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Mes chéries

Chapitre 4

Inceste
Nous nous habillons et rejoignons la caravane en compagnie de maman. Une fois sur place, elle nous demande de nous assoir.–Alors, que ce passe-t-il ?–Nous nous aimons Jules et moi, mais pas d’un amour fraternel, d’un amour physique.–Comment est-ce possible ?–Je ne sais pas, c’est arrivé comme ça, j’ai ressenti une violente attirance pour lui, et je lui en ai fait part. Au début, il a refusé l’évidence, mais maintenant il sait que je l’aime et il sait qu’il m’aime.–Jules ?–C’est exact, je l’aime, je l’ai maintenant réalisé et accepté.Maman reste là à nous regarder l’un après l’autre.–Bon, nous rentrons demain, faites vos sacs.–Comment ça on rentre demain.–Tu crois peut être que je vais vous laisser faire sans réagir ?Julie se lève en colère.–Pourquoi, c’est plus grave que de se masturber devant la photo de son fils ?Maman accuse le coup, elle est assommée, elle nous regarde d’un air complètement affolé.–Comment tu sais ça ?–Je t’ai vu, et Jules aussi. Les cuisses grandes ouvertes, ta main sur ton sexe en regardant une photo de Jules. C’est moins grave que ce que nous avons fait ?Maman est blanche. Elle me regarde d’un air que je ne lui ai jamais connu.–Oui, je me masturbe devant ta photo, tu es tellement beau mon fils.–Maman, qu’est-ce que ça veut dire ?–Que, comme ta sœur, je suis attirée physiquement par toi, mais je n’ai jamais pensé passer à l’acte avec toi. Tout à l’heure, quand je vous ai surpris, j’ai eu une réaction sexuelle, ma culotte est toute mouillée, rien que de te voir nu. Je ne sais plus que penser, j’ai envie de toi, mais tu es mon fils et je ne peux pas accepter de passer à l’acte avec toi. Quand tu m’as mis la crème protectrice, j’ai mouillé mon maillot, et quand je t’ai vu passer la crème sur les fesses de Julie, j’ai eu la même réaction. Je crois que je suis attirée par vous deux. Mais tout à l’heure, c’est ton sexe bandé que j’ai vu et j’ai failli ne pas intervenir et me masturber en vous regardant.–Moi aussi j’ai eu une réaction en te voyant te masturber, je t’ai vu comme une femme, plus comme ma mère. Maman, qu’est ce qui nous arrive ?–Je ne sais pas chéri, je sais simplement que vous êtes mes enfants et que je vous aime, mais je ne peux plus qualifier cet amour.–Moi aussi maman, tu ne t’en aies jamais rendue compte, mais souvent quand tu te douche, je me débrouille pour te regarder. J’aime te voir nue et voir tes mains parcourir tout ton corps pour le laver, surtout que, souvent, tu insistes un peu trop sur ton sexe, je t’ai même vu jouir. Je mouille et vais me masturber juste après en pensant à toi, tu es si belle.–Ho ma chérie, que ce passe-t-il ?Je me lève, vais vers ma mère, la fait se lever et la prend dans mes bras. Je pose mes lèvres sur son front. Julie vient nous rejoindre et nous entoure de ses bras.
