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Mes chéries

Chapitre 8

Inceste
Nous sommes dans la piscine à jouer comme de gosses, nos corps se frottent, nos mains caressent les corps rencontrés, nos lèvres se posent sur la peau mouille de l’autre quel qu’il soit. Au bout d’un petit moment, maman me prend la main et me traîne vers la sortie de la piscine.–Allez chéri, il faut venir honorer ta mère.Elle m’essuie pendant que Julie l’essuie. Elle m’entraine vers la salle de bain et nous nous faisons un lavement ainsi que Julie qui nous a rejoints. Quand nous arrivons dans la chambre, Julie a déjà tout préparé, maman se blotti contre moi et m’embrasse. Son baiser est langoureux et paisible, elle se donne et me fait comprendre qu’elle est toute à moi.–A toi mon chéri, fais-moi jouir comme tu as fait jouir ta sœur.Elle monte sur le lit et se met à quatre pattes. Je me positionne derrière elle à quatre pattes aussi et lui pose ma langue sur sa rondelle. Je la lèche en partant du bas de ses lèvres que je peux à peine atteindre jusqu’au-dessus de l’anus. Je commence à bander comme un âne, rien que de savoir ce que je vais faire à ma mère m’excite au plus haut point. Maman commence à onduler du bassin.–Oui, j’aime, continu.Je m’active de plus en plus quand je sens une langue sur mon anus, c’est Julie qui me fait la même chose.–Je vais te faire ce que tu vas faire à maman. Nous continuons tous les deux la préparation de notre partenaire, je badigeonne l’anus de maman pendant que Julie en fait de même avec moi. J’enfonce un doigt puis deux pour finir par trois en pistonnant maman, ce que fait Julie sur moi. Au bout d’un moment, je sens le sphincter de maman complètement détendu, mes doigts vont et viennent librement, sans contraintes. Mon propre sphincter réagit de la même manière, les doigts de Julie glissent librement dans mon cul. Elle s’interrompt pour mettre sa ceinture.–Attends-moi frérot.Elle ajuste la ceinture avec un gode qu’elle enfonce dans son sexe, et ferme la boucle. Je m’avance vers maman et pointe mon sexe sur son fion, Julie se positionne derrière moi et me fait la même chose. Je sens le gland du gode sur ma rondelle, et ça me donne une sorte de décharge électrique à travers tout le corps.–Vas-y chérie, je suis prête, vas-y, enfonce-moi ton sexe dans le fondement, je n’attends que ça depuis vingt ans.Je pousse un peu et entre relativement facilement dans les entrailles de ma mère. Je sens que le gode de Julie me pénètre tout aussi facilement. Je commence des va et vient lents et profonds, Julie ne bouge pas, c’est moi qui donne l’amplitude de ma propre sodomie. Maman porte une main sur son clitoris, elle se caresse doucement.–Oui chéri, continu, j’aime sentir ta bite me défoncer le cul, accélère, je veux te sentir te vider en moi.Je suis pris entre deux feux, ma bite défonce le cul de ma mère, et mon cul est défoncé par le gode de ma sœur. En augmentant la cadence, la pression monte très vite, je sens que je ne vais pas résister longtemps à ce rythme. C’est maman qui donne le signal en se raidissant, je sens son sphincter me serrer un peu plus que d’habitude.–Oui, chérie je jouis, je jouis du cul et de la chatte en même temps, oui, continu, défonce moi, oui, oui, HHHHHAAAAA.Elle est secouée de spasmes, je la tire par les hanches pour me plaquer contre ses fesses et me vider en elle, Julie se déchaîne sur moi et entame des va et vient extrêmement rapides. Je me laisse aller à jouir. Je tremble de tous mes membres, et je me vide par de longs jets de sperme dans les entrailles de maman.–Oui, tu sperme, ton sperme.Quand je me calme, je sens mon sexe ramolli se dégager et pendre entre mes cuisses. Le gode de Julie se retire et je m’allonge à côté de maman. Elle reste à quatre pattes, se retourne et avance vers Julie. Elle la libère de sa ceinture, s’enfile le gode interne dans la vulve et la fait se retourner. –A toi maintenant, à toi de jouir. Julie se met à quatre pattes, maman derrière. Elle lui badigeonne le cul et lui enfonce deux puis trois doigts pour lui détendre le fion. Quand elle la juge prête, elle se positionne et enfonce doucement le gode dans l’anus de Julie. Celle-ci me regarde, ses yeux sont doux, elle me sourit en sentant ce gode la pénétrer.–Tu n’as pas soif ?–Ho que oui, je m’occupe de ta source.Je me glisse sous elle, et me redresse pour pouvoir lui happer son sexe ruisselant de cyprine. Je le suce, l’aspire, y enfonce ma langue et lui titille autant que je peux le clitoris. Ce traitement, conjugué avec la sodomie de maman la fait partir assez vite dans un énorme orgasme. Elle s’écroule sur moi, le cul toujours en l’air, que maman continu de pistonner en lui tenant les hanches. Au bout d’un moment, tout le monde se calme et nous nous retrouvons tous les uns à côté des autres, allongés sur le lit. Julie se tourne vers moi, une cuise sur mes jambes, une main sur mon épaule.–Je t’aime mon chéri, je t’aime.
