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Mes chers frères

Chapitre 7

Inceste
Il faisait un temps magnifique ce matin-là, très ensoleillé et un peu plus chaud. Comme je savais mes parents et mon grand frère Yann au boulot, et mon petit frère Dylan toujours à traîner hors de la maison avec ses potes et qui ne rentrait que pour le déjeuner, je prévoyais donc de profiter un peu de la piscine et de surtout me bronzer tranquillement. Je préférais mon nouveau petit bikini de deux pièces de couleur rose fluo et spécialement choisi par mes soins pour réussir un meilleur bronzage. J’enfilai par-dessus un minishort en jeans et un petit tricot blanc à bretelles qui m’arrivait au niveau du nombril. Je préparai mon petit-déjeuner et m’installai tranquillement à la table sur la petite terrasse devant la cuisine pour déjà commencer à profiter de ce chaud soleil. Je me sentais agréablement bien, et j’admirais les jolis papillons jaunes butinant les petites fleurs blanches de la grande haie autour de la piscine.
Tout en admirant cette beauté de la nature, mes pensées s’envolèrent de nouveau vers cette petite folie d’hier soir avec Yann. Délicieusement, mon esprit si débordant d’imagination me faisait tendrement sourire quand un papillon se posa sur une des fleurs pour récolter le nectar. Je comparais cette jolie fleur à mon sexe, dont les pétales représentaient mes lèvres intimes, et le pistil mon clitoris, et ce papillon que je devinais bien gourmand n’était autre que Yann. Je me demandais aussi comment il se sentait ce matin au boulot, étant tellement ivre hier soir. Puis un autre petit sourire se marqua fièrement sur mes lèvres quand je me vantai à moi-même que je l’avais certainement dessaoulé simplement avec la chaleur de mon corps. Tout doucement, je ressentais l’excitation reprendre possession de mon corps qu’une douce chaleur montait d’entre mes cuisses.
Ma main qui ne tenait pas ma tasse de café-au-lait, se posa naturellement sur le devant de mon short, et s’engouffra directement entre mes cuisses au niveau mon sexe.
Mes doigts grattaient doucement le tissu épais au niveau de mon clitoris que je sentais devenir de plus en plus sensible par cette merveilleuse sensation de vibration et de chatouillement. Plus je me caressais, et plus j’en avais envie. Mes doigts appuyaient plus fort sur mon sexe gonflé de désir bien trop serré dans ce vêtement. Je décidai de défaire le bouton pour libérer un peu la pression de mon short, mais comme par magie, la petite fermeture éclair s’ouvrit audacieusement que mes doigts sentant le contact de mon maillot, ne pouvaient s’empêcher de se glisser directement en dedans. Je n’en revenais pas de ce que je faisais, mais ce moment si inattendu de cette nuit avec Yann semblait me rendre encore plus folle d’excitation. Ma main devenue très impatiente s’engouffra dans ma petite culotte pour atteindre mon sexe. Mon majeur se glissa directement dans ma fente pour constater la présence de ma mouille pendant que mes autres doigts caressaient délicieusement mes lèvres intimes.
Mon majeur récupéra ce doux liquide pour ensuite juste remonter sur mon clitoris pour l’humidifier et le caresser.
Du bout de ce doigt, je faisais des petits mouvements circulaires tout autour, puis je l’écrasais un peu fort en frottant toute la longueur de ce même doigt par-dessus, tout en le glissant de nouveau dans ma fente de plus en plus humide.
Soudain, un petit bruit de frottement juste derrière moi m’interpella. Au moment où je tournai ma tête pour regarder dans la cuisine par la porte juste à côté de moi que j’ai laissée ouverte, je remarquai une silhouette un peu floue miroitant dans la vitre. Totalement surprise, je faillis renverser ma tasse que je jetai presque sur la table et j’ôtai vite fait ma main de mon maillot. Je vérifiai plus précisément cette ombre en me penchant dans l’ouverture de la porte, que je surpris Yann se cachant derrière le mur juste derrière moi. Je frissonnais de honte, et essayant de cacher mon short défait de mes mains, je lui demandai d’une voix tremblante :
— Yann ? Que fais-tu là ?
Yann sortit tout doucement de son coin. J’étais quand même très furieuse de son attitude que je le fixais des yeux comme pour lui demander des explications et des excuses, mais curieusement, une bosse au-devant de son short à quelques centimètres de mon visage attira tout à coup mon attention. Je n’étais pas vraiment surprise de constater qu’il pouvait être en érection, mais là, j’étais encore plus surprise de remarquer qu’il bandait carrément bien fort à vouloir exploser son short. Et c’était comme s’il faisait exprès de me montrer fièrement sa virilité. Calmement, il me répondit :
— Bah...! Je t’ai entendu descendre, et je voulais te voir ce matin... Et comme tu étais occupée, je ne t’ai pas dérangée.
