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Mes chers frères

Chapitre 6

Inceste
Bien du temps s’est écoulé, un an précisément, le temps que je m’étais un peu éloignée de la maison familiale pour continuer mes études et qu’en même temps, j’avais profité pour réfléchir sur mon comportement incestueux envers mes frères. Je m’inquiétais un peu pour eux, mais heureusement que cela ne bousculait pas mes études et cette année, je m’en sors encore avec des notes plus que sublimes que j’ai décroché ma licence en comptabilité avec mention très bien. Je suis très fière de moi, j’ai toujours aimé étudier, mais mes parents me demandant d’intégrer l’entreprise familiale en parallèle de mes études que je désirais poursuivre me chagrinaient un peu. Je ressentais comme une peur de ne pas pouvoir suffisamment les satisfaire. Ils sont tellement stricts sur l’éducation scolaire, que mes frères et moi avions toujours fait attention de ne pas les décevoir sur ce plan. Je les comprenais parfaitement, surtout que répétait très souvent notre mère d’un ton plus que très sérieux :
— Même si l’entreprise est familiale, faut vraiment le mériter ce bon poste. A vous de me montrer ce que vous valez.
Ma mère n’était pas aussi méchante que l’on pouvait prétendre, mais elle était vraiment très sérieuse dans son rôle de chef d’entreprise qu’elle partageait avec mon père nettement plus cool, que même sa propre famille était dirigée aussi sérieusement. Pour m’aider un peu à intégrer plus facilement cette fameuse entreprise, je profitais donc de ces nouvelles vacances scolaires que je me trouvais tous les jours à la maison pour enfin l’étudier en profondeur. Je savais tout juste que mon grand frère Yann travaillait avec mon père à la réception et ma mère s’occupait de la comptabilité, dont aussi mon poste à venir.
Je refusais de subir directement les droits et devoirs de ma mère, et je ne pouvais pas non plus m’entretenir avec mon père, me doutant de leur complicité absolue, alors il ne me restait que mon grand frère Yann pour me guider. Comme il rentrait tous les soirs un peu plus tard que mes parents parce qu’il faisait toujours un passage chez sa copine, un soir, je l’avais attendu pour discuter un peu. Je restai donc dans le salon profitant de la même occasion l’émission d’un film romantique, et comme je m’apprêtais pour dormir juste après la discussion, je ne portais qu’un simple tee-shirt pyjama un peu court, mais je m’étais soigneusement recouverte d’une petite couverture de laine. Yann rentra enfin comme d’habitude vers minuit. Curieusement, je remarquais qu’il n’était pas dans son état normal, il était pratiquement ivre qu’il tenait à peine sur ses jambes et se dirigeait vers moi.
Directement, il se jeta sur le grand canapé d’où j’étais sagement installée sur un coin en s’allongeant sur son côté, dos à moi, tout en posant sa tête sur ma couverture, dont mes cuisses juste en dessous.
J’avais soudain très peur, je ne l’avais jamais vu dans un tel état d’ébriété, et je ne savais vraiment pas quoi faire. Je devais peut-être juste attendre un peu qu’il s’endorme pour ensuite me libérer délicatement et m’éclipser parce que j’avais compris que la discussion ne sera pas possible, mais j’étais très triste de le voir si mal en point. Tendrement, ma main se posa sur sa tête et commença à caresser très lentement ses cheveux ondulés et très doux. Yann commença à son tour à frotter sa tête sur la couverture, et murmura en articulant très mal :
— Pardonne-moi ma chérie... je ne te tromperai plus... c’est promis.
Je ne comprenais pas vraiment à qui Yann s’adressait, mais je devenais tout à coup très curieuse de connaître les raisons exactes de son malheur. Je chuchotai à mon tour :
— Yann... Coucou Yann, c’est moi.
Aussitôt, Yann se retourna difficilement sur le dos pour me faire face, et levant sa tête pour mieux voir mon visage, il me dit d’un air très étonné :
— Bah ! Que fais-tu là ?
A peine avait-il terminé sa phrase qu’il reposa lourdement sa tête sur mes cuisses en fermant de nouveau les yeux comme s’il allait se rendormir. Je ne voulais pas le laisser dans cet état et ma curiosité était bien trop forte, alors je commençais à le questionner :
— Yann... coucou Yann. Que se passe-t-il ?

