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Mes chéries

Chapitre 1

Inceste
Mes chéries
Je m’appelle Jules, au moment de cette histoire, il y a vingt ans, j’ai dix-huit ans. Je suis un jeune homme d’un mètre soixante-quinze, mince, j’ai fait beaucoup de sport quand j’étais plus jeune, et il me reste de belle tablettes de chocolat, bien que n’étant pas taillé comme un nageur, je suis blond aux yeux bleu clair. Nous sommes au milieu des années quatre-vingt-dix. Je vis avec ma mère, Juliette, divorcée d’avec mon père, Jacques, depuis dix ans, mon frère cadet, Julien seize ans, et ma sœur jumelle Julie, (tous les prénoms de la famille commencent par Jul, sauf mon père). Nous sommes mi-juillet et nous nous préparons pour partir en vacances pour un mois le lendemain matin dans le sud de la France. Julie, vient avec ma mère et moi, tandis que mon frère cadet est parti passer ses vacances avec notre père au Maroc pendant six semaines. C’est un accord entre mes parents, une année avec l’un, une année avec les autres. Nous sommes, Julie et moi, difficilement séparables. Cela permet aux parents de prendre leurs vacances à leur convenance. Je fini de ranger mon sac quand Julie entre dans ma chambre en peignoir. Julie, est une magnifique jeune fille, grande, un mètre soixante-douze, très jolie, belle fesses hautes et fermes, une belle poitrine bien ronde et des jambes fuselées et bien galbées. Elle ne passe pas inaperçue dans la rue et j’avoue que j’adore me promener avec elle, enlacés, tout le monde m’envie, ne sachant pas que c’est ma sœur. Nous sommes très liés, et avons une grande complicité, depuis petits, nous sommes inséparables toujours ensemble. A l’adolescence, ma mère a décidée de nous donner deux chambres séparées. La découverte d’une certaine indépendance nous a un peu dissocié, mais nous sommes toujours restés unis et avons gardé une grande complicité, nous nous comportons un peu plus comme frère et sœur « normaux », bien que toujours fusionnels. Nous sommes très souvent ensemble, saufs quand nous sommes avec nos amours respectifs.
–Alors frérot, tu n’as pas encore fini de faire ton sac ?–Non, le problème c’est que j’ai envie de tout emmener, mais que je n’ai pas la place et je ne sais pas quoi éliminer, le sac est trop petit pour accepter tout ce que je veux y mettre, et maman est formelle, un sac c’est tout.–Je vais t’aider.Elle commence par étaler sur mon lit tout ce qui n’est pas dans le sac et en extrait un short, deux chemises et une paire de tennis. En se penchant sur mes affaires, son peignoir s’est légèrement ouvert et m’a dévoilé son sein gauche. Je regarde ce sein, et ne m’en émeut pas plus que ça, il est magnifique certes, mais c’est celui de ma sœur et c’est tout.–Voilà, ça devrait remplir ton sac, le reste n’est pas très utile, nous allons dans un camping au bord de la mer, ne l’oublie pas, nous serons toujours en maillot de bain.–Oui, merci Julie chérie.Je ferme mon sac et vais le poser dans l’entrée. La soirée est bien avancée et nous allons nous coucher. Dans le lit, je me surprends à penser à ce sein que j’ai aperçu et qui tout à coup me parait attirant. Je fini par m’endormir en rejetant toutes idées érotiques concernant ce sein. Le lendemain, nous partons vers cinq heures du matin pour circuler le plus longtemps possible à la fraîche. Nous arrivons à destination vers dix heures et demie et nous installons dans notre caravane que le gardiennage nous a livrée sur notre emplacement habituel, bordé sur trois côtés de troènes épais qui nous protège des regards indiscrets. Je monte l’auvent de la caravane, installe la cuisine extérieure et me monte une tente dans le coin de l’emplacement, derrière la caravane non visible de l’extérieur, nous n’avons pas le droit. Vers dix-huit heures, tout est en place, les courses sont faites et nous pouvons nous détendre, c’est parti pour quatre semaines de vacances au soleil.
