Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 70 J'aime
  • 12 Commentaires

Mes ébats pervers avec maman

Chapitre 1

Inceste
Avertissement : Si vous cherchez à lire un récit romantique, sensuel ou sentimental, passez votre chemin. Vous ne trouverez pas ça ici. Par contre, si vous aimez le sexe sauvage, bien pervers et sans aucun tabou, alors j’espère que cette histoire vous plaira autant qu’il m’a plu de l’écrire.Tous les personnages de cette histoire sont adultes et consentants.
Cela faisait deux ans que ma mère et moi entretenions une relation incestueuse. Comme dans beaucoup d’autres relations comme la nôtre, l’absence de père avait rendu notre relation fusionnelle. J’ai toujours été gâté par maman, j’étais tout pour elle et elle était tout pour moi. Alors au fil que je grandissais (que ma libido grandissait surtout) et que le désir de ma mère de refaire l’amour avec un homme augmentait, l’inceste nous est venu naturellement. Je ne vais pas vous décrire la naissance de l’inceste entre une mère et son fils, non. D’autres le feront bien mieux. Moi, je veux raconter la passion des ébats sexuels que j’ai eus avec ma maman. Au début, il y a eu cette période d’embarras où l’on n’osait plus se regarder dans les yeux et pourtant nous continuions à faire l’amour, c’était plus fort que nous. Mais peu à peu, nos ébats se faisaient plus sauvage, plus osé, plus… pervers. Jusqu’à dépasser les limites pour certains d’entre vous, j’en suis sûr. C’est pourquoi je sais que mon récit ne plaira qu’à peu d’entre vous.
Cela faisait une semaine que nous ne nous étions pas lavés et pour en rajouter une couche, nous étions même aller faire du sport. Le temps non plus n’avait rien fait pour atténuer la chose : il avait fait 30 degré toute la journée. Il y a un an, l’odeur de mon corps et celui de ma mère m’aurait répugné, mais maintenant, cela me faisait bander comme jamais. Ma mère et moi n’avions aucun tabou, nous avions essayé pratiquement toutes les pratiques sexuelles imaginables et nous nous sommes vites rendus compte que le plus pervers la pratique était, plus elle nous plaisait…
Nous étions donc tous les deux-là dans le salon, nus et en sueur, nous nous masturbions chacun de notre côté en regardant l’autre.— Je devrais avoir honte, dit maman, je suis nue, sale et crasseuse devant mon propre fils et tout ce que je trouve à faire c’est de me caresser la moule. Qu’est-ce qui ne va pas chez moi ?— Rien, maman. Tout va bien chez toi. Tu n’as jamais été aussi belle. Aussi belle et aussi puante. J’adore ça !En entendant mes mots, elle poussa un râle et se frotta encore plus fort son clitoris.— Viens désaltérer maman, mon chéri. Hydrate-moi avec ta pisse.Je me suis alors levé, je me suis approché d’elle – je pouvais encore mieux sentir son vagin poisseux dont je n’avais qu’une hâte c’était de le bouffer – et j’ai alors vidé ma vessie sur elle. J’ai d’abord visé sa poitrine et son corps, elle massait ses seins (105C) avec ma pisse comme si c’était une huile. Elle a alors ouvert la bouche, j’ai tout de suite compris le message. J’aspergeais son visage, elle en avait partout. Je sais qu’elle adorait ça, elle se délectait de mon urine. Malheureusement, ma vessie était déjà vide, j’aurais aimé continuer et lui remplir le vagin. Tant pis : je lui remplirai le vagin avec d’autres liquides.
