères amies

Chapitre 17

La soirée avec Matéo

Travesti / Trans
Mardi, je quitte le bureau au plus tôt pour repasser chez moi afin de me préparer. J’ai longuement pensé à ce soir. Je ne peux pas y aller en Justine, il ne connait pas mon double féminin. Et puis ce n’est peut-être pas son truc les nanas, il préfère peut-être les androgynes, les petits minets. Les petites tapettes comme dit Monsieur.En tout cas c’est comme ça qu’il m’a vu vendredi soir... enfin presque puis que j’avais mon trench.Après tout je peux m’habiller de la même façon ce soir. Et puis le resto est dans le marais, ça ne devrait pas choquer.
Bon c’est d’accord, je m’habille de même façon. Le pantalon sombre de costume c’est validé. La tunique ? j’hésite c’est peut-être un peu trop femme. Je choisi une chemise un peu plus masculine, légèrement plus masculine en fait, car elle est soie ivoire. 
Puis hésite à nouveau pour finalement revenir à la tunique en satin blanc cassé. Je remets les colliers mais pas le collier de soumise.Evidemment pas de faux seins ni soutien-gorge mais je fais quoi… j’ose le porte-jarretelles ou pas ? Aarrrrgg quel dilemme !
Après tout, je n’ai qu’à être exactement comme vendredi, il me découvrira ainsi… on verra bien. Mais quelque chose me dit qu’il va apprécier. Je mets donc le porte-jarretelles, une paire de bas couleur gazelle sans couture et ma culotte en satin. Et oui je remets aussi ma petite cage rose et repositionne le rosebud dans mes fesses. Tout pareil à vendredi, je refais le film, la soumission en moins.J’hésite toutefois, le rosebud, bon c’est quand même un peu trop, finalement je l’ôte.
J’ai mis la clef dans mon porte-monnaie au cas où je dois ôter ma cage. Il va être surpris Matéo !Je remets la même paire de bottines que vendredi. Je suis bien dedans. Elles ont des talons larges qui facilitent la marche et ces derniers font 4 cm de haut.Mon trench et le foulard. Coiffée à la garçonne, je refais un léger maquillage. Je prends un sac à main qui ne fait pas trop fifille pour y mettre mes papiers et quelques effets personnels. J’y glisse des mouchoirs, des préservatifs, une brosse à dents, du dentifrice et une culotte propre… on ne sait jamais. Je ne vais finalement pas y aller en métro, je prends un VTC… oups et si je retombais sur lui. Bah non je suis bête, il ne travaille pas ce soir. Le chauffeur me dépose devant le Musée des Archives Nationales, à l’angle de la rue des Archives et la rue des Francs Bourgeois. 
Je vais finir à pieds ça me fera du bien, ça me détendra… Je suis toujours un peu stressée quand je vais à un rendez-vous galant. En plus là je porte une cage dans ma culotte… si les gens que je croise pouvaient s’en douter hihi…  C’est peut un peu too much pour un premier rendez-vous mais après tout, j’ai juste envie de baiser une fois ou deux avec lui… pas plus, un sexfriend comme j’en consomme de temps en temps.Et ce soir, je suis persuadée que je vais passer à la casserole ! J’y vais pour ça ! 
Et ce sera où il voudra mon chevalier servant ! A l’hôtel, chez lui ou au pire chez moi. Il a bien une voiture puisqu’il est taxi ! J’arrive à proximité du restaurant et je vois Matéo m’attendre juste devant. Il me voit arriver et viens vers moi pour venir m’accueillir. Il a belle allure, il n’est pas aussi beau que j’avais cru le voir mais il n’est pas mal non plus. Tout à fait à mon goût.
Apparemment je le suis également pour lui ; à voir son sourire et son regard. Il me prend la main comme pour une poignée de mains, hésite quelques secondes ; je le regarde comme pour lui donner l’approbation puis se décide à me faire la bise pour me dire bonjour. -         Merci d’avoir répondu à mon invitation, je suis content de vous revoir… -         De rien, merci à vous surtout-         Vous êtes comme vendredi me dit-il en détaillant ma tenue. Je souris à sa remarque et j’ai hâte de voir sa tête quand je vais ôter mon trench tout à l’heure. Matéo me propose de rentrer à l’intérieur où une table est réservée. Je le suis. Un serveur vient nous accueillir et hésite un peu avant de dire « Bonjour messieurs ». 