Le lendemain matin, comme d’habitude, je suis le premier levé et je vais acheter le pain et des croissants pour le petit déjeuner. Je prépare le café et comme par miracle, quand tout est prêt, apparaissent Julie et ma mère. Ma mère est une femme de quarante ans, grande comme Julie, jolie visage, très bien faite avec un cul d’enfer et une jolie poitrine pas trop grosse mais encore haute. Elles se ressemblent comme des sœurs, ce que beaucoup de gens croient. Elles s’installent toutes les deux en maillot deux pièces, minimum pour Julie, et un peu plus enveloppant pour ma mère. Je les regarde et, pour la première fois, je les vois comme deux femmes attirantes, plus comme ma mère et ma sœur. Je me dis que ce sont de belles femmes et qu’elles vont attirer tous les mâles du coin, je sens une onde de plaisir parcourir mon corps à les regarder, ça me trouble. L’image du sein de Julie l’avant-veille me revient en mémoire et j’ai une petite sensation en bas du ventre.
Les premiers jours se passent bien, jusqu’à ce que Julie attrape un coup de soleil sur le dos. Elle s’était endormie au soleil sur sa serviette. Sur les conseils de ma mère, je vais acheter une célèbre crème hydratante pour soigner le dos et les jambes de Julie. Quand je reviens à la caravane, ma mère est partie prendre une douche.–Allez frérot, passe-moi cette crème, je brule.Elle se met sur le ventre sur un transat et dégrafe son soutien-gorge pour me libérer le dos. J’étale la crème sur son dos, mais ses fesses aussi sont touchées et là, j’hésite à lui mettre de la crème. Je lui enduis les jambes et ferme le tube.–Tu ne veux pas que je m’assoie pendant une semaine ou quoi ?–Pourquoi tu dis ça ?–Je crois que tu as oublié une partie de mon corps lui aussi bien rouge.–Tu ne peux pas le faire toi-même ?–Non, passe-moi cette foutue crème, mes fesses sont en feu.Elle resserre son maillot au centre, entre ses fesses pour les dégager le plus possible.–Tu mets de la crème là où c’est rouge.
Je suis un peu troublé par ces magnifiques globes de chair bien fermes et en partie écarlates. Ma main tremble un peu, mais étale la crème sur ses fesses, je me surprends à y prendre du plaisir et à étaler plus qu’il ne le faudrait la crème sur les fesses de ma sœur. Je sens mon maillot de bain devenir tout à coup un peu petit.–Dis donc frérot, tu ne me caresserais pas les fesses par hasard ?Je retire ma main.–C’est toi qui m’as demandé de le faire.–Me passer de la crème, pas me caresser les fesses, mais je dois dire que tu le fais très bien, recommence.–Tu plaisante j’espère.Elle se redresse d’un seul coup en retenant son soutien-gorge, mais sa main n’y suffit pas et un sein émerge. Le temps qu’elle se réajuste, j’ai pu remarquer que son mamelon est bien bandé. Elle jette un œil sur mon maillot de bain.–Et bien, je vois que je te fais de l’effet.–Arrête, tu joues à quoi là ?–A rien, je constate simplement, tu devrais aller prendre une douche, ça te calmera.–Tu exagère quand même.Elle me tourne le dos en riant, prend une serviette et va s’allonger à l’ombre. Je prends une serviette et vais prendre une douche salvatrice.
