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Mes cousines et moi

Chapitre 1

Inceste
Cette histoire débute à la fin de mon adolescence.Je me présente, Dam, j’ai 17 ans. Je suis brun avec des yeux bleus (dont je suis assez fier), je mesure 1,69m et suis plutôt chétif à lunette. Je suis ce que l’on appelle: un intello pas très à l’aise dans son corps. Depuis mon plus jeune âge je vis avec mes parents, mon oncle, ma tante et mes jumelles de cousines dans un grand mas perdu au fin fond de l’Ardèche. Depuis le collège, mes cousines et moi nous suivons une scolarité par correspondance. Et si je vous ai dit que l’ont m’appelle intello, ce n’est pas pas vantardise mais parce que bien qu’ayant un an de moins, mes cousines et moi passons le bac en même temps.
Mes cousines c’est Julie la brune, 1m70, à la poitrine plutôt généreuse sur un corps fin un peu dans le style de Jennifer (la chanteur). Et Cloé la blonde, même taille, même corps mais à la poitrine ne dépassant pas le bonnet B et encore elle plutôt dans le style d’Enora (la chroniqueuse TV). Oui de fausses jumelles. Mes cousines et moi avons grandi ensemble et été élevé comme frère et sœurs depuis que nos parents ont acheté ce mas pour y développer leur activité de séminaires pour entreprises. Le Mas était immense avec une partie privative pour nous les enfants, une pour mon oncle et ma tente et une pour mes parents. Depuis que j’ai 12 ans mes cousines et moi sommes élevé dans ce petit paradis ou nous ai donné notre autonomie et notre liberté en dehors des 4h par jours ou nous devons suivre les cours prodigués par ma tante, ancienne prof de lycée.
Depuis quelques années nos parents nous envois plusieurs mois chez notre grand mère, en Martinique, pour l’aider car elle y tien une grand maison d’hôtes. On aide notre grand mère, on profite de la mère et on est pas trop coupé de la civilisation par le même occasion car la maison de notre grand est moins loin de la ville que le Mas de nos parents.
Mes cousines ne sont pas particulièrement pudique avec moi, nous vivons entre nous, nous avons grandi ensemble et nous sommes éprit de liberté alors il est devenu régulier qu’elles se promènent seins nu en shorty dans notre partie de la maison. Au début je n’y prêtait pas spécialement attention mais depuis quelques mois ça provoque des émois en moi. Il faut dit que si notre éducation à distance ne soufre d’aucun reproches, notre éducation sexuelle à prit du retard. Nos parents n’en dise pas mots et nous en savons que ce que nos livres nous apprennent. Jusque là pour ma part ça ne me travaillait pas plus que ça mais de plus en plus je m’intéresse à l’anatomie de la gente féminine la plus proche de moi, Julie et Cloé.
Nous somme en Juin. Cette année nous ne sommes pas allé en Martinique rejoindre notre grand mère car la priorité c’est le Bac. Mais c’est notre grand mère qui nous rejoins, pour fêter ça avec nous si nous l’avons et elle en profite pour passer quelques examens de santé en Métropole. Tout ce passe bien pour mes cousines et moi!! Nous avons notre Bac avec mention. Malheureusement le plaisir est gâché, nous apprenons que notre grand mère à une maladie rare. Les médecins doivent la garder en Métropole. Toute la famille est effondré par cette nouvelle, mais ma grand mère, battante, est plus préoccupé par le sort de sa maison d’hôte et de ses clients que de sa santé. Les médecin parle d’un traitement à long termes, ils ne sont pas prêt de la laisser retrouver sa maison et sa plage. Comme on le fait toujours en cas de problèmes, on est soudé et on organise de conseil de famille pour trouver des solutions. Il est envisagé de prendre une gérance ou du personnel, mais ça coute chère et ma grand mère ne veux pas laisser ça maison à des étranger. Les parents ne pouvant pas délaisser leur propre activité plusieurs mois, une seule solution c’est imposé d’elle même et nous réjouissait mes cousines et moi... Nous allions vivre plusieurs mois en Martinique tout les 3 et y tenir la maison d’hôte de notre grand mère.
Nous voila donc parti tout les 3, ont s’envole pour de belles aventures....
Après 6 heures de vole nous atterrissons à l’aéroport de For de France. Nous récupérons les bagages et sautons direct dans un taxi. Durant les 40 minute que nous mettons pour rejoindre la maison, nous étions sur excité mes cousines et moi. Nous faisions des plans sur ce qu’on allait pouvoir faire... Ma grand mère n’avait pas prit de réservations avant un mois, nous avons donc un mois de vacances! Nous voila enfin devant cette grande maison. Ont cours tous à l’intérieur et Julie, qui à l‘habitude de prendre le lead nous lance :
- Pour baptiser comme il se doit notre nouvelle vie ici, on saute direct dans la piscine ça vous dit ? - Moi : Euh, mais je n’ai pas mi mon maillot - Julie : On s’en fout on est entre nous...
Et elle commence à se déshabiller et courir vers la piscine, je les suivais donc avec bonheur, ne perdant pas une miette de leur rapide effeuillage sur le chemin. Quel bonheur de contempler ces deux corps sublime. Julie sauta directement dans la piscine avec entrain, Cloé elle était plus prudente et se pencha en avant pour se mouiller avant. C’est à ce moment là que j’ai pu voir sans superbe vulve... vous vous doutez bien que j’ai accélérer le pas pour sauter à mon tour dans la piscine afin qu’elles n’aient pas le temps de remarquer l’état dans lequel m’a mit cette courte séance de reluquage.
Une fois dans l’eau je faisait durer le plaisir en m’offrant un petit exercice de nage en apnée afin d’observer encore un peu plus mes sublimes cousines batifoler sous l’eau. Julie elle était toute rasée alors que Cloé avait laissé un très fin duvet blond au dessus de ses lèvres toutes lisses elle.
Je due finir par remonter à la surface, et la s’engagea une batailles d’éclaboussures, je me défendais avec énergie mais les des soeurs se sont liguaient contre moi et j’ai été contraint de rendre les armes. Elles sautèrent de joies et se jetèrent sur moi pour me taquiner et me chatouiller. C’est là que Julie pu se rendre compte de mon état d’excitation elle se recula d’un pas et me dit :
- Mais Dam, tu bandes? - Euh... oui... je suis désolé, mais vous êtes tellement belles et nues, je suis désolé... - C’est pas grave mon Dam... mais c’est pas la première fois que tu nous nue - ben je connais votre poitrine, mais ça fait quelques temps que je vous ai pas vu toutes nue et vous avez bien grandi et moi aussiet Cloé demande : - et on te plait - oui vous êtes tellement belleelle se regardèrent et me dire en coeur en me prenant dans leur bras : - Oh mon Dam Elle me serraient fort, je sentait leur poitrines contre la mienne et mon sexe toujours tendu frottait contre leur bassin. Elle posèrent chacune un gros baiser sur mes joues.
Puis Julie se recula à nouveau et me demanda : - Dis on peut la voir ? - Comme ça toute dure ? - (en coeur à nouveau) Oh oui allez s’il te plait - ... D’accord mais vous vous moquez pas - Promis Je sautas pour m’installer sur le rebord de la piscine
- Julie : Ouah elle est grosse - Moi : Je crois pas, pas tant que ça - Cloé : A moi aussi elle me parait grosse, ça te fait mal quand tu es comme ça? - Moi : Non sauf si ça dure trop longtemps, mais vous en avait jamais vue avant? - Julie : Non, et moi aussi je commence à être excité à te voir comme ça, pas toi Cloé - Cloé : si c’est vrai moi aussi - Moi : Ah oui c’est vrai? je suis content je suis pas tout seul, dis je en riant et tout le monde se mit à rire - Julie : Et pour que ça passe tu te masturbes? - Ben oui la plupart du temps - Julie : Nous aussi on se masturbes, souvent en le fait ensemble avec ** - Cloé : mais euh ça ce dit pas.. - Julie : Ben c’est Dam et il a sa bite tendu devant nous
tout le monde rigole à nouveau
- J : Ca vous dirais qu’ont se masturbent tous ensemble ? - moi : Pour de bon??? - C : Euh je sais pas trop moi - J : allé, fais pas ta timide, Dam a bien voulu nous montrer sa bite tout dure, on est tout les trois excités, ont va pas se mentir on a tous envie de se masturber là... autant le faire ensemble...
Ont sait tous regardé sur ces paroles pleine de vérités et de simplicité, et sans ajouter plus de mot ont s’est dirigé vers la maison.
Arrivé dans le salon, Julie et Cloé s’installèrent sur le canapé, moi je pris le fauteuil pour mieux les voir. Mes mains tremblent, mon cœur bat la chamade, je ne sais plus quoi dire, tant j’ai la gorge sèche. Elles se prennent les mamelons entre leur doigts et commencent à les rouler. Ils deviennent durs comme de petits diamants. Elles soupirent de plus en plus, m’observent, je me masse la bite, l’enserre et imprime un rythme.Elles approchent leurs mains de leur chattes, en écarte les lèvres, et font saillir un petit bouton tout rose et dur planté au-dessus des lèvres.
— Ça, dit Julie en mettant son doigt sur ce petit bouton, c’est mon clitoris. Il est très sensible et gonfle quand je joue avec. Regarde. On va le faire grossir et il va sortir de sa gaine. Quand il sera bien excité, on jouirai comme des folles.
De leurs index, elles le caressent doucement. Elles soupire. leurs yeux se ferment et leur respiration se fait plus courte. Le spectacle m’excite au plus haut point. Comme je suis assis, nu sur le fauteuil, ma bite dressée, bandée et droite comme un bâton mais je n’ose plus la toucher car je sens mon foutre bouillonner et je serais vite prêt à exploser. Julie et Cloé continuent leur manège. D’une main, elles se frottent le clitoris et de l’autre, elles tirent sur leur mamelons qui sont devenus comme des cerises.
— J : Regarde comme ont se caressent. C’est toujours ainsi qu’ont fait. Voir ta bite dressée, m’excite très fort.— C : Oh oui moi aussi
En effet, comme de petites larmes, des gouttelettes transparentes s’écoulent doucement des lèvres de leur chattes. Je veux me pencher vers elle pour recueillir dans ma bouche cette boisson inconnue, mais j’ose pas.
- J : Oh ! Quelle belle bite tu as. Comme elle est grosse. Oh oui ! Je vais jouir. Je me fais jouir avec mes doigts. C’est bon, tu sais. Je m’en vais, Dammmm ! Ouiiiiii ! Ta bite, mon Dam ! Ta bite va donner son jus? Laisse-toi aller. Jouis, mon Dam ! Jouis bien avec nous. - C : Et moi, je m’envole. Ça y est ! Ça y est ! Je jouiiiiis ! Je jouiiiiis ! Aaaaaaaaah ! Je jouiiiiiiis ! Toi aussi, tu jouis ? C’est délicieux !
Et c’est l’explosion. Mon foutre jaillit brusquement tandis que celles-ci, tremblant de tous leur membres, s’affale sur moi en râlant de bonheur. Je vois des chandelles partout. Nous restons un moment sans rien faire. Je les regarde et je vois leur magnifiques sourires et leur yeux qui me regardent tendrement.
Julie est la première à se remettre. Elle se lève, m’aide à me relever et me serre contre elle. Je sens ses seins se presser.
— J : Ouf ! Que c’était bon.
Cloé vient nous rejoindre et nous serre fort. Cette étreinte, nue, me redonne de la vigueur à mon sexe qui n’avait pas beaucoup faibli. C’est tellement fort, tellement d’émotions que mes jambes ne me tiennent plus. Je suis obligé de lâcher cette étreinte pour me rassoir sur le fauteuil.
- J : Mais tu bandes encore, c’est fou? - C : Ah mais oui! C’est fou! - moi : oui désolé les filles, mais c’est tellement excitant, vos corps, nous trois. - J : Tu voudrait nous baiser? - Hein? Euh... quoi?... mais... je sais pas... - J : Moi je crois que j’ai envie de te sentir en moi - C : Moi aussi je crois...
Je reste sans voix.
- J : tu sais en plus nous somme vierge mais le docteur dit que nous n’avons plus notre hymen a cause de l’équitation.En disant ça elle s’approche, me chevauche, prend mon sex avec sa main et le dirige vers sa chatte encore trempée. Je commence à la sentir. C’est une sensation folle.Cloé n’en perdait pas une miette, elle observe tout une main a nouveau sur sa chatte.Julie est prête à enfoncer ma pine en elle. Elle la saisit et la dirige vers sa grotte d’amour. Elle se frotte le clitoris avec mon gland tout violet en poussant des gémissements de plus en plus sonores. Brusquement, je lui saisit les hanches, et l’attire sur moi. Ma bite pénètre profondément.Julie lance un «Oh» penchant sa tête en arrière Elle remonte et se lance dans des mouvements de va-et-vient d’abord lentement puis de plus en plus rapides.- moi : Oh oui ! Oh ouiiii ! Oh ouiiiiiiii ! Encore ! Encore ! Plus fort ! Plus vite ! Va plus vite, ma Julie. - Julie : Oh mon Dam j’aime ça, ta grosse bite dans ma minette. Je te sens bien, tu es fort, tu es gros et ta bite m’emplit toute ma minette. Oh ! Que c’est bon ! C’est divin. Encore. Je vais jouiiiiir. Ça y est ! Ça y est ! Mon Dam, je jouiiiis ! Je jouiiiis ! Je jouiiiiiiiiiiiis ! Aaaaaaaaaaahhhhhh ! - Cloé : Oh moi aussi!!!! Accélérant encore ses caresses
Je me laisse aller et pour la seconde fois en une heure, je jouis bruyamment en lâchant dans la chatte si chaude, le jus qui me reste dans en réserve. Elle tombe sur moi, épuisée et la respiration haletante.
Nous sommes restés là pendant un moment à parler de tout et de rien. Nous nous sommes promit de découvrir ensemble tout les plaisirs de l’amour.
A suivre...
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