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Mes chers frères

Chapitre 9

Inceste
Depuis ces trois dernières années que je couche avec mes frères au moins une fois par an, c’était toujours moi qui les provoquais et leur signalais à ma façon que j’étais prête pour un rapport sexuel, mais depuis ces derniers jours, nos petits jeux de sexe prenaient une tournure bien différente.
Je me disais que j’étais vraiment folle, et je me demandais comment une aussi jolie fille comme moi pouvait autant se dévergonder à coucher avec ses propres frères. Et à chaque fois, la seule réponse qui me venait était qu’on ne faisait rien de mal vu qu’on était des adultes et surtout consentants. Dire qu’au début de cette année même je pensais qu’il fallait peut-être que j’arrête de coucher avec eux, mais dernièrement, leur audace de m’être carrément sautée dessus m’avait particulièrement excitée.
Depuis deux jours, que j’avais encore eu un rapport sexuel avec chacun de mes deux frères, tout semblait être différent. Surtout Dylan, qui semblait me surveiller et me tournait sans cesse autour, comme attendre quelque chose, mais sans se manifester. Son attitude m’intriguait beaucoup. Le matin, à mon réveil, même si je me levais plus tard profitant d’une grasse matinée, il était encore à la maison ; au lieu de déjà, se retrouver avec ses potes dans la rue comme d’habitude, il espionnait un peu ce que je faisais, puis enfin il sortait. Aussi, il laissait ses yeux traîner sur mes courbes un peu plus souvent qu’avant, surtout sur ma poitrine que j’avais l’habitude de laisser libre, tout comme ma mère sous ses vêtements quand elle se trouvait à la maison. Il est vrai que possédant des seins nettement plus gros qu’elle, cela m’amusait, surtout quand je surprenais mes frères en train de me reluquer même s’ils voulaient faire attention de ne pas se faire remarquer.
Mais là, je surprenais Dylan un peu trop souvent, et j’avais même peur qu’un membre de la famille puisse se rendre compte de son manège, et découvrir nos petits jeux.
Ce bon matin, je me réveillais tranquillement. Il était déjà dix heures passé, mais je n’étais pas vraiment pressée de me lever profitant pleinement des derniers jours de vacances. Comme par habitude, avant de quitter mon lit le matin, mes mains se promenaient sur mon corps à la recherche de petits plaisirs. J’avais ma main gauche sur ma poitrine, directement sous mon pyjama, et l’autre entre mes cuisses, enfouie dans ma culotte. Pendant que je roulais mes pointes durcies et sensibles tour à tour, j’enfonçais deux doigts dans mon vagin inondé de désir. Mon plaisir montait très facilement avec mes doigts. Je me donnais du bon plaisir. Mais soudain, j’entendis un bruit de verre qui se brisait au rez-de-chaussée. Je sursautai, et je compris de suite Dylan toujours à la maison comme depuis ces deux jours vraiment trop bizarres. Ce petit dérangement m’avait un peu perturbée, mais je reprenais tout doucement et tout naturellement ma petite masturbation matinale.
Je retroussai mon pyjama, puis plaçant mes mains sur ma poitrine, je caressai très tendrement mes seins.
Curieusement, mes pensées restaient vers Dylan. Je me disais qu’il faisait exprès tout ce bruit juste pour me réveiller, et attendre que je descende pour encore prendre son plaisir d’admirer mes formes. Bizarrement, plus je m’énervais en pensant à lui, et plus une certaine excitation me gagnait. Je finissais par attraper mes gros seins en les soulevant comme je pouvais de mes petites mains vers le plafond, puis comme si je parlais réellement à Dylan, je chuchotai :
— C’est ça que tu veux, hein ?... Tu aimes les gros nichons de ta sœur, mon petit cochon !... Tiens !... Viens les peloter !
