J’arrive à la maison de campagne de tante Sandrine vers 14h. Elle est partie faire quelques courses avec Émilie, comme elle m’avait dit au téléphone la veille. J’entre sans frapper comme à mon habitude. En me voyant, Noémie et Virginie se ruent sur moi et me sautent au cou. Elles portent des shorts très ajustés et des camisoles tout aussi ajustées, qui moulent parfaitement leurs gros nichons, qu’elles pressent sur mon corps. Leurs tétons sont bien dressés et ils déforment le tissu de leurs camisoles sous lesquelles elles n’ont pas de soutien-gorge.Leurs beaux petits culs rebondis attirent mon regard et je ne peux m’empêcher de les tâter tellement ils sont invitants. — Bonjour tonton Robert, me dit l’aînée, Noémie en m’embrassant sur la bouche. — Bonjour ma puce, toujours aussi séduisante, aussi sexy et bandante. Ma main se promène sur son cul parfait et de l’autre main, j’empoigne ses gros nichons que je malaxe avec envie. Ma queue qui n’a pas débandée de tout le trajet de plus d’une heure, prends encore plus de volume. Elle me fait mal tellement elle est dure. — Et moi tonton… tu m’oubli? me dit Virginie en faisant une moue d’écolière, ce qui elle le sait, me fait horriblement bander.— Comment pourrais-je t’oublier ma petite cochonne. Elle approche son visage du mien en sortant sa longue langue pour l’enfoncer dans ma bouche. Ma langue fouille sa bouche de suceuse. Je l’entends gémir doucement. Elle glisse sa main vers ma queue pendant que je caresse toujours les formes de Noémie. Elle frotte l’énorme bosse qui est dans mon pantalon. — Tonton Robert, tu as l’air en forme dis-moi. Tu veux que je bouffe ta queue, là, tout de suite? Il y a longtemps que je ne t’ai pas pompé le dard. J’ai soif de ton sperme chaud. Je veux que tu fasses déborder ma petite gueule de salope de ta semence. — Non ma puce. Tu sais qu’en temps normal, tu serais déjà à genoux devant moi avec ma queue au bien fond de ta gorge comme tu aimes. Mais, tu sais qu’aujourd’hui, mon foutre est pour ta petite sœur. C’est elle qui avalera, c’est elle que je défoncerai aujourd’hui. Tu vas voir ma grosse queue s’enfoncer dans sa petite chatte. Elle est bien préparée comme je l’ai demandé? — Oui tonton, sa petite chatte est bien épilée comme tu les aimes, me dit Noémie, qui elle aussi s’est mise à me caresser la bite par-dessus mon pantalon. Nous dirigeons vers le salon tous les trois. Je n’ai qu’une envie, c’est de les voir à genoux devant moi, en train de bouffer ma queue. Leurs langues s’entremêlant autour de mon gland. Leurs petites mains douces qui me masturbent. Mon foutre s’étalant sur leurs visages, qu’elles lèchent en se fouillant la chatte. Deux belles petites salopes comme je les aime.
Nous nous assoyons sur le canapé et elles se collent sur moi. Je sens leurs gros nichons fermes se presser sur mon corps.Elles m’embrassant dans le cou. Ma queue va exploser. Noémie vient trouver ma bouche et y enfonce sa langue habile. Je revois l’image de sa sœur Virginie qui jouit comme une démone quand Noémie lui enfonce cette langue cochonne au fond de sa petite chatte mouillée. Elle sait y faire ma chienne de nièce pour lécher une fente. Je la repousse quelque peu. Je ne pourrai pas tenir, je vais répandre mon sperme dans mon pantalon. Ce foutre est réservé pour Émilie. — Non Noémie, arrête petite salope… je vais venir… Elle fait la moue. — Je suis toute mouillée… ma chatte est détrempée. Baises-moi… tout de suite… s’il te plaît! Je veux ta grosse queue tonton… ta grosse queue dans ma petite fente… — Tu l’auras ma grosse bite petite chienne… T’es une petite salope, tu le sais? Mais pour l’instant, ce qu’il y a dans mes couilles est pour ta petite sœur qui se fera prendre par tous les trous. Je vais la baiser cette petite cochonne. Rien que d’y penser… Tu as hâte de me voir la défoncer? — Oh oui tonton… j’ai tellement hâte de l’entendre gémir cette petite salope. Tu vas lui en mettre un bon coup hein? Lime là bien… Je veux entendre ses gémissements, je veux l’entendre jouir très fort. En disant se paroles, je remarque Virginie qui commence à caresser l’entre cuisse de sa sœur. — Tu sais tonton, elle est vraiment mouillée la cochonne, me dit Virginie. Sa chatte est brûlante… Tu veux toucher?