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Mes 6 cousines

Chapitre 1

Adolescence et retrouvailles 15 ans plus tard

Inceste
Je suis Julien, garçon de 33 ans, de 1.78m pour 65 kilos avec une silhouette normale, ni gros ni musclé. Je vis dans l’ouest de la France vers Nantes et je suis chauffeur routier depuis environ huit ans.
Je suis issu d’une famille modeste, ma mère a sept frères et sœurs et seulement une de mes tantes et un oncle sont toujours en contact avec ma mère. Ma tante est le genre de femmes qui n’a jamais travaillé et qui a fait huit enfants pour les allocations. Les huit enfants (mes cousins et cousines) n’ont jamais eu de repères. La plupart ne savent pas lire et écrire. Ils étaient tous livrés à eux-mêmes et ils ont tous manqué cruellement d’amour. Dans ses huit enfants ma tante a eu quatre filles. Quatre filles âgées maintenant de 30 à 37 ans. Quand nous étions ados nous avions tous l’habitude d’aller en vacances chez notre grand-mère, certains de mes cousins n’étaient pas encore nés ou trop jeunes pour que ma grand-mère les supporte. Nous étions donc souvent nous cinq ou avec mon oncle qui à seulement trois ans de plus que moi. Tous les six nous passions nos journées à traîner dans les champs, les granges pleines de paille où nous partions des journées entières à la pêche.
Vu que c’était souvent pendant les grandes vacances d’été, nous avions l’habitude de dormir dans le jardin de notre grand-mère, dans une grande toile de tente qui avait quatre chambres. Le problème c’est que nous n’avions que deux matelas et nos cousines n’étaient pas très rassurées à l’idée de dormir seules dehors en pleine campagne. Nous avions donc tous décidé de dormir à trois par chambre, en faisant un garçon et deux filles pour rassurer nos cousines...
A ce moment-là j’avais 18 ans et je dormais avec ma cousine Julie qui en avait 18 aussi et sa sœur Audrey qui elle en avait 20. Le premier soir il pleuvait à grosses gouttes mais ça allait car il n’y avait pas d’orage. C’était par contre très compliqué de réussir à dormir car le bruit de l’eau qui tombait sur la tante était infernal, c’était tellement bruyant que nous étions obligés de parler fort si on voulait se faire entendre. Au moment de nous coucher, nous nous sommes tous dit bonne nuit et nous avons tous utilisé les chambres vides chacun notre tour pour nous changer pour la nuit. Mon oncle et moi étions tous les deux en caleçon et t-shirt et nos cousines étaient, elles, toutes les quatre en short, débardeur ou t-shirt. Rien de sexy ou provocant mais c’est assez moulant pour deviner leurs courbes et la taille de leurs seins. Toutes les quatre ont un physique totalement différent. Ça vient du fait que leur mère couchait avec deux de ses voisins !
Nous savions tous que Julie et Audrey étaient du voisin de gauche et Florence et Natacha de son vrai mari. Mes deux belles cousines qui avaient choisi ma chambre étaient des femmes physiquement plutôt fines mais avec les formes qu’il faut là où il faut. Leur vrai père est espagnol et je peux vous dire qu’elles avaient des fesses à la J-lo ! Julie avait des petits seins environ 85B si je compare à mon ex. Par contre Audrey, elle, je ne pourrais pas donner de taille mais ils étaient énormes ! Je savais qu’il me fallait deux mains pour en tenir un entier !
Donc après cette longue journée à flâner dans champs nous sommes tous partis nous coucher, j’étais au milieu de mes deux cousines, j’étais sur le dos et chacune d’elles me tournait le dos. Je sentais leurs fesses posées sur le côté de mes cuisses. Avec le bruit de la pluie je n’arrivais vraiment pas à m’endormir alors je réfléchissais à diverses choses quand d’un coup je me suis mis à penser aux fesses de mes cousines, je ne sais pas pourquoi cette pensée m’était venue car ça n’était jamais arrivé. A force de laisser mon imagination se promener dans ma tête, j’ai commencé à avoir une érection très dure, je n’arrivais pas à la contrôler alors j’ai essayé de la coincer entre mon nombril et l’élastique de mon caleçon quand tout à coup Julie se retourne et pose sa tête sur mon torse. A voix basse, j’avais chuchoté, Julie ? Tu dors ? Je ne savais pas si ma belle cousine latine à la peau dorée par le soleil dormait ou si c’était la pluie qui l’empêchait d’entendre mes chuchotements.
