— NON! C’est tante Sandrine qui vient de crier. — Qu’est-ce que tu fais Robert?— Elle veut que je lui défonce le fion cette petite salope, je vais la contenter. — Tu m’as promis que tu gardais ta décharge pour Émilie, je veux que tu tiennes ta promesse. Je veux que tu l’inonde de ton foutre. Il y a longtemps que je me branle en pensant à cette scène où tes puissants jets de sperme recouvriront son visage et ses gros nichons. Pour l’instant, Émilie est allée à la douche et ensuite fera une petite sieste avant son dépucelage.— Je veux juste l’enculer quelques coups cette petite salope. Regarde, son cul est bien ouvert et elle mouille abondamment la chienne. — NON! Crie tante Sandrine. Je me retire à contre cœur, j’y étais presque. Mon gland touchait son petit trou, je n’avais qu’à pousser pour l’enfiler et sentir son anus se resserrer sur ma grosse bite. Virginie elle, continue toujours de bouffer la moule de sa sœur. Son visage est recouvert de cyprine. Noémie n’en peut plus de jouir. — Ahhhh petite cochonne, que tu me mange bien. Lèche tout, avale mon jus… Laisse-le m’enculer tante Sandrine. S’il te plaît, je veux sa grosse queue en moi qui me laboure le ventre. Juste quelques coups… j’en ai besoin… Je veux qu’il me défonce mon petit cul de salope.— J’ai dit non! Et vous deux, espèces de petites chiennes en chaleur, il suffit que je parte une heure pour que vous ayez le cul grand ouvert à vouloir vous faire défoncer. Vous n’êtes que deux petites salopes… Tu veux te faire enculer Noémie? Eh bien, je vais t’arranger ça. Sur ce, elle quitte vers sa chambre d’un pas décidé. Je regarde toujours le spectacle de Virginie bouffant la chatte de sa sœur. Je me masturbe doucement. Ma queue va exploser. — T’en fais pas Noémie, lui dis-je, elle n’est pas vraiment fâchée. Je crois plutôt qu’elle aurait aimé se faire enculer la salope. Elle est peut-être un peu jalouse. — Allez tonton Robert, juste quelques coups dans mon petit cul serré, il est bien chaud... allez, encule moi, s’il te plaît. J’ai besoin de me faire défoncer…— Désolé ma puce, j’ai promis. Mais après que j’aurai dépucelée Émilie et que je l’aurai inondée de mon foutre, tu l’auras ma queue, je te promets. Je te prendrai par tous les trous. Toi aussi Virginie, je vous défoncerai vos culs et vos petites chattes et vous me sucerez bien à fond. J’emplirai vos bouches de mon foutre. Ma main continue son va et vient sur ma longue queue. Je suis près de l’éjaculation. J’arrête. Sandrine a raison, j’avais promis mon foutre à la petite. Moi aussi, j’ai bien hâte de voir ce spectacle de la petite cochonne recouverte de sperme. Sandrine revient. Elle a passé une camisole ajustée, comme ses nièces et je peux voir les tétons de ses gros seins pointer à travers le tissu. Ses superbes fesses fermes sont nues. Elle est excitée la salope, je le sais. Elle tient dans ses mains un gode ceinture et elle en porte un autre autour de sa taille.
Les godes qui y sont attachés, sont en fait des répliques de ma queue, que j’ai moulée avec ces kits qu’ils vendent en sex-shop. Elles ont chacune leur exemplaire. Je sais qu’elles s’en servent pour se donner du plaisir et je crois que Noémie va payer pour son insolence. — Allez petite salope de chienne, tu veux une queue dans ton cul? Eh bien, tu en auras une. Elle tend l’autre gode ceinture à Virginie. — Tiens, enfile ça, on va la contenter cette petite pute. Tante Sandrine tourne autour de Noémie qui est toujours agenouillée sur la table, avec ses mains par terre. Son petit cul est toujours bien haut. — Alors comme ça, petite salope, tu veux te faire défoncer, lui dit-elle en lui administrant une claque sur son magnifique cul. Et elle continue de lui claquer les fesses à tour de bras, jusqu’à ce qu’elles soient bien rouges. — Tu n’es qu’une chienne, je vais t’apprendre à être insolente.— Oh oui, tante Sandrine, donne-moi la fessée, j’ai été méchante… Je mouille… continue… Tapes-moi bien fort, dit-elle en se caressant la chatte. Je suis une petite pute qui aime se faire éclater le cul… Tu vas me défoncer avec ta grosse queue, hein? — Oui, tu n’es qu’une sale petite pute. Je vais le limer ton beau petit cul, dit-elle en continuant de claquer ses fesses, qui sont maintenant bien rouges. Virginie, qui est maintenant très excitée par les propos de sa tante et par la fessée que cette dernière administre à sa sœur, a maintenant enfilé le gode ceinture que sa tante lui a apporté. Elle caresse doucement ses gros seins en masturbant la fausse queue. Elle a un regard de cochonne. Elle passe sa langue sur ses lèvres en s’imaginant ce qui va se passer bientôt. J’ai repris ma queue en main et je la caresse doucement. De voir tante Sandrine dans cet état, m’excite au plus haut point. Je défoncerais bien sa petite chatte serrée, là, tout de suite. Elle y passera plus tard elle aussi, la salope. Virginie jette un regard vers moi et vers ma grosse queue que je masturbe doucement. — Oh oui, tonton, caresse ta grosse bite, ça m’excite… je vais te sucer cette belle queue jusqu’à ce que tu viennes partout sur mon visage et dans ma bouche… Oh qu’elle est belle et grosse.— Je vais t’arroser de foutre petite chienne, mais pas avant d’avoir enfoncée ma queue au fond de ta gorge et d’avoir baisée ta petite gueule de salope. Tante Sandrine est maintenant très excitée. Je peux voir de la mouille couler le long de ses cuisses. Sa respiration est haletante. Elle s’approche de Noémie et la relève en la tirant par les cheveux. — Tu m’excite petite Noémie, tu le sais ça? Je vais te faire jouir comme tu aimes. Sors ta langue que je la bouffe. Noémie s’exécute et tante Sandrine engouffre complètement la longue langue de sa nièce et la suce comme s’il s’agissait d’une queue. — À genoux et suce ma grosse bite, salope. Virginie, approche ta queue de sa bouche de suceuse. Elle aura de quoi faire.Noémie s’agenouille et Virginie approche son engin surdimensionné de la bouche de sa grande sœur. — Suce-moi petite salope, dit-elle à sa sœur aînée. Noémie bouffe les deux grosses bites de caoutchouc pendant quelques instants, jusqu’à ce que sa tante lui donne d’autres ordres. — Robert, me dit tante Sandrine, ce que j’aimerais sucer ta grosse queue, là, maintenant. Que tu me l’enfonce au fond de la gorge et que tu baises ma gueule de salope. Regarde cette petite pute comme elle suce bien. Oui, suce petite chienne, suce la grosse bite de ta tante, cette bite qui va t’éclater le cul bientôt. Elle tient Noémie par la tête et enfonce son gode de plus en plus profondément dans la bouche de sa nièce. Virginie s’est relevée, est passée derrière sa tante. Elle empoigne les gros seins de la sœur de sa mère et le malaxe avec vigueur. — Oui Virginie, c’est bon. Tu es une bonne petite salope. Masse bien mes gros nichons. Mes tétons pointent, tu les sens? Pince les… étire les. Virginie abaisse les bretelles de la camisole de tante Sandrine et découvre les extraordinaires seins bien fermes de sa tante. La camisole est descendue sur le ventre de Sandrine, qui pousse toujours sa bite dans la gorge de Noémie. — Vas-y tante Sandrine, enfonce la lui jusqu’au fond, dit Virginie en léchant les tétons dur qui s’offrent à elle. — Oh oui, chérie, j’aime quand tu lèches mes tétons tout durs. Ça m’excite. Je mouille. Je deviens de plus en plus salope. Et toi Noémie, petite chienne, tu es prête? Je te défonce ta gueule. Ouvre bien grand. Sandrine prend à deux mains la tête de Noémie et d’un puissant coup de bassin, fait disparaître sa longue queue dans la gorge de sa nièce, qui pousse un petit gémissement. Le nez de Noémie vient se coller sur le pubis parfaitement épilé de Sandrine. — Tiens petite salope, avale ma grosse bite, tu la sens bien au fond de ta gorge?— Mmmmmm… mmmmmmm….— Oh oui, tu la sens bien. Tiens prends ça… et ça… et encore ça… petite salope de chienne… ce que tu me fais mouiller… Tante Sandrine tiens la tête de Noémie comme si c’était un cul et lui enfonce sa bite avec de très violents coups de bassin. Sandrine crie des saloperies comme à son habitude quand elle est très excitée. — Tiens petite chienne, tiens espèce de salope… je te baise la gueule comme si c’était ton cul de pute… Prépare-toi, parce que je vais te déchirer ton petit cul tout à l’heure… tu vas l’avoir dans le fion ma grosse bite. Nom de Dieu de putain de salope de foutue petite chienne, bouffe ma bite connasse, tu n’es qu’une petite traînée de sale pute… Ah ce que j’aime voir tes yeux quand je défonce ta gueule de putain. Ahhh… je viens… Virginie, lèche mon jus… et n’en perds pas une goutte. Lèche, petite chienne. Virginie s’installe entre les jambes écartées de sa tante et lèche la cyprine qui coule le long de ses cuisses et remonte jusqu’à la chatte. Elle se relève et enfonce trois doigts dans la chatte inondée de Sandrine, qui redouble la force des coups de bassin qui enfonce encore plus brutalement son gode dans la gorge de Noémie. J’ai cessé de me masturber depuis un moment, sinon, j’aurais arrosées de mon foutre ces trois salopes qui se donnent en spectacle devant moi. — Dans mon cul petite pute… je veux deux doigts dans mon cul. Virginie s’exécute. — Ouii… ah que c’est bon… plus profondément… pousse… ahhhh que c’est bon… je viens… ahhhh Un autre jet de cyprine mouille les cuisses de tante Sandrine. Après que Virginie l’ait bien léchée, Sandrine retire sa queue de la gorge de Noémie, qui prend une bonne goulée d’air. — C’était bon tante Sandrine, j’ai jouis 2 fois… j’adore quand tu m’insulte pendant que tu me défonce… Je suis une salope comme toi.— Oui, tu es une salope de première… une des plus salopes que je connaisse, lui dit-elle en lui enfonçant sa langue au fond de la bouche. Tu es ma petite pute à moi, ma petite chienne en chaleur. Elles s’embrassent un moment. Virginie regarde la scène un peu en retrait en fouillant sa chatte de ses doigts. Suite bientôt
