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Mes chéries

Chapitre 3

Inceste
Je la prends dans mes bras, comme d’habitude, pour lui faire trois bises sur les joues. Mais aujourd’hui, sentir la peau nue de ma mère contre ma peau nue, me donne un énorme frisson qui parcoure tout mon corps. Il est impossible qu’elle ne l’ai pas ressenti, mais elle fait comme si de rien était. Elle se retourne et me présente ses magnifiques fesses couvertes à moitié par son mini slip. Elle s’assoie au moment où Julie sort de la caravane, elle se jette sur moi, me serre dans ses bras et m’embrasse sur les joues en faisant beaucoup de bruit. Ce contact me fait frissonner de nouveau.–Bonjour frérot chéri, tu as bien dormi, moi, j’ai passé la meilleure nuit de ma vie.Elle me regarde avec un sourire en coin.–Allez mes chéris, à table.–Ho la maman, mais tu es superbe dans ce maillot, tu veux draguer ou quoi ?–Non, mais j’avais envie de changer de maillot et j’ai trouvé celui-là hier au village, il était bradé.–En tout cas, il te va à merveille, tu es toujours aussi belle maman chérie, lève-toi que je puisse te voir en entier.–Merci mon amour.Elle se lève et tourne une nouvelle fois sur elle-même.–Tu ne pense pas qu’elle est merveilleusement belle frérot ?–Oui, et je l’ai déjà dit à maman tout à l’heure.–Et je peux même dire qu’il me trouve à son goût.–Maman !!Julie va embrasser maman et nous déjeunons tous de bonne humeur, surtout Julie qui est euphorique.–Tu as l’air en merveilleuse forme ma chérie.–Oui maman, je suis très heureuse d’être là avec vous, surtout avec mon frérot chéri.Elle se penche vers moi pour me déposer une bise sur une joue. –Dites donc vous deux, je suis là, je n’ai pas droit à un bisou ?Nous nous levons tous les deux et allons déposer un bisou chacun sur une joue.–Merci mes chéris, je vous aime.–Nous aussi on t’aime maman.La journée se passe comme d’habitude, séance de crème, plus ou moins érotique, plage deux heures le matin, repas, petite sieste, nouvelle séance de crème, plage deux heures l’après-midi, bien couverte pour Julie qui ne veut pas aggraver son coup de soleil. Le soir, Julie me demande une nouvelle fois de l’accompagner pour une ballade. Cette fois ci, nous allons directement dans les dunes, étalons la serviette et nous asseyons.–Je suis tellement heureuse frérot.–Je ne peux pas en dire autant.–Pourquoi ?
–Tu es innocente ou quoi, je t’ai dépucelé, Julie, je t’ai fait l’amour, deux fois.–Et j’aimerais bien que tu recommence aujourd’hui, j’ai envie de toi, j’ai envie de ressentir de nouveau ce que j’ai ressenti hier.–Julie, tu vas me rendre fou.–D’amour j’espère.–Arrête tes conneries, je ne suis pas bien, je me demande ce qui nous a pris, jamais je n’aurais pu imaginer en arriver là.–Tu n’as pas aimé ?–C’est justement le problème, j’ai aimé te faire l’amour tout en sachant que c’est une énorme connerie.–Et bien puisse que nous avons fait l’irréparable, autant recommencer, ça n’aggravera pas notre cas.–Julie ….Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’elle me colle ses lèvres sur les miennes en me faisant basculer sur la serviette. Sa langue envahie ma bouche et je succombe en lui rendant son baiser. Je deviens fou, je la serre dans mes bras, ma langue danse la samba avec la sienne, je sens mon sexe durcir de plus en plus. Mes mains agrippent son tee shirt et le font passer par-dessus sa tête, je tire sur le zip de sa jupe, la fais descendre le long de ses jambes ainsi que son slip. Elle est nue dans mes bras. Elle se redresse, déboutonne ma chemise, me l’enlève, fait descendre la fermeture de mon short, et le fait glisser jusqu’à mes chevilles accompagné de mon slip.