— Fais-le, toi… continue de la caresser. Je vais me branler en te regardant pour faire monter mon foutre à la limite, avant de baiser Émilie… Noémie qui est branlée par sa sœur, commence à gémir doucement. Elle descend les fines bretelles de sa camisole et libère ses gros seins qu’elle caresse. Elle tire sur ses tétons bien raides. Pour ma part, je sors ma queue de sa cachette. Elle est immense et bien dure. Je commence doucement à me masturber en voyant ces deux salopes qui vont se bouffer la moule. C’est inévitable. Quand elles sont dans cet état, elles deviennent de vraies chiennes en chaleur, se mangent la chatte et j’assiste à une succession d’orgasmes plus violents les uns que les autres. — Oui, Virginie… continue, c’est bon, souffle Noémie à sa sœur. Caresse bien mes lèvres. Ma respiration s’accélère. Je vois Virginie regarder avec envie les gros nichons de sa sœur. Tout en continuant de masturber Noémie, elle s’approche de ses tétons bien durs et les lèche avidement. — Oui, lèche bien mes gros nichons… ah, ma petite salope de sœur, tu sais bien que j’adore… lèche… lèche comme une chienne que tu es. Et Virginie d’y aller à grands coups de langue sur les superbes seins ronds et durs de sa grande sœur, comme un animal qui lave sa progéniture. Noémie les caresse toujours en approchant les deux mamelons l’un de l’autre pour qu’ils soient léché tous les deux. Elle y met beaucoup de salive, ce qui les rend bien luisants, pendant que ses doigts ont écarté le short pour aller caresser directement les lèvres mouillées de l’aînée de la famille. Elle enfonce 2 doigts dans la chatte de Noémie qui respire de plus en plus fort. — Je veux que tu bouffes mon petit cul, là, maintenant, petite cochonne, lance Noémie à sa sœur. Allez salope! Bouffe mon cul. Je veux sentir ta langue dans mon petit cul bien serré. Noémie se lève, me tourne le dos, moi qui suis toujours assis sur le canapé, elle se penche vers l’avant et prend appui avec ses mains sur la table basse du salon qui est devant elle. Elle serre ses jambes l’une contre l’autre, ce qui lui fait un beau petit cul bien rond. Je peux voir un espace de la forme d’un losange entre ses deux cuisses bien bronzées. — Regardes-moi ce cul tonton… n’est-ce pas qu’elle a un superbe cul ma grande sœur? Tu vas lui défoncer son petit cul de salope devant moi? Je vais écarter ses fesses, humecter son trou de balle avec ma langue, l’y enfoncer le plus loin possible pour bien la préparer à ta grosse bite. Et quand tu ressortiras ta queue, tu me la plongeras dans ma gueule de cochonne et je te sucerai jusqu’à ce que tu me la remplisses de ton délicieux sperme. — Oh oui, tu peux être certaine que je la limerai cette salope. Mais pour l’instant, je veux te voir lui bouffer son petit cul comme elle te l’a demandé. Enlève-lui son short… tout doucement. Virginie descend tout doucement le short de sa sœur, et peu à peu, apparaissent les fesses bien bronzées de Noémie, qui commence à se tortiller de plaisir. Quel superbe cul! Bien rond, bien ferme. Virginie lui envoie une bonne claque sur la fesse gauche. Noémie réagit. — Ahhh… mmmm… Tu m’allume. Encore, tape-moi encore. Oui… Une claque retentit sur la fesse droite maintenant. J’ai toujours ma bite à la main, mais j’ai cessé mon mouvement de peur de venir trop vite. Ces salopes me donnent des envies de les défoncer tout de suite. Mais je résisterai à la tentation. J’aurai bien le temps de limer leurs petits trous serrés avant de repartir. — Écarte ses fesses, je veux voir son trou du cul… Virginie écarte les fesses de sa soeur. Tu l’auras bientôt dans ton cul ma grosse queue, petite salope… tu la veux hein? Je vais t’enculer petite chienne comme rarement ça t’es arrivé. Tu en aura pour deux jours à ne pas pouvoir t’asseoir. Je vais t’éclater le fion tellement fort que tu regretteras d’être venue au monde. Je vais te défoncer le cul salope, tu