Yann m’entendait, mais ne me répondait pas. Il se retourna tout simplement sur son autre côté, me faisant face, et dans son élan, il me découvrit volontairement pour se faufiler sous ma couverture et s’abriter maladroitement. Mon pyjama étant un peu remonté, Yann avait sa tête directement posée sur mes cuisses dénudées. Je sentais son souffle chaud et très alcoolisé contre mon bas-ventre. J’étais très gênée de me retrouver dans cette situation, mais je me disais qu’il était heureusement ivre, qu’il ne savait pas ce qu’il faisait. Je décidai donc de le laisser un peu se reposer juste le temps de terminer mon film. Tout doucement, je sentais son souffle si chaud gagner peu à peu mon entrejambe, et cette chaleur, bien que troublante, mais des plus agréables, remontait lentement le long de mon corps. En baissant mes yeux, je fus effectivement troublée de trouver la bouche de Yann contre mon pubis par-dessus mon pyjama.
Il inspirait doucement par le nez et soufflait longuement par la bouche, comme s’il reniflait mon entrecuisse, l’odeur de mon sexe.
Trop surprise, d’un geste rapide, je posai une main sur sa nuque et l’autre sur sa tête pour essayer de le dégager. Yann appuya encore plus fort sa bouche sur mon pubis, et soudain il me mordit doucement. Aussitôt, je laissai échapper un petit cri, et je tournai vite fait et naturellement ma tête derrière moi vers les escaliers qui menaient aux chambres à l’étage pour vérifier une quelconque présence ou tout simplement une lumière. Je ne voyais rien, donc je constatais que personne ne m’avait entendue. Pendant ce temps, Yann avait ramené son bras au-dessus de lui et appuyait sa main sur mon ventre pour m’immobiliser. Puis il tira d’un coup mon pyjama vers le haut que sa bouche se retrouva directement sur le triangle de ma petite culotte, et sa main s’appuyer fortement sur ma poitrine. Je luttais cette fois-ci pour essayer de dégager la main de Yann de ma poitrine et qui avait empoigné mon sein.
Et ce que je redoutais un peu, effectivement arriva que ses doigts s’emparèrent de ma pointe dressée, la faisant un instant rouler de droite à gauche, puis la pincer suffisamment fort pour que je lâche prise et me faire crier encore une fois.
Yann me torturait de plaisir et surtout de peur que quelqu’un nous surprenne en ayant entendu mes petits cris. Et encore une fois, je vérifiai la direction des chambres, et encore une fois, Yann en profita pour se glisser volontairement hors du canapé pour se mettre à genoux entre mes cuisses. Je le trouvais miraculeusement bien agile et bien fort tout à coup. Le poids de son corps sur le mien me tenait prisonnière pendant que son autre main remontait mon pyjama à mon cou, que sa main toujours sur mon sein, profitait fièrement de la douceur de ma peau, et que sa bouche venant se poser sur mon autre sein, enveloppait mon mamelon pour me téter admirablement. Je ne pouvais plus résister, et même si je m’abandonnais complètement à ce bon plaisir, je faisais semblant de continuer à me débattre. Sa main qui avait retroussé mon pyjama se retrouva bientôt entre mes cuisses. Elle écarta ma culotte d’un côté, et un doigt me pénétra directement, puis deux tellement je mouillais abondamment.
Je me sentais un peu forcée, mais je ressentais réellement du plaisir.
Yann descendit son visage vers mon ventre, puis vers mon sexe. Voir sa tête descendre entre mes cuisses m’excitait davantage. Pendant que ses doigts continuaient de s’activer dans mon vagin, sa bouche se posa directement sur mes lèvres intimes dépourvues de tous poils, m’électrisant d’un plaisir encore plus fou et plus fort. Je fermais enfin mes yeux pour mieux savourer la douceur de sa langue dans ma fente de plus en plus humide et sur mon clitoris gonflé de désirs. Curieusement, je sentais la bouche de Yann téter admirablement bien mon clitoris. Aucun autre garçon, même mon copain Charles ne m’avait aussi bien aspiré mon petit bouton d’amour. Je finissais par jouir dans sa bouche en me mordant si fort mes lèvres pour ne pas crier mon bonheur. Mes jambes tremblaient tellement que Yann libéra mon sexe de ses doigts et aussi de sa bouche.