Nous somme nus, corps à corps, nos mains caressent nos corps respectifs, la tension monte, ma main descend le long de son corps pour atterrir sur son pubis recouvert de poils courts et bien taillés. Un doigt s’insinue entre ses lèvres pour venir titiller son clitoris. Je n’ai pas beaucoup d’expérience, mais je sais que c’est un endroit très sensible chez la femme et que le titiller fait jouir la plupart des femmes assez intensément. Sa main s’empare de ma bite et commence une masturbation, un peu gauche, mais assez efficace. Nous nous masturbons mutuellement et nous finissons par jouir l’un après l’autre. J’ai jouis le premier, malgré le manque d’expérience de ma sœur, mais c’est l’excitation qui a fait le gros du travail. Quand elle jouit, son corps se durci et vient épouser le mien. Elle porte sa main couverte de sperme à sa bouche.–Qu’est-ce que tu fais ?–J’ai lu dans un livre érotique que c’était bon et que beaucoup de femme l’avalait quand elle faisaient une pipe à un homme. J’ai envie de goûter.Elle porte sa main à sa bouche et la lèche, elle fait jouer ses papilles et lèche de nouveau sa main. Elle se penche sur mon ventre et le lèche aussi.–C’est très bon, un peu salé, mais très bon. La prochaine fois, je prends tout directement à la source.–Tu ne vas pas me tailler une pipe tout de même.–Frérot, tu es complètement coincé, bien sûr que je vais te faire une pipe, et toi, tu viendras boire directement à ma source, on appelle ça un soixante-neuf. Tu as bien remarqué que quand je suis excitée, je sécrète un liquide pour lubrifier mon vagin, mais ça a aussi un très bon goût, je peux te l’assurer, je l’ai goûté.Je suis abasourdi, ma sœur en connait deux fois plus que moi sur le sexe, alors qu’on ne s’est pratiquement jamais quittés, bien sûr elle lisait des revues qui ne m’intéressait pas, mais de là à savoir tout ça.Elle se blotti contre moi, et pose ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons dans un baiser fougueux, puis, elle pose sa tête sur mon torse.–Je t’aime frérot, je t’aime.–Oui, moi aussi, et c’est bien ça le problème.–C’est vrai, tu m’aime autrement que comme ta sœur ?–Oui.Elle se jette sur moi.–Ho mon chéri, je t’aime, je t’aime, je t’aime.Elle est à plat ventre sur moi, les jambes écartées, mon sexe reprend de la vigueur, et quand elle me juge prêt, elle se laisse glisser dessus et s’empale sur mon vit.–Oui, ton sexe dans mon sexe, fais-moi l’amour.–Non, à toi de te faire l’amour sur mon sexe, je ne bouge pas.Elle fait onduler son bassin tout au long de ma verge, elle se masturbe dessus.–Oui, chéri, je vais jouir sur toi, je vais ressentir ce que j’ai ressenti hier, je vais jouir, viens en même temps, viens chéri, jouis en moi.Je ne résiste pas et me vide en elle.–Oui, joui, joui, je jouis, je jouis.Son corps se raidi, elle est secouée de spasmes de jouissance qui me font vibrer avec elle. Quand elle est redevenue calme, elle m’embrasse passionnément et pose sa tête sur mon épaule.–Je n’ai jamais joui aussi fort, je t’aime frérot.–Tu n’as jamais joui avec un homme, c’est pour ça.–Peut être.–Il se fait tard, rentrons.–Pas avant que je n’ai bu ton sperme directement à la source.–Julie, nous venons de jouir deux fois de suite, tu en veux encore ?–Pas toi ?–Oui, bien sûr, mais il est tard, et je ne veux pas gâcher cette première fois par la fatigue.–Ok, comme toujours, tu as raison, je veux être en forme pour ma première pipe. Allons-y, mais d’abord un câlin.Elle se blotti contre moi et me caresse, je lui rends ses caresses et je la sens frémir sous ma main quand elle arrive sur ses lèvres humides. Je ne peux m’empêcher de glisser un doigt entre, à la recherche du clitoris que je découvre et titille d’un mouvement rond et rapide. En une minute, elle fond sous mon doigt et jouit une nouvelle fois.–Ho chéri, tu me fais encore jouir, je t’aime, je t’aime.Son corps vibre, son ventre est secoué de spasmes, elle écarte les jambes le plus possible pour que je puisse enfoncer mon doigt dans sa vulve ruisselante de cyprine. Quand elle est calme, je porte mon doigt à ma bouche pour goûter son jus. C’est vrai que c’est bon, je me penche et pose mes lèvres sur sa vulve pour la lécher et récupérer le maximum de liquide en allant du périnée au clitoris. Quand je vois qu’elle commence à onduler du bassin, je m’arrête, mais elle me plaque la bouche sur son sexe avec ses mains.