Tout en parlant, je ressentais comme de petites vibrations dans tout mon corps. Les pointes de mes seins se dressaient davantage, et une chaleur plus forte se dégageait de mon sexe. Tout en palpant fermement les globes de mes seins d’une main, je glissai à nouveau ma main droite dans ma culotte. Effectivement, je mouillais tellement à en tremper ma culotte et aussi mon drap. J’étais trop bien excitée. Aussitôt, je continuai de murmurer :
— - Tu veux ça aussi, hein ?... Tu veux encore baiser ta sœur, mon petit cochon ?... Tiens !... Viens me baiser !
Je joignis mon geste à ma parole. J’enfonçai mes deux mêmes doigts dans mon vagin inondé de mon jus d’excitation, puis je refermai mes cuisses sur ma main. Je les serrais fort l’une contre l’autre, et en même temps, je contractais mes muscles vaginaux pour encore mieux sentir le frottement de mes doigts à l’intérieur de mon vagin. Je délirais dans mes pensées, comme une folle en manque de sexe. Ma main sur ma poitrine pinçait encore plus fort mes pointes pendant que mes doigts me pénétraient plus vite et plus profond. Puis, mon corps se raidit tout d’un coup accompagné de forts tremblements. Je jouissais comme jamais, je secouais et ondulais mon corps dans tous les sens. Je libérais tout mon plaisir, et mes gémissements résonnaient doucement contre les murs de ma chambre.
Tout doucement, je me remettais de ma forte jouissance, et je pensais encore à Dylan, de son comportement bizarre. Je me disais qu’il était peut-être temps de le franchir et de lui demander quelques explications. Malgré mes frères et moi qui avions toujours un respect de ne pas parler de nos jeux sexuels.
Après une bonne douche, pour me calmer un peu, j’enfilai un minishort rose-pâle par-dessus mon string ; et comme il faisait encore un peu frais ce matin-là, je préférai un pull, mais qui est suffisamment ample, pour cacher un peu les contours de ma généreuse poitrine dépourvue de soutien-gorge, par habitude à la maison. Je me disais que cela calmerait peut-être un peu Dylan.

Je me rendis donc au rez-de-chaussée, et comme je m’y attendais un peu, je remarquai Dylan devant la télé avec sa console de jeux, et bizarrement, le son est très bas. En passant devant le salon, je le saluai :
— Bonjour Dylan.
Il tourna sa tête pour me regarder, puis répondit :
— Bonjour Louce.
Je rêvais peut-être, mais Dylan avait l’air un peu déçu en me voyant. Je continuais de me diriger vers la cuisine pendant qu’il me suivait du regard jusqu’à ce que je disparaisse entre les murs. Comme d’habitude, je prenais mon petit-déjeuner sur la petite terrasse devant la cuisine, mon endroit préféré pour beaucoup rêvasser, mais là, j’étais surtout occupée à réfléchir en ce qui concernait mon petit frère. Effectivement, il ne tarda pas à faire irruption à son tour dans la cuisine. J’entendais quelques bruits de sacs en plastique et le frigo qui n’arrêtait pas d’être ouvert à chaque instant. (Comme par pur hasard, Dylan avait fini avec son jeu vidéo, et il préparait son sac pour sortir.) Cette situation m’agaçait vraiment. Je terminai vite fait mon café au lait, et m’empressai d’entrer dans la cuisine. Dylan m’examinait de haut en bas en balayant ses yeux sur mon corps, à chercher je ne sais quoi, très gênant pour moi.
Je faisais comme si de rien n’était, mais en réalité, je tremblais de tout mon corps.
Sans plus attendre, je lui demandai :
— Euh... Dylan !... Tu agis bizarrement envers moi ces deux derniers jours, tu peux me dire pourquoi ?
Dylan baissa soudain son regard comme pour vouloir éviter le mien, mais j’avais bien l’impression qu’il regardait plutôt le haut de mes cuisses dénudées non cachées par la table qui nous séparait. Mais curieusement, je l’entendis bégayer :
— Je... je ne sais pas trop... comment te le dire.