–Je t’aime maman, tu es très belle et très attirante, pourquoi ne cherches tu pas quelqu’un pour partager ta vie, nous n’allons pas tarder à te quitter pour vivre notre vie.–Le plus tard possible s’il te plait, j’ai tellement besoin de vous. Quant à chercher quelqu’un, pourquoi, pour se séparer un peu plus tard, comme avec ton père, avec vous je sais que l’on s’aimera toute notre vie.–Oui, mais il te restera Julien.–Oui, mais c’est différent avec lui, il a pris parti pour son père et c’est difficile, nos rapports sont tendus.–Ok, mais pour demain, qu’est-ce qu’on fait.–On reste et advienne que pourra, par contre, soyez discrets.–Ne t’en fais pas maman, mais maintenant, qu’est-ce qu’on fait, nous avons tous envie les uns des autres, comment on gère ça.–Ma chérie, je ne sais pas, c’est trop brusque, je pense qu’on devrait aller nous coucher, on avisera demain. On va avoir la nuit pour y penser. Julie, tu viens dans la caravane ?Julie me regarde et pose ses lèvres sur les miennes.–Je vais avec maman, ça ne te déranges pas ?–Comme tu voudras. J’embrasse Julie et ma mère et je vais me coucher. Je ne dors pas beaucoup, surtout que j’entends des bruits très significatifs qui viennent de la caravane. Le lendemain, je prépare le petit déjeuner comme d’habitude, mais je suis assez fatigué après la nuit que je viens de passer sans dormir, ou si peu. Je bois une tasse de café quand Julie sort de la caravane, elle a les traits un peu tirés, mais sans plus. Elle vient m’embrasser chastement, l’auvent donne sur l’allée. Elle s’installe et se sert un café.–Nous avons décidé de rentrer, il nous reste trois semaines avant le retour de Julien, maman aimerait bien qu’on les passe à la ferme tous les trois.La ferme est une vielle bâtisse au milieu de nulle part, héritée de mes grands parent maternelles, que mes parents ont retapé au début de leur mariage. Elle est isolée, mais a tout le confort, même une piscine.–Ok, on part quand ?–On range tout ce matin et on part dans l’après-midi, maman est pressée, elle ne veut plus rester ici, elle ne peut rien faire sans que tout le monde soit au courant.–Très bien, j’attaque le démontage de l’auvent.Maman émerge et vient nous embrasser. Elle a les traits très tirés, il faut dire que je l’ai beaucoup entendu gémir cette nuit, comme Julie d’ailleurs.–Julie t’a dit ?–Oui, j’attaque dès que j’ai fini de déjeuner, moi aussi je veux rentrer et profiter de vous deux.Maman me regarde tendrement, elle me sourit et regarde Julie d’une drôle de manière.–Moi aussi, je veux profiter de toi et de Julie, mon amante chérie.La matinée se passe vite, je démonte tout rapidement, aidé par Julie, nous avons demandé à maman de se reposer, c’est elle qui conduit. En début d’après-midi, nous positionnons la caravane pour que le gardiennage vienne la prendre et nous partons pour arriver à la ferme vers dix-neuf heures. Le voyage s’est passé dans un silence de cathédrale, tout le monde pense à ce qui va se passer une fois arrivés. Comme nous y avons passé un week-end trois semaines avant, la ferme est en ordre de marche et il n’y a rien à faire. C’est une maison de plein pied, en pierre de taille du début du dix-neuvième siècle, avec cinq chambres, deux salles de bain et trois WC. Une grande pièce, cuisine salon salle à manger, tout en une pièce, à l’ancienne. Dehors, maman a fait mettre une piscine de douze par huit au printemps.
Comme d’habitude, chacun va vers sa chambre, lorsque j’entends Julie éclater de rire.–Pourquoi tu ris ?–Nous allons chacun vers notre chambre alors que nous savons très bien que nous n’en utiliserons qu’une. Laquelle on choisit ?Maman rit, d’un rire un peu nerveux.–Tu ne crois pas que c’est un peu rapide ?–Maman, il faut que tu réalises que nous sommes rentrés plus tôt de vacances parce que nous voulons baiser ensemble tranquillement.–Julie, comment tu parles.–Excuses moi, faire l’amour ensemble, s’aimer tous les trois ensemble, et ça, nous ne pouvons le faire que dans une pièce.–Ok, le lit de Jules est le plus grand, c’est un cent-soixante, on sera mieux.