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mes dix huit ans

Chapitre 14

Avec plusieurs hommes
Silence de cathédrale dans l’assemblée,la surprise passée Daniel réagit en premier :-Putain de merde! tu te rends compte Adrien ,on a baisé la mère et la filleEt voilà,tout ce que je ne voulais pas entendre. Les larmes perlèrent de mes yeux. Sonia vint vers moi -Calme toi Carole,ne le prends pas comme ça,c’est super d’avoir une mère comme la tienne. Moi,cela aurait été mon rêve. Tu te rends compte de ce que vous partagez toutes les deux,jusqu"à votre vie sexuelle,c’est formidable!Je séchais mes larmes puis la regardais :-tu crois?,tu es sincère quand tu dis ça ?-Mais bien sur que je le suis,elle savait que tu allais venir,ça ne l’a pas empêchée de s’éclater en t’attendant-Elle a raison ma chérie,j’ai simplement fait ce que tu m’as conseillée ce matin,rappelle toi tu m’as dis "vis ta vie" et bien c’est ce que je fais maintenant. J’ai voulue essayer les mêmes choses que toi,c’est bien ce que tu avais l’intention de faire en venant ici ce soir,il me semble. Grâce à toi ces deux derniers jours j’ai connue des jouissances comme jamais dans ma vie. A présent je suis même en avance sur toi donc à toi de jouer pour que nous soyons à nouveau à égalité.-Mais maman,je n’ai pas l’intention de me faire baiser par ce clébard !-C’est ce que j’ai pensée aussi en le voyant la première fois mais maintenant j’ai changé d’avis,je recommencerai . Allez Carole déshabille toi;-Oui,à poil Carole,à poil Carole,à poil Carole chantèrent les trois mâles en coeur.-Je ne sais pas,répondis je-Attends,on va t’aider nous,dit alors l’homme au chienIl s’approcha de moi puis commença à déboutonner mon chemisier-Bas les pattes!Tu me touches pas,connard! Et vous non plus,dis je en regardant les autres.-Je pense qu’elle a besoin d’un petit coup de main,dit alors maman aux autres.Il n’en fallait pas plus pour déclencher la curée,les trois mâles se jetèrent sur moi et je me retrouvais nue en un rien de temps.-Vous êtes des cons ! vous me touchez plus,c’est compris! hurlai je-oh mais ne t’en fait pas ,nous on ne te fera pas de mal, me dit DanielIl m’attrapèrent , je fus coucher sur le dos au sol,le plus costaud me tenait les bras derrière ma tête tandis que chacun des deux autres me tenait une jambe en les écartant au max. Adrien dit à Sonia-Ça te dis un petit abricot tout fraisElle se coucha entre mes jambes ouvertes et commença à me lécher ma vulve.-Salope,salope arrête hurlai jeMes cris au lieu de l’arrêter ,l’encouragèrent elle redoubla d’ardeur. J’essayai de me débattre mais ces salauds me tenaient fermement,lorsque Sonia s’attaqua à mon clito mon cerveau réagit de suite en me faisant pousser un gémissement.-Elle aime ça cette chienne commenta Adrien
Je me débattis à nouveau pour lui prouver le contraire,mais je savais qu’il avait raison. Sonia,à force de me connaître savait le genre de caresses qui me faisait réagir.Daniel appela maman:-allez viens donner un coup de main à Sonia,viens lécher ta fille pour lui faire du bien.