J’avais décidé de la laisser dormir ainsi...Après tout elle était juste posée sur mon torse, rien de grave, rien de sexuel...Mais je dois vous avouer qu’apparemment c’était suffisamment grave pour que mon imagination reparte de plus belle ! A force d’avoir cette érection mon élastique comprimait ma bite qui à l’époque faisait déjà 18 centimètres sur quatre de large (mes copines de l’époque en étaient très satisfaites !) Le problème c’est que je ne pouvais pas trop bouger pour ne pas les réveiller. Mon bras droit était bloqué à cause de la tête de Julie et mon bras gauche était coincé entre Audrey et moi. Ne supportant plus cette douleur j’ai décidé de me décoincer d’Audrey et de libérer mon chibre de cet étranglement ! Ce mouvement fit soupirer et bouger Julie. J’avais peur de la réveiller et qu’elle découvre que son cousin était en train de bander comme un cheval au milieu de ses deux cousines mais toujours bien endormie (ou pas !) Julie posa sa main sur mon ventre, à quelques centimètres du bout de mon gland !
Quand je dis quelques centimètres ça ne dépassait pas les deux centimètres car je sentais la chaleur de sa peau sur le bout de mon gland. J’étais tétanisé, je n’osais plus bouger de peur de passer pour le pervers de la famille ! Plus j’imaginais qu’elle bouge et le découvre plus je grossissais et plus je grossissais plus je me rapprochais de sa main posée sur moi. Au bout de quelques secondes Julie bougea encore et ce qui devait arriver arriva, ma queue était posée sur poignet ! Je ne sais pas si c’est le contact de sa peau qui faisait sursauter ma bite, mais elle était bien là, dure comme du bois en train de tapoter le poignet de ma cousine ! A peine dix secondes plus tard ma cousine se mit à me chuchoter dans l’oreille : t’as fini de me taper ?! Je sais qu’aujourd’hui j’ai été vilaine à t’embêter mais il y a un meilleur moyen de me punir tu sais ?! Je ne savais pas quoi répondre !
Je sentais dans la pénombre à quel point mon visage était rouge, mais à ce moment, et voyant que l’idée d’être perçu comme le pervers de la famille était réglée, j’ai décidé de lui répondre : si je te punis comme tu le mérites vraiment ta sœur va se réveiller ! Apparemment Julie avait très faim car à ce moment j’ai vite compris que ne pas prendre son pied cette nuit-là n’était pas au programme ! Comme réponse Julie se glissa sous le drap et avala d’un coup mon sexe épilé jusqu’à pouvoir mettre des coups de langue sur mes couilles, c’était ma première gorge profonde, ma petite Julie avait réussi à avaler les 18 centimètres d’un seul coup et je suis sûr que même 20 ça ne faisait pas peur ! Ce soir-là je remercie le ciel de nous envoyer des tonnes d’eau pour camoufler ses bruits de salive et d’étouffement !
Elle continua comme ça de longues minutes à faire des va-et-vient baveux avec sa seule main libre et sa bouche, je sentais sa salive me couler dans la raie des fesses, j’adorais ça, cette pipe goulue, cette pipe de chienne comme je n’en avais jamais reçu ! Avant que ça mâchoire lui dise stop, elle se retourna sur le côté et posa sa raie des fesses le long de ma cuisse, je sentais ses fesses s’appuyer et s’ouvrir contre ma jambe et je savais qu’elle, ne s’était pas retournée pour essayer de dormir ! Non ! Julie passa sa main derrière elle et me fit comprendre qu’il fallait aussi que je tourne...
J’avais bien compris ! Évidemment que j’avais compris ! Mais passer à l’acte, je savais qu’il n’y aurait pas de retour en arrière...Mais l’excellente pipe qu’elle venait de me faire me fit vite me tourner ! Ni une ni deux, Julie empoigne ma queue et la pose à l’entrée de sa chatte lisse comme le verre, d’un coup elle m’attrapa les fesses et m’enfonça au plus profond d’elle, sans à-coup, sans hésitation. Cette petite chatte était serrée mais tellement humide que je pouvais la limer sans faire un seul mouvement, elle m’avait dit dès le premier coup de reins : Ne bouge pas, c’est moi qui bouge sinon Audrey va se réveiller. Sans broncher j’ai tout de suite obéi, je n’ai plus bougé mes hanches seulement mes mains...
J’avais un bras sous elle avec la main qui touchait, pinçait ses tétons et l’autre main qui tenait son coup mais sans trop serrer, juste qu’elle sente que même si je ne bouge pas cette nuit-là, j’ai bien l’intention de la démonter dès que je pourrais ! Dans cette toile de tente en plein été c’était un four, on avait enlevé discrètement nos vêtements et c’était si bon de sentir sa peau lisse se remplir de frissons quand je la touchais du bout des doigts. Sans changer de position Julie accélérerait et gémissait la tête dans l’oreiller. Pour l’instant Audrey dormait bien, enfin je l’imagine donc on continuait d’être discret tout en prenant notre pied. Au bout de plusieurs minutes et les multiples coups de reins de ma galopeuse préférée, j’explosai dans sa chatte serrée. (Julie m’avait demandé de le faire car elle prenait la pilule) je n’osais pas me retirer car je savais que tout coulerait dans les draps.
Alors tous les deux blottis l’un contre l’autre on reprenait notre souffle sans bouger, quelques instants plus tard Julie me chuchota qu’elle n’avait jamais pris son pied comme ça car les seules choses qui étaient rentrées dans sa chatte étaient le gode de ma tante Sylvie. Sur le coup cette révélation me fit ricaner et comme réponse je lui répondis : à partir de maintenant c’est moi ton gode ! Tu peux t’empaler dessus quand tu veux ! Je ne sais pas si c’était la fatigue de cette petite séance de cul ou la fatigue de la journée qui nous avait exténués mais nous nous sommes endormis comme ça quelques minutes après. Le problème c’est que nous étions nus, l’un contre l’autre et s’endormir comme ça sans s’en rendre compte à côté d’Audrey c’était vraiment une mauvaise idée ! Au petit matin, la pluie s’était arrêtée et nous dormions encore tous bien quand j’entendis tout doucement un petit chuchotement dans mon oreille me disant : ça va ?
Vous vous êtes bien amusés tous les deux cette nuit ?!
J’ouvris tout de suite les yeux et me cachai avec le drap en me retirant de contre Julie. J’étais effrayé, je ne savais pas quoi dire du tout, c’était impossible de nier quoi que ce soit. Me voyant tétanisé Audrey me fixa avec un sourire et toujours en chuchotant mais cette fois avec une voix différente de d’habitude me dis sans complexe : j’ai tout entendu cette nuit, la pluie m’a empêchée de dormir tout comme vous, j’avais la même idée en tête que Julie mais elle a été plus rapide ! Ce soir c’est mon tour t’as pas le choix ! Pendant qu’Audrey me parlait Julie se réveillait et souriait de la situation et des paroles de sa sœur. Pour briser la glace, Julie m’embrassa et pour me rassurer de la situation elle m’avoua leurs secrets ! :
— Si ça peut te rassurer c’est Audrey qui me met le gode de maman et ça dans tous les trous ! Tu sais même celui que tu as oublié hier soir ! — Je je... Je savais pas désolé...
Tout en rigolant de mon bégaiement elle continua et rajouta :
— On le fait souvent, sauf qu’on veut aller plus loin sans passer pour des chiennes au lycée. Pour tout te dire ça fait des mois qu’on prévoit que tu sois notre cobaye ! Ça ne te dérange pas ?! Moi jeune de 18 ans, en pleine puberté et une faim de sexe H24 je ne sus quoi répondre à part un OK accompagné d’un sourire !
Cette matinée annonça le début d’un été riche en découvertes de nos corps, riche en soirées à deux, à trois puis à six ! Si ça vous intéresse n’hésitez pas à le dire le chapitre deux est déjà prêt Le chapitre 1 est sur notre jeunesse en 2002, le plus intéressant ce sont nos retrouvailles, Julie, Audrey et moi en 2019 ! Si ça vous intéresse aussi, n’hésitez pas !
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