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Mes débuts de fille

Chapitre 2

Mon apprentissage

Travesti / Trans
Après avoir franchi le pas de ma féminisation et de mon dépucelage en tant que fille, je poursuis dans cette voie, entre les jolis habits, le maquillage, les faux ongles, j’étoffe ma garde-robe, et je cherche la compagnie des hommes et de leur concupiscence.
Rapidement, mon vieux vicieux qui m’a pris mon pucelage et m’a violé la bouche me relance. Comme à son habitude lorsqu’il me parle, il ne s’embarrasse pas des manières et me bouscule en me parlant de manière très crue. Ce qui à vrai dire, ne me laisse pas indifférente.
Après avoir longuement discuté avec mon vicieux pervers et m’être fait traiter de catin, de pute, de vide couille, celui-ci fixe un rendez-vous pour continuer mon apprentissage. Rendez-vous pris, je dois arriver chez lui en fille et apprêtée. Ma tenue a été choisie par lui pour la circonstance : cuissardes noires en vinyle, bas résille, string ficelle, soutien-gorge et porte-jarretelles en vinyle noir, une petite veste légère en vinyle, ma perruque rousse, un maquillage appuyé avec un rouge à lèvres très rouge et de faux ongles rouge flashy. Me voilà donc apprêtée comme la plus vulgaire des filles de trottoirs.
Je fais attention en sortant de mon immeuble afin de rester discrète, ma tenue de péripatéticienne en dit long sur mes activités à venir. Je rejoins mon véhicule et pars chez mon souteneur pour la nuit.
Arrivée là-bas, personne dans la cour, je sonne donc apprêtée, une légère brise caressant mes fesses très peu couvertes. Il m’ouvre, me dévisage, me fait un grand sourire, apparemment, ma tenue a l’effet escompté. Il me lance un « salut putain » qui devient à présent naturel venant de sa part. Je pénètre chez lui, son chien vient renifler mes cuissardes, je tourne la tête dans le salon et là, je vois un autre homme qui me dévisage de haut en bas. Il lance à mon pervers « tu as raison, c’est une belle pute ». Je suis prise au dépourvu. Je ne m’y attendais pas. Mon vicelard me met une claque sur le cul et me dit dans l’oreille « tu es une pute et une pute ça vide des couilles, quand il y en a pour un, il y en a pour deux ». Me voilà bien assignée à mon rôle et à ma tenue. Le deuxième se rapproche de moi, et me tâte, le cul, les seins, comme une marchandise. Il se plante devant moi et me dit d’un air autoritaire « allez, bosse salope, branle-moi avec ta bouche espèce de traînée » tout en appuyant fort sur mes épaules, ce qui me force à m’agenouiller.
Je me retrouve devant un sexe assez long qu’il s’empresse de fourrer dans ma bouche en appuyant fort sur ma tête.La pénétration est soudaine et je hoquète en me prenant son gland dans la luette. Je prends tout doucement la mesure de cette bite et commence à m’activer à mon rythme pour bien la prendre en bouche et aller le plus loin possible. Le deuxième larron a également sorti son sexe, toujours aussi épais, il me tripote le cul pour ensuite me saisir la tête et de nouveau me faire aller et venir de force sur la bite de son comparse. Me voilà en train de sucer, voire engloutir avec une vitesse folle ce chibre, la bave s’accumule sur sa bite, elle dégouline sur mon haut, ma jupe, mes bas, les deux compères se félicitent de me voir salie.
Une fois ce traitement terminé. Mon pervers s’assoit sur le canapé, me met à quatre pattes et m’enfourne sa bite dans la bouche en s’allumant une cigarette. Me voilà donc dans une position plutôt dégradante, je suis une vulgaire pompeuse qu’on prend et que l’on jette juste pour s’essuyer la bite et se vider les couilles. Mais cette image m’excite au plus haut point.
Mon premier baiseur de bouche de la soirée a écarté mon string et fourré une grande langue dans mon cul, elle est chaude, moelleuse et très baveuse. J’astique avec ma main et ma bouche tant bien que mal le gros chibre de ce mâle dominant, j’utilise ma bouche littéralement comme un sexe que l’on pilonne pour faire réagir mon fumeur et lui montrer de quelle pipe je me chauffe.