Maman s’est alors jetée à genoux devant moi pour me sucer la bite, elle voulait me boire jusqu’à la dernière goutte. Mais avant d’y mettre tout de suite sa bouche, elle me décalotta et sentit mon gland. Elle le respirait comme on respire une rose. Autour de mon gland, il y avait du smegma, cette substance blanchâtre et odorante qui s’accumule sous le prépuce, surtout si on ne se lave pas. Ma mère y passa un doigt pour en récupérer au bout de son index et le suça aussitôt, puis me regarda d’un air de dire « tu es délicieux ». Elle me poussa sur le fauteuil d’en face afin d’être plus à l’aise pour inspecter mon organe malpropre. Elle passa une main sur mon torse transpirant. De son autre main, elle m’avait serré les couilles à la base pour qu’elles se gonflent. Elle y passa sa langue puis en goba une. Etant assez sensible à ce niveau-là, cela ne fut pas tout de suite très agréable. Mais quand elle commença à me faire un suçon à un de mes testicules, là c’était l’extase ! Sentir sa bouche aspirer ma peau, sentir sa langue venir frotter à chaque aspiration : quel bonheur ! Je me suis passé une main entre les cuisses et le sexe, je voulais sentir ce que ma mère sentait à ce moment-là. Ce fut une odeur très forte mais maman me prit la main et suça mes doigts comme pour me dire qu’elle adorait mes effluves. Ensuite, elle passa justement sa langue partout sur mes parties génitales : sous mes couilles, entre mes cuisses, mon pubis. A ce moment précis, nous n’étions plus deux personnes civilisées, non. Nous étions deux animaux. Une maman lionne qui lave son petit. Elle m’acheva en faisait glisser sa langue sous mon prépuce qui entourait de nouveau mon gland ; puis elle tourna tout autour de ce dernier.Elle commença finalement à me sucer la tige, quel plaisir ! Elle me décalottait le plus possible et me suçait passionnément. Il y avait du smegma blanc sur ses lèvres, quand elle le remarqua, elle passa sur langue sur celles-ci pour le manger.— Oh, maman ! Lâchai-je totalement excité de voir ça.— Tu veux que maman te fasse jouir mon chéri ?Je fis oui de la tête, ma mère se suça alors le doigt et me bascula un peu en arrière de sorte à avoir mes fesses vers le haut. Je savais ce qu’elle prévoyait de faire et cela me fit bander encore plus.Elle introduisit alors son doigt dans mon anus, qui, je le rappelle, n’a pas été nettoyé depuis une semaine. Elle me massa la prostate comme il se doit. Etant infirmière, elle savait comme s’y prendre. Et puis, elle a eu l’occasion de s’entrainer sur moi ; elle sait parfaitement où est mon point G. Je me laisse alors prendre par cette vague de plaisir qui parcourt mon corps. Je me suis alors mis à quatre pattes, les fesses bien tendues vers maman.— Tu veux bien me manger le cul, s’il te plait, maman ?— Bien sûr, mon petit prince.Elle s’est alors penchée et m’a fait un délicieux anulingus. Je pouvais sentir sa main me masturber pendant que sa langue glissait contre les parois de mon anus. Elle plaqua sa bouche contre mon orifice et essaya de faire entrer sa langue en dedans. Parfois, je sentais quelque chose de différent qui me frottait l’anneau. Au début, j’ai cru à un doigt mais quand je me suis retourné, j’ai vu maman qui passait son nez entre mes fesses. Vous a-t-on déjà branlé le cul avec le nez, vous ? C’était la première fois et c’était super excitant. Puis ma petite chienne de maman entra deux de ses doigts dans mon cul et me pénétra assez rapidement et assez profondément, toujours en me branlant. Il ne me fallut pas longtemps avant de sentir la sauce monter.— Ma… Maman, je vais éjaculer…Elle prit alors le gobelet en verre sur la table à côté, le mit juste en dessous de mon pénis et continua de me branler.