Nous le suivons et il nous installe à une table dans le coté du restaurant. Celui-ci est blindé de monde mais la table se trouve légèrement dans un coin, nous laissant un peu plus d’intimité.
Je m’installe, défait mon foulard et ôte mon manteau que je dépose sur le dos de la chaise. Matéo ouvre des grands yeux et reste bouche ouverte en découvrant que je porte un chemisier en satin avec des colliers. Je m’en amuse ! -         Surpris ?-         Euhh oui ! mais j’aime beaucoup !-         Tant mieux… J’ai décidé de remettre la même tenue que je portais vendredi.-         Effectivement vendredi je n’avais pas vu de détails Je souris en me disant qu’il n’est pas au bout de ses surprises et dans la foulée je casse la glace en proposant que l’on se tutoies, ce qui lui convient bien.Il me détaille et me complimente.  Je lui dévoile mon prénom, mais m’abstiens de le féminiser. Ce sera Justin pour ce soir. Le serveur arrive avec les cartes, nous propose un apéritif et détaille les offres du menu. 
Menus ainsi choisis et apéritifs livrés, nous partons pour un repas qui s’annonce agréable et une discussion pendant laquelle Matéo me pose beaucoup de questions. Je lui en pose quelques-unes aussi. 
Je sais désormais qu’il est jeune, du haut de ses 24 ans, qu’il est célibataire, qu’il est bisexuel (j’ai tout de même un petit doute), qu’il est actif et jamais passif et qu’il n’est pas attiré par les hommes (j’ai toujours un doute) mais plutôt séduit par les garçons comme moi, efféminés et androgynes.  Je réponds à ses questions, du moins celles auxquelles j’ai envie de répondre. Je lui explique que je suis androgyne, efféminé comme il peut voir, travesti de temps à autre et reste vague sur mon transgénérisme et finalement, l’essentiel de ma vie depuis quelques semaines. Je ne lui cache pas non plus que je suis gay et, à sa question que je vois arriver de loin… oui je suis passif. Il m’avoue ne pas en être étonné. Il est joli garçon, je le drague sans m’en cacher et ça lui plait. J’ai envie de le provoquer et busculer sa petite timidité. J’ai envie de passer la nuit avec lui et qu’il me fasse l’amour. Il n’osait à peine l’espérer, du moins le premier soir. Mais moi je sais déjà qu’il n’y aura qu’un soir, pas deux. Ce joli brun manque, à mon goût, de charisme et de culture. Ce sera juste un coup d’un soir. Un mec de plus ! Je lui dis que lorsqu’il me découvrira il aura deux surprises. Curieux, Matéo veut savoir… le laissant patienter avant de lui dévoiler l’un des deux. Nous ne sommes pas face à face mais en perpendiculaire, la banquette fait un angle. Cela me permet de prendre délicatement sa main pour la poser sur ma cuisse, lui permettant de sentir l’attache de ma jarretelle sous le tissu du pantalon. Il est étonné mais ça lui plait. Je le laisse parcourir un peu ma cuisse pour qu’il sente la jarretelle et le bas, mais en lui empêchant qu’il aille ailleurs, risquant de découvrir la seconde surprise. Je me dis que je suis bête d’avoir ôté le rosebud avant de partir, celui-ci aurait été sa troisième surprise.  Faussement sage, je lui ramène sa main sur sa jambe et j’en profite pour déposer mes doigts sur sa cuisse et remonter lentement, histoire de faire monter la pression. Jusqu’à poser délicatement ma main sur son sexe que je sens grossir sous son pantalon. Le coin où nous sommes et la disposition de la table permet le geste sans que personne ne s’en aperçoive… sauf à bien nous regarder, ce qui ne me semble pas être le cas. Mais après tout je m’en fiche un peu.
