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mes compagnes et moi

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
J’ai abandonné la narration de famille reconstituée qui a été pour moi la découverte de nouveaux plaisirs et qui par la suite m’ont orienté vers d’autres horizons érotiques que je vis actuellement depuis 24 ans.
Donc, en 1989/1990, internet n’existant encore pas et venant tout juste de divorcer et me retrouvant seul, un soir de cafard je me connecte sur le minitel rose et j’entre en contact avec une jeune femme de Lyon.
Au cours des dialogues réguliers qui ont duré plusieurs jours j’apprends que la dame en question, âgée de 19 ans passésa connu plusieurs aventures amoureuses avec des hommes mais qu’elle n’en retire rien de bon car elle n’a eu à faire qu’à des goujats qui ont usé et abusé d’elle pour leur seul plaisir, la considérant comme une moins que rien.
Puis de découverte en découverte elle m’apparait comme une femme dominante... Pas vraiment dominatrice, juste dominante, mais dominante avec les femmes et apparemment il n’y a plus que les femmes qui l’intéresse.
Un soir elle n’est pas seule sur le minitel... Sa soeur est avec elle. Une soeur d’un peu plus de 16 ans qu’elle domine sexuellement et que selon ses dires et aussi ceux de sa soeur elle aurait elle-même déflorée avec un gode. Elles ont l’habitude de se "gouiner" et la jeune soeur de se conduire en femelle obéissante vis à vis de son ainée.
Leurs prénoms (pas inventés, ce sont les vrais) : Anne pour l’ainée et Aude pour la cadettte.
Chaque fois qu’elles le peuvent elles s’adonnent à tous les plaisirs saphiques et Aude se laisse dominer, goder, masturber par sa soeur. Lorsqu’elles sortent, toutes deux toujours vêtues comme les jeunes filles de l’époque, légères et court vêtues, Anne oblige sa soeur à sortir sans le moindre sous-vêtement. Elle-même n’en portant pas non plus.
Dans la rue, dans les boîtes, partout où elles vont Anne oblige sa soeur à s’exhiber, à en montrer plus que la morale ne le tolère.
Puis un soir Anne m’avoue qu’elle fantasme depuis longtemps sur sa mère, Martine, âgée de 39 ans. C’est plus dans mes âges car j’en avais 41.
Sa mère, divorcée depuis plus de 10 ans a élevé seule ses filles mais n’a pas pour autant rejeté les contacts avec les hommes et elle a collectionné de nombreux amants.
D’après Anne sa mère est toujours tirée à quatre épingles, toujours très bien mise et toujours très sexy.
Anne voudrait un jour arriver à faire à sa mère ce qu’elle fait à sa soeur, jusqu’à réaliser un autre fantasme, lui pisser dessus... Mais aussi se faire arroser par sa mère. Bref qu’elles s’arrosent mutuellement toutes trois puisque les deux soeurs le font déjà régulièrement quand elles font l’amour ensemble.
Lors de leurs sorties jamais Anne n’a cherché à mettre sa soeur en contact avec des hommes, préférant les "chauffer" en l’obligeant à adopter des poses plus que suggestives laissant voir qu’elle n’avait rien sous sa jupe et sous son tee-shirt. Pour elle sa jeune soeur était "SON" objet et à elle seule pour son seul et unique usage et ses seuls plaisirs.
Pour en revenir aux fantasmes sur sa mère, elle aimerait faire la même chose et "dominer" ainsi sa mère, se vengeant peut-être un peu de ce que sa mère éprouve toujours du plaisir de ses aventures amoureuses alors que pour elle-même se serait plutôt le contraire.
Je ne sais que dire sur mon minitel et même au téléphone car nous en sommes arrivés à nous parler directement au téléphone, mais un soir, alors qu’Aude est à quatre pattes le cul fièrement dressé et qu’Anne la fornique dans les deux trous avec deux godes à la fois, la mère entre par surprise dans la chambre. Elles se croyaient seules, leur mère étant sortie pour se rendre à un rendez-vous amoureux, ce dernier n’ayant eu lieu elle est rentrée plus tôt que prévue.
Surprise ! Martine les traite de folles et demande ce qui se passe.... Comme si elle ne le voyait pas ce qui se passait !...
Puis de pleurs de toutes trois en explications Anne fini par avouer à sa mère ses penchants et sa mère pleurant elle se retrouve à la prendre dans ses bras pour la consoler et tout naturellement elle fini par l’embrasser à pleine bouche.
Vous aurez compris que depuis le temps qu’Anne fantasmait sur sa mère, elle a totalement profité de la situation pour tenter des approches lesbiennes vers sa mère... Cette dernière d’un naturel très sensuel a apparemment répondu au baiser sur la bouche et aurait même laissé la main de sa fille s’aventurer sous sa jupe jusqu’à la lisière de son mini-slip.
