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mes dix huit ans

Chapitre 8

Hétéro
Daniel rentra dans la soirée,il ne fut même pas étonné de nous trouver toutes les deux nues sur le lit en train de nous faire des caresses.-Ah ! mes petites vicelardes,dit ilIl défit sa ceinture puis baissa son pantalon,son vit bandait déjà dur comme fer.-Laquelle je vais enfiler en premier ?Ma langue était toujours plongée dans la fente de Sonia,c’est moi la première qui sentis le dard rentré dans mon ventre.J’en fut très satisfaite car cela me fit un bien énorme.-Oh oui mon salaud ! bourre moi,défonce moi,une bonne queue c’est justement ce qui me manqué.Ma langue aspirée la cyprine de Sonia de plus belle,elle se tordait de plaisir.-Lèche moi ,ouiiii c’est bon,enfonce la loin,profondément,suce moi ma chérieTout en me baisant Adrien passa ses mains sous ma poitrine et se saisit de mes tétons,il les roulaient entre ses doigts. Sa queue entrait et sortait pour replonger encore plus loin en râpant les parois de mon intimité. J’explosais littéralement de plaisir au moment ou il lâcha ses jets de sperme au fond de moi. Sonia gigotait elle aussi comme une damnée sous ma langue,elle jouit pratiquement en même temps que nous. Après avoir honoré également son épouse par son petit trou,Adrien nous proposa de reprendre des forces en allant dîner dans un petit resto qu’il connaissait sur les bords de la Marne.L’idée était excellente ,quelques dizaine de minutes plus tard nous étions tous les trois dans la voiture.Le restaurant était très intime,Daniel demanda une table dans le fond. Une fois installées il nous dit:-Alors mes salopes,vous vous êtes bien éclatées sans moi aujourd’hui ?-Très bien,nous avons joui toutes les deux comme des folles,dit Sonia en me faisant un clin d’oeil,et toi tu as fait quoi ? demanda Sonia-J’ai été au ciné-Je suis sûr que tu as peloté quelques chattes,m’écriai je-Exact,tu as deviné,c’est mon défaut que veux tu !-Et tu ne te fais jamais rembarrer ?,demandais je-Si bien sur,cela m’arrive,mais très rarement. Tu sais,j’ai de l’expérience et je sais faire mouiller une femme dès les premières secondes ou je la caresse,et crois moi,dès qu’une femme commence à couler elle est prête à tout. Daniel,je le sentais ,avait envie de raconter quelques unes de ses aventures et Sonia l’y encouragea. -As-tu déjà doigté une femme accompagnée.-Oui,plusieurs fois même et cela m’est arrivé aujourd’hui !-Raconte nous alors,lui dis je-Pour que ça marche il faut aller voir un film policier ou un film de guerre,car les hommes sont plus intéressés par l’écran que par leur partenaire. Cette après-midi j’avais repéré un couple dans la trentaine,j’ai tout de suite remarqué que la femme était assez chaude car elle n’arrêtait pas d’embrasser l’homme pendant le film et celui-ci visiblement ennuyé,essayait de la repousser gentiment. Je me suis dit qu’ils avaient sûrement baisé avant de venir voir le film,lui devait avoir les couilles vidées alors qu’elle semblait encore être en chaleur. J’ai donc changé de place et suis allé m’asseoir à côté de la dame en question. J’observais le mari ,il était à fond dans le film et n’avait même pas remarqué que je m’étais mis assis à côté de sa femelle. Ensuite j’ai attendu un passage très sombre du film et j’ai posé ma main sur le genou de la femme,de suite elle a tourné la tête vers moi mais n’a pas enlevé ma main. Je suis resté sans bouger pendant un instant puis je suis monté vers le haut de quelques centimètres,elle me regarda à nouveau quelques secondes puis tourna sa tête vers l’écran. Il y avait deux solutions possibles,elle ne disait rien car elle avait peur de l’esclandre ou alors tout simplement, cela lui plaisait. Je continuais donc et passais ma main sous sa jupe,je la sentis imperceptiblement frissonner.. Elle tourna la tête vers son mari puis me regarda à nouveau à la dérobée. Enfin j’atteignis son entrecuisse,je sentis la présence d’une toison,en plus elle n’avait pas de dessous. Avec mon index je lui touché le haut de sa fente,elle écarta légèrement ses jambes,ce qui me permit de descendre mon doigt sur sa vulve,elle mouillait. J’écartais ses lèvres du bout du doigt puis je l’enfonçais en elle. En la regardant,je m’aperçus qu’elle avait les yeux fermés et qu’elle se mordait les lèvres,apparemment elle était plus vaginale que clitoridienne. Je bougeais mon doigt en elle comme une petite bite,je sentais sa cyprine couler sur ma main. Soudain ses jambes tremblèrent et elle retira ma main,elle se leva et se pencha vers son homme pour lui dire:-Chéri ,il faut que j’aille aux toilettes.