Connaissant Dylan, il avait toujours été direct pour demander ou dire ce qu’il pensait, mais là, il était vraiment embêté pour s’exprimer, il rougit même d’un coup, et resta silencieux. Je ressentais comme une petite fierté de le toucher autant. J’attendais quand même une simple excuse de sa part. Fièrement, et je continuai :
— -Alors ?... J’attends ta réponse.
Dylan me fixait de nouveau dans les yeux. Il avait l’air complètement vraiment gêné le pauvre garçon. Soudain, il murmura :
— Je t’ai vu avec Yann... l’autre soir dans le salon.
Je fus totalement surprise d’entendre cela. Un très gros frisson traversa mon corps, je faillis même perdre ma tasse qui resta par chance accrochée à mon doigt par la petite lance, seule la petite cuillère se retrouva sur le sol. Dire que j’avais un peu oublié ce passage. Je me souvins soudain de ce fameux soir, qu’à un moment, il y eut un bruit très suspect, et que Yann et moi avions dû subitement arrêter nos folies ! Je devins rouge de honte devant Dylan qui ajouta :Maman m’avait grondé pour cette nuit, à cause de vous deux. Elle a dû nettoyer une grosse tache sur le devant du canapé avant d’aller travailler. Bien sûr, c’est toujours moi qui mange dans le salon malgré son interdiction, n’est-ce pas ?Dylan me fixait encore plus profondément dans les yeux, il semblait vraiment en colère. Il termina en disant :
— Comment lui dire que pour cette fois-là, ce n’était pas moi ?
D’un geste brusque, Dylan ferma la fermeture éclair de son sac, me faisant sursauter ; puis me tournant, en direction de son dos, il le porta à son épaule en se dirigeant vers la porte de sortie. J’avais peur que Dylan m’en veuille trop, je paniquai, et je le suivis en l’appelant :
— Dylan !
Dylan s’arrêta au seuil de la porte en laissant son regard vers le jardin. Je continuais d’avancer vers son dos jusqu’à l’approcher suffisamment, puis, toute tremblante, je lui dis :
— Je suis désolée !... Je n’ai pas fait exprès... Pardonne-moi, s’il te plaît !
Dylan semblait réfléchir. Il se retourna vers moi en me regardant d’un air un peu surpris en fronçant ses sourcils. J’étais pourtant juste devant lui, mais il avança quand même d’un pas vers moi en touchant presque mon corps. Encore en panique, je restais immobilisée ne sachant quoi faire. Je levai juste mon regard vers le sien pour essayer de comprendre son intention. Mais aussitôt, il pencha son visage vers le mien, et posa ses lèvres sur les miennes. Je restai totalement surprise de ce contact inattendu. Vu ma position, je ne savais même plus s’il fallait que je me défende, ou bien le laisser-faire, mais curieusement, je préférais juste fermer mes yeux comme pour oublier un instant qui m’embarrassait. Je frissonnais, puis frissonnais encore en sentant sa main se poser sur mon sein gauche par-dessus mon pull, et le palper doucement. Ce baiser n’avait duré que quelques secondes, même s’il me semblait assez long. Dylan éloigna enfin son visage du mien, et chuchota :
— Allons dans ma chambre !
Je restai encore une fois totalement surprise. Etait-ce réellement une proposition sexuelle, ou tout simplement mon imagination débordante ? Je devais garder mon calme parce que c’était bien à cause de moi que tout cela avait commencé. Tout timidement, je décidai de raisonner Dylan en lui répondant :
— Ce n’est pas bien de continuer à faire ça entre nous... On doit tout arrêter... avant que ça s’aggrave.
Dylan semblait reprendre son air fâché. Il lâcha mon sein, puis me dit :
— Je monte dans ma chambre... Si tu ne me rejoins pas, on en parlera plus.
Dylan se dirigea aussitôt vers l’intérieur de la maison en empruntant le couloir qui mène à l’étage. Je tremblais d’une peur qui m’était encore inconnue. J’avais vraiment très peur que Dylan puisse décider de s’en plaindre aussi avec son grand frère pour se venger. Quoi qu’il en soit, je me surprenais d’avoir un doute de pouvoir réellement arrêter pour de bon ce petit jeu devenu beaucoup trop vicieux et dangereux.