Pendant le repas, elle n’arrête pas de me regarder avec un petit sourire en coin, elle porte un tee shirt sur sa peau nue, et ses seins pointent orgueilleusement leurs mamelons raidis. Je suis mal à l’aise, c’est de la provocation. –Frérot, tu m’accompagne ce soir, j’ai envie d’aller me balader dans le village, mais je ne veux pas y aller seule.–Ok sœurette, mais je suis un peu fatigué, on ne rentre pas trop tard.–D’accord, je suis moi aussi fatiguée.Je mets une chemisette et un short, elle enfile une jupe plissée courte et garde son tee shirt. Elle passe son bras derrière moi et me prend par la taille, je la prends aussi par la taille, ne pouvant poser mon bras sur ses épaules très sensibles et nous voilà nous promenant dans le village grouillant de monde.–Tu ne peux pas savoir comme je suis bien avec toi frérot.–Moi aussi, je suis bien, comment va ton coup de soleil ?–Mieux, mais il va falloir que tu me mettes encore de la crème tout à l’heure.–Tu le feras faire par maman, elle est avec toi dans la caravane.–Non, elle dormira quand nous rentrerons, et tu le fais tellement bien.–Arrête tes conneries.–Non frérot, tu m’as fait du bien tout à l’heure, je dois même te dire que mon slip de bain était un peu humide, c’est pour ça que j’ai été m’allonger à l’ombre, je dois dire que toi aussi tu as aimé, je l’ai vu à la forme de ton maillot.–Tu déconnes ou quoi, tu te démerdes toute seule si tu ne veux pas que maman te passe de la crème.–Tu ne veux pas que je réveille maman quand même.–Et bien si tu veux la laisser dormir, tu attendras demain pour qu’elle te la passe.–Tu vas me laisser cuire toute la nuit ?–Oui, tu n’avais qu’à faire gaffe.–Frérot, tu ne vas pas jouer les sadiques, je sais que tu en es incapable.–C’est ce que tu penses, mais je ne veux plus te toucher, tu te passes la crème toute seule ou avec maman, mais plus avec moi.–Tu as peur de quoi ?–De rien, simplement je n’ai pas envie de te passer de la crème sur le dos.–Et les fesses ?–Et les fesses.–Pourtant, il va bien falloir me soigner ce soir avant d’aller dormir, déjà que je vais être obligée de dormir sur le ventre, tu ne vas pas me laisser comme ça.–Devine.Elle se tait et nous continuons notre ballade toujours enlacés. Je remarque le regard envieux de certains mecs.–Tu ne t’es pas fait draguer depuis qu’on est là ?–Oui, mais je les ai tous jeté, ils ne m’intéressent pas.–Pourquoi ?–Comme ça, je les trouve trop cons.–Tu vas t’emmerder toute seule.–Je ne suis pas seule, tu es là.–Oui, mais ce n’est pas pareil.–Ca me suffit.Elle se serre un peu plus contre moi. Je dois dire que j’aime la sentir contre moi, je sens son corps onduler à côté du mien, je me sens bien. Nous arrivons à la caravane vers onze heures et je me dirige vers ma tente après l’avoir embrassé. Elle entre dans la caravane. Je suis nu sur mon matelas, quand j’entends la fermeture de la tente s’ouvrir. J’ai à peine le temps de me couvrir que Julie entre en peignoir.–Tu pourrais prévenir tout de même.–Je suis ta sœur, ne l’oublie pas.–Ce n’est pas une raison, que viens-tu faire ?–Tu as oublié de me passer ma crème.–Tu ne vas pas remettre ça, je t’ai dit que je ne voulais plus te passer cette crème.Pour toute réponse, elle me tourne le dos, fait tomber son peignoir à terre et s’allonge nue sur le ventre à côté de moi.–Qu’est-ce que tu fais ?–Je dégage les parties à protéger, allez, maintenant ça suffit, passes moi cette crème et qu’on en finisse.Il fait sombre, mais je distingue quand même très bien ses formes et je me surprends à avoir une réaction au niveau du sexe. Elle me tend le tube de crème.–Passe-moi la crème s’il te plait, et insiste bien sur les parties chaudes.Je cède et lui mets de la crème sur son dos que j’étale sur toute la surface, j’enduis ses jambes et quand j’arrive aux fesses, je rajoute de la crème. Ma main s’attarde sur ses rondeurs. Elle passe sur les côtés, mais revient au centre, se glisse entre elles, là où il n’y a pas besoin de crème.