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Mes chers frères

Chapitre 4

Inceste
Tout doucement, je me réveillais, mais sentir l’air frais sur mon corps me fit soudain ouvrir les yeux un peu plus rapidement. J’étais bien surprise de me retrouver entièrement nue sur mon lit, pourtant je ne faisais jamais cela à la maison, et heureusement, la porte de ma chambre était fermée.
Je sursautai en enroulant vite mon drap autour de ma nudité et je me précipitai pour me lever. Comme par révélation, un liquide chaud s’écoula de mon entrejambe. D’un geste automatique, je plongeai ma main entre mes cuisses pour vérifier. Cette substance un peu blanchâtre, épaisse, et collante sur le bout de mes doigts, me rappela à la réalité. Je n’avais pas rêvé et je me souvenais enfin de tout ce qu’il venait de se passer avec mon frère. Mon cœur s’emballait trop vite, je ne savais plus quoi faire, ou comment faire pour me sortir de là. J’étais complètement abattue. Je ne trouvais même plus la force ni le courage de quitter ma chambre pour me laver. Je me contentai juste de me nettoyer avec mon drap souillé de ce rapport incestueux, et d’enfiler un tee-shirt pyjama et une culotte pour de nouveau me remettre au lit.
Quelques instants plus tard, Yann vint frapper à ma porte. Je ne pouvais lui répondre oralement tellement ma gorge était serrée et même bloquée. Après deux autres petits coups à ma porte, je me décidai de lui ouvrir pour connaître la raison de son acharnement. Timidement, je lui présentai juste un œil dans l’ouverture. Yann semblait très inquiet pour moi, et il me demanda très gentiment:
— Petite sœur, il faut manger un peu. Tu veux que je t’apporte le déjeuner dans ta chambre ?
Je tremblais comme une gamine qui avait fait des bêtises, et je n’arrivais toujours pas à prononcer un seul mot, alors je lui fis un signe que non de la tête. Puis Yann rajouta:
— Tu descends pour manger alors ?
Encore un signe de la tête, je lui répondis oui, et je refermai la porte.Comme une petite sœur, je me préparais pour descendre, obéissante. Je m’arrangeais un peu en me passant mes mains dans ma grande chevelure et essayant de défroisser un peu mon pyjama en tirant sur le tissu.
Toujours aussi tremblante, je retrouvai Yann dans la grande cuisine. Je n’osais pas vraiment croiser son regard, mais curieusement, il avait déjà tout installé sur la table à manger, et à ma grande surprise, même une petite rose rouge du jardin était magnifiquement plongée dans un petit verre d’eau juste devant mon assiette. Bien que n’ayant jamais été vraiment méchant avec moi, sauf son caractère très strict qu’il avait hérité des parents, cette attitude si gentille et d’être au petit soin à mon égard me dérangeait un peu. J’avais même peur que ce garçon en face de moi n’était pas mon frère. Mais j’étais si contente d’être ainsi si choyée que je ne pouvais que lever mes yeux mouillés de bonheur pour le regarder même timidement et le remercier. Je lui dis juste en bafouillant:
— Merci.
Yann me répondit simplement par un gentil sourire et nous avions tranquillement déjeuné sans même nous parler, mais juste des petits regards très timides qu’on s’échangeait de temps en temps.Je n’avais plus vraiment honte, ni peur. Je restais gênée, mais cette fois-ci, par sa présence qui me faisait trop penser à son gros pénis qui m’avait pénétrée il y a à peine deux heures. Le comble était que je me rappelai soudain de ne pas avoir encore fait même un brin de toilette, et que je portais encore toutes ses traces sur mon corps et dans mon intimité. Cette situation d’être ainsi encore souillée devant lui me faisait drôlement frissonner, et semblait même beaucoup m’exciter malgré moi. Je terminai donc rapidement mon assiette pour enfin me rendre à la salle de bain.
Tout en me douchant, je me masturbais tellement j’étais de nouveau excitée. J’enfonçais complètement un doigt dans mon vagin, puis deux, enfin trois que j’avais un peu de mal, car mes doigts ne pouvaient remplacer le gros pénis de Yann, mais je finissais quand même par avoir un bel orgasme en m’imaginant le recevoir encore.