–Moi aussi, je t’aime ma Julie chérie.–Et moi ?–On t’aime aussi maman, on t’aime.–Je comprends que ça ne puisse pas être la même chose mes chéris, mais moi aussi je vous aime.Nous restons là, tous enlacés, sans un mot pendant un bon moment jusqu’à ce que Julie se lève.–Je vais me tremper, j’ai besoin de me rafraîchir, qui m’aime me suive.Nous la suivons dans la piscine ou nous restons à batifoler plus d’une heure. Il est temps de manger et maman s’occupe de tout préparer. Je reste avec Julie qui m’enserre de ses bras.–Je t’aime Jules, j’ai envie de passer ma vie avec toi.–Julie, tu ne crois pas que tu vas un peu vite.–Non, je t’aime frérot et je ne vois pas comment je peux vivre sans toi.–Si tu veux vivre avec moi, ce ne pourra pas être ici, tout le monde nous connait et il faudra arrêter de m’appeler frérot.–Ok Jules, plus de frérot, mais penses à ce que je viens de te dire, je t’aime, tu es ma vie, mon avenir, je ne peux pas me passer de toi.–Moi aussi ma chérie, je t’aime, mais je ne vois pas comment on va pouvoir faire pour vivre ensemble si on est frère et sœur.–Comme tu viens de le dire, ailleurs.–Ça me fait peur.–Moi aussi, allez, laissons le temps faire son œuvre, fais-moi l’amour, là, dans l’eau.Elle se serre encore un peu plus contre moi et me plaque contre la paroi de la piscine. Je bande après tout ce qu’on a fait et elle a vite fait de se planter sur mon braquemard. Je me débrouille pour nous faire pivoter et la plaquer contre la paroi. Je le pistonne de toute mon énergie, elle prend possession de mes lèvres et nous échangeons un baiser passionné pendant que mon sexe lui laboure le sien. Je la sens se tendre de plus en plus, son corps vibre, elle tremble, son baiser devient plus passionné, elle me plaque la tête contre elle et tout à coup se raidi et jouit intensément, en silence, concentrée sur elle-même, tout son corps vibre, son sexe se resserre sur le mien et je me vide en elle, secoué par un violent tremblement.Nos corps se détendent doucement, je la regarde, elle me sourit de son sourire plein d’amour, ses yeux me disent son bonheur d’avoir partagé ce moment avec moi.–Comme je t’aime mon amour.–Moi aussi je t’aime ma chérie, et moi aussi je ne peux envisager la vie sans toi.–Sortons chéri, il est temps d’aller rejoindre maman pour manger.Nous sortons de la piscine et allons rejoindre maman dans la pièce pour manger. Après le repas, maman veut se reposer et va seule dans sa chambre.–A tout à l’heure mes chéris, mais il faut que je me repose, je vais dormir une petite heure. Amusez-vous bien, mais faites attention, l’amour fatigue.Elle se dirige vers sa chambre en riant et nous allons dans la mienne. Julie s’allonge sur le dos et me tend ses bras. Je me couche sur elle pour déposer un baiser sur ses lèvres. Elle me caresse le dos et les fesses.–J’aime bien me faire sodomiser, mais je préfère quand même une bonne bite dans mon petit minou, surtout quand c’est la tienne.–Ok, mais d’un autre côté, tu ne connais que celle-là.–Oui, et je ne veux pas en connaitre d’autres, qu’est ce qu’on fait, l’amour ou on dort un peu.–On dort, nous venons de faire l’amour il y a à peine une demi-heure et je suis un peu fatigué, je présume que toi aussi.–Oui, ok, on dort, récupère bien pour tout à l’heure mon chéri, j’ai encore envie de toi.Je m’allonge à côté d’elle en nous nous endormons collés l’un contre l’autre.