Peu à peu, je me laisse envahir par la chaleur de cette langue dans mon cul, je jette un œil à mon second salaud, celui-ci n’est plus accroché à mon cul, il a son chibre en main et encourage le chien qui me fourre littéralement le cul avec sa langue, seconde surprise de taille, je suis à la merci d’un chien, les deux ont décidé de m’avilir. Le premier en finissant sa cigarette me prend par les cheveux, en profite pour me cracher au visage et explique en rigolant que je suis maintenant une bonne chienne. L’autre protagoniste en profite pour me claquer le cul, me crache sur la rondelle et me dit « tu es lubrifiée pouffiasse, maintenant on va te bourrer le cul ».
Mon cracheur me retourne, et appuie son gland sur ma raie et commence à appuyer dessus, afin de bien m’immobiliser, il met son pied sur ma tête. Je suis donc le cul en l’air, la jupe relevée avec son gland qui commence à m’ouvrir et la face contre le carrelage maintenu par son pied. Je suis vraiment considérée comme un sac à bites, ce qui provoque en moi une montée de chaleur dans mon ventre, sur mes joues et à l’intérieur de mon cul qui s’ouvre tout doucement.
Mon beau diable en profite et s’immisce, me voilà donc enculée. Il me relève et me fait coulisser jusqu’à la garde de son membre. La pénétration est un peu rude et douloureuse. J’essaye de reprendre mon souffle. Le deuxième en profite alors et s’engouffre dans ma bouche ouverte et enfonce sa bite jusqu’aux couilles. Je suis à présent en prostituée, assise sur un vieux vicieux qui m’encule et un autre qui me baise la bouche. Je suis prisonnière de ces deux satyres, mes bas, ma jupe sont maculés de petites traces de bave de mes fellations forcées, et le crachat de mon mac dégouline sur ma joue.
Les deux commencent à me pistonner en rythme comme s’ils jouaient un match de tennis, l’un me donne un coup de reins vif dans le cul pour me faire avaler la bite de l’autre, son comparse lui renvoie la politesse en mettant un coup de gland au fond de ma gorge pour me faire coulisser sur la bite du premier. Je suis souillée par ces deux cochons, mais toute excitée d’être leur chose.
Après avoir été visitée par tous mes orifices tour à tour, les deux me regardent, sentant la jouissance arriver. Le premier ayant déjà joui sur mon visage la fois précédente en profite que je sois occupée avec le chibre de l’autre pour enlever sa capote. Il me regarde avec un grand sourire et me balance « une connasse comme toi, on les remplit » il remet sa bite au fond de mon cul et recommence à me limer, l’autre salaud me baise littéralement la bouche pour arriver à la jouissance.
Je le sens se contracter, mais je suis toujours secouée à travers mes entrailles par mon vicieux en chef, le premier en profite, sort sa bite de ma bouche et me propulse trois longs jet saccadés de sperme en plein sur le visage. Il a bien joué son coup et m’a complètement refait le maquillage. J’en ai partout et ça dégouline sur mes vêtements, mes bas, ma jupe, mes bottes. Mon cochon le plus vicieux est toujours en train de me pilonner le cul et me secoue comme un cocotier. Je sens sa verge qui grossit. Il se contracte, s’agrippe à moi fermement, je sens son gland grossir dans mon cul, puis soudain, une chaleur par vague m’envahit. Le salaud se vide longuement en me traitant de tous les noms. Son sperme chaud remplit mon cul.
Nous reprenons nos esprits, mes deux coquins sont satisfaits du tour qu’ils m’ont joué. Pour ma part, je suis souillée en intégralité, mon visage, mes vêtements, mon cul est dégoulinant de foutre, ce qui me rend joyeuse. Les deux me félicitent à leur manière. « Tu es une bonne tapineuse » me lancent-ils en ouvrant une bière. « Tu es faite pour essorer des queues et vider des couilles ». J’en profite pour aller à la salle de bain nettoyer mes bottes, ma jupe, ma veste, le top, on refait un joli maquillage porno, et je redescends pour continuer à discuter avec eux, le cul encore rempli de foutre.
Cette soirée a tenu toutes ses promesses.
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