Il ne retire pas ma main, au contraire. Il bande dans son pantalon un peu serré.Et de la façon la plus suave possible et le regardant dans les yeux, je lui dis : -         J’ai très envie de la goûter… Matéo rougi un peu, son regard brille mais légèrement intimidé il ne dit rien . -         Tu m’invites à prendre un verre chez toi ? Je n’ai pas envie d’aller trainer dans un bar ou autre, j’ai juste envie de baiser.  -         Oui avec plaisir, je n’habite pas loin, on peut y aller à pied.-         Super, allons-y alors ! Matéo appelle le serveur pour régler l’addition. Je me rhabille de mon manteau et nous quittons le restaurant. Même dans Marais mon look ne passe pas inaperçu quand je me faufile entre les tables pour sortir. Un groupe d’hommes me dévisage, je crois lire de l’envie dans leurs regards. Une fois dehors Matéo me dit qu’il faut passer par là, traverser une partie du Marais. On se dirige vers la rue Vieille du Temple, nous marchons quelques mètres quand je passe mon bras dans le sien. Voyant qu’il ne le refuse pas, quelques mètres plus loin je glisse ma main dans la sienne. Il en la refuse pas non plus. Au contraire Matéo me regarde tendrement et approche son visage du mien. Je le laisse avancer et sens ses lèvres se déposer sur les miennes, je les entrouvre, c’est le signe d’acceptation.  Il est 22h30, nous sommes dans une rue de Paris entourés de monde et nous nous embrassons. Deux garçons qui s’embrassent, ici dans ce quartier gay, ne choquent personne. Le cœur léger et plein de désir, main dans la main, nous traversons les différentes rues pour atteindre son appartement, au 3ème étage sans ascenseur, petit, mal rangé, un appart de mec quoi… mais suffisant pour faire ce que nous avons à faire. Une fois entrée il s’empresse de m’enlever mon trench et laisser ses mains caresser mon torse sous ma tunique de satin. Ça lui plait.Il m’embrasse, nos langues se mélangent et avant qu’il fasse quoi que ce quoi, de ma main experte je défais sa ceinture, et descends son pantalon. Je découvre un boxer noir en simili cuir et bien rempli par l’objet de mes désirs. Ma main le caresse, le faisant grossir encore plus puis passe à l’intérieur du boxer pour prendre son sexe à pleine main.

Je fais glisser son sous-vêtement pour rendre libre sa queue. Le monsieur est bien loti et j’espère qu’il sait bien s’en servir.Je m’agenouille devant lui et approche ma bouche, aimantée comme à chaque fois par le sexe d’homme, bien viril. Rien à voir avec le mien. Je commence par l’embrasser, puis passer la langue, l’agacer, le découvrir puis l’emboucher. Ma main droite tient bon le manche quant à ma main gauche, elle va caresser ses boules. Il est un peu trop poilu à mon goût mais je passe outre, trop contente de sucer une belle queue. Aux soupirs qu’il fait, je sais que Matéo apprécie ma fellation. Mais je sens qu’il risque de partir trop vite. Alors, tout en expertise, je ralenti afin de gérer son excitation, voire de la faire redescendre… je quitte sa queue mais j’y reviendrais. Là j’ai envie que Matéo me découvre, qu’il déballe son cadeau. Je me relève, l’embrasse et l’invite à me déshabiller.Ce qu’il fait avec beaucoup de délicatesse, et de bisous sur ma peau imberbe et parfumée.
J’ôte mes bottines et il s’attaque à mon pantalon. Une fois les boutons sautés il n’a plus qu’à le faire tomber à mes chevilles. Je dévoile mes jambes gainées de nylon tenu par mon porte jarretelles. Il est aux anges et me caresse les cuisses avec beaucoup de douceur puis voulant voir mieux le porte-jarretelles et ma culotte, il me débarrasse de ma tunique. 
Je suis en lingerie devant lui. Ça me fait bizarre car là je n’ai ni poitrine, ni perruque, ni maquillage… Je ne sais plus bien ce que je suis, homme ? travesti ? 
C’est le terme que Monsieur utilisait à mon égard qui me revient en tête et qui, finalement semble le mieux m’aller à ce moment-là ! tapette ! je suis une petite tapette devant Matéo. Il n’est pas dominant, ce n’est pas pareil mais je me sens être ainsi. Et je n’ai qu’une idée, c’est de m’offrir à lui.Le tissu de ma culotte fait des reliefs qui appellent la main de Matéo. Pas dupe de ce qu’il va trouver, sa main caresse mon sexe emprisonné. -         C’était cela la deuxième surprise ?-         Oui ! tu aimes ?-         Tu en avais déjà vu ?-         Non jamais en vrai-         Ça te plait ?-         Je suis gâté… j’aime les petits minets comme toi
-         Alors profite en…-         Ouiii c’est ce que je vais faire !-         Tu as failli même avoir une troisième surprise-         Ah oui ? c’était quoi ?-         Je voulais emplir mon petit trou d’un plug pour venir et puis je me suis dit que c’était peut-être peu trop… j’avais peur de te choquer.-         Dommage, j’aurais aimé aussi… je n’aurais pas été choqué. Matéo m’entraine sur son lit pour me caresser, m’embrasser, caresser mon sexe qui le fascine.