Je suis réveillé par une sensation de mouvement. C’est maman qui a sa tête entre les cuisses de Julie et qui lui bouffe le minou. Julie ondule du bassin et donne un mouvement au matelas. Elle se pince les tétons les yeux fermés. Je ne peux m’empêcher de déposer un baiser sur ses lèvres. Elle ouvre les yeux, pose une main derrière ma tête et nous échangeons un baiser voluptueux. Une de mes mains lui caresse la poitrine et descend doucement vers son ventre. Je lui titille le nombril, ce qui déclenche sa jouissance. Elle se cabre sur le lit, maman est obligée de lui saisir les hanches pour rester plaquée contre son sexe. Sa langue s’accélère dans ma bouche, elle jouit en silence une nouvelle foi, les yeux fermés, le souffle court, le corps totalement dédié à son plaisir. Petit à petit elle reprend le cours de sa vie, se détend et se laisse aller sur le lit. Maman se redresse et vient poser ses lèvres sur les miennes, je l’embrasse dans l’odeur de Julie et ça me fait bander. Je me rends compte que je suis de plus en plus accroc à ma sœur, je ne pense qu’à elle tout le temps, je ne vois qu’elle, je ne peux plus imaginer le futur sans elle, et de simplement sentir son odeur sur les lèvres de ma mère me font bander comme un âne. Maintenant je suis sûr que je vais passer le reste de ma vie avec elle, maman m’attire aussi, mais c’est moins fort, c’est moins dans mes tripes, beaucoup plus physique, j’aime son corps, ses seins, ses fesses, sa chatte, son cul, mais ce n’est pas la même échelle. Julie, c’est ma vie, mon futur. Je me redresse.–Je pense qu’il faudrait quand même qu’on fasse autre chose que l’amour ensemble, moi ça me fatigue, j’ai beau avoir dormi un peu, je ne suis pas très vaillant.–Tu as raison mon chérie, je vous emmène faire une petite ballade, allons vers l’étang, ça te va Julie.–Moi, je suis en forme mais je vous suis volontiers.Maman prépare un grand sac avec de quoi boire e grignoter un peu. Nous prenons la voiture et une petite demi-heure plus tard, nous sommes installés sur une couverture au bord d’un étang en maillot de bain. Je suis entre mes deux femmes, le soleil me chauffe doucement la peau, je suis bien et je fini par m’endormir. Je me réveille une bonne heure plus tard, la peau un peu rougi, mais surtout, je suis seul. Je regarder autour de moi, rien, personne dans l’eau, personne aux alentours. Je me doute de quelque chose et me dirige vers un petit chemin menant à une forêt. Je remonte un peu dans la forêt lorsque je remarque des traces de pas qui s’enfonce vers un bosquet. Quand j’arrive tout près, je vois Julie à quatre pattes, maman derrière elle, équipée d’un gode ceinture, qui s’active sur sa rondelle. Julie a les mains posées sur le tronc d’un arbre et maman donne de violents coups de reins, amples et rapides. Je m’approche d’elles, me positionne derrière maman, je commence à bander sérieusement et je libère ma bite. Je veux écarter la partie arrière de la ceinture, mais, en fait, maman a pris le double gode intérieur, son sexe comme son anus sont occupés par un gode.–Et oui chéri, je suis prise, mais tu peux t’occuper du petit minou de ta sœur.Julie réalise que je suis là et me fait un grand sourire. –Viens mon chéri, viens me faire exploser de plaisir avec ta langue. Continu maman, j’aime, j’en veux encore.Je me couche sous Julie, et réussi à me positionner suffisamment confortablement pour pouvoir lui titiller le clitoris. La vue de ce gode qui va et vient dans les entrailles de ma sœur m’excite au plus haut point, mon sexe est de plus en plus dur et commence à me faire mal.