Donc cela faisait un moment que Yann m’épiait pour être dans cet état. J’avais vraiment beaucoup de mal à garder mon regard vers le sien, mes yeux descendaient sans cesse sur cette magnifique bosse qui me fascinait tellement que je ressentais comme une faim de la dévorer. L’eau me venant naturellement à la bouche me gênait pour parler. J’avalai enfin ma salive et continuai de lui demander en bafouillant:
— Tu n’es pas au boulot ce matin ?
Yann souriait bêtement sans me répondre, et je remarquais qu’il profitait du moment que j’étais penchée en avant pour regarder dans mon décolleté. Il pouvait nettement voir mes seins dont juste les mamelons étaient recouverts des petits triangles du haut de mon maillot. Toute confuse, je me redressai un peu, et trouvant enfin la force de baisser mon regard vers le sol, je me replaçai face à la table pour terminer mon petit-déjeuner, tout en gardant une main sur mon short toujours ouvert.
Ce petit cochon devait être plus que très en forme pour bander encore aussi fort ce matin. Mes pensées continuaient de me torturer en m’envoyant des images de son gros pénis que j’avais pu admirer et savourer cette nuit, mais dommage que je ne l’avais pas eu aussi près de ma bouche comme ce matin, je l’aurais sans doute englouti avec délice tellement le goût de cette douce chair manquait à mon palais. Je sentais cette chaleur monter de nouveau d’entre mes cuisses bien serrées l’une contre l’autre que je contractais bien assez fort les muscles en même temps que ceux de mon sexe pour amplifier discrètement mon plaisir. Toujours tremblante, je lui demandai :
— OK... Et pourquoi veux-tu me voir ce matin ?
Yann restait silencieux, et je le voyais passer derrière moi. Je pensais qu’il allait s’asseoir à côté de moi, mais il posa ses mains sur mes épaules, me faisant un peu sursauter, et commença à me faire un petit massage des épaules et du coup, comme il me le faisait de temps en temps. Ses doigts massaient tendrement mes muscles, me faisant beaucoup de bien, mais je n’arrivais pas vraiment à me détendre, me doutant de quelque chose. Je ne m’étais vraiment pas trompé, que Yann me tira légèrement en arrière par les épaules, collant mon dos contre son bassin en me disant :
— On pourrait tranquillement terminer ce qu’on avait commencé ?
Très surprise, je lui répondis :
— Quoi ?
Je voulus aussitôt me lever, mais ses mains s’appuyèrent encore plus fort sur mes épaules, m’obligeant de rester assise. Je ne comprenais pas vraiment de quoi Yann me parlait, mais j’étais convaincue qu’il s’agissait de notre petit moment d’hier soir dans le salon. Peut-être qu’ayant été obligé de se retirer à cause de ce bruit suspect, ce rapport lui semblait comme incomplet.
Mais bizarrement, mon esprit était bien trop concentré sur cette bosse qui se frottait audacieusement contre mon dos pour arriver à comprendre une quelconque raison de son attitude, et que curieusement, mes muscles se détendaient tout comme par magie en appréciant ce massage si insolite. Je restais bien surprise et muette. Je me contentais juste de fermer mes yeux pour mieux sentir cette grosse tige me masser le dos.
Yann avait sans doute pris mon silence comme un accord, qu’il fasse glisser mes bretelles par-dessus mes épaules pour découvrir davantage mon dos, et que tout à coup, je sente nettement mieux la chaleur de son corps directement sur ma peau. Son gros bâton encore plus chaud s’appuyait contre le haut de mon dos jusqu’à mon cou. J’ouvris grand mes yeux d’étonnement. De gros et longs frissons parcouraient tout mon corps en sentant son sexe se promener librement sur mon dos, mes épaules, et mon cou. Mon cœur battait encore plus fort et plus vite, et ma respiration s’accélérait tels des petits gémissements.
C’était bien la première fois que Yann se laissait autant aller dans ses désirs envers moi, sans compter la nuit précédente qu’il était totalement ivre, mais ce matin, il était parfaitement conscient et responsable de ses actes.
Bien malheureusement pour moi, cette chaleur si forte et si douce à la fois de cette grosse tige de chair qui me massait semblait beaucoup me plaire que mon corps s’ondulait légèrement comme pour l’encourager. Yann dénoua le soutien-gorge de mon maillot, et posa son sexe sur mon épaule que je haussais tout naturellement en inclinant suffisamment ma tête du même côté pour profiter davantage de sa douceur. Son sexe s’enfonçait et se retirait merveilleusement dans l’étau que formait l’intérieur de mon cou et le creux de mon épaule. Ma bouche était à quelques millimètres de ce gros pénis qui palpitait contre ma peau et qui laissait échapper un long filet de sève d’excitation, ruisselant très doucement sur le haut de mon sein à sa portée, dont ma poitrine qui se découvrait peu à peu dans mes mouvements. Je ne pouvais résister plus longtemps. J’ouvris ma bouche, et j’approchai ma langue de ce bout magnifiquement lisse et gonflé de désirs.
