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Mes chéries

Chapitre 6

Inceste
–Que vous êtes beaux quand vous vous aimez, que tu es belle ma chérie, ton visage resplendi de bonheur. Julie ouvre les yeux.–Maman, tu étais là, tu nous a vus ?–Oui, et je dois dire que ça m’a fait quelque chose de vous voir faire l’amour comme ça, je dégouline.–Frérot chéri, tu ne voudrais pas nettoyer maman ?–Avec la plus grande joie, maman, viens t’allonger ici.Je lui désigne un espace à côté de moi, elle s’allonge, je lui écarte un peu les jambes, je n’arrive pas à lui ouvrir les jambes en grand, je ne sais pourquoi, une sorte de retenue par respect pour l’endroit d’où je viens. Ma tête plonge sur ses lèvres vraiment très humide, la cyprine coule jusqu’au milieu de ses cuisses. Ma langue s’active sur sa cuisse gauche quand je vois Julie attaquer la cuisse droite. Maman écarte d’elle-même ses jambes. Nous remontons vers le haut ensemble, mais nous finissons par nous gêner. Julie se redresse et me laisse finir ma cuise, quand j’arrive à la lisière du sexe, je lui laisse la place. Quand nous avons tous les deux fini de nettoyer ses cuisses, nous nous embrassons pour partager son goût lèvres contre lèvres.–Dites donc vous deux, je ne suis pas entièrement nettoyée. Julie se penche sur elle et entreprend de lui nettoyer la vulve à grands coups de langues du périnée au mont de Vénus. Maman se tortille dans tous les sens, elle se pince les mamelons, sa tête va de gauche à droite, sa respiration s’accélère, son bassin se soulève au moment où Julie se met sur le côté pour me laisser la place. Je plonge sur cette source intarissable, ma langue se déchaine juste au moment où maman expose.–OOOOOOOUUUUUUUIIIIIIIMa tête est soulevée par ses cuisses qui me serrent à m’en étouffer, elle tremble de tout son être, ses mains enfonce mon visage dans son sexe, je bois tout ce qui coule de sa fontaine d’amour. Petit à petit, elle se calme, son bassin retombe sur le lit, ses mains me libèrent ainsi que ses cuisses. Je me redresse, mon visage est couvert de cyprine. Julie se jette sur moi pour me lécher le visage et me nettoyer. Une fois bien propre, elle m’embrasse fougueusement.–Eh vous deux, moi aussi je veux titiller vos langues.Julie se penche sur elle et l’embrasse passionnément, les mains de maman parcourent son corps pendant que Julie descend doucement sa main vers sa chatte.–Non chérie, je suis repue pour l’instant, Jules, viens.Je me penche sur elle pour l’embrasser, nos langues se battent dans nos bouches, ses mains parcourent mon corps et un doigt vient se glisser entre mes fesses.–J’aimerais bien que tu explore ce côté de mon anatomie.–Tu veux quoi ?–Je voudrais bien que tu me sodomise, ton père n’a jamais voulu, et c’est un de mes fantasmes les plus fort.–Maman !!!!–Si tu le veux chéri, je ne veux pas te forcer.–Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait.–Tu as le temps chéri.–Moi aussi j’aimerais y goûter, tu m’as déjà passé ta langue sur l’anus et j’ai bien aimé, j’aimerais bien ressentir une sensation de pénétration par là.–Chérie, laisse ton frère y penser, nous verrons bien en temps voulu.Je suis un peu dubitatif, je n’ai jamais sodomisé quelqu’un, et ce n’ai pas quelque chose qui m’attire particulièrement, c’est quand même un peu spécial. D’un autre côté, je sais que c’est une pratique assez courante.