Martine avait déjà eu des rapports lesbiens avec une de ses amies et elle s’est laisser aller avec sa fille jusqu’à se dévêtir et nues toute deux à se caresser pendant qu’Aude se masturbait en les regardant.
Plus tard dans la nuit mon téléphone sonne. C’est Anne qui veut me tenir informé de ce qui est arrivé et que je viens de narrer. Elle m’informe qu’elle a parlé de moi à sa mère et que je serais certainement pour elle un possible compagnon de vie et non un amant comme tous ceux qu’elle collectionne depuis 10 ans et que celui-là (en parlant de moi) ne semble pas se conduire comme ceux qu’elle a connu elle-même.
Je ne vous ai pas encore dit qu’Anne n’a toujours fréquenté que des hommes de 20 à 30 ans plus âgés qu’elle, souvent mariés et qui n’ont profité d’elle que comme une petite putain. Dans nos échanges de dialogues je ne l’ai jamais traitée ainsi. Je lui ai naturellement fait part de mes expériences vécues avec une mère, sa fille et sa nièce (voir famille reconstituée) et que moi-même j’éprouvais beaucoup plus de plaisir à faire l’amour avec deux femmes d’une même famille qu’avec deux amies, même très intimes. La situation est toute autre et dans l’acte c’est bel et bien avec deux femmes que je suis et non la mère et la fille. Elles ne deviennent mère et fille que lorsque les ébats érotiques cessent. De plus, comme elles vivent ensemble leurs ébats amoureux, dans le reste de leur intimité elles ne se cachent plus et adoptent des tenues très décontractées et très légères dans l’intimité de leur demeure, ce dont je me réjouis de voir un si beau spectacle, laissant ma main courir sur une fesse ou un sein nus et aussi m’abandonnant à donner un baiser furtif à l’uneou à l’autre sans aucune jalousie émanant de leur part.
Enfin, de discussions en discussions elle amène sa mère à dialoguer avec moi sur minitel d’abord et téléphone ensuite.
Martine, la mère, n’a jamais "recruté" ses amants sur minitel. Elle les rencontre sur le lieu de son travail ou tout simplement dans la rue ou dans les boîtes. Pourtant elle accepte de dialoguer avec moi et nos échanges ne sont pas du tout érotiques. Nous dialoguons comme de bons amis que nous ne sommes pas encore et petit à petit je l’amène à se confier à moi.
Elle a honte de sa conduite avec ses filles. Elle a honte de son comportement. Elle a honte des rapports saphiques avec ses filles alors que dans l’absolu elle aime ça. Avec une quelconque autre femme elle en éprouverait d’intenses plaisirs. Avec ses filles elle jouit fortement lors de leurs ébats mais ensuite, se rappelant que ces deux jeunes femmes sont ses propres filles elle en éprouve de la honte.
Je lui fait part à elle aussi de mon vécu et lui parle des mentalités qui sont différentes des nôtres dans différents pays et que dans certains les mères apprennent à leurs filles dès leur plus jeune âge tout ce qu’une femme doit savoir et faire pour rendre un homme heureux. Cet homme devant être un mari et non une collection d’amants. Les mentalités sont donc différentes d’un pays à un autre, d’un continent à un autre et que par conséquent elle ne doit pas éprouver de honte à celà, d’autant plus que dans l’acte lui-même elle a énormément de plaisir. A tel point qu’elle ne recherche plus de nouvel amant d’un soir ou d’un mois.
Martine fini par m’appeler régulièrement au téléphone à toute heure du jour ou de la nuit et moi aussi et même de notre lieu de travail. 150 kilomètres nous séparent et nous sommes tout deux des bureaucrates : moi assimilé cadre en gestion et elle secrétaire mutilingue de direction. Elle parle pas moins de 6 langues....... Entre nous le langage d’une septième m’intéresse plus, mais par téléphone ce n’est pas possible. Nous devenons de réels amis bien que nous ne nous sommes pas encore rencontrés. Je suis d’ailleurs ami avec la mère et les deux filles, surtout l’ainée. Je n’ai que très peu de contacts téléphoniques avec la plus jeune.
Malheureusement, les dialogues d’Anne sur minitel ont attiré des prédateurs et elle se laisse aller à faire des confidences avec quelqu’un habitant Lyon comme elles. Elle avait tendance à tomber amoureuse de ce dernier et il fini par avoir son adresse. Il débarque un jour en "conquérant" et d’emblée soumet les trois femmes à ses ordres, autant pas le commandement que par la violence et le sadisme. Il prends des photos d’elles et les menace de les divulguer si elles ne font pas ce qu’il veut. Si elles ne lui obéissent pas.