–Oui, mais chacun dépose ses affaires dans sa chambre, je ne veux pas qu’on encombre ma chambre.Tout le monde pose ses affaires dans sa chambre et me rejoint dans la pièce principale, je prépare le repas. Nous mangeons de bon appétit, l’atmosphère s’est détendue et nous sommes tous assez naturels. A la fin du repas, après avoir débarrassé, maman s’installe dans la partie salon, nous finissons de ranger avec Julie. Quand tout est rangé, nous nous dirigeons vers maman. Je lui prends les mains et l’entraine vers ma chambre, Julie nous suit. Une fois dans la chambre, je la place devant moi, lui lâche les mains et entreprend de lui déboutonner son corsage. Julie est derrière, elle fait glisser le zip de la fermeture de sa jupe et la fait tomber à terre. Je retire le corsage de maman. Elle est là, dans un petit slip blanc assorti d’un soutien-gorge de même couleur. Elle est immobile, les bras le long du corps, les yeux fermés, sa respiration s’accélère. Julie dégrafe le soutien-gorge pendant que je m’accroupi pour faire glisser son slip à terre. Je suis submergé par une odeur douçâtre, et je découvre que le slip de maman est complètement mouillé. Son sexe est recouvert de poils coupés très raz et en forme de triangle bien découpé, elle s’épile les poils superflus. Je me redresse, elle a toujours les yeux fermés, sa respiration et de plus en plus rapide. Je suis devant sa poitrine encore bien haute, le visage de Julie à côté du mien. Nous avançons vers ses seins et je pose mes lèvres sur son sein gauche, tandis que Julie en fait de même sur son sein droit. Elle se saisi de nos tête et les plaque contre sa poitrine.–MMMMMJe me redresse et la prends dans mes bras, la soulève, et la dépose sur le lit, bien au centre. –Ne bouge pas maman chérie.Je me retourne vers Julie, elle me regarde en souriant, je m’approche et entreprend de la déshabiller, maman nous regarde et pose une main sur son sexe.–Non, attend nous.Elle repose son bras le long de son corps et nous regarde. Je déshabille Julie doucement, en lui embrassant toutes les parties de son corps que je dévoile. Quand j’arrive au slip, je le fait glisser doucement et pose ma bouche sur sa toison courte. Ma langue titille un court instant son clitoris et je fini de descendre le slip à terre. Je me redresse, et c’est Julie qui entreprend de me déshabiller. Quand elle dégage mon slip, ma bite se redresse à la verticale, je n’en peux plus de bander, je suis sur le point d’exploser tellement je suis excité. Maman ne regarde que mon sexe, son regard se trouble quand j’arrive vers elle. Je viens du côté droit et Julie à gauche. Nous montons ensemble sur le lit, moi au niveau de son sexe, et Julie sur sa poitrine. Je lui écarte un peu les jambes, me positionne entre elles et me penche sur son sexe. Julie pose sa bouche sur un de ses seins et lui mordille le mamelon. Quand mes lèvres se posent sur ses lèvres, elle gémit.–MMMMMMMMM, oui mes chéris, oui, je suis à vous.A langue s’active sur son mont de venus et atterri sur son clitoris, ce qui la fait réagir par un brusque coup de rein. Je lui titille avec ma langue pendant que Julie jongle avec ses seins. Je redresse un peu la tête.–Maman, ton jus, c’est du nectar.Et je replonge sur cette fontaine délicieuse. Elle ne résiste pas longtemps.–Oui mes chéris, oui, oui, vous me faites jouir, je jouis grace à vous, HHHHHOOOOO.Son corps est secoué de spasmes violents, elle secoue la tête de gauche à droite, ses jambes se resserrent sur moi, son ventre se raidi. Petit à petit elle se calme, Julie embrasse toujours ses seins et lui caresse le ventre. Sa main descend jusqu’à son sexe, un doigt se glisse entre les lèvres.–Oui ma chérie, oui, continu, j’aime.Julie continu, elle entre un deuxième doigt, puis un troisième. Je me demande ou elle a appris ça. Sa main commence à pistonner le sexe de maman qui réagit de plus en plus.–Un sexe, maintenant il me faut un sexe, Jules, s’il te plait, aimes moi.Julie retire sa main, je remonte sur le haut de son corps, embrasse ses seins jusqu’à ce que je sente mon gland au contact de sa vulve ruisselante de cyprine. Je m’enfonce dans son sexe, il est moins serré que celui de Julie, mais je sens très bien ses parois qui glissent le long de ma verge. Quand je suis au fond, elle pose ses mains sur mes fesses.