Tout à coup, j’entendis une porte claquer assez fort me faisant sursauter. Certainement celle de la chambre de Dylan. J’étais vraiment triste pour mon petit frère qui avait certainement du chagrin à cause de moi. Tout cela me torturait, et je voulais vérifier si Dylan était réellement dans sa chambre comme il l’avait dit. Et tout doucement, mes pas me guidaient vers l’étage. Je montais lentement une à une les marches, malheureusement, en bois et qui craquaient doucement. Je me dirigeais vers la chambre de Dylan dont je remarquais la porte entrouverte. Cela m’intriguait. J’étais pourtant certaine de la retrouver bien close par ce gros bruit juste à avant que je monte. Je devenais encore plus curieuse. Et préférant rester discrète, je décidai de passer juste ma tête dans l’ouverture pour vérifier. Effectivement, je remarquai Dylan allongé sur son lit ; mais surprise ! Il regardait déjà dans ma direction comme s’il savait exactement que j’allais le suivre.
Rapidement, je ramenai ma tête, mais bien sûr, Dylan m’ayant vue, aussitôt j’entendis :
— Entre.
Mon cœur s’affola tout à coup. Je finissais par me dire tout bêtement que je n’allais quand même pas me dégonfler après avoir fait tout ce chemin jusqu’à sa porte. Tout timidement, je m’avançais dans l’ouverture. Je voyais Dylan qui semblait impatient et ravi de ma présence en ayant ses mains placées derrière sa tête en me regardant de haut en bas avec un léger sourire en coin des lèvres. Son air si fier augmentait cruellement cette honte que je ressentais déjà, et je me rendais effectivement compte que je me livrais moi-même à mon bourreau. Est-ce réellement l’appel du vice qui me guidait ? Mais je finissais par pousser sa porte, et enfin entrer dans sa chambre malgré moi. Tout tranquillement, il m’ordonna :
— Ferme la porte et viens t’allonger près de moi.
Bizarrement, le ton de sa voix et ses paroles me faisaient instantanément frissonner, et encore plus surprenant, sans même dire un mot, j’exécutais tout bêtement ses ordres. Je fermai soigneusement la porte, et en baissant ma tête comme une gamine coupable, je m’avançai en direction du lit. J’avais le temps de réfléchir un peu jusqu’à arriver du côté libre, sur le grand matelas qui est à la gauche de Dylan ; alors pour me rassurer, je levai mes yeux vers Dylan et lui dis :
— Ne dis jamais à Yann que tu sais pour lui, s’il te plaît !... Ni à personne.
Dylan ne m’avait pas quittée des yeux un seul instant. Il me faisait juste signe de m’installer sur le lit en tapant sa main sur le matelas à l’endroit où je me dirigeais déjà. Il continuait de suivre mes mouvements pendant que je m’installais très timidement dans sa même position, allongée sur le dos par-dessus la couette recouvrant le matelas, mais mes bras le long de mon corps en fixant le plafond juste au-dessus de moi. Dylan se retourna de suite faisant face à mon côté, et me demanda :
— Tu le fais avec notre Père aussi ?
Très surprise de cette question que je trouvais complètement déplacée, je tournai soudainement ma tête vers Dylan, et je lui répondis automatiquement :
— Bah non !!!Tu es fou ?... Jamais.
A mon tour, je lui demandai tout rapidement :
— Tu couches avec maman, toi ?
M’apercevant de son air si interrogateur, je compris sa réponse, mais il répondit quand même :
— Non... mais avec toi, oui...