Je reprenais tout doucement mon souffle, et toujours pas ré-ouvert mes yeux que je sentais mon vagin se faire de nouveau pénétrer, mais plus largement, et plus profond.
Cette sensation si agréable me fit ouvrir les yeux que je voyais Yann s’avancer entre mes cuisses et son gros pénis s’enfoncer en moi jusqu’à entièrement. Pour la toute première fois, je regardais fixement Yann dans ses yeux d’un gris parfait pendant qu’il me pénètre, et je pouvais nettement voir son désir de me posséder. Son doux regard sur mon corps, mes courbes de femme, mes hanches qu’il tenait fermement entre ses mains, mes gros seins qui se balançaient dans tous les sens à chaque mouvement, mes cuisses largement écartées pour le recevoir, et mon sexe parfaitement bien rasé et si accueillant qu’il remplissait de son gros et grand pénis, l’excitait de plus en plus et si bien que tout son corps raidit d’un coup. Je comprenais la jouissance imminente de Yann, quand soudain, un petit bruit suspect nous interpella. Aussitôt, tous les deux, nos regards fixèrent les marches de l’escalier. Mon cœur battait tellement fort que je croyais mourir.
En même temps, je sentais le gros pénis de Yann s’extirper de mon vagin.
Il n’y avait heureusement personne, mais ce bruit était vraiment très étrange. Yann se leva, prenant le bout de son sexe dans sa main comme pour retenir son éjaculation et se dirigea vers la salle de bain du rez-de-chaussée. De mon côté, je rajustai en vitesse ma petite culotte en apercevant brièvement un liquide blanchâtre sur mon pubis. Ensuite, je rajustai aussi vite mon pyjama, et essuyai soigneusement mon jus d’amour coulé sur le cuir du canapé avec. Curieusement, je remarquai des mêmes traces blanchâtres sur le canapé, mélangées à mon jus. Une fois tout nettoyé, je montai doucement les marches de l’escalier pour enfin gagner ma chambre sans même me laver. Je me sentais enfin en sécurité dans mon grand lit bien douillet que je m’endormis profondément.
Le lendemain, je me réveillais tranquillement en regardant l’heure sur mon réveil, déjà dix heures. Je me sentais particulièrement bien et très apaisée que soudain, comme une odeur d’alcool dans mes draps me dérangeait amèrement. Aussitôt, je me rappelai ce qui s’était passé dans la nuit. D’un geste, je me découvris en poussant la couverture de côté, et levant ma tête en direction de mon bassin que je soulevais en me tenant sur mes jambes repliées et légèrement écartées, je faisais glisser ma culotte à mes cuisses. Ces traces blanchâtres sur mon pubis, encore présentes, mais desséchées, soulevaient ma curiosité. Je remarquais que même l’intérieur de ma culotte au niveau de mon sexe, les mêmes traces se voyaient, mais un peu moins nettement, car mélangées à ma mouille. Je compris que c’était les traces de sperme de Yann, mais je devais y vérifier plus profondément. J’enlevai donc complètement mon sous-vêtement, et je le portai naturellement à mon nez.
Effectivement, je ne m’étais pas trompée que je pouvais parfaitement reconnaître cette odeur acre de sperme, même séché, mais paraissant encore tout frais, mélangée à l’odeur de mon sexe en excitation.
Donc Yann avait bien commencé à jouir avant que ce bruit étrange nous dérangeât. Des images de ce moment imprévu défilaient agréablement dans mes pensées que je commençais à être bien excitée, et l’odeur de Yann toujours sur mon corps confirmait audacieusement la réalité de ces images. Je n’aurais jamais pensé que j’aurais encore un rapport sexuel avec Yann, mais les faits étaient bien réels, et j’avais encore une fois adoré ce moment. Je portai ma main à mon sexe, je mouillais déjà, ou tout simplement encore de mon jus et un peu de sperme de Yann, de notre folie de cette nuit. Je pénétrai direct deux doigts dans mon vagin de nouveau en feu. Je caressais en même temps mes seins, pour finir par rouler entre mes doigts mes pointes dressées et durcies devenues très sensibles. Connaissant parfaitement bien mon corps, je ne pouvais me retenir longtemps que je jouissais bien vite et bien fort sur mes doigts si agiles.
Je pouvais me lever tranquillement, et me laver soigneusement pour enlever toute cette bonne souillure tellement excitante sur mon corps.
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