–Reste là mon chéri, juste au fond de là d’où tu viens, au fond de ma grotte de vie.Je reste immobile un instant, jusqu’à ce qu’elle me libère.–Aimes moi.Je commence des va et vient lents et profonds, je ne veux pas aller trop vite car j’ai peur de ne pas pouvoir résister longtemps.–Oui mon chéri, comme ça, je viens, je vais jouir encore une fois, embrasse-moi ma chérie.Julie se penche sur la bouche de maman et échange avec elle un baiser passionné. Je sens le sexe de maman se contracter, elle se raidi, elle tremble, mais Julie garde sa bouche sur la sienne. Je ne résiste plus et me vide dans cette grotte chaude et peine de vie. Maman se dégage.–HHHHHOOOOO oui, ton sperme en moi, oui, oui, oui.Je m’écroule sur elle, complètement anéanti par le plaisir. Je reste immobile un bon moment. Julie me couvre de baisers et me caresse.–Frérot chéri, tu es tellement beau quand tu jouis.Je me laisse tomber sur le côté contre maman. Celle-ci se redresse et m’enjambe et fait mettre Julie sur le dos, elle lui écarte les jambes et plonge sa tête sur son sexe.–A toi maintenant.Je me retourne un peu, je suis juste à la hauteur de sa poitrine, je n’ai qu’à avancer un peu la tête pour lui gober les mamelons. Je les suce, les lèche, les mordille. Elle pose une main sur ma tête et l’autre sur la tête de maman.–Oui mes chéris, oui j’aime vos bouches.Julie ne résiste pas plus que maman et part dans un terrible orgasme qui lui secoue tout le corps.–HHHHHAAAAA, vos langues, vos langues.Elle s’arque boute, son corps est aussi tendu qu’un arc. Je lui mordille toujours les seins, maman est toujours sur son clitoris, nous continuons sans nous soucier de son état. Ça dure deux minute quand elle se raidi encore plus.–Oui, oui, je jouis, je jouis, je vais mourir de plaisir, je meure, oui, encore.Elle retombe brusquement sur le lit, anéantie par le plaisir. Ses yeux sont révulsés, sa respiration saccadée, son cœur bat à deux cent, elle ne cesse de secouer sa tête. Elle met plus de cinq minutes à retrouver son calme. Quand elle émerge, son visage resplendi de bonheur.–Merci maman, merci frérot, j’étais au paradis.–Tu es jeune ma fille, tu y retourneras souvent, du moins je l’espère.–Si nous restons ensemble, je suis sûre que j’y retournerais souvent, très souvent.Maman se retourne vers moi.–A ton tour mon chérie, je veux ton sexe dans ma bouche, je veux te boire.Elle me fait mettre sur le dos et se penche sur mon sexe un peu mou. Elle se saisie de ma bite et entreprend de me masturber, on sent qu’elle a plus d’expérience que Julie, car je bande en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Tout à coup, je sens une bouche s’emparer de ma verge. Julie nous regarde, elle semble ne pas savoir quoi faire. Je me tourne vers elle.–Julie chérie, tu n’aimerais pas que je m’occupe de ton petit nid d’amour, viens t’assoir sur ma bouche.Elle m’enjambe et présente sa fente sur ma bouche. Ma langue s’active sur le sexe de ma sœur pendant que ma mère s’active sur mon sexe. Je ne sais plus où je suis, mais je suis aux anges. Une bouche s’occupe de ma bite et j’ai un sexe de femme odorant et plein de vie sur ma bouche. Comme j’ai joui il y a peu de temps, je peux résister plus longtemps, mais maman n’est pas Julie, elle possède une technique beaucoup plus élaborée et fini par me faire me vider dans sa bouche. Je me raidi, mais se faisant, je mords un peu les lèvres de Julie ce qui déclenche son orgasme. Elle coule, je sens sa cyprine couler sur mon visage. J’en avale le plus possible avec délectation. Maman avale tout ce que je lui donne et fini par me lécher la bite pour bien la nettoyer. Julie bascule sur le côté et vient s’allonger à côté de moi. Je fais monter maman sur moi pour la faire allonger à ma gauche.–Je suis vidé dans tous les sens du terme, je voudrais bien dormir.–Ok chéri, dormons maintenant.Maman et Julie se blottissent contre moi et nous finissons par nous endormir tous les trois dans le lit.
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