Jamais Dylan n’avait encore osé me parler aussi directement de sexe, de plus, me concernant, mais encore plus grave étant avec lui-même. Je qualifiais ses paroles comme un manque de respect envers moi, mais le fait de m’obliger à réaliser que j’avais réellement aimé prendre du plaisir sexuel avec lui me faisait un effet vraiment trop bizarre. Un très gros et long frisson ne semblant plus finir s’emparait de mon corps. Je sentais mes poils se hérisser, les pointes de mes seins devenir encore plus sensibles en se dressant contre le tissu de mon pull, et comme de petites palpitations se manifester au niveau de mon sexe. Je rougissais honteusement de comprendre moi-même être dans un état d’excitation incontrôlable et bien forte. Aussitôt, je m’empressai de retourner mon regard vers le plafond pour essayer de cacher un peu mon gène, mais Dylan semblait l’avoir remarqué qu’il profita de ce moment pour s’approcher de moi jusqu’à coller son corps au mien.
Ensuite, il leva son visage juste au-dessus du mien pour me fixer dans les yeux.
Mon corps tremblait encore plus fort, et je respirais fort. Je pensais qu’il allait encore m’embrasser, mais ses yeux se dirigèrent sur ma poitrine que je voyais moi-même se soulever davantage au rythme de mes inspirations devenues plus profondes. A peine, j’eus le temps de comprendre que ma forte poitrine semblait vraiment provocante en se remuant de cette façon, Dylan avait déjà posé sa main droite sur mon sein à sa portée. Je me doutais bien qu’il ne se priverait pas de poser ses mains sur mon corps. Le tissu, même si épais, de mon pull ne pouvait malheureusement cacher l’état de la pointe de mon sein déjà si bien durci contre la paume de sa main. Dylan massa doucement mon sein, puis s’attaqua à l’autre en faisant la même chose. Il retourna son regard vers le mien avec un petit sourire très malicieux, et pencha lentement sa tête en avant pour enfin m’embrasser tendrement.
Tout à coup, mon attention fut attirée par quelque chose d’assez dur contre ma main placée entre nos deux corps collés l’un à l’autre.
Un autre frisson me traversa le corps en comprenant son sexe en érection. Je me sentais pour de bon mal à l’aise. Mes doigts étaient pris de petites pulsions comme si elles voulaient absolument attraper ce membre.
Dylan abandonna ma poitrine. Sa main descendait sur mon ventre, et s’arrêta sur le devant de mon short pour attraper le bas de mon pull. Dans l’action, ses doigts caressèrent au passage mon pubis. Comme une petite décharge électrique, je sursautai de surprise, mais vraisemblablement plus de plaisir. Dylan retroussait mon pull. Le connaissant vraiment très attiré par ma poitrine si généreuse, je me préparais à subir l’assaut de ses doigts sur les pointes de mes seins. Sa main montait très lentement, elle caressait le bas de mon ventre, mais tout à coup, elle s’arrêta, puis se glissa directement dans mon short en forçant un peu le tissu. Je sursautai encore, et je frissonnai de plus belle en sentant la chaleur de sa main directement dans ma culotte. Ses doigts appuyaient fortement contre mon clitoris gonflé de désir. J’avais comme une envie de pleurer tellement j’avais honte de ressentir autant de plaisirs.
Je serrais fort mes cuisses l’une contre l’autre pour faire comprendre à Dylan de ne pas aller plus loin, mais ses doigts puissants continuaient de se faufiler au fond de ma culotte que je devinais déjà humide.
Effectivement, un de ses doigts, bien décidé, s’activait énergiquement entre mes lèvres intimes, et jouait audacieusement avec mon jus d’excitation si abondant qui faisait un bruit de succion. J’étais vraiment étonnée de comprendre à quel point je pouvais mouiller aussi vite et surtout autant. Je me tortillais sur moi-même comme pour essayer d’éviter son doigt qui s’aventurait de plus en plus dans l’entrée de mon vagin, mais je me tortillais surtout de plaisirs. Encore et toujours, mon corps me trahissait que je ressente encore plus de honte. Contrairement à Dylan qui libéra ma bouche, et me dit :
— Hmmm !... Tu mouilles comme une petite cochonne, toi !