–Et toi, tu n’aimerais pas essayer, j’ai une amie qui sodomise régulièrement son mari et il aime beaucoup.–Maman !!!!–Tu es quand même un peu naïf.–Maman !!!!–Bon, le sujet est clos, réfléchi.L’après-midi est bien avancé et nous décidons d’aller piquer une tête dans la piscine.Nous passons une bonne heure dans la piscine ou sur les transats à nous caresser, nous embrasser, nous aimer. En milieu d’après-midi, maman décide d’aller faire une course en ville, nous décidons de l’accompagner. Tout le monde s’habille comme la veille. Quand nous arrivons en ville, maman nous dit la destination finale.–Je vais acheter des jouets dans un sex-shop qui est dans une petite rue derrière, vous m’accompagnez ?–Bien sûr.Elle se gare et nous allons bras dessus bras dessous vers le sex-shop. Nous entrons dans une boutique pleine de vitrine ou sont exposés toute une série de sex-toys, livres et cassettes pornos. Elle se dirige vers une vitrine pleine de sex-toys et regarde deux ou trois modèles. Le vendeur vient vers elle, ce sont les deux seules femmes dans la boutique, qui plus est belles, et elles attirent les regards des deux autres hommes qui sont là, surtout Julie dans son micro short bien moulant.–Je peux vous aider madame ?–Oui, je voudrais voir ce godemiché et celui-là.Elle désigne deux godes que s’empresse de sortir le vendeur. Il lui tend les objets. Maman les prend dans les mains, les caresse, les tâte et fini par en rendre un au vendeur.–Je prends celui-là, vous avez des godes à deux glands ?–Bien sûr, suivez-moi.Il lui présente plusieurs godes de différentes couleurs et de différentes tailles.–Julie chérie, tu viens choisir avec moi, c’est pour nous deux.Julie s’approche en rougissant un peu, mais elle est très vite intéressée par les articles. Elles se décident pour deux godes, un couleur chair de trois cm de diamètre, un autre noir, très gros, d’au moins cinq cm de diamètre.–Nous prenons ces deux-là, avez-vous des gode-ceintures ?–Bien sûr, ils sont dans cette vitrine.Nous nous dirigeons au fond de la boutique vers une vitrine ou trônent une bonne dizaine de gode-ceintures. Certain simples, juste avec un gode à l’extérieur, d’autres avec un ou deux godes à l’intérieur. Maman en choisi deux, un avec un gode à l’intérieur et l’autre avec deux godes. Elle me regarde avec des yeux bizarres, très sensuels. Le vendeur lui montre des godes plugables.–Vous pouvez changer les godemichés suivant votre envie avec ces modèles, ils sont vendus nus et vous choisissez dans cet éventail de godemichés ceux que vous voulez mettre. Ils se clippent très facilement. Vous pouvez aussi utiliser les ceintures sans godes à l’intérieur en y mettant ces caches.Il lui présente une bonne dizaine de godes et elle en choisi sept de différentes tailles plus deux caches.–Tu ne crois pas que ça va faire trop ?–Non ma chérie, il faut avoir le choix, nos envies vont évoluer et il faut prévoir le maximum de possibilités.–Vous avez du gel ou de l’huile pour les utiliser ?–Pourquoi nous faudrait-il du gel ?–Si ce n’est pas indiscret, quel usage comptez-vous en faire.–Jouer avec mes deux compagnons ici présents.Le vendeur regarde Julie d’un drôle d’air, je pense qu’il se demande si ce n’est pas sa fille, mais il se retourne vers maman comme si de rien n’était.–Donc vous voulez les utiliser pour sodomiser votre partenaire ?–Entre autre.–Il vous faut donc un lubrifiant, et j’ai ce qu’il vous faut, suivez-moi.Il nous mène vers une autre vitrine ou se trouvent plusieurs types d’huile, gel et graisse. En le suivant, je remarque qu’un des hommes s’est mis derrière une vitrine qui se trouve au milieu de la pièce de manière à ce qu’on ne puisse voir que le haut de son corps et que son bras droit bouge d’une manière très significative, il se branle en regardant le joli cul de ma sœur. Je fais un signe a Julie qui, ayant repéré l’homme, se met à onduler des fesses d’une manière assez sensuelle. L’homme accélère son mouvement, quand Julie se dirige vers lui en contournant la vitrine. L’homme se tétanise, mais quand elle est devant lui, il reprend sa masturbation, et je vois à son visage qu’il jouit devant elle. Elle me rejoint et se penche à mon oreille.