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Mes chers frères

Chapitre 2

Inceste
Je retrouvai enfin mon copain, Charles, pour une petite journée en amoureux. Je portais une petite robe rouge à manche courte, qui m’arrivait à mi cuisses, et qui se fermait par des boutons noirs sur le devant. Charles m’invita à prendre une glace et comme par habitude nous nous installions dans un parc pour discuter. Je n’arrivais pas à vraiment me concentrer sur ses paroles, tellement j’étais encore tourmentée par ce beau spectacle que m’avait offert Yann à peine 30 minutes plus tôt. Soudain, cette image du petit tissu dans sa main me rappela enfin quelque chose. J’étais très surprise de découvrir que ce tissu ressemblait énormément à une petite culotte de femme, et que sa couleur était exactement de celle j’avais ôtée le matin même en marchant dans le couloir pour me diriger vers la salle de bain. Donc Yann se masturbait en sniffant la petite culotte que j’avais portée toute la nuit, et en plus je m’étais soulagée dedans avant de dormir.
Comment avait-il fait pour avoir cette culotte en sa possession ? Trop de questions trottaient dans ma tête, et une forte chaleur montait le long de mon corps, même ma glace fondait toute seule jusqu’à couler sur ma main puis s’égoutter sur mes cuisses.
Le liquide glacé me réveilla tout à coup, et rapidement je m’essuyai avec la petite serviette en papier. Charles me regarda discrètement et n’en perdit pas une miette. Il admirera ma main se promener entre mes cuisses entrouvertes (c’est le seul endroit que je lui avais toujours interdit de toucher), puis il me dit:
— Euh !... Ça va ?
J’étais très gênée, je rougis comme une gamine tout en bégayant:
— Euh !... Oui... ça va.
Je terminais vite fait ma glace, puis je rajoutai:
— Emmène-moi ailleurs... J’ai besoin d’air frais.
Mes jambes tremblaient en marchant, et j’avais l’impression de sentir mes lèvres vaginales anormalement gonflées se frotter l’une contre l’autre à chacun de mes pas. Cette sensation, bien que gênante, m’excitait davantage. Nous avions marché un bon quart d’heure longeant le parc. L’air était nettement plus frais sous les arbres, et l’herbe plus verte et plus haute limitait le parc et prouvait que personne ne s’aventurait à cet endroit. Il y avait une petite vue sur la mer, elle aussi était jolie à voir. Je décidai de franchir les hautes herbes en entraînant Charles derrière un gros arbre. Je m’installai tranquillement sur l’herbe en remontant un peu ma robe pour m’accroupir, et je la laissai monter encore plus en haut de mes cuisses tout en m’allongeant sur le dos. Charles sembla hésiter un peu en voyant mes jambes presque entièrement dénudées mais mon sourire était suffisamment convaincant.
Il s’installa tout doucement près de moi et m’embrassa très tendrement sur les lèvres.
Je m’agrippai à son cou et j’enfonçai ma langue dans sa bouche pour l’encourager à faire de même. Sa main se posa sur ma poitrine et massa doucement mes seins par dessus le tissu de ma robe. Je le tirai par la ceinture pour lui faire comprendre de s’allonger sur moi.
Dans cette position tous les deux, je n’osai jamais écarter mes jambes pour ne pas lui donner de fausses idées. Il avait toujours aimé toucher mes seins, j’acceptai qu’il les touche par-dessus mon vêtement, mais je refusai toujours qu’il glisse ses mains dans mon soutien-gorge. Mais à ce moment j’étais prête à tout. J’ouvris suffisamment mes jambes pour que Charles se retrouve entre mes cuisses, et pendant qu’il continuait de m’embrasser, je déboutonnai le haut de ma robe. Charles s’était redressé lentement pour vérifier de ses yeux ma robe ouverte qui lui offrait la vue sur les deux globes de mon soutien-gorge de couleur noir à dentelles. Il enfonça directement sa tête entre les deux globes, et s’appuyant sur ses coudes, il amena ses mains sur ma poitrine. Je sentis ses mains tirer mon soutien-gorge vers mon ventre, et qu’une de mes pointes était déjà aspirée par sa bouche. Charles téta mes seins un à un me procurant des frissons énormes à chaque fois, et je ne pus me retenir de gémir à haute voix tellement mes pointes, toujours aussi sensibles, me faisaient vibrer de plaisir. Dans mon excitation, je levai mes genoux pour écarter davantage mes cuisses que je frottai énergiquement sur les hanches de Charles qui comprenait mon état.
Je sentis une main toucher mon sexe par-dessus ma culotte que je devinai bien trempée de mon jus.
Cette même main se retrouva bien vite sous le fin tissu pour masser plus directement mes lèvres intimes, gonflées de désir. J’osais, et je me permis de dégrafer sa ceinture pour l’encourager encore plus dans son action. Charles se releva et s’agenouilla entre mes cuisses. Ses mains tirèrent sur ma culotte pour l’enlever. Mon cœur s’accéléra et battit très fort, je préférai fermer les yeux comme pour ne pas voir la nudité de mon sexe dans ses yeux. Charles se replaça sur moi, je sentis de nouveau le poids de son corps sur le mien. Il m’embrassa langoureusement, sa main sur mon sein roula ma pointe tout comme j’aime, et son autre main entre mes jambes guida son pénis vers mon vagin. Je fus soudain comme projetée dans un autre monde quand je sentis enfin mon sexe s’ouvrir. Ce fût très dérangeant mais encore plus agréable. Mon sexe eut comme l’air de vouloir absolument aspirer cette chose qui lui était sans aucun doute destinée.
Mon sexe s’ouvrit de plus en plus, et je commençai à avoir un peu mal.
Juste au moment où j’intervins pour calmer Charles, j’eus juste le temps de prononcer son prénom et je sentis un truc s’introduire, plus que je ne l’aurais imaginé, d’un seul coup dans mon vagin. Cette sensation m’inquiéta tout à coup, mais bien qu’étant vraiment très agréable, je laissai échapper un cri de surprise. Charles n’eut pas trop l’air de s’inquiéter pour moi, comme j’avais refermé les yeux, il alla et vint tranquillement entre mes cuisses en m’enfonçant tout ce qu’il avait. Je devinai que c’était bien son pénis qui bougeait ainsi dans mon vagin. J’aimais ce frottement à l’intérieur de mon sexe, cela avait l’air magique, c’était réellement bon. Charles découvrit lui aussi son premier rapport sexuel. Je l’entendis gémir de plus en plus fort et plus vite, au rythme de ses va-et-vient. Je gémis aussi fort que lui tellement ce qu’il me faisait était bon. Puis, d’un coup il s’arrêta de bouger en me serrant très fort dans ses bras. Il jouit déjà.
Je n’étais pas loin de jouir moi non-plus, mais ce n’était pas bien grave.
Charles enleva sa chemise pour me donner le tee-shirt qu’il avait en dessous. Je dus me nettoyer. Ce fus encore plus bizarre, presque dégoûtant de voir ce filet de sang et tout ce sperme s’écouler de mon vagin. Mon sexe était chaud et mes lèvres intimes avaient l’air d’être un peu ramollies.
Charles et moi reprîmes le chemin du retour. Il fut tout joyeux, et moi je me sentis un peu plus femme.
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