Tout à coup, maman se redresse, elle tremble, elle se cramponne aux hanches de Julie.–Oui, je jouis, je jouis, mon dieu que c’est bon, HHHHHAAAAA.Elle libère Julie qui n’a pas encore jouit, celle-ci se penche vers moi, me fait mettre sur le dos, m’enjambe en me faisant face et viens s’assoir sur ma bite qui s’engouffre sans hésitation dans son fion bien assoupli par le gode.–Ta bite, ta bite, il n’y a que ça de vrai, fais-moi jouir mon amour, fais-moi jouir.Elle monte et descend sur mon membre, s’en libère pour s’empaler de plus belle immédiatement après. –Oui, oui, je vais jouir sur ta bite, viens, viens, je jouis, je jouis, ça y est, ouiiiiiiii.Je ne peux me retenir plus et me vide en de longs jets de sperme.–Oui, oui, jouis mon amour, jouis en moi, je t’aime, je t’aime.Nous finissons par nous calmer et Julie se laisse aller sur moi. Nos bouches se soudent en un long baiser, elle pose sa tête sur mon épaule.–Je suis tellement bien chéri, je t’aime tant.–Moi aussi je t’aime chérie, je t’aime.Maman est assise à côté de nous, son regard a changé, elle pose sur nous de yeux nouveaux, plus tendres encore si c’est possible.–Mes chéris, vous vous aimez comme j’ai rarement vu deux personnes s’aimer, mais votre vie va être un cauchemar si vous restez ici, vous ne pourrez pas vivre la vie que vous voulez. Il faut songer à quitter la région et vous installer ailleurs en vous faisant passer pour mari et femme.–Oui, mais toi la dedans ?–Moi, je viendrais vous voir de temps en temps, je suis obligé de rester pour Julien.–Il ne peut pas vivre avec papa ?–Mes chéris, je vois bien comme vous vous aimez, je serais vite un obstacle pour vous. Je préfère vous voir de temps en temps et vraiment profiter du moment, même si il est trop court pour moi, et puis, j’ai mes copines, celles qu’on a rencontré hier, je compte bien les contacter bientôt.–Maman chérie, je t’aime et tu seras toujours la bienvenue.–A condition que ce soit suffisamment espacé, n’est-ce pas mes chéris ?–Je crois que tu as raison.–Bien sûr que j’ai raison ma chérie. Allez, on rentre, il se fait tard et j’ai envie de me baigner dans la piscine, elle est quand même plus chaude que cet étang.Nous rentrons à la ferme et allons piquer une tête dans l’eau tiède de la piscine. Nous y restons un bon moment, jusqu’à ce que Julie décide d’aller préparer à manger.–Soyez sages, je vais faire à manger.–Ne t’en fais pas ma chérie, je m’occupe de ton frère.Maman se retourne vers moi.–A nous deux mon chéri, j’ai envie de sentir un sexe dans mon sexe, et en particulier le tien, là, dans l’eau.Elle plonge sa main sous l’eau pour venir tâter ma bite qui est un peu molle. Elle a vite fait de la faire redresser. Elle me pousse vers les marches d’accès, me fait asseoir sur la première marche, j’ai de l’eau jusqu’au cou. Elle me tourne le dos et s’assoie sur moi, sa main guide ma bite dans son fourreau humide et accueillant. Je ne peux pas bouger, mais c’est elle qui s’occupe de monter et descendre sur mon vit. Son mouvement est lent et ample, elle ne veut pas jouir tout de suite, elle veut profiter du moment, sentir ce sexe dans son sexe, sentir la peau de cet homme contre sa peau, ses mains pétrir ses seins. Elle se laisse aller à son plaisir, elle laisse ces sensations envahir son corps, ces frissons parcourir son épiderme, ces tremblements la faire vibrer. Petit à petit, elle se tend vers son plaisir, son corps se raffermi, ses bras se raidissent, ses jambes se resserrent et son sexe palpite, elle jouit dans un grand cri.–HHHHHAAAAAJe reste assis en me vidant en elle. Elle retombe sur moi doucement, se laisse aller en arrière et je la serre dans mes bras.–Merci mon chéri, merci pour ce bonheur.–Je t’aime maman, je t’aime.Je pose un baiser sur son cou, ce qui la fait frissonner.–Allons rejoindre ta sœur, elle a dû finir de préparer.Nous sortons de la piscine et allons rejoindre Julie que nous trouvons assise sur le divan, les jambes ouvertes entrain de se masturber juste au moment où elle jouit. Elle nous regarde en souriant.–Je vous avais demandé d’être sage.–Tu sais bien qu’il m’est impossible de résister à une si belle bite.–Elle n’est pas si grosse que ça.–Quand même, elle est pas mal, et en plus elle est bien raide, elle te perfore jusqu’au tréfonds de ton antre.–C’est vrai, allez, à table.Nous nous installons et mangeons de bon appétit.
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