Je me disais que j’étais bien folle de penser le refaire avec mon propre frère, et je concluais que ce serait bien dommage de ne pas en profiter, mais je me contentais de me soulager en me masturbant presque chaque nuit dans mon lit avant de dormir. Je me permettais même de repenser à cette petite aventure quand je faisais l’amour avec mon copain Charles.

L’année passait bien vite. J’avais eu mon diplôme avec mention et j’entamais ma deuxième année en comptabilité à la fac. Mes parents s’investissaient de plus en plus dans leur entreprise qui subissait la période de crise économique, et Yann étant dans l’entreprise familiale, subissait aussi le même sort de travail acharné. Il ne restait que mon petit frère Dylan et moi à la maison après les cours.
Comme il faisait vraiment très chaud en période d’été, je me prélassais souvent au bord de la piscine, et de temps en temps, je faisais quelques brasses. Je m’étais procuré un nouveau maillot de bain à deux-pièces, un tout petit bikini pour pouvoir bronzer plus facilement en l’absence des parents qui auraient refusé ce genre de maillot. Je ne me faisais pas trop de soucis pour Dylan vu qu’il était toujours avec ses potes sur les terrains de sport et qu’il rentrait plus tard qu’avant à la maison parce qu’il était devenu majeur.
Mais depuis quelques jours, Dylan rentrait beaucoup plus tôt, et par hasard, à chaque fois que je portais ce bikini. Lui qui n’aimait pas trop l’eau de la piscine pour son chlore, je le trouvais bien heureux à faire quelques brasses à mes côtés. De temps en temps, il nous arrivait d’amuser un peu en nous envoyant de l’eau l’un sur l’autre, et même de se sauter dessus comme pour essayer de noyer l’autre. Bizarrement, plus les jours passaient et plus je remarquais les mains de Dylan devenir de plus en plus baladeuses sur les courbes de mon corps. Ce petit jeu me plaisait quand même, alors, je continuais de me faire plaisir tout en lui faisant plaisir. Jusqu’au jour où Dylan m’avait carrément pris un sein et le palper pour de vrai. Son audace m’avait drôlement surprise, et je me sentis tout à coup attirante et désirable dans ses yeux qui brillaient de fierté de m’avoir ainsi touchée. Au lieu de calmer ses ardeurs, je lui sautai encore une fois dessus.
Je savais que Dylan avait beaucoup plus de force que moi et qu’il prendrait encore une fois le dessus, mais je voulais savoir jusqu’où il irait.
Dylan m’immobilisa direct en se plaçant contre mon dos et m’encerclant de ses bras. Je faisais un peu semblant de me débattre tout en pinçant un peu fort ses bras pour paraître plus vraie ma tentative de libération. Je ne pensais pas que Dylan aurait été aussi loin dans ses désirs. Sans que je m’y attende, il avait déjà ses mains sur mes seins et les palpait énergiquement. Je finissais par le pincer encore plus fort et pour de bon, mais ça ne l’arrêtait pas pour autant. Bien au contraire, il profita que mes tétons bien dressés par l’eau froide étaient sortis des pans du maillot pour les attraper entre ses doigts et les pincer aussi fort que moi. Je ne pouvais m’empêcher de crier de surprise, mais surtout de douleurs. Je stoppai aussitôt mes pincements et calmai mes débattements pendant qu’un long et gros frisson s’empara de tout mon corps. Je me sentais prise au piège. Dylan diminua lui aussi la pression de ses doigts, mais ne semblait pas vouloir me libérer.
Il tenait toujours fermement mes tétons entre ses doigts, et les roulait vivement.
Dylan savait très bien ce qu’il faisait, et il comprenait enfin ce que cela me procurait. J’essayais de me contrôler, mais en vain, je gémissais presque ouvertement sous sa douce torture. Je décidai de me laisser glisser tranquillement entre ses bras jusqu’à plonger ma tête sous l’eau. Dylan me releva aussitôt en libérant mes seins et m’aida à regagner le bord de la piscine pendant que je faisais semblant d’avoir bu la tasse.
J’étais enfin libre, mais drôlement excitée. Je m’essuyai juste un peu en prenant la direction du séjour. Dylan était resté dans l’eau, mais je savais qu’il me suivait du regard. Une fois à l’intérieur de la maison mais toujours visible de dos, je stoppai mes pas pour dégrafer le haut de mon maillot, et de l’enlever complètement. J’en fis de même avec le bas, et je retournai un instant ma tête en direction de Dylan qui n’avait rien raté du spectacle. Il avait l’air tout ébahi et s’apprêtait à sortir de l’eau.