Celui-ci fit un signe de la main pour dire qu’il avait compris. Le film avait,pour l’instant, plus d’importance pour lui que le bien-être de sa femme. J’attendais un instant puis me je me levais à mon tour. Arrivé devant les toilettes pour dames j’ai patientai un petit peu ,au cas ou quelqu’un sortirait ou voudrait rentrer. Personne! je suis donc entrer,il n’y avait pas âme qui vive, toutes les portes étaient ouvertes sauf une. Je m’en approchai et dis à voix basse:-vous êtes là ?Aussitôt la porte s’ouvrit ,une voix de femme me dit:-viens vite je t’attendais.Je rentrai vite fait ,elle était là déjà complètement nue,ses habits gisaient au sol roulés en boule. Elle m’attira contre elle en me disant:-Viens petit vicieux tu m’as mis le feu dans le ventre il faut l’éteindre maintenant.J’avais tiré le gros lot,en plus elle avait une paire de seins pointues comme je les aime et un cul de négresse. Je baissai mon pantalon et sortis ma bite,elle s’agenouilla de suite et l’engouffra direct. Elle me pompa comme une morte de faim, j’étais tombé sur la reine de la pipe,sans vouloir vous offensées mesdames nous dit il.Je sentais mon foutre qui commençait à monter.-Si tu continues comme ça,je vais jouir de suite,lui dis je-Tu vas pas jouir tout de suite,me dit elle ,tu vas d’abord me ramoner la chatte,j’en ai trop envie,et après tu cracheras ton foutre.Elle se retourna,prit appui sur le rebord de la cuvette avec ses mains et me tendit ses fesses.-Allez viens ,prend moi,dépêche toi.Je ne me fit pas prier,je l’attrapais par les hanches et d’un grand coup de rein je me suis enfoncé en elle jusqu’à la garde. Elle poussa un ahhh de satisfaction.-Purée que c’est bon,elle est bien grosse,vas y défonce moi avec ton pieu.Je la pris comme un sauvage,elle se mordait une main pour ne pas hurler.Je ne mis pas longtemps pour lui envoyer ma liqueur. Aux contractions de son vagin sur ma bite je sentais qu’elle jouissait elle aussi. Je me suis retiré d’elle puis elle s’est tourné vers moi pour m’embrasser.-C’était rapide ,mais excellent,j’en avais vraiment envie,merci. Allez va t’en maintenant,peut être qu’on se reverra.En écoutant Daniel raconter son histoire je m’étais doigtée jusqu’à la jouissance mais en plus une idée avait germée dans mon esprit. -Tu fais ça avec des femmes de tous les âges-Oui,la plus vieille avait la soixantaine,elle était chaude comme la braise car son mari ne pouvait plus la baiser. Elle était encore vachement bien foutue.-J’ en connais une,un peu plus jeune et je sais que son mari ne la touche plus non plus.Mais elle est un peu coincée,côté cul par contre c’est un volcan. Ca te dirait ?-Moi tu sais,à partir du moment que c’est un bon coup. Elle est bien foutue ?-Oui,elle a de gros seins au moins du 95 E et une belle chute de reins,en plus elle est rousse naturelle-Hummm,rousse !je n’ai pas encore à mon tableau de chasse,en plus il paraît que ce sont des chaudes d’après la légende. Ok ça marche. C’est pour quand ?-Je vais voir ça et je te tiendrai au courant-Et moi ? je fais tapisserie ! dit Sonia-Tu inviteras Adrien pendant ce temps là,lui dit Daniel-Oui ,pourquoi pas, je m’ennuierai moins si j’ai son gros calibre sous la main,ou ailleurs !,dit elle en souriant.
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