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Mes débuts dans le libertinage.

Chapitre 9

Gay
Je rentre de cette folle soirée, le cul encore endolori, le ventre tremblant et la queue frémissante...Qu’est-ce qui m’arrive, je viens de m’offrir à plusieurs hommes, je leur ai servi de vide-couilles...Le pire c’est que je sais au plus profond de moi que j’aime ça.
Tout le long du trajet de retour, je ne cesse de me poser des questions sur ma sexualité, sur mes dérives et mes envies à venir. Je rentre chez moi, file sous la douche avant de me coucher dans mon lit sans parvenir à trouver le sommeil.Les jours suivants, je décide de couper un peu avec Thierry et Audrey. J’ai besoin de souffler et de me retrouver.
Je décide donc de consacrer plus de temps à mes passions que sont le basket et la pêche.Nous sommes début septembre et la saison du calamar va commencer sur Marseille. Mon meilleur ami m’appelle et me propose de nous retrouver sur un spot très réputé pour cette pratique.J’accepte immédiatement et prépare mes affaires afin de pouvoir m’y rendre à la sortie de mon travail.A 18h00, je quitte mon poste et file sur notre coin, en chemin je reçois un message de mon pote qui m’annonce qu’il a un peu de retard... Qu’importe, je trépigne d’impatience et je me réjouis déjà de pouvoir profiter à nouveau au bord de l’eau.
Je gare la voiture, attrape mon sac et ma canne et commence à marcher sur le petit chemin qui me mène à mon rocher préféré. Les journées encore longues et la météo clémente et douce font que les lieux sont encore assez fréquentés...
Le coin de pêche de ce soir s’appelle le « mont rose », lieu connu des Marseillais pour accueillir des culs nus. La pêche se pratiquant à la tombée de la nuit, je n’y croise presque jamais personne, sauf que ce soir, je suis arrivé plus tôt qu’à mon habitude. Je monte ma canne tout en regardant ce qui se passe autour de moi, je constate des va-et-vient, des échanges et des pratiques un peu plus décomplexées qu’à l’accoutumée. Peu importe, je suis venu pour pêcher, je ne me laisserai pas distraire, du moins c’est ce que je pensais...
Après quelques minutes et deux calamars mis au sec, je décide de boire un peu, j’ouvre mon sac pour prendre ma bouteille d’eau et je m’aperçois qu’un homme se tient à quinze mètres de moi, était-il là quand je suis arrivé ? Je ne sais pas. Il se tient derrière moi, lunettes de soleil au nez, torse nu laissant apparaître un corps très velu, un paréo autour de la taille peine à dissimuler son sexe tant il se tient les jambes écartées. Une de ses mains caresse son entrejambe en regardant dans ma direction. Je profite pour appeler mon pote afin de savoir où il est, il me dit être en chemin, je me remets donc à pêcher, mais je ne peux m’empêcher de penser à cet inconnu qui semble se caresser en m’observant.
Plus le temps passe et plus je pense à ce mâle juste derrière moi qui m’offre ce spectacle, je jette de temps en temps un coup d’œil pour regarder s’il est toujours là... Je dois vous avouer que cela commence à m’exciter, il continue de me fixer tout comme sa main continue de caresser son sexe... je me tourne à nouveau pour le regarder et je le surprends à me faire signe. Je suis tétanisé moi qui ai pourtant fait bien pire... je me tourne à nouveau et aucun doute il m’invite à venir avec sa main libre, à ce moment-là je laisse mes pulsions prendre le dessus, je pose ma canne et pars vers cet inconnu.
Je dois être franc avec vous, il n’est vraiment pas excitant, poilu, trop, les cheveux longs, barbu, rien qui ne pourrait me donner envie de cette folie, pourtant je m’approche de lui et sans lui adresser un mot, je le regarde se branler, une fois à côté de lui, je lui attrape sa verge demie molle, m’agenouille devant lui et commence à le sucer, l’homme surpris se laisse aller à ma fougue et profite de cette pipe face au coucher de soleil.
Le lieu, le fait que mon pote soit sur le point d’arriver, les voyeurs qui se rapprochent pour contempler le spectacle qui s’offre à eux, tout cela me dresse le sexe dans mon short au point de ne plus pouvoir rien dissimuler. Mon inconnu d’un soir quant à lui ne semble pas prendre en vigueur. Il sort de son silence pour me demander de retirer mon short, d’une main il attrape mon sexe gonflé et de l’autre il se glisse entre mes fesses, je bande comme un âne, il me prend en bouche et commence à me sucer tout en me fourrant deux doigts dans mon cul accueillant. Les voyeurs sont plus nombreux et plus proches, la fièvre s’empare de moi, je saisis les cheveux de mon suceur d’une main, je lui mets des petites gifles avec la seconde, la température monte, ses doigts insistent en moi avec plus de vitesse, mon bassin donne des coups bélier dans sa bouche.
Je ne tiens plus, je lui demande de se mettre à quatre pattes, il lâche mon sexe, retire ses doigts, prend la position que je lui ai demandée, sa rondelle face à moi, je me penche pour la lécher et la préparer, la visite de mes doigts, de ma langue, parfois les deux en même temps, il crie et se cambre, tout en poussant son cul contre moi pour m’encourager à la visiter plus en profondeur.
Je suis comme un animal, je ne réfléchis plus et laisse aller mes instincts, je n’ai qu’une envie, le prendre, là, devant tous les voyeurs qui nous matent et s’astiquent devant nous.
Je me redresse, fais tomber complètement mon short et mon caleçon sur mes chevilles pour mieux présenter ma tige face à ce cul qui m’est offert, je pose mon gland gonflé sur son trou déjà bien dilaté, je n’ai pas besoin de beaucoup forcer pour glisser en lui tant il est ouvert, je lui saisis sa queue par dessous et commence à le branler tout en commençant à le malmener, je tape au fond de son cul sans retenue, synchronisant les mouvements de ma main à ceux de mon bassin, je sens que mon inconnu peut en accepter plus, avec ma main libre je glisse mon pouce entre son cul et ma verge, le résultat ne se fait pas attendre, il se met à crier comme une chienne, l’instant est divin, bestial, il ne ma faudra pas longtemps pour me décharger dans son cul. Je continue de le limer tant que mon sexe ne diminue pas, je suis surpris de rester ferme si longtemps, il crie de plus en plus fort, se cambre de plus belle, gémit avant de jouir sur les rochers.
C’est le moment que je choisis pour me retirer, le retourner pour l’asseoir sur les fesses et lui sucer sa queue dégoulinante. Une fois son sexe nettoyé, je me redresse et lui présente le mien, il le gobe et le suce pour le nettoyer de tout le sperme qui reste de ma jouissance, je le biffle comme pour le remercier, lui glisse une petite gifle accompagnée d’un petit "merci ma salope, tu peux te rhabiller et te casser". Il s’exécute, je m’habille et retourne à mon rocher.
Cinq minutes plus tard, mon pote arrive, tout surpris du monde qu’il a croisé sur le chemin. Je ne lui dis rien de ce qui s’est passé.
Je n’ai jamais autant aimé pêcher que ce jour-là !
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