–Oui, c’est trop bon, continu.Je continu de m’activer sur son sexe en léchant sa vulve et en aspirant son clitoris. Je fais ça à l’instinct, c’est la première fois que mes lèvres se posent sur un sexe de femme. Je me régale de son nectar d’amour.–Je vais encore jouir, continu, je vais jouir, je jouis, je jouis, HHHHHAAAAA.Elle s’arque boute, ses fesses décollent de la serviette, son ventre est dur comme du bois, elle se pince les mamelons et éclate dans un terrible orgasme.–HHHHHAAAAA, oui, oui, oui.Quand elle est calme, elle me prend dans ses bras.–Chéri, je n’ai jamais joui comme tout de suite, c’était d’une intensité diabolique, je veux toujours connaitre ça.–Je ne sais pas si c’est possible, peut-être, mais pour l’instant il faut songer à rentrer.–Ok.Nous nous habillons et rentrons à la caravane. Nous sommes surpris de voir de la lumière dans la caravane, maman devrait dormir déjà, est-elle avec quelqu’un ? Sans bruit, Julie ouvre la porte, entre et jette un œil vers la chambre de maman. Elle est stupéfaite de la voir, les jambes écartées, une main sur son clitoris à se masturber en regardant une photo. Julie ressort en silence en laissant la porte entrouverte.–Elle se masturbe.–C’est vrai ?–Oui, elle se masturbe en regardant une photo.–De qui ?–Je n’ai pas vu, je ne voyais que le dos.Poussé par la curiosité, je jette un œil vers la chambre de maman. La vue de son sexe luisant de cyprine, son doigt sur son clitoris tournant à un rythme fou, me provoque une vive émotion, j’ai envie de me jeter sur ce sexe et de le boire comme je viens de le faire à Julie. Une bosse apparait sur mon short. Je quitte la caravane et referme la porte doucement. Maman n’a rien entendu et quelques secondes plus tard, nous l’entendons gémir de plaisir. Julie m’entraine dans la tente pour un dernier baiser passionné. Elle attend quelques minutes après que maman ai éteint la lumière pour entrer dans la caravane.–Vous vous êtes bien promenés ?–Oui maman, mais tu ne dors pas ?–Je n’avais pas trop sommeil, mais maintenant que tu es là, je vais pouvoir dormir tranquille.
Le lendemain, après le traditionnel petit déjeuner, maman va faire sa toilette. –C’est le moment d’aller voir qui elle mate en se masturbant.Julie entre dans la caravane et va fouiller dans sa table de nuit. Elle trouve un paquet de photos qu’elle m’amène. Toutes les photos sont de moi au printemps, le jour où on a inauguré la piscine. Je suis en maillot de bain assez moulant. Nous nous regardons, je suis livide, ma mère se masturbe devant mes photos.–Je crois que je ne suis pas la seule à avoir flashé sur toi.–Tu te rends compte, maman, maman se masturbe en regardant des photos de moi, à moitié nu.–Oui, mais il faut les remettre à leurs place, elle va revenir.Julie va ranger les photos et nous allons prendre une douche. De retour, maman est là, elle est sur un transat, à plat ventre avec son soutien-gorge dégrafé, son slip est légèrement rentré dans ses fesses et les jambes légèrement écartées. Elle est bandante.–Toi le spécialiste de la crème, tu peux m’en mettre un peu sur le dos, le tube est sur la table.Julie me regarde et me fait signe d’y aller.–A moi aussi frérot, ma crème sur mon coup de soleil s’il te plait.Je commence par maman, je lui enduis le dos de crème protectrice, jusqu’au niveau de son slip, puis je lui badigeonne les jambes.–Les fesses sont fragiles aussi, protège les s’il te plait.Je pose ma main sur sa fesse gauche, je ne peux réprimer un tremblement, après ce que j’ai vu hier, je ne peux m’empêcher de penser à ma mère les jambes grandes ouvertes se masturbant en regardant des photos de moi et en m’offrant une vue magnifique de son sexe rose brillant de cyprine. Quand j’étale la crème, je sens un léger mouvement de bassin. Je fini par la deuxième fesse, toujours ce léger mouvement. Je me retourne vers Julie qui n’a pas perdu une miette de ce qui vient de se passer. Là, je suis un peu plus à l’aise, mes mains parcourent le corps de ma sœur, je n’oublie rien, même entre le haut des fesses. En me retournant, je remarque que maman me regarde, elle a un drôle de regard. Une fois fini, je me lève et vais à la cuisine pour me laver les mains. Quand je reviens, je remarque que le slip blanc de maman est taché entre les cuisses, juste au niveau de la vulve, elle a réagi à ma main sur sa peau. Le reste de la journée se passe comme d’habitude.
Le soir, nouvelle promenade avec Julie. Nous retournons au même endroit que la veille, il est super bien protégé des regards indiscrets. Julie me déshabille et je la déshabille. Nous nous caressons sur tout le corps pour finir en position de soixante-neuf, elle sur moi. Le bande comme un cerf, elle est liquéfiée, sa bouche s’empare timidement de mon sexe, mais s’enhardie vite pour en prendre complètement possession. De mon côté, je respire les effluves de ce sexe au-dessus de moi, je tends la langue pour lécher les lèvres mouillées. Ma langue s’insinue entre elles, puis ma bouche aspire le clitoris, en même temps que ma langue le titille, mes mains sont sur ses fesses et la plaque contre ma bouche. Je sens sa langue titiller mon gland, je n’ai pas beaucoup d’expérience de la fellation, seule une fille me l’a fait une fois et j’avoue que je n’avais pas spécialement apprécié. Là, pour sa première, Julie a l’air de bien s’en sortir, je sens la pression monter en moi. Je m’occupe toujours de son sexe et je la sens se raidir sur moi, l’orgasme monte dans son corps. J’augmente la vitesse de mouvements de ma langue et elle se crispe.–HHHHHAAAAA, je jouis, je jouis.Je sens ses dents me serrer un peu la bite, mais sans me mordre vraiment, c’est à ce moment que je me libère et lui envois tout dans le bouche. Elle a un léger sursaut, mais se fait un devoir de tout avaler. Quand nous nous sommes calmés, elle se redresse.–C’est vraiment bon tu sais, et moi tu aimes ?–Oui, j’ado….–Mon dieu, ce n’est pas possible.Cette voix me glace le sang, c’est celle de maman. Julie s’immobilise instantanément, je me retourne pour voir ma mère tomber à genoux sur le sable à côté de la serviette.–Ce n’est pas vrai, je rêve. Mes enfants chéris, mes enfants qui font l’amour ensemble, ce n’est pas possible.Julie se détache de moi, et se redresse. Nous sommes comme deux gamins pris la main dans le sac, je ne sais quelle attitude prendre. Maman est en larme, son corps est secoué de sanglots, elle porte ses mains à sa bouche. Au bout d’un silence de cinq minutes qui semble durer des heures, elle nous regarde.–Ça dure depuis longtemps ?–deux jours.–Vraiment ?–Juré.–Il y a déjà un bon moment que je trouve que Julie a un comportement particulier avec toi, c’est pour ça que je vous ai suivi aujourd’hui. Je vous ai perdu au début de la plage, mais j’ai réussi à vous retrouver. Tu es sûr que ça ne dure que depuis deux jours.–Oui maman, nous avons fait l’amour ensemble pour la première fois avant hier.–C’est lui qui m’a défloré.–En plus.–Maman, ce qui nous arrive est très difficile à comprendre, même, et surtout pour nous. C’est arrivé comme ça, sans que nous nous en doutions.–Allez, tout le monde dans la caravane.
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