Et aussitôt dit, Dylan enfonça son doigt dans mon vagin. Sa main coincée dans mon short toujours fermé limitait la pénétration, mais la moitié de son doigt me pénétrait déjà suffisamment bien. Je me laissais doucement gémir en m’agrippant à la couette de toutes de ma main gauche, et curieusement, ma main droite s’agrippa aussi fort à son short, empoignant au passage son pénis bien dur. Je frissonnais en réalisant la présence de son sexe qui palpitait réellement dans ma main. Cela m’excitait incroyablement, de plus son doigt qui s’activait énergiquement dans mon vagin. J’avais de plus en plus chaud, et ne pouvant plus me retenir, mon corps se raidit d’un coup, suivi de petits tremblements. Honteusement, je me laissais complètement jouir en gémissant sourdement et longuement en me mordant les lèvres sous les yeux très curieux de Dylan. Surpris lui aussi de constater ma forte jouissance et surtout si précoce, Dylan s’exclama :
— Déjà !... Mais t’es une sacrée petite salope, toi !
Dylan ôta sa main de mon short. Curieusement, il se releva, et se plaça juste à la hauteur de ma tête. Il fit glisser son short et son boxer à ses genoux. Son pénis tout raide jaillit d’un coup sous mes yeux. Dylan se tenait en équilibre au-dessus de moi en s’aidant de sa main gauche accrochée au dossier du lit. Il balançait fièrement son sexe juste au-dessus de mon visage en me disant :
— Suce-moi !
Sachant parfaitement que Dylan m’avait surprise en train de sucer son frère, je me doutais aussi qu’il oserait me le demander à son tour. Je ne pouvais quitter mes yeux de ce magnifique pénis gonflé qui se trouvait pour la première fois seulement à quelques centimètres de mon visage. Son beau bâton de chair me faisait venir l’eau à la bouche, mais je ne pouvais quand même pas sauter dessus comme une vulgaire affamée de sexe. Je continuais donc de subir ma timidité. Mais tout à coup, Dylan inclina son bassin vers mon visage, et prenant son sexe en main, il le posa directement sur ma bouche. Puis m’ordonna :
— Suce-moi, petite salope !
Je fus complètement choquée d’entendre ce mot (salope) m’étant vraisemblablement dédié. Ma bouche s’étant entrouverte par mon état d’étonnement ne pouvait que s’ouvrir davantage pour timidement exécuter cet ordre si audacieusement donné. Dylan n’avait plus qu’à appuyer un peu son pénis bien dur contre ma bouche pour enfin le faire passer entre mes lèvres. Il gémissait doucement en regardant ma bouche pulpeuse avaler le bout de son sexe. Le contact si bizarre, mais si agréable de cette peau lisse contre ma langue, je ne pouvais que me pousser à mieux diriger ma bouche vers son bâton de chaire pour encore mieux la dévorer. Je roulais ma langue autour de son bout, puis j’aspirais de plus en plus fort, et plus profond dans ma gorge, au rythme de ses va-et-vient vers ma bouche. Je sentais Dylan de plus en plus excité, et je buvais son jus d’excitation qui s’écoulait de son pénis encore plus gonflé de désir.
Sa main droite délaissa son sexe, et remonta mon pull pour découvrir entièrement ma poitrine.
Dylan palpait fermement mes seins tour à tour tout en agaçant mes pointes trop sensibles qu’il roulait entre ses doigts. Mon corps recommençait à s’onduler audacieusement de plaisirs. Dylan abandonna ma poitrine. Toujours sur ses genoux, il se plaça à la hauteur de mes jambes. Il commença à tirer mon short vers le bas pour me l’enlever ; et tout naturellement surprises, mes mains se placèrent elles aussi sur mon short pour le retenir. Aussitôt, je lui demandai :
— Mais ?... Qu’est-ce que tu fais ?
Dylan semblait un peu surpris de ma question, et me répondit :
— Je sais que tu en as envie !... Enlève-moi ça, petite salope !