–Il en a mis partout.Je me retourne, mais l’homme a disparu, je me reconcentre donc sur le vendeur qui discute toujours avec maman.–Pour la sodomie, je vous conseille cette graisse, elle est incompatible avec les préservatifs, mais sur un gode, ça ne risque rien, de plus elle chauffe et détend très bien le sphincter, pour le reste, vous avez le choix entre une de ces huiles silicones et ces gels qui sont tous compatibles avec les préservatifs.–Je vais prendre cette graisse et cette huile.Nous allons vers la caisse pour payer au moment où entrent deux femmes jeunes et très belles. Elles vont vers la caisse pour saluer le vendeur qu’apparemment elles connaissent très bien. Elles embrassent le vendeur quand l’une d’elle remarque ce que nous achetons sur le comptoir de la boutique.–Oh lala, je vois que madame a des envies spéciales.–Oui, je veux expérimenter certaines pratiques que je ne connais pas encore.–Vous n’avez jamais pratiqué ?–Non, mais je compte m’y mettre très vite.La fille regarde maman avec gourmandise, elle la détaille sous toutes les coutures et a l’air d’apprécier ce qu’elle voit.–Nath, tu ne trouves pas madame très appétissante ?–Très, j’en ferais bien mon quatre heure, pas toi Isa.–J’en rêve.Maman devient toute rouge, elle ne sait quelle attitude prendre devant ces deux filles qui ne doutent de rien. Le vendeur intervient.–Ne vous en faites pas madame, ces demoiselles sont des habituées, elles font régulièrement un petit spectacle dans l’arrière-boutique.–Vous voulez y assister ?Maman se retourne vers nous pour nous interroger du regard.–Nous avons bien une petite demi-heure ?–Oui, nous pouvons rester un peu.–Ok, nous acceptons avec plaisir.–Suivez nous.Elles se dirigent vers l’arrière-boutique et entrent dans une salle où se trouvent une dizaine de cabines de projection. Sur le côté, une porte donnant dans une pièce aux lumières tamisées avec un grand divan rouge au milieu. Nous y entrons et je constate qu’il y a trois hommes qui se caressent à moitié nus. Nath et Isa se dirigent vers le divan, les hommes arrêtent de se toucher et viennent vers elles. Nath nous fait signe de rester là où nous sommes. Les trois hommes se mettent autour d’elles et commencent à les déshabiller. L’effeuillage dure un certain temps, on sent que les hommes et les filles se connaissent très bien, et qu’ils prennent du plaisir à faire durer le moment. Quand elles sont nues, les hommes se retirent au fond de la pièce et se déshabillent. Je peux regarder les filles plus en détail. Elles sont toutes deux très belles, jolis seins pas trop gros, mais fermes et hauts, ventres plats, fesses hautes et bien rondes, jambes fuselées et sexes glabres, deux canons.Nath et Isa montent sur le lit et commencent à se caresser. Isa regarde maman avec insistance, elle ne la quitte pas des yeux. Je la vois regarder Isa fixement, comme subjuguée, sa main se porte sur son sexe par-dessus sa robe. Isa lui sourit. Maman porte sa seconde main sur un de ses seins et le malaxe, je la sens devenir de plus en plus excitée. Je bande à voir ma mère se caresser comme ça, mais Julie n’est pas en reste et elle a une main dans son short. On voit très bien qu’elle se caresse. Isa tend sa main vers maman qui, n’y tenant plus, fait passer sa robe par-dessus sa tête et se dirige vers le divan. Les deux filles s’interrompent et la font s’allonger. Nath lui écarte les jambes tandis qu’Isa lui dépose un baiser sur les lèvres. Je ne reconnais plus ma mère, elle si discrète d’habitude se laisse complètement aller avec ces deux femmes. Les hommes sont toujours au fond de la pièce, nus, à se branler doucement. Je me retourne vers Julie et je la vois passer son tee shirt par-dessus sa tête et faire glisser son short au sol. Elle est nue elle aussi, je reste donc le seul habillé. Je décide de ma déshabiller à mon tour. Nous sommes huit personnes nues dans cette pièce, trois hommes qui se masturbent dans un coin, trois femmes qui se caressent sur un divan et Julie et moi dans un autre coin. Nath nous fait signe de les rejoindre. Nous allons vers le divan.–Nous allons, Isa et moi, nous occuper de votre mère, occupez-vous tous les deux à côté de nous, les trois hommes qui sont au fond ne bougerons pas, ça fait partie de notre accord, il se peut qu’il en arrive d’autres, mais ils ne nous gênerons pas.–Comment savez-vous que c’est ma mère ?–C’est évident, et il est aussi évident que c’est ta sœur, mais ça ne me regarde pas, amusez-vous, vous en avez envie.Je regarde Julie, elle s’approche et m’embrasse passionnément. Ses mains parcourent mon corps pendant que je lui caresse les fesses. Elle nous entraine sur le divan et fait en sorte que je me retrouve sur elle, elle appuie sur mes fesses pour faire entrer mon sexe dans le sien, complètement détrempé. Je commence à la pistonner tout en regardant maman à côté de moi. Elle a les jambes écartées et la tête de Nath au milieu tandis qu’Isa s’occupe de ses seins. Son bassin ondule, je l’entends pousser de petits soupirs de plaisir, qui se mélangent à ceux de Julie. Nath se redresse et fait en sorte de placer les jambes de maman de chaque côté de nous, elle se positionne entre elles, ce qui fait que j’ai sa vulve à 2 cm de mon nez.–Tu connais le goût des femmes ?–Oui, bien sûr.–Alors, compare le mien avec ceux que tu connais déjà.J’avance la tête et pose mes lèvres sur son sexe très humide.–Oui, c’est bon, continu.Elle replonge entre les cuisses de maman qui pousse des cris de plus en plus significatifs. Je m’active sur le sexe de Julie avec ma bite et sur le sexe de Nath avec ma langue. Je suis sur deux fronts en même temps et j’ai du mal à assurer jusqu’au moment où Julie pousse en grand cri.–HHHHHHAAAAAA ouiJe sens sa vulve me comprimer le sexe et je jouis à mon tour. J’ai le dos qui commence à me faire mal, étant arc bouté sur mes bras et complètement cambré. L’orgasme de Julie me libère et je peux me concentrer sur la vulve de Nath. Je lui aspire le clitoris, le mordille, le lèche quand maman part elle aussi dans un violent orgasme. Isa se redresse et va s’allonger au bord du divan. Nath ne bouge pas et reste la tête entre les cuisses de maman avec ses fesses en l’air. Pendant ce temps, Julie s’est libérée et est allé se pencher entre les cuisses d’Isa pour s’occuper de son sexe. Je saisis les hanches de Nath pour la plaquer encore plus sur ma bouche et je sens qu’elle commence à partir. Sons corps vibre de plus en plus et tout à coup, elle se cabre et pousse un long cri sourd.–MMMMMMMMMMMMMMMMMMMElle est immédiatement suivie d’Isa qui jouit à son tour.Nath reste cabrée pendant de longues secondes avant de se laisser descendre sur le ventre de maman qui est toujours sous elle. Je lui lèche la vulve et ma langue remonte jusqu’à son anus que je titille avec ma langue.–Oui, c’est bon, j’aime qu’on me titille le fion, continu.Je continu de passer ma langue sur son anus, mais maman se dégage. Je comprends que c’est fini et qu’il faut y aller. Il y a des taches devant les trois hommes qui continuent de se masturber bien que leurs queues soient devenues molles. Je libère Nath qui se redresse, se retourne et m’embrasse goulûment.–Merci petit homme, c’était très bien, tu as de l’avenir.Je descends du divan pour récupérer mes affaires et me rhabiller. Une fois tous les trois habillés, maman se dirige vers Isa et Nath qui se sont elles aussi rhabillées. Elle les embrasse tendrement toutes les deux.–Merci mes chéries, j’ai passé un superbe moment avec vous, et je crois ne pas être la seule.–Nous aussi.Nous sortons de l’arrière-boutique, maman paye et nous nous dirigeons vers la porte quand Isa la retient par le bras et lui tend une carte de visite.–Au cas où tu voudrais nous revoir.–Pourquoi pas.Maman prend la carte et la glisse dans son portefeuille. Nous rejoignons la ferme assez vite, nous sommes pressés de tester les achats de maman.
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