-         Il est incroyablement petit, je n’en ai jamais vu de si petit-         Ah bon ? je préfère qu’il soit comme ça… comme ça je le cache-         C’est sûr qu’il ne se voit pas !-         C’est pour ça que je suis passive-         Passive ?-         Euhhhh passif, excuse-moi !-         Le masculin et le féminin se mélangent un peu, c’est normal, ne t’inquiète pas-         mouiiiiiiiiiiii Matéo ne me demande pas d’ôter la cage, ça semble lui suffire. Je ne le propose pas non plus. -         Par contre, ta queue elle est toute comme il faut! Une vraie queue de mâle ! En disant ça je me dégage de lui pour retourner à son sexe et l’emboucher direct. Je veux le sucer comme jamais il ne l’a été et le faire jouir dans ma bouche.
Avec perversité je gère son excitation pour le faire durer.Après un petit moment de torture il lâche sa semence dans ma bouche, que j’avale consciencieusement sous le regard de Matéo qui ne s’attendait pas à ce que j’avale son foutre.Je m’en régale en passant ma langue perverse sur mes lèvres pour bien l’aguicher. -         Ah ouiiii un peu salope quand même-         T’imagine même pas… un peu beaucoup! Et je retourne à l’ouvrage pour bien nettoyer ce sexe dont je n’ai qu’une envie désormais, c’est qu’il me prenne, qu’il m’envahisse… bref qu’il m’encule. Il faudra un peu de repos pour que l’homme rebande à nouveau et recharge.  -         Par contre c’est avec capote mon chou, s’il te plait-         Oui bien sûr j’en ai là… Dit-il en ouvrant un tiroir avec une dizaine de capote dedans ainsi que du gel. -         Attends c’est moi qui vais te la mettre Et avec dextérité je déroule la protection de latex sur sa verge, que j’embrasse au passage. -         Baise moi… Matéo ne se fait pas prier et me positionne en levrette sur son lit, badigeonne un peu de gel pour mon œillet qui s’ouvre comme une fleur… je sens un doigt pénétrer ma fleur puis je le sens tenter d’y mettre le second doigt.Je suis réceptive, me cambre pour lui signifier qu’il le peut. Mon souffle devient plus fort. Matéo retire ses doigts et caresse mon sexe emprisonné de sa cage. 
Enfin et vient se positionner derrière moi. Il pose son gland sur mon anneau alors que j’écarte mes fesses avec mes mains, afin de lui faciliter le passage.
Il pousse… mon anneau cède… son gland rentre… Il est large quand même. Je m’en étais aperçu quand je l’avais en bouche.Mais sans ménagement il continu, écartant mes chairs qui souffrent un peu malgré l’habitude. Je grimace, ça me brûle un peu et lui demande de ressortir pour remettre su gel, et notamment sur sa queue.
Il ressort, déverse du gel qu’il applique sur son sexe, en remet un peu sur mon anus et revient me renfiler.Arrggg ça va mieux mais je le sens passer quand même. Il est maintenant complétement rentré et comme un métronome, il me pénètre, le désir monte progressivement et mon tunnel d’amour s’habitue au calibre.
Moi qui voulais être baisé me voilà servie !  Matéo est un peu brusque, limite bourrin mais je suis venu pour faire l’amour avec lui, alors j’assume… Je dois être honnête, j’y prends plaisir quand même. Oh ce n’est pas l’extase, il n’est pas le meilleur coup qui a pu me baiser mais je prends quand même mon pied. Il se retire de moi sans avoir joui, j’enlève sa capote et le reprends en bouche, j’aime décidément sucer.Il ne débande pas et je sens que son plaisir monte. Je lui renfile une seconde capote sur son gros sexe et m’allonge sur le dos. Je l’invite à me prendre comme une femme.