-Non pas ça! dis je en essayant de mettre de la motivation dans ma voixMaman s’accroupit à mes côtés puis me caressa la joue:-Je t’aime ma petite fille ,je ne veux que du bien pour toi,me dit elle,pendant que sa main descendait sur un de mes seins pour se saisir du mamelon. Elle s’employa à le faire se dresser en le malaxant entre ses doigts. Cette caresse plus le soin que mettait Sonia à me fouiller la chatte avec sa langue,m’arracha un râle de plaisir. Maman remplaça ses doigts par sa bouche ,me téta mes seins l’un après l’autre,puis sa bouche descendit lentement vers mon mont de vénus en me donnant de petits baisers qui m’électrifiaient à chaque contact de ses lèvres sur ma peau. Elle arriva enfin à destination ,lorsque sa langue toucha le capuchon de mon petit bouton,j’eus un soubresaut de tout le corps. Au point que les hommes faillirent me lâcher, d’ailleurs c’est ce qu’ils firent se rendant compte que je venais de capituler sous les assauts de maman et de Sonia. Deux vinrent s’occuper de mes tétons,chacun en tétant un,Adrien vint s’agenouiller derrière ma tête et me posa sa grosse queue sur le visage. Je relevais ma tête en arrière pour engouffrer son gland dans ma bouche. Cinq personnes s’occupaient de mon corps,c’était divin. Je ne voyais plus les femmes,maman me dit alors :-je vais décapuchonner ton clito et le prendre dans ma boucheAussitôt ,aussitôt fait,je poussais un long râle en la sentant m’aspirer,décupler par le fait que ce soit ma mère qui me prodigue ce plaisir. Je ne mis pas longtemps à jouir,mon corps se tendant en arc de cercle ,sous ces multiples caresses. Je retombais au sol sonnée comme un boxeur,mais les bouches continuaient à me déguster,je voulais avaler la bite d’Adrien qui était dure à souhait ,mais ma position ne me le permettait pas. Je ne pouvais que lui aspirer son gros gland et lui lécher sa hampe,ce que je faisais avec frénésie.Les bouches des hommes sur mes seins me quittèrent remplacées par celles des femmes qui continuèrent le traitement infligé à mes mamelons mais avec infini plus de douceur,ce qui me fit gémir de satisfaction. Je sentis tout à coup un gland prendre contact avec ma vulve,il pénétra en moi de suite, lentement mais d’une traite jusqu’à toucher ma matrice. Je sentis les couilles velues de l’homme frappées mon anus. Oh ! comme c’était bon de se faire pénétrer ainsi. Tout mon vagin était en alerte et capté la moindre sensation que me procurait cette belle queue au fond de mon ventre. Je levais la tête pour voir qui m’avait embrocher ainsi,c’était Daniel. Il fit quelques va et vient en moi qui alimentèrent le feu qui brûlait dans mon bas ventre,puis sortit et céda sa place au contrôleur. Lui ,par contre ne fit pas dans le détail,il m’embrocha d’un coup comme un soudard,c’était tout l’opposé de la pénétration de Daniel,mais j’y prenais quand même une autre forme de plaisir. Être ainsi pistonné me fit penser à un viol,j’en coulais,ma cyprine contribuait à ce que cette queue bandée fasse des bruits incongrus dans ma chatte.-Je vais t’envoyer ma purée petite salopeIl ne jouit pas en moi mais envoya tout son foutre sur mon ventre,certains jets atteignant même les femmes qui me suçaient la poitrine. Son liquide était chaud sur ma peau. Je sentais un nouvel orgasme en préparation,il bouillonnait en moi. Une sensation d’écartèlement au niveau de ma grotte,cette fois ci c’était Adrien avec son énorme pieu qui en forçait l’entrée. Son énorme champignon écrasa mes petites lèvres qui sous la pression s’écartèrent,la progression débuta, aidée par la cyprine que mon vagin produisait maintenant en abondance. Je sentais mon conduit s’élargir au fur et à mesure que cette colonne de chair glissait en moi, une impression d’un fer brûlant qui plongeait au plus profond de mon ventre. Je le sentis arrivé en bout de course mais ses bourses n’étaient toujours pas en contact avec mes fesses. Il me releva les jambes,saisit mes chevilles et les releva vers le haut à la