Je goûtais enfin à ce pénis en le lapant généreusement.
Yann comprenant mon envie, se plaça de suite à mon côté en bout-de-table pour mieux présenter son sexe face à ma bouche. Il le tenait d’une main pendant que son autre main placée sur ma nuque poussait doucement ma tête vers son bassin. Je n’osais pas lever mes yeux vers les siens, mais je ne manquais aucune seconde de pouvoir admirer son gros pénis d’aussi près et en contact avec ma bouche. Yann le frotta délicatement sur mes lèvres pulpeuses pour les humidifier davantage de sa sève abondante, puis commença à s’y glisser entre très doucement. Timidement, j’écartais peu à peu mes lèvres et au fur à mesure qu’il avançait, ma bouche s’ouvrait largement pour accueillir ce merveilleux bout de son pénis encore plus gros. Yann gémissait librement en sentant et en voyant son sexe franchir mes lèvres écartelées et magnifiquement badigeonnées de sa sève. Ma poitrine s’étant dénudée s’en retrouvait presque autant recouverte.
La sensation très agréable de cette peau lisse et ce goût très particulier m’excitait aussi et tellement que je me retournai naturellement vers Yann pour mieux le dévorer et que je réussissais quand même à engloutir une bonne moitié dans ma bouche.
Ma main empoigna son pénis, très difficilement par ce diamètre trop grand, mais suffisamment pour arriver à le masturber. Mon autre main toujours sur le devant de mon short recommença à caresser mon sexe, et finit par se glisser de nouveau dans mon maillot. Je préférais fermer mes yeux pour mieux apprécier ce moment, et que j’osais enfoncer carrément deux doigts dans mon vagin. L’excitation montait de plus en plus. Yann me tenait la tête des deux mains pour mieux diriger ma bouche sur son sexe. Je l’entendais gémir de plus en plus fort pendant qu’il s’enfonçait de plus en plus vite et de plus en plus profond dans ma gorge. Il me faisait un peu mal à s’enfoncer aussi loin que mes mains quittèrent les masturbations pour se placer aussitôt sur son bassin à essayer de ralentir ses mouvements. Mes seins entièrement libres et complètement dénudés se balançaient davantage, au rythme de ses coups de reins vers ma bouche.
J’ouvris grands les yeux à regarder Yann pour le convaincre de me laisser souffler un peu, mais il avait les yeux fermés pour se concentrer sur son propre plaisir.
Soudain, mon regard se dirigea par hasard dans la cuisine que je surpris Dylan au fond de la pièce me regardant droit dans les yeux. Prise d’une grande frayeur, je sursautai d’un bond qui me fit presque décoller de ma chaise, mais que j’y restai quand même collée par la forte pression des mains de Yann qui me retenaient bien fortement au niveau de son sexe, et la bouche grande ouverte dessus. Je me débattais pour essayer de me libérer pendant que Dylan continuait de nous regarder et entendre son frère pousser des gémissements encore plus forts. Tout à coup, des jets puissants vinrent s’écraser contre le fond de ma gorge, me faisant presque étouffer. Son sperme remplissait ma bouche, j’en avalais un peu de force, en même temps que j’en rejetais en toussant d’étranglement. Dylan pouvait ainsi voir et comprendre la jouissance de son frère en constatant toute cette substance blanchâtre et épaisse débordant des coins de ma bouche et s’écoulant sur mes seins et mes cuisses.
Yann me libéra enfin que Dylan quitta aussitôt la cuisine. Toute confuse, je ne savais plus où me mettre, et je ne savais plus s’il fallait signaler à Yann la présence de son frère à la maison. Mais je préférais pour le moment, ne rien dire. Je crachai le surplus du sperme dans mon débardeur en me nettoyant soigneusement la bouche, le haut de ma poitrine et mes cuisses pendant que Yann se rendit à la salle de bain du rez-de-chaussée pour se nettoyer. Je restais terrorisée et très honteuse. J’essayais de terminer mon café au lait pour me rincer un peu la bouche même si j’aimais particulièrement le goût un peu acre et sucré-salé de cette merveilleuse substance qui avait la magie de se coller dans les moindres recoins. Je réfléchissais en même temps de la manière que je devrais m’expliquer avec Dylan de ma conduite avec son frère, s’il me le demandait. Soudain, Yann me fit encore sursauter en passant à côté de moi et en me disant :
— Bonne journée petite sœur.
Et il s’en alla vers le garage comme s’il rien ne s’était passé. Timidement, je le regardai s’éloigner, et enfin entendre sa voiture sortir du garage, puis quitter la maison.
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