Dylan me surprit de nouveau à me parler de cette manière. Je restais sans voix. Mon corps vibrait au sens de ses paroles, et curieusement, je ressentais vraiment du désir à mon entrejambe. Tout timidement, je lâchai prise. Mes mains retombèrent à leur place, de chaque côté de mon corps, pendant qu’il faisait tranquillement glisser mon short et en même temps mon string le long de mes jambes, puis les enlever complètement. J’essayais de couvrir un peu ma nudité de mes mains tout en le regardant se déshabiller à son tour. Je ne pouvais détacher mes yeux de son beau corps d’athlète, avec ses muscles finement travaillés de la tête jusqu’aux pieds, et surtout son pénis bien proportionné et tout raide qui m’attirait particulièrement.
Aussitôt nu, Dylan s’allongea de tout son corps sur le mien. Sa chaleur m’était vraiment très agréable même si je ne le montrais pas, mais tout timidement, j’ouvris suffisamment mes jambes pour qu’il s’y retrouve entre elles. Dylan guida de suite son pénis à l’entrée de mon vagin, et s’enfonça d’un seul trait entre mes lèvres intimes inondées de désirs qui s’ouvrirent généreusement. Je gémissais mon plaisir d’être encore et si bien embrochée. Dylan me fixa des yeux, et me dit :
— Hmmm !... Tu aimes ça, ma petite salope ?... Hein ?
Les paroles de Dylan résonnaient encore plus fort dans ma tête, et mes yeux commencèrent à s’humidifier de plaisirs inexplicables. Son pénis gonflé me pénétrait de plus en plus vite et plus fort. Son corps s’ondulait et se frottait de plus en plus sur le mien. Sa bouche dévorait la mienne, mes oreilles, mon cou. Ses mains caressaient tantôt mes cuisses, tantôt mes fesses, tantôt mes hanches, et tantôt mes seins qui finissaient par se faire torturer les pointes durement dressées. Je m’accrochais très fort à la couette. Je désirais tout simplement jouir, encore et encore plus fort. Je gémissais encore plus fort. Ma vue devenait de plus en plus floue par mes yeux de plus en plus mouillés, que je ne distinguais plus vraiment mon jeune frère sur moi, mais juste un garçon allant et venant entre mes cuisses largement écartées, pour enfoncer son pénis bien dur et bien raide dans mon vagin tellement inondé qui faisait encore ce fort bruit de succion. J’entendis encore :
— Tu es une vraie petite salope ?... N’est-ce pas ?
A ces mots, je sentais mon plaisir monter encore plus vite, et je me laissais complètement guider par Dylan qui continuait de me pilonner à fond. Je finis enfin par répondre :
— Et toi, un vrai petit salaud... Tu es dans ta sœur là !... N’est-ce pas ?
Dylan répondit :
— Oh oui !... Qui ne baiserait pas sa sœur aussi salope que toi ?... Tes deux frères te baisent, toi !
Je me sentais tellement bien désirée que je me sentais réellement « salope ». Dylan me débarrassa de mon pull en le glissant le long de mes bras et par-dessus ma tête que je me retrouve entièrement nue sous lui. Il embrassait de nouveau ma bouche, puis mon cou, et enfin ma poitrine en tétant délicieusement les pointes de mes seins. Il libéra enfin un peu le poids de son corps sur le mien. Sa main gauche se glissa sur mon ventre et aussitôt entre mes cuisses pour caresser mon clitoris. Mon plaisir était tellement fort que je me préparais à encore jouir, mais curieusement, Dylan libéra un peu vite ma perle d’amour. Toute surprise, sa main continua de se faufiler entre mes cuisses jusqu’à arriver dans le sillon de mes fesses. Soudain, je frissonnai en sentant ses doigts caresser mon anus, et aussitôt, je me souvins de notre dernier rapport sexuel qu’il avait aussi touché mon anus, et que je pensais qu’il allait vraiment me mettre son doigt.