Le passage déjà bien ouvert, il revient dans ma grotte d’amour avec aisance et une satisfaction visible sur son visage.Il me prend, il me laboure, il me démonte, il m’encule… de voir mon petit sexe encagé le stimule. Je l’encourage, je gémis, je caresse d’une main mon petit sexe… et je pose mes jambes sur ses épaules. Il caresse mes bas, mes jarretelles, ma cage…
Mes mains sont désormais posés sur ses bras velus, mes ongles rentrent dans sa chair.J’ai un orgasme à ce moment-là, rapide mais assez intense et un petit liquide blanc suinte à travers ma cage.
Je sens mon mâle qui se raidi, ses à-coups au fond de mon cul sont rapides et soudain il relâche tout dans un long râle… il vient de jouir. Je ne sens pas son sperme dans mes fesses mais il remplit bien le préservatif
Il ressort d’entre mes reins et s’écroule sur le côté du lit, épuisé de sa performance. Moi j’ai le cul ouvert, j’ai l’impression qu’il est béant.J’attrape des mouchoirs en papier pour m’essuyer. Il fait pareil après avoir retiré sa protection de latex et fait un nœud pour éviter que le liquide dedans ne sorte.
On reste un moment ensuite allongés ensemble, moi dans ses bras.  Matéo s’est occupé de moi une bonne partie de la soirée, alternant tendresse et bourrinage… Il a réussi à me faire jouir. Etonnant ce garçon ! Il me propose de rester dormir chez lui mais je préfère rentrer chez moi. Je lui ai dit que je vais appeler un VTC mais il insiste pour me raccompagner. On se rhabille pour redescendre jusqu’au parking souterrain où est garé son véhicule. Je le reconnais en le voyant car c’est celui qui m’a transporté vendredi.Arrivés à sa voiture, il me prend les épaules et me place dos contre la portière et m’embrasse. Je ressens de la tendresse dans son baiser qui est langoureux. Gentiment Matéo me raccompagne chez moi. Il traverse Paris de nuit, il est à peine 1 heure du matin, pour me déposer enfin à proximité de chez moi dans le 15ème. Il me dit préférer me raccompagner pour que je ne prenne pas de risque.  Une fois arrivés à proximité, le véhicule est stoppé sur le côté de la rue. On discute un peu dans la voiture puis on s’embrasse pour se dire au revoir. Je sais qu’il y a peu de chance pour qu’on se revoit même si lui en a envie.Le plafonnier est éteint et il fait sombre. Je pose ma main sur son sexe et défait sa ceinture et les pressions du pantalon. Je luis dit : -         Sors ton engin je vais te sucer Il est surpris mais s’exécute et dans un déhanchement glisse son caleçon pour sortir son sexe à nouveau fièrement dressé.Je me penche au-dessus de lui pour le prendre en bouche et le sucer. Matéo profite de la pipe tout en surveillant, légèrement inquiet, que personne ne passe à côté du véhicule. Au bout de quelques minutes je me relève et tout sourire je lui demande s’il a aimé. Ce sera mon cadeau d’adieu, mais il ne le sait pas.Après un dernier baiser, je quitte la voiture et m’enfonce dans le noir de la rue sans me retourner. J’entends sa voiture redémarrer et partir.Je sais que je ne le reverrais pas. Je dois aller me coucher, demain je dois me lever tôt pour aller travailler. Une fois rentrée, je me déshabille rapidement pour aller prendre une douche. Cette dernière terminée, j’enfile une nuisette pour aller me glisser dans mon lit. 
En réglant le réveil sur mon téléphone je vois que j’ai un appel en absence qui est arrivé quand j’étais dans les bras de mon amant du soir. C’est le même numéro que l’autre jour, inconnu. Pas de message… je supprime la notification. Il n’aura fallu ensuite que quelques minutes avant que je m’écrase de sommeil.   A suivre J’espère que cette histoire vous plait toujours mes chéris.Je vous remercie infiniment de vos encouragements. Ils me stimulent pour écrire la suite de l’histoire dans laquelle se mélangent du romancé et un peu de vrai. Reste à savoir quelles sont les proportions :-) Si vous aimez, continuez à mettre des « j’aime »Bisous les chéris
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