— Vas-y, mon amour, jouis fort, fort, fort pour ta maman. Et puis, j’ai atteint le point de non-retour. J’ai lancé un râle de plaisir et j’ai senti ma prostate gonfler et pomper, aidé par les doigts de ma mère, pour envoyer le plus de semence possible. On pouvait entendre le bruit de mes jets de sperme tomber dans le fond du gobelet. J’essayais d’éjaculer le plus fort possible, je faisais aller tous les muscles de mon corps. Maman, quant à elle, avait réussi à synchroniser ses mouvements avec les spasmes de ma prostate. Mon cœur battait fort mais j’avais le cerveau en compote tellement c’était bon. Je me suis avachi dans le fauteuil mais ma mère n’arrêta de me branler le cul que lorsqu’elle fut sûre de m’avoir vidé les couilles.Elle retira ses doigts pour les renifler. A ma grande surprise, ceux-ci n’étaient pas totalement brun, il y avait juste des traces jaunes, légèrement brun, par-ci par-là. Elle me jeta un regard coquin en me montrant ses doigts puis elle les mit dans sa bouche et lâcha un gémissement. Elle m’a ensuite tendu ses doigts que je gobais sans hésiter afin de goûter mon propre cul. Maman s’est penché sur moi et nous nous sommes embrassés langoureusement, avec le goût de mon colon dans nos deux bouches. C’était si bon, si sale mais si bon. Nos corps crasseux qui s’enlaçaient. Lors de notre baiser, j’avais tenté d’agripper maman dans le dos, mais sa transpiration m’en avait empêché. Je suis sûr que si quelqu’un était entré dans la pièce, il aurait été dégouté, voire aurait vomi, à cause de l’odeur mais pour maman et moi, ces odeurs corporelles nous rendaient fous. C’était notre aphrodisiaque.Après être resté un moment à se câliner dans notre sueur, maman s’est relevé et a regardé la quantité de sperme que j’avais éjaculé. C’était crémeux avec quelques taches jaunes. Maman mélangea avec un doigt et le goûta.
Me voyant dans un état assez exténué, maman a décidé de se mettre sur le divan pour qu’on se blottisse l’un contre l’autre pour un nouveau petit câlin. J’étais là entre ses bras, sa grosse poitrine serrée contre mon torse. Elle passa une main dans mes cheveux gras mais elle me regardait amoureusement, je n’avais pas à avoir honte d’être sale. J’étais assez proche pour sentir sa transpiration. J’ai déposé un bisou sur ses lèvres, puis dans son cou. J’ai fait glisser ma bouche jusqu’à ses seins. Je goûtais les perles de sa sueur salée. J’agrippais ses seins, je lui suçai les tétons comme si j’étais encore un bébé. J’ai pris l’initiative de lui soulever le bras où j’ai découvert alors son aisselle toute mouillée. Malheureusement, ma mère s’était rasée il y a quelques semaines et seuls quelques poils avaient eu le temps de repousser. Je l’embrassais sous le bras, je la léchais : c’était à mon tour de la nettoyer. J’avais remarqué que sa main avait glissé jusqu’à son sexe poisseux. Je lui donnais une tape sur la main et je déposais la mienne sur son abricot. Je crois que cet élan de domination lui a plu. J’étais son homme maintenant. Pendant que je lui bouffais l’aisselle, ma main jouait avec sa moule. J’aimais sentir mes doigts après lui avoir pincé son petit clitoris. Quelle odeur ! Elle me tapait le cerveau, je bandais comme un fou.
Je me suis alors glissé en dehors du canapé, j’ai écarté les jambes de maman, l’arôme qui émanait de sa chatte était forte. Je pouvais même voir son trou du cul tout sale que j’avais tant envie de lécher.Mais pour l’instant, je me contentais de son minou malodorant. Je me suis rué sur son clitoris ; maman fut surprise, il faut dire qu’elle est très sensible. Je l’ai sucé et léché comme un affamé. Puis j’ai introduit mon index dans son antre et mon majeur dans son anus, les deux en même temps. Je n’ai eu aucunement besoin de lubrifiant. Il y en avait du naturel dans ses deux trous. Je lui bourrais le chicon avec mes doigts, ses gémissements ne tardèrent pas à se transformer en cris. Après un moment de ce fort bon massage, maman a joui. J’adore le son rauque qu’elle lâche quand l’orgasme lui frappe le corps. Je peux alors sentir son anus et les muscles de son vagin se serrer contre mes doigts. J’ai alors sorti mes doigts et ma mère a pris ma main avec force et me l’a nettoyé. Elle m’a ensuite dit, toute tremblante :— Encore… S’il te plait, mon chéri, fais encore du bien à maman !J’adorais voir ma mère dans cet état : une salope désespérée d’être baisée et j’étais le seul qui puisse la satisfaire. Moi, je ne tenais plus de mon côté. Je l’ai alors mise dans une position correcte pour la pénétrer et je l’ai baisé. Ah, la première pénétration ! Je crois que c’est mon moment préféré. On se languit de ce moment et quand il est là, c’est l’extase !