Tranquillement, j’étalai ma serviette sur le côté divan du grand canapé, et je m’allongeai par-dessus sur le dos en fermant mes yeux. J’entendais les pas de Dylan qui s’approchaient assez rapidement. Mon cœur s’affolait, je pensais même tout arrêter, mais il était un peu trop tard, je remarquais déjà la présence de Dylan à la porte par l’ombre sur mes paupières. Je m’agrippai discrètement à ma serviette dépassant de chaque côté de mon corps. Je ne pouvais pas savoir avec exactitude ce que Dylan pensait de moi, mais je me sentais un peu mal dans ma peau, jusqu’au moment où ses mains se posèrent directement sur mes seins pour reprendre leur massage énergétique. Dylan me pelotait carrément les seins, et recommença à rouler mes tétons entre ses doigts tout en les pinçant légèrement, il savait à présent comment bien m’exciter. Quand il comprenait combien mon corps ondulait de plaisir, il reprenait un instant le massage de mes seins pour me laisser respirer un peu.
Une main descendait doucement sur mon ventre, puis continuait son chemin jusqu’à se glisser à mon entrejambe en me forçant à l’ouvrir un peu plus.
Ses doigts se promenaient fièrement sur mes lèvres intimes, puis dans mon sillon. Un doigt bien curieux me pénétrait déjà et bien évidemment, constatant ma mouille, la main de Dylan sur ma poitrine n’y était plus, mais je remarquais le claquement de l’élastique de son maillot qui s’enlevait maladroitement. Sa main libre ouvrait mes jambes de chaque côté du divan. Dylan se plaça entre mes cuisses, s’allongeant à moitié sur mon corps en se tenant sur le coude de son bras libre pour mieux avoir ma poitrine à la portée de son visage. Sa bouche enveloppa mon mamelon tour à tour et me tétait merveilleusement bien. Je reconnaissais fièrement la douceur de cette peau magnifiquement lisse étant gonflée de désir se présenter à l’entrée de mon vagin et forçant l’écartement de mes lèvres intimes. Cette sensation de me sentir m’ouvrir pour laisser passer ce bâton de chair me rendait vraiment folle d’excitation et de soulagement d’être habitée.
Je devais mouiller abondamment que son pénis presque qu’aussi gros que celui de son frère me pénétra assez facilement d’un seul trait quand il s’enfonça entièrement entre mes cuises.
Son sexe était plus court, mais largement suffisant pour remplir mon vagin qui me semblait un peu étroit. Dylan continuait de me téter à merveille un sein pendant que sa main qui avait caressé mon sexe se retrouvait sur mon autre sein pour le palper assez fortement. Je gémissais doucement et au rythme de son sexe qui me pénétrait fièrement. Dylan devinait parfaitement mon plaisir qu’il accélérait et accentuait ses mouvements entre mes cuisses. Il abandonna mes seins pour s’allonger de tout son corps sur le mien. Sa respiration s’accélérait en même temps que ses mouvements, et mes gémissements plus rapides et plus prononcés. Je m’agrippais pour de bon à ma serviette que je serrais de toutes mes forces entre mes doigts pour ne pas crier de bonheur. Cette magie de nos deux corps soudés l’un à l’autre par ce rapport incestueux nous transportait dans un monde de plaisir extrême. Dylan se releva et se tenant sur ses bras, il me cognait de plus en plus fort et plus profond.
Mes seins se balançaient dans tous les sens et au rythme de ses coups.
Mon plaisir montait de plus en plus que je sentais son pénis s’enfoncer d’un coup dans mon vagin, puis se retirer aussitôt entièrement, pour ensuite revenir encore plus fort et plus profond. Dylan s’écrasa d’un coup sur mon corps en me serrant de toutes ses forces. Il grognait intérieurement en embrassant mon cou et en mordant mon épaule. En même temps, je sentais son pénis donner des secousses dans mon vagin. Dylan jouissait déjà et se vidait sans retenue à l’intérieur de moi. Il se leva aussitôt entièrement vidé, et j’entendais ses pas s’éloigner au-dehors. Je n’avais pas eu le temps de jouir, mais j’étais très satisfaite de ce rapport. J’ouvris enfin les yeux. Je me levai à mon tour pour me rendre à la salle de bain et me laver.
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