Il les baise violemment toute trois, les violente et les soumet à tous ses désirs par la menace de la divulgation au grand jour de leurs photos et de leur vie qu’il qualifie de dépravée.
SE sentant prises au piège elles finissent par lui obéir mais Anne, peut-être plus forte et plus confiante réussi à s’éloigner de la "coupe" de cet homme et part habiter chez son père, laissant sa mère et sa soeur sous la domination de cet homme qui les prête à de nombreux hommes.
Aude, peut-être moins niaise qu’il n’y parait au vu de son jeune âge fini vite par en tirer des avantages. Elle dénonce sa mère qui ne veut pas accepter certaines pratiques ce qui vaut à cette dernière de recevoir une véritable rossée et à Aude d’être récompensée par son "maître" qui lui fait l’amour devant la mère. Elle accepte tout de lui et se réjoui de s’adonner devant sa mère aux pratiques les plus dissolues. Martine se sent descendre au fond d’un gouffre dont elle ne pourra plus sortir.
Pourtant un soir, près de minuit, elle m’appelle au téléphone et ose me confier son désarroi. Elle ne voit plus Anne qui lui manque et là elle éprouve vraiment de la honte. Plus la honte qu’elle éprouvait lors des premiers ébats saphiques avec ses filles. Dans quelques jours sera le week-end du premier mai. Le premier mai tombe cette année là un jeudi et il va donc y avoir. D’habitude lors de ponts, elle et ses filles partaient à Montélimar chez les parents de Martine mais depuis que le bonhomme les a sous sa coupe elles n’y vont plus du tout car il a besoin d’elles pour les offrir à des copains. Elle me demande si je vais pouvoir venir chez elle car si je suis là il n’osera pas venir et si je lui fais comprendre que c’est moi qui suis maintenant dans la place il la laissera. Martine avait réussi à confectionner un dossier sur cet ignoble individu. Il était marié et semblait mener une double vie.
Nous ne nous sommes toujours pas rencontrés et si je viens passer ces 4 jours chez elle ce sera notre première rencontre et il n’est pas du tout pressenti que je dorme dans la chambre d’ami.
De plus, comme Anne aimait mes contacts téléphoniques, elle espère qu’éavec moi elle reviendra chez sa mère et que la vie pourra reprendre comme avant mais avec un complément..... C’est difficile à admettre mais le complément c’"est moi et Martine accepte et désire que je fasse l’amour autant à ses filles qu’à elle mais à la condition que ce soit lors d’ébats communs et non lorsuq je suis seul avec les filles car alors elle aurait l’impression d’être "trompée", alors qu’elle a appris à aimer faire l’amour avec ses filles et qu’elle aimerait beaucoup qu’on le fasse tous ensemble dans la bonne complicité qui s’est installée entre nous par les voies téléphoniques.
J’accepte. Je l’avoue, autant par le désir de la tirer d’un mauvais pas que par le désir de vivre une nouvelle expérience érotique des plus enrichissantes. Sauf que moi je ne suis ni dominateur ni sadique.
J’ai moi-même des enfants et normalement je devrais les avoir ce long week-end mais je m’arrange avec eux et mon ex femme pour ne pas les prendre. D’ailleurs je les voie souvent, autant quand moi j’en ai envie ou bien que ce soit mes enfants qui ont envie de me voir. Mon ex femme me reçoit chez elle comme un simple ami et je la reçoit aussi chez moi comme une amie et ceci pour le plus grand bien de nos enfants. Papa et maman ne vivent plus ensemble mais il n’y a pas de guerre entre eux.
Mon fils, pas si candide du haut de ses 10 ans dit à sa mère : "Papa a une amoureuse, il va la voir". Il ne savait rien, je n’ai jamais parlé à personne de Martine. Pourtant il avait raison.
Bien qu’il n’y ait que 150 kilomètres qui nous sépare Martine me demande de venir en train et qu’elle viendra ma chercher à la gare. Il est difficile de circuler dans Lyon pour le campagnard que je suis.
Rendez-vous est pris pour une arrivée de train en garde de Perrache pour le mercredi vers 15 heures.
Le sadique est venu le soir. Me voyant il a perdu de son assurance. Il est vrai que j’en impose par ma seule stature. Au vu du dossier constitué sur lui par Martine il a vite rendu les photos prises par lui et est reparti la queue entre les jambes m’abandonnant la place. Nous n’avons plus jamais entendu parler de lui.
Le week-end a été long et truffé d’ébats érotiques. Même Aude ne s’est pas plainte de l’absence du sadique et je l’ai autant baisée et enculée devant sa mère que je l’ai fait à sa mère devant elle.
Vous saurez tout et bien plus encore car là je n’avais pas encore convaincu Anne de revenir vivre avec sa mère......... Et moi, mais plus tard......
A bientôtOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
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