J’ai fait l’amour en missionnaire à ma maman pendant un moment. Je n’avais pas envie de changer de position tout de suite tellement c’était bon. Nos sécrétions qui se mélangeaient, notre crasse qui s’emmêlait. Tout en la défonçant, je jouais avec ses tétons, j’aimais les tordre doucement ou les tirer, j’aurais aimé y voir du lait en sortir. J’adorais aussi sortir de sa vulve et lui baiser directement le cul et revenir enfin dans son vagin. Je sentais que j’allais à nouveau éjaculer, j’ai opté alors pour une bonne levrette. Elle s’est alors retournée et m’a offert son cul. Qu’il était beau ! Avant de lui baiser son petit trou, je me suis penché et je l’ai mangé. Peu importe le gout, peu importe l’odeur, le plaisir y était. Ma mère reprit ses gémissements, je la voyais qui voulait jouer avec son clitoris en même temps mais je le lui refusais.— Seulement par le cul, ma petite maman, jouis seulement par le cul.Elle s’est alors laissée aller, sous l’effet de l’excitation, son anus s’est encore plus dilaté. A un tel point que j’ai eu envie d’y mettre ma main. J’ai d’abord mis deux doigts, puis trois. J’ai mis mon poing en forme de tête de canard et je l’ai doucement pénétré. Quand elle a compris ce qui se passait, elle a posé sa main sur la mienne, j’ai cru qu’elle voulait m’arrêter mais ce ne fut pas le cas. Elle voulait me guider pour que j’aille au rythme de son colon. Le frottement se faisait assez sec. J’ai alors ressortit ma main, son anus était maintenant bien ouvert, l’odeur n’avait jamais été aussi forte. Je n’ai pas pu m’empêcher d’y introduire ma langue. Puis je lui ai craché dans le fion, les plus gros mollards que je pouvais faire. Et nous sommes retournés au travail. Quand son anneau serrait enfin mon poignet, j’ai commencé à bouger ma main dans ses entrailles. Quand son gouffre a merde fut habitué à ma main, je commençai quelques vas-et-viens. Ma poing n’était pas fermé, ma main était grande ouverte, je n’avais jamais été aussi loin dans le cul de ma mère. J’aurais aimé y allé chercher un étron mais malheureusement il n’y avait rien. Mais mes recherches spéléologiques portèrent leurs fruits puisque maman ne tarda pas à jouir de nouveau.— Je vais jouir, Guillaume, prends le gobelet !Je n’avais qu’à tendre le bras pour prendre le gobelet qui contenait ma précédente éjaculation. Ma mère tenait le gobelet sous sa vulve, de son autre main elle essaya de se masturber le clitoris, mais encore une fois j’étais là pour l’en empêcher.— Je t’en prie, mon amour, laisse-moi me branler, je t’en supplie.— Non… dis-je avec un sourire en coin. Tu sens ma main qui te pénètre le cul ? Tu sens la jouissance monter alors que ton propre fils te fouille les entrailles ? T’es vraiment une salope, maman…Elle serra les jambes et je pouvais sentir son fion se contractait sur ma main. Elle jouissait ! Je fus surpris par la force avec laquelle ma main fut retenue dans ce trou du cul. A chaque vague de jouissance, ma mère criait, serrant fort ma main dans son fion et un jet de cyprine venait remplir le gobelet. A chaque jet, elle poussait fort, elle voulait jouir un peu plus fort à chaque fois, elle en pleurait presque. Elle fit ça quatre ou cinq fois avant de se relâcher et ma main fut naturellement expulsée de son cul. Elle se laissa alors tomber sur le canapé, exténuée.
Je l’ai alors levé et je lui ai mis ma queue dans son minou, toujours en levrette. Elle fut assez surprise que je ne lui laisse pas un peu de repos. A cause du fist-fucking que je lui avais fait et la place qu’avait pris ma main dans son trou, son vagin était très serré. Ca me rendait fou, je le bourrais du mieux que je le pouvais. Ma mère était là, pas inconsciente mais dans les nuages, je l’ai défoncé comme ça jusqu’à ses jambes tremblent : je compris qu’elle jouissait de nouveau. Après ce deuxième orgasme à la suite, je décidais de laisser sa petite moule tranquille. Je suis sorti de ma mère, j’ai reculé de quelques pas et je lui ai tendu ma queue. Elle s’est levé et est venue vers moi, non sans mal, elle titubait, ses jambes étaient en compote à cause de sa précédente jouissance. Cela me fit rire, elle avait l’air dans le gaz. Puis elle m’a sucé la bite comme si sa bouche était un aspirateur. Elle était là à genoux devant moi et me dégustait avec un air qui disait « merci maître ». J’adorais ça.
Je voyais bien qu’elle essayait de mettre ma bite au fond de sa gorge, mais elle avait un peu de mal, j’ai alors décidé de lui donner un petit coup de main. J’ai tenu sa tête et ensemble, on a avancé centimètre par centimètre dans sa cavité buccale.Vers la fin, elle a commencé à avoir des haut-le-cœur et de forts bruits provenaient de sa glotte, mais elle ne s’arrêta pas pour autant. Je tenais sa tête, j’appuyais un peu mais je ne sentais aucune résistance de sa part.— Je sais que tu peux le faire, ma petite maman, vas-y, gobe la queue de ton fils.Elle sortit sa langue de sa bouche et me lécha les couilles.— Ouais, c’est ça…. Dis-je sous l’effet du plaisir, continue, ça fait du bien.J’étais sur le point de lâcher sa tête, quand elle a mis ses mains sur les miennes et m’a montré qu’elle voulait que je bouge sa tête sur mon sexe.— Oh, tu veux que je te baise la bouche, hein. Eh bien, on va faire ça.J’ai commencé alors des mouvements de hanches, elle ne me suçait plus : c’était moi qui la baisait. L’excitation monta très vite, mes mouvements se firent plus rapides et les bruits provenant de la bouche de ma mère se faisait plus nombreux. Je remarquais que maman était en train de se chatouillait le clito, mais cette fois je la laissais faire. Et je ne tardai pas à voir une flaque de liquide sous elle. Au début, j’ai cru à une autre éjaculation féminine mais il y en avait bien trop. Non, ma mère avait joui et s’était pissé dessus.— Mais quelle salope, t’es vraiment une chienne, maman, tu devrais être punie pour ça !A bout de souffle, elle retira sa bouche de mon engin. Elle avait de la bave tout autour des lèvres. Un filet de salive coulait même sur son menton. Pendant qu’elle reprenait sa respiration, elle me dit en me regardant bien droit dans les yeux :— Je… Je veux que… Que tu me baises la bouche mieux que ça… Fais-moi vomir sur ta bite… Tu dois punir la mauvaise mère que je suis…Je l’ai alors prise par les cheveux, sans lui faire mal bien entendu, c’était surtout pour me montrer dominant et je l’ai tiré vers ma queue. Elle a ouvert la bouche et mon sexe s’est enfoncé dans ce trou chaud et mouillé. Cette fois, j’ai mis ma main à sa gorge et derrière sa tête, la forçant à me sucer tout du long. Les bruits qu’elle faisait m’exciter à fond, quant à elle, elle ne tarda pas à avoir des remonter de glaires et autres hauts-le-coeur, jusqu’à ce qu’elle ne tienne plus et vomisse sur ma queue. J’allais lui demander si ça allait mais elle m’a regardé et a ouvert sa bouche. Je pouvais voir quelques petits bouts de vomis sur sa langue et je vous laisse deviner quel était son haleine, mais je l’ai quand même embrassé à pleine bouche, mélangeant nos salives, ainsi que les restes du repas de maman. Cela faisait longtemps qu’on ne s’était plus fait un french kiss pareil. Après nous avons continué ce, dégueulasse pour certain, délicieux pour d’autres, petit manège. Maman a encore vