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Mes chers frères

Chapitre 1

Inceste
La raison qui me pousse un peu à raconter mon histoire, c’est je me rends compte que je ne suis pas la seule à avoir connu l’inceste consenti, et surtout que j’en pense encore, comme un manque.Je suis une métissée d’une île tropicale. J’ai 21 ans, pas très grande, le teint café au lait avec de longs cheveux noirs frisés, et des yeux gris-vert. Je suis très jolie à ce que me dise tout le monde. Je fais attention à ma silhouette, un peu de rondeurs là où il faut, bien que la nature m’a offert une généreuse poitrine de 95 b, et des hanches superbement accentuées. Mes jolies courbes attirent sans cesse les regards des hommes dans la rue, surtout quand je m’habille un peu moulant, que ce soit ma poitrine ou bien mes hanches.
J’ai connu les plaisirs d’un rapport sexuel à l’âge de 18 ans, l’âge légal que mes parents avaient fixé et ordonné de respecter à mes deux frères, Yann de deux ans mon aîné, Dylan de 1 an de moins que moi, et surtout à moi leur seule fille. Nos parents travaillaient beaucoup dans leur entreprise commune, partaient tôt le matin pour rentrer tard le soir, donc une nounou venait nous préparer pour l’école et nous gardait jusqu’au retour des parents. Yann avait le devoir de veiller sur Dylan et moi en l’absence de la nounou. Quand Yann eu ses 18 ans, les parents décidèrent qu’il était assez grand pour s’occuper des enfants, comme ils le disaient, et faisaient appel à la nounou qu’en cas de nécessité. Je préférais garder la nounou, parce qu’avec Yann, c’était toujours:
— Tu ne mets pas ce vêtement, trop court !... Ça non plus, trop clair !... Encore moins celui-là, trop décolleté!...
Yann avait toujours quelque chose à dire de mal sur mes habits, même sur les vêtements que je portais à la maison. Il n’avait sans doute pas entièrement tort, mais il prenait un peu trop au sérieux son rôle de gardien. On se chamaillait très souvent, et auprès des parents, Yann avait toujours raison en ce qui concernait mes tenues pour l’école, mais à la maison je pouvais m’habiller un peu plus décontracté. Les garçons avaient entièrement le droit de sortir librement dans la rue, contrairement à moi, je devais toujours signaler à l’avance, là où j’allais, avec qui j’étais, et à quelle heure je rentrais. J’avais un petit copain mais je me contentais de le voir tous les jours au lycée.Le jour de mes 18 ans, je fus enfin libérée de toute interdiction vestimentaire, et ce fut à moi de veiller sur la maison parce que Yann faisait une petite formation professionnelle pour travailler avec les parents. Yann rentrait à la maison dans l’après-midi même, juste pour prendre une douche et repartir tout de suite voir sa copine. Dylan n’était jamais à la maison après l’école, il était toujours avec ses potes sur les terrains de jeux, et il rentrait presque qu’en même temps que Yann, juste à la tombée de la nuit. J’avais toute la maison rien que pour moi, surtout quelques journées entières que je n’avais pas cours à la fac. Je profitais de cette liberté de me retrouver seule à la maison pour m’amuser un peu. J’avais bien deux heures à deux heures 30 devant moi pour faire tout ce que je voulais. Je filais à la salle de bain pour me laver tout en me déshabillant en marchant entièrement nue dans la maison. Je ne prenais même pas la peine de tirer la porte de la salle de bain en me lavant. Cette situation me plaisait et même m’excitait.
Je me caressais sous le jet d’eau, une main massait mes seins et l’autre jouait avec mon sexe tout en titillant délicatement mon clitoris. Plus je me touchais, et plus je m’excitais. Cette situation que quelqu’un pourrait me surprendre entièrement nue m’excitait énormément. Mon plaisir montait très vite, et je laissais échapper des petits cris résonnants jusqu’au grand couloir des chambres tout en libérant mon orgasme. Plus les jours passaient, plus je me promenais nue dans toute la maison, et plus je me masturbais.