m’entends? — Oui… ahhh… je mouille juste à t’entendre. Virginie, caresse ma chatte… Oui, tu vas me défoncer mon petit cul de salope hein? Redis-le moi, je veux l’entendre encore… ça me fait mouiller… traite moi de salope… encore. Mon esprit s’échauffe. Je lui dis des saloperies comme elle aime. Elle aime que je la traite de salope quand je la baise. — Oh oui, petite salope de chienne de sale pute, tu vas y goûter à ma grosse bite. Et tu sais quoi? Tu vas en redemander parce que tu n’es vraiment qu’une petite salope. Je ne sais pas ce qui me retient de te l’enfoncer jusqu’au nombril tout de suite pendant que ta sœur boufferais ta chatte. Je l’ai à la main ma queue. Elle est dure, bien bandée. Tu la veux, là, maintenant? — Oui!! Maintenant… encule moi tout de suite tonton… encule ta nièce la plus salope… fait exploser mon cul avec ta grosse queue bien dure. Déchire moi… matraque moi… Je me lève en me masturbant, je lui donne des coups de ma grosse bite sur les fesses. Noémie réagit avec un gémissement qui trahit son excitation. Je vois le visage de Virginie près des fesses de sa sœur, regarder ma bite avec envie. Elle fait apparaître le trou serré de sa sœur en écartant ses fesses au maximum. Je présente mon gland sur l’anus de Noémie. Je pousse doucement tout en me masturbant. Virginie regarde la scène aux premières loges. Je la vois passer sa langue sur ses lèvres et en me regardant dans les yeux me dit, — Oui tonton, vas-y, encule là ma salope de grande sœur… pousse ta queue dans son petit trou. Écarte le, agrandi le son petit trou du cul de chienne. Oui, vas-y. Tu veux que je t’aide? Sans attendre ma réponse, la cochonne repousse mon énorme queue qui est prête à défoncer sa soeur, crache sur l’anus de Noémie et se met à le lécher. Elle lui enfonce sa langue bien profondément entre les fesses. Noémie grogne de plaisir. Elle s’agenouille sur la table du salon, et se penche vers l’avant pour aller prendre appui sur ses mains par terre, ce qui fait remonter son beau petit cul bien haut. Virginie qui a retiré sa camisole pour libérer ses gros seins bien ronds, se lève et présente son téton tout dur pour caresser l’anus de sa sœur. — Regarde tonton, elle sera bien prête pour accueillir ta massue. Encule là… tout de suite. Je vais lui enfoncer 3 doigts dans la chatte pendant que tu la lime… Allez… défonce son petit cul de salope. Ah, ce qu’elle m’excite la chienne quand elle a le cul ouvert comme ça. Noémie, se lamente d’excitation. Je vois ses lèvres bien mouillées. Elle enfonce 2 doigts dans sa petite chatte en feu tant elle est excitée par nos propos. — Et toi Virginie, espèce de petite salope, tu vas t’installer entre ses cuisses et tu vas lui bouffer la moule pendant que j’encule ta grande sœur. Virginie s’installe et se met tout de suite à bouffer la chatte de son aînée. Noémie gémit et se met elle aussi à dire des saloperies à sa jeune sœur. — Oh oui, vas-y petite chienne. Lèche-moi, bourre-moi la chatte avec ta langue. Ouvre bien grand, je vais remplir ta bouche de mon jus…. Ahhhhhh… oui…. Ahhhhh salope, tu sais bouffer une chatte toi… je viens…. Avale tout… ahhhh la salope va me faire jouir… Continue petite sœur… Noémie laisse aller un grand flot de jus qui inonde complètement le visage et les gros seins de Virginie qui fouille sa propre chatte. Elle vient elle aussi en même temps que sa sœur. J’approche à nouveau du cul grand ouvert de Noémie, ma grosse queue. Ma respiration est haletante. — Tu es prête salope? Tu la veux ma queue? Dis-moi que tu veux que je te défonce, dis-le moi petite chienne, je veux l’entendre… Dis-le-moi… Lui dis-je en lui donnant trois ou quatre claque sur ses fesses qui commencent à rougir.- Oh oui, tonton, encule moi… je suis ta petite salope… défonce mon cul… maintenant… baise le bien, il est à toi. Tu vois bien qu’il est grand ouvert pour toi? Allez… Défonce le cul de ta petite chienne de nièce… — Oui tonton, rajoute Virginie, elle est bien prête la salope… défonce là…Comme je m’apprête à l’enfiler d’un coup, j’entends : — NON! La suite bientôt