Dylan me fixait droit dans les yeux. Il voyait mon étonnement, mais aussi mon plaisir. Pendant qu’il continuait d’aller et venir en moi, il appuyait de plus en plus un de ses doigts sur mon anus soigneusement lubrifié de mon jus d’excitation s’écoulant de mon vagin. Mon cœur battait de plus en plus vite. Ma tête me disait d’arrêter, mais mon corps me prouvait le contraire, je frissonnais d’impatience, et je m’accrochais de toutes mes forces à la couette. Dylan, constatant mon silence, appuya pour de bon son doigt qui finit par franchir mon anus. Je gémissais encore plus fort en sentant mon anus s’ouvrir. Je criais un peu de douleurs, mais bien vite mes muscles se détendaient pour laisser place aux plaisirs. Cette nouvelle sensation si bizarre, si honteuse, mais curieusement quand même agréable, me procurait malgré moi du plaisir. Je gémissais de plus en plus fort en sentant son doigt bouger dans mon cul en même temps son pénis dans mon vagin.
Mes muscles vaginaux se contractaient vraiment trop fort sur ce bon pénis bien dur qui me fouillait encore. Je ressentais quelques douleurs dans mon intimité et j’essayais de freiner Dylan dans ses mouvements en emprisonnant sa taille entre mes bras, et mes jambes appuyées sur les siennes. Mais aussitôt, Dylan releva son torse en se tenant solidement sur ses mains. Mes bras, ne voulant pas lâcher sa taille, entraînèrent le haut de mon corps dans le mouvement, et mon dos se décolla du matelas. Seules mes fesses restaient en contact du lit pendant que Dylan balançait encore plus brutalement son bassin entre mes cuisses tendues par ma jouissance, mais encore bien écartées. Dylan me dit :
— Tiens, prends ça encore !... Prends ça, ma grosse salope de sœur !
A moitié dans le vide, je me faisais carrément voltiger en arrière par les grands coups de reins de Dylan, mes seins se balançaient forts d’en avant et en arrière jusqu’à toucher mon menton, et mes cheveux s’envolaient dans tous les sens. Mon vagin semblait vouloir exploser à chaque coup, et bien sûr je me régalais, de m’être fait pratiquement défoncer. Je désirais surtout continuer à savourer ce bon pénis au fond de mon vagin. Je me laissais donc tomber sur le matelas pour faciliter les mouvements de Dylan. Puis j’écartais de nouveau mes cuisses au maximum en repliant mes jambes au-dessus de mon corps pour lui offrir une pénétration plus profonde. Dylan me pénétrait vraiment fort, et de plus en plus vite. Il admirait encore mieux mes gros seins qui se balançaient tellement fort. Son plaisir montait de plus en plus. Puis il me fixa droit dans les yeux en disant :
— Oh ! Grosse salope !... Je baise ma grande salope de sœur !... Hmmm ! C’est trop bon ta grosse chatte !
Dylan jouissait fort en giclant tout son sperme au fond de mon vagin. Il laissa tomber son corps sur le mien pour terminer de déverser ses dernières gouttes. Il respirait fort dans mon cou, il reprenait doucement son souffle, mais j’étais encore tellement excitée. Je ressentais comme des vagues de plaisirs monter bizarrement dans mon intimité en même temps que du désir dans ma tête. Je serrais les muscles de mon vagin sur le pénis encore bien gonflé de Dylan. Tout doucement, je murmurai :
— Tu viens de baiser encore ta sœur !... Tu m’as encore baisée, petit frère !
Plus je parlais à Dylan, et plus mon plaisir s’accentuait. Dylan ne disait plus rien, il se contentait de m’écouter en bougeant légèrement son bassin entre mes cuisses que je serrais de chaque côté de son corps pour mieux faire travailler mes muscles vaginaux. Je continuai de dire :
— Ta bite est en moi, petit frère !... Je la sens bien là !... Oh oui !... Tu me baises !... Oh ! Je jouis !
Mon corps tremblait fort de jouissance, et je lâchais mes derniers gémissements de plaisirs. Pendant que je reprenais mon souffle à mon tour, Dylan se retira de moi, et se leva pour quitter sa chambre. Il allait certainement se laver. Moi, je restais encore un peu sur son lit en me glissant tranquillement sous la couette pour me reposer. Tout épuisée, je m’endormis.
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