–Oui frérot, j’aime quand tu me passe de la crème comme ça.A ces mots, je m’arrête et ferme le tube.–C’est bon, tu peux te rhabiller et aller te coucher.–Tu ne crois tout de même pas que je vais mettre quelque chose sur la crème.Sur ces mots, elle se lève, se retourne vers moi pour m’embrasser, ramasse son peignoir et sort nue de la tente. Il fait nuit, mais je suis scotché, Julie a changé, jamais elle n’aurait fait ça l’année dernière, elle s’est présentée nue devant moi, c’est la première fois que je la vois ainsi depuis qu’elle est formée. J’ai beaucoup de mal à m’endormir, je bande, mais je ne veux pas me branler en pensant à Julie, c’est ma sœur tout de même, pourtant, j’en crève d’envie. Je m’endors difficilement.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, Julie est resplendissante, son coup de soleil va mieux, la crème a bien fait son travail.–Frérot, tu as des mains de fée, il va falloir que tu me passe encore de la crème.–Maman, tu ne veux pas lui passer, je n’aime pas trop avoir les mains pleines de crème.–Si ta sœur veut que ce soit toi, et bien fait-le.–Tu vois frérot, tu dois le faire, allez, viens, il faut me badigeonner le dos de cette super crème.Elle va s’allonger à plat ventre sur un transat, défait la fermeture de son soutien-gorge et réduit la surface de son slip.–Je t’attends.Je m’assoie à côté d’elle et commence à la badigeonner de crème. Ma mère est à côté et nous regarde avec un air tendre, elle ne voit que ses deux enfants complices comme toujours. Moi, je dois me mettre sur le côté pour ne pas qu’elle s’aperçoive que je réagis au contact de ma sœur. Celle-ci me regarde avec un air malicieux, elle fait exprès de bouger légèrement ses fesses quand ma main les enduit de crème. Heureusement, ma mère débarrasse la table et s’éloigne, je me sens plus à l’aise. Une fois la séance de badigeonnage fini, je vais dans ma tente pour me calmer. Julie reste sur le transat jusqu’à ce que la crème soit absorbée par sa peau. La journée se déroule normalement et le soir, Julie me demande de nouveau d’aller se promener. Cette fois ci, elle veut que nous allions vers la plage, la mer est un peu grosse et elle veut voir les vagues déferler sur le sable sous la lumière de la pleine lune. Arrivés sur place, nous regardons un instant les vagues s’écraser sur la plage. Au bout d’un instant, elle repère un endroit à l’écart dans les dunes et nous y allons, elle pose la grande serviette qu’elle a emmenée et nous nous asseyons. Elle se blotti contre moi et pose sa tête sur mon épaule.–Je suis si bien avec toi frérot.–On a toujours été bien ensemble.–Oui, mais on pourrait être encore mieux.–Comment ça ?–Ne fais pas l’innocent, tu sais très bien de quoi je veux parler.–Si tu penses à ce à quoi je pense, je peux te dire que c’est non.–Frérot, donne-moi ta main.–Non.–Alors regarde.Elle se lève et enlève son tee shirt, sa jupe et son slip. Elle est nue devant moi. Elle me regarde de son regard tendre, me sourit.–Tu n’aimes pas ce que tu vois ?–Julie, rhabilles toi.–Non, tant que tu ne m’auras pas caressé, je veux que tu promènes ta main sur mon corps, je veux sentir ta peau contre la mienne.–Julie, je suis ton frère tu deviens folle.–Non, j’ai simplement réalisé que j’avais envie de toi.Je me redresse, lui tends ses affaires.–Tu fais ce que tu veux, mais moi, je rentre à la caravane.–Jules !–Non, rhabilles toi et viens, je ne veux pas te toucher dans ces conditions.Je lui tourne le dos et me dirige vers la caravane. Elle se rhabille et me coure après pour me prendre par le bras.–Excuses moi frérot, je ne sais pas ce qui m’a pris.–Je trouve que tu divagues beaucoup en ce moment, je n’aime pas la tournure que prennent les évènements.–Je t’aime frérot et j’aime aussi que tu passes ta main sur mon corps, c’est mal ?–Mais tu es à côté de tes pompes, bien sûr que c’est mal, je suis ton frère, pas ton amant.–C’est bien dommage.
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