verticale puis les écarta à fond. La queue glissa à nouveau repoussant les limites de ma matrice,ses testicules frappèrent enfin sur mon cul. Sa queue occupait le moindre recoin de mon anatomie,jamais je ne m’étais senti remplie à ce point. Lui aussi savoura cette sensation pendant quelques instants puis il entama un lent va et vient ,d’abord sur quelques centimètres puis peu à peu sur toute la longueur de sa hampe. Je soufflais comme une locomotive à vapeur à chaque fois qu’il replongeait en moi. Mon orgasme ne fut pas long à venir,lorsqu’il se déclencha mes muscles vaginaux se resserrèrent sur sa bite,ce qui lui fit pousser un long soupir. Encore deux ou trois allées et venues et je sentis les jets de sa liqueur brûlante fusés en moi,frappant le fond de mon ventre. Mon plaisir qui était en train de tomber redémarra aussitôt pour se finir dans un cri.-MAMAN! JE JOUIIIIIIIIIIIIIILe visage de maman était au dessus du mien ,elle me regardait tendrement et me dit :-C’est bien ma chérie,joui,joui,tant que tu en as envie,fais comme ta mamanElle posa à nouveau ses lèvres sur les miennes-Je t’aime mamanAdrien se retira,reposant mes jambes au sol,je restais là,écartelée,ivre de plaisir. Je savourais pleinement ma jouissance. J’avais bien fait de venir en fin de compte. Redescendue de mon septième ciel,je m’asseyais en tailleur à même le sol,maman était en grande conversation avec Sonia. Celle-ci lui fit plusieurs fois oui de la tête . Puis Sonia se dirigea vers Daniel et lui parla au creux de l’oreille,son visage s’illumina et un large sourire apparut sur ses lèvres,lui aussi acquiesça de la tête. C’était quoi toutes ses messes basses,me demandais je. Une voix me tira de mes réflexions,-Alors petite chienne,décidée à te faire monter par mon Rex ?Je levais les yeux pour regarder l’homme qui me parlait,il avait vraiment un sourire de pervers.-Vous n’avez qu’à vous faire monter vous même par votre clébard,lui dis je.-Ça c’est déjà fait et je peux te dire que j’ai pris un pied d’enfer,ta mère me suçait en même temps,elle a tout avalée tellement ça l’a excitée de me voir me faire défoncer la rondelle par le chien. C’est d’ailleurs pour ça qu’elle a voulue essayer aussi et crois moi elle ne le regrette pas. D’ailleurs tu l’as vue à ton arrivée,et ta copine Sonia en a redemandé,tant ça lui avait plût dans le train. Il ne reste plus que toi,ma jolie.-allez vous faire foutre !-Eh ! tu me parles pas comme ça,c’est compris ! Tu vas voir,salope. Rex viens ici !Le chien se leva aussitôt venant se mettre assis sur ses pattes arrières au pied de son maître. Il me fixait ,la langue pendante,la respiration haletante. Ma mère intervint alors :-Que se passe t il Carole ?-Il veut me faire saillir par son clébard,lui dis je-Et toi ,tu ne veux pas ? me demanda ma mère-NON ! c’est hors de question,je ne suis pas une chienne-Moi je l’ai bien fait,alors tu me considères comme une chienne si je comprends bien ?-Non maman,ce n’est pas ce que j’ai voulu dire.Sonia arriva ,tendit un petit pot à maman.-Merci Sonia-C’est quoi? lui demandais je-Ça mon bébé,c’est une crème très spéciale ,si tu te l’appliques sur le vagin ou sur l’anus avant un rapport ça décuple ton orgasme. Crois moi ,ça marche je l’ai essayée ce soir.-Pourquoi pas après tout,je suis venue ici pour m"éclater. Tu veux bien m’en mettre ?-Bien sur ma chérie,je vais d’abord t’en mettre sur la vulve,et après ça si tu veux sodomiser je t"enduirai aussi ton petit trou.
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