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Mes chers frères

Chapitre 5

Inceste
J’ai beaucoup appris sur mes désirs sexuels qui me troublaient un peu, surtout les interdits qui avaient l’air de m’attirer particulièrement. Grâce à quelques recherches sur le Net, je me rendais compte que je n’étais pas la seule fille qui avait connu et aimé l’inceste avec un membre de sa propre famille, dont dans mon cas un inceste que j’avais provoqué avec mes deux frères.
En trois ans, j’ai eu trois rapports sexuels avec Yann le plus âgé, et deux fois avec Dylan, le plus jeune. Nous n’avions jamais osé en discuter, et mes frères ne m’ont jamais montré ou dit directement qu’ils en voulaient encore, ils attendaient tout simplement que je décide du moment.
Pour les appâter, je m’y prenais toujours de la même manière. J’avais énormément aimé de la façon que c’était arrivé la première fois que je m’étais offerte à Yann. Un petit scénario tout simple, mais très convaincant. Je laissais donc la porte de la salle de bain suffisamment entre-ouverte pour que l’élu du moment me remarque sous la douche. Il se fixait toujours au même endroit, dans l’angle du couloir des chambres qui mène au rez-de-chaussée, et donnant vue directement sur la douche. J’évitais de regarder dans sa direction, mais je pouvais nettement remarquer sa présence bien qu’il essayait de se cacher. Je me contentais de le laisser tranquillement me regarder me laver et lui offrir suffisamment de plaisir en promenant très lentement mes mains sur les courbes de mon corps. M’exhiber de la sorte m’excitait tellement que je me caressais réellement. Tantôt de dos en caressant mes fesses, et tantôt de face en caressant mes seins, mon ventre, et mon sexe.
Je quittais ensuite la salle de bain, juste recouverte d’une petite serviette que j’avais soigneusement choisie pour l’occasion, qui laissait apparaître le bas de mes fesses que j’ondulais fièrement en longeant le couloir pour gagner ma chambre.
Et enfin, le moment tant attendu, dont le signal, je laissais la porte de ma chambre ouverte. Je me débarrassai de ma serviette et je m’allongeai tranquillement sur mon lit entièrement nue. Bien évidemment, l’heureux élu se pointait sans tarder à ma porte. Je fermais donc les yeux en entendant la porte se refermer et écoutant ses pas s’approcher de mon lit. Tout mon corps frissonnait, d’inquiétude et beaucoup de plaisir de m’offrir ainsi.
Avec Yann, c’était toujours plus doux. Il prenait le temps de me caresser les seins tout en titillant suffisamment mes pointes pour me donner encore plus de plaisirs et d’énormes frissons. Ses mains que je trouvais admirablement très douces se promenaient délicatement sur tout mon corps, et terminaient leurs caresses entre mes cuisses. Je remarquais sa respiration devenir plus forte et plus rapide, me dévoilant son plaisir grandissant. Yann caressait mon sexe et constatait ma mouille abondante de son doigt qui s’introduisait déjà et si facilement dans mon vagin. Yann savait reconnaître le degré d’excitation d’une femme, et je l’étais, même beaucoup plus qu’il pouvait penser. Il ouvrait enfin mes jambes en montant sur le lit, et se placer soigneusement entre mes cuisses. Son pénis se présentait déjà à l’entrée de mon vagin et s’enfonçait peu à peu en moi. Mon sexe s’ouvrait fièrement pour l’accueillir.
Je pouvais sentir au moindre millimètre toute la longueur de son gros et grand pénis qui me pénétrait fièrement et entièrement, et qui se retirait de suite pour encore me remplir si merveilleusement.
Je gémissais doucement pour ne pas paraître gourmande, mais son gros bâton de chair qui me pénétrait de plus en plus vite et un peu plus fort me donnait tellement de plaisir que je mordais mes lèvres pour ne pas crier ma jouissance. Tellement c’était bon, Yann jouissait à son tour en s’affalant sur mon corps de tout son poids et en m’embrassant tendrement dans le cou. Une fois qu’il ait vidé toute sa semence en moi, il quitta ma chambre en silence.
Avec Dylan c’était bien différent. A peine à la porte de ma chambre qu’il constatait ma nudité et en position allongée sur mon lit, il se précipitait vers moi en se déshabillant et me sautait déjà dessus. Comme d’habitude, je fermais les yeux pour mieux me concentrer sur mon plaisir et éviter les regards qui pouvaient se croiser. Je sentais la chaleur de son corps entièrement nu sur le mien et qui se plaçait entre mes cuisses. C’était vraiment très excitant. Je pouvais m’imaginer ce que je voulais. Je me sentais brusquée, même violentée. Dylan était en érection maximum. Son pénis bien dur qu’il tenait dans sa main cherchait l’entrée de mon vagin heureusement bien humide de mon jus d’excitation. Son sexe me pénétra d’un trait et entièrement me faisant lâcher un petit cri de surprise, mais aussi de bonheur d’être ainsi prise, comme une vulgaire salope. Dylan se retira aussitôt, puis s’enfonça de nouveau, et de plus en plus fort et plus vite.
Je ne pouvais retenir mes gémissements tellement je ne pouvais tranquillement reprendre mon souffle, mais c’était aussi tellement bon.
Ses mains palpaient fortement mes seins pendant que sa bouche aspirait mes pointes dressées, durcies et bien trop sensibles. Ma respiration s’accélérait au rythme de ses coups de reins entre mes cuisses bien écartées pour le recevoir encore plus généreusement. Ce rapport sexuel nettement plus long que la première fois, Dylan me faisait enfin jouir magnifiquement. Je gémissais encore plus fort mon plaisir en m’agrippant de toutes mes forces au drap pendant que Dylan continuait ses assauts et montrait l’arrivée imminente de sa jouissance. Je le sentais enfin se vider en moi en grognant de plaisir. Il resta un moment immobile, son souffle chaud et bruyant dans mon cou, et son pénis toujours en moi qui palpitait de plus en plus doucement, puis il me libéra en quittant ma chambre encore tout essoufflé.
Ces actes avec mes frères n’étaient que sexuels, et les plaisirs que j’avais ressentis étaient tellement intenses que je frissonne encore en y repensant. Depuis un an que j’occupe un petit appartement que me louent mes parents pour continuer mes études dans une autre ville, je ne les ai plus provoqués, donc on n’a plus rien fait sexuellement même si je retourne à la maison familiale tous les week-ends. J’en profite en quelque sorte de me retrouver un peu seule toute la semaine pour réfléchir de mon comportement avec mes chers frères.
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