Effectivement, un matin que je n’avais pas cours, je me réveille tranquillement à neuf heures. Je devais sortir, et comme par habitude que personne n’était censé se trouver à la maison, je commence à me déshabiller dans ma chambre en me débarrassant de mon tee-shirt et je terminais d’enlever ma culotte dans le grand couloir. Je me promenais entièrement nue me dirigeant à la salle de bain, puis je commençais à me laver. Soudain, j’entendis comme un bruit pas très loin. Je n’avais pas eu le temps de mieux comprendre, que j’apercevais déjà une silhouette devant la porte grande ouverte. Rapidement, je cherchais en vain d’attraper le rideau de douche enroulé et coincé au-dessus de la barre, alors j’essayais de cacher ma nudité avec mes mains et mes bras, tout en comprenant que c’était Yann. Aussitôt j’exclamais:
— Oh !... Que fais-tu là?
Yann était comme paralysé, il me regardait avec de grands yeux interrogateurs, et à la fois dévoreurs, sans prononcer un seul mot. Il jouait avec sa bouche en se mordant les lèvres comme s’il avait devant lui un plat très appétissant. Je ne voulais pas bouger pour ne pas dévoiler encore plus ma nudité, mais j’avais compris que Yann ne bougerait pas lui non plus pour ne pas perdre une miette de ce spectacle. Je décidais donc d’avancer vers la porte en enjambant le rebord de la baignoire. Maladroitement, je perdis équilibre, et j’étais obligée de libérer mes mains pour m’accrocher au garde-corps d’une main, et du lavabo de l’autre. Yann avait eu un petit réflexe comme s’il voulait me rattraper si je chutais, mais je m’étais déjà bien vite rattrapée. Il profitait encore de ce moment pour me reluquer entièrement nue, les courbes de mon corps, mais surtout mes seins volumineux pour mon âge et qui se balançaient sous ses yeux, et mon pubis entièrement épilé. Enfin, Yann referma lui-même la porte et j’entendais ses pas s’éloigner.
Cette situation m’était vraiment très embarrassante. Ça n’avait duré que deux ou trois minutes, mais ça m’avait paru durer des heures. Toute tremblante, comme je n’avais pas pris mes habits, j’avais enroulé une serviette autour de corps et je regagnais ma chambre sur la pointe des pieds. Je continuais de trembler tout en m’habillant. Je me trouvais en faute et j’avais très peur que ce fait arrive aux oreilles des parents. Je cherchais une excuse et les mots pour m’expliquer auprès de Yann. Le temps paraissait s’accélérer, mais je devais faire vite pour ne pas rater mon rendez-vous, et je ne pouvais pas sortir tranquillement avec ce petit problème en tête.Je quittais ma chambre et je me dirigeais vers la chambre de Yann qui se trouvait juste à côté de la mienne. Je tremblais encore plus fort. Puis, je posais ma main sur la poignée de la porte et l’ouvris d’un coup sans même frapper pour prévenir mon entrée. Très surprise du spectacle à mon tour, je vois Yann sur son lit en face de la porte, entièrement nu, un gros bâton couleur chaire dans une main et entre ses jambes entrouvertes, et un petit tissu rose clair dans l’autre main portée à son visage. Yann avait les yeux clos et avait l’air de sniffer ce petit bout de tissu. Très vite et délicatement, je refermais soigneusement la porte, et m’éloignais sur la pointe des pieds en direction du rez-de-chaussée pour sortir au plus vite de la maison.
Tout en marchant dans la rue et prenant le bus pour rejoindre mon petit copain que personne ne savait que je devais le voir ce jour-là, je repensais sans cesse à cette image de mon frère entièrement nu sur son lit. J’étais moins gênée de lui avoir donné l’occasion de me voir dans toute ma nudité parce que je l’avais vu nu moi aussi. Mais il m’avait offerte plus que sa nudité. Ce gros bâton qu’il tenait dans sa main qui allait et venait dessus, était sans aucun doute son pénis. C’était bien la première fois que j’avais sous les yeux un vrai sexe d’homme, et de plus en érection. Je me mettais à m’imaginer un tel pénis aussi gros dans mon vagin. Plus j’y pensais plus j’en avais envie, je me sentais enfin prête à franchir le pas d’avoir un rapport sexuel.
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