Cette soirée avec mes deux quinquagénaires est une révélation pour moi, je suis initié aux plaisirs entre hommes et la pénétration anale me plait extrêmement. Je vois Audrey et Thierry très régulièrement. Je me sens très à l’aise avec eux et je n’éprouve plus aucune gêne en leur compagnie. Je dois malgré tout vous avouer que la plupart du temps, c’est Thierry que je vois, Audrey est souvent absente ou alors nous nous voyons sans la mettre au courant. Thierry fait mon éducation sur les rapports homme / homme. Comment bien sucer une queue, comment préparer un cul pour la pénétration, comment se faire un lavement, les préliminaires, etc. Rien n’est laissé au hasard et je le soupçonne de faire durer les leçons pour abuser de moi.Cette éducation se veut très ouverte à mes envies. Je suis autant actif que passif et je me régale de ces nouvelles expériences... J’écoute mes envies, je laisse aller mes pulsions. Un jour, je prenais Thierry, il me guidait dans ma façon de faire, comment branler un homme quand on l’encule, à l’instant où j’ai senti qu’il venait alors que je l’enculais avec force, je me suis retiré de son cul pour le sucer et recueillir son sperme en bouche. Je n’ai plus de tabou et je ne me fixe plus de limite. Du moins, c’est ce que je pensais à ce moment... Fort de ma complicité avec Thierry, il m’a invité à une soirée où des amis doivent nous rejoindre. Cette soirée n’est rien d’autre qu’un gang bang organisé pour sa femme Audrey et la femme d’un de ses amis. Nous serons huit hommes pour deux femmes. Un programme des plus intéressants. J’arrive à la maison d’Audrey et Thierry, tout le jardin est éclairé, la piscine brille de ses vaguelettes et un buffet est installé sur la terrasse. Je salue les hôtes de la soirée. Thierry me briefe sur le programme de ce soir et nous avons les invités et moi, interdiction de rentrer dans le salon transformé en love room pour l’occasion. Les autres invités arrivent et nous faisons connaissance. Les gens sont agréables et tous des personnes habituées de ce genre de mise en scène. Nous sommes tous habillés légèrement et impatients de nous amuser. Audrey est toujours aussi belle et classe, elle porte des dessous noirs sur un corps halé. Sa copine qui vient de nous rejoindre avec son homme est elle vêtue d’un cache maillot transparent fendu dans le dos, très décolleté devant et laissant apparaître les seins généreux et la chatte toute lisse de la divine Carole, belle brune typée méditerranéenne aux yeux verts et aux formes généreuses. Comme à leur habitude, Thierry et Audrey n’ont pas lésiné sur le buffet, tout y a été choisi pour se détendre et inhiber les plus timides... Les feelings se créent et la température monte très vite dans le jardin, une fois le dernier homme arrivé, Thierry sonne une cloche pour nous inviter à passer au salon et prendre connaissance de la suite du programme.La déco de la pièce est comme toujours une réussite, un mélange de noir et de rouge, des accessoires sont posés sur une table, menottes, fouet, cravache et godes en tous genres. Au milieu de la pièce, deux tables en forme de croix avec des liens aux extrémités afin de pouvoir attacher les membres d’une personne. La simple vue de cette pièce me fait frémir et je bande déjà. Thierry nous invite à nous dévêtir, alors que Carole et Audrey commencent à se caresser et s’embrasser... Toutes les queues se retrouvent à l’air libre et dressées fièrement. Les deux lionnes n’y sont pas étrangères. Thierry nous encourage à nous rapprocher des deux déesses pour leur tendre nos tiges afin de combler leur appétit de queues. Je ne peux m’empêcher de regarder les autres hommes... Il y en a pour tous les goûts, large, longue, tordue veinée, épaisse, et, une d’entre elles attire mon attention, une queue digne d’un film porno plus de 20 centimètres et une largeur certaine... Les femmes ne sont pas là pour les contempler comme moi et les bites se retrouvent très vite à fouiller les bouches des deux amazones, quand elles ne sont pas à se faire lustrer par la salive des deux complices, les tiges se font astiquer par les mains expertes... On entend juste la musique de fond tant la tension des hommes est palpable. Un parfum de baise flotte dans la pièce, enivrant, excitant et bestial... Le premier round comme s’amuse à le décrire Thierry est un atelier fellation avec cum shower.Les pipes se font plus profondes, plus intenses et les premiers jets de sperme viennent arroser la flamme de ces dames. Certains hommes arrivent à reprendre de la vigueur en quelques minutes et arrosent à nouveau celle qui n’avait pas eu ce plaisir. L’odeur du foutre monte à nos narines et la température continue de monter. De mon côté, je m’applique à baiser la bouche de la belle Carole, lui tenant la tête de mes deux mains et allant buter au fond de sa gorge tout en regardant Audrey essayer d’avaler l’énorme queue de notre étalon d’un soir. Je me surprends à m’imaginer être à la place de cette coquine et cela suffit à me faire jouir dans la bouche de ma partenaire d’un soir. A ce même moment, je remarque que l’étalon a tout remarqué de mon regard porté sur son énorme sexe, son sourire ne laisse aucun doute sur le fait que ce n’est pas pour lui déplaire. C’est le moment qu’il choisit pour se retirer de la bouche d’Audrey et se rapproche de nous et dit : — Quelqu’un souhaite me sucer et me faire jouir ? En effet, c’est le seul à ne pas avoir giclé. Thierry nous annonce que nous allons faire une pause et invite tout le monde à repasser au jardin afin de préparer la suite... Trop excité par cet engin, je regarde Carole répondre à cet homme si bien monté: — Viens par là, je suis curieuse de savoir si je vais réussir à la faire disparaître... Il ne perd pas une seconde et glisse son sexe brûlant dans la bouche ouverte et se met à me fixer du regard. Tout en malmenant Carole, il me murmure : — Je pensais un moment que tu la prendrais toi, Thierry m’a dit que tu es une bonne suceuse. Ses paroles m’excitent au plus haut point, l’étalon continue de pilonner la belle brune, pris par son élan et son envie de jouir, il dépasse à plusieurs reprises les limites de la pauvre Carole qui les larmes aux yeux passe à deux doigts de vomir tant il ne l’a pas ménagée. Elle se redresse et part vers la salle de bain. Je me retrouve face à face avec ce mec terriblement bien monté et tout autant frustré de ne pas avoir pu jouir... Dans ces moments d’excitation, on ne réfléchit guère, je décide de le soulager de ce fardeau, me mets à genoux devant lui et prends son énorme queue en bouche. Elle est énorme et brûlante, j’ai du mal à écarter les lèvres pour la recevoir, je ne peux m’empêcher de saliver abondamment, nous trempant tous les deux. Bien qu’il soit très excité par la fellation que je lui fais, je le sens maladroit, il ne sait pas où poser ses mains et a du mal à se lâcher complètement, alors pour l’aider à venir et surtout me soulager de ce monstre qui me tend les lèvres, je lui saisis les fesses, glissant un doigt dans sa fente pour lui titiller la rosette. Le résultat ne se fait pas attendre, après quelques va-et-vient dans ma bouche, je le sens se contracter et son jus se répand en moi, je le laisse encore un peu aller et venir le temps pour moi de tout avaler son jus, puis retire sa queue encore gonflée pour lui lécher le gland et en aspirer les dernières goûtes... — Tu vois au final, je l’ai bien prise ta queue ! Il me sourit, et au moment où je lui tourne le dos pour sortir dans le jardin, il me lâche un claque sur la fesse : — J’espère que j’aurai l’occasion de prendre autre chose que ta bouche ce soir ! Je ne lui réponds pas, trop excité par ses paroles et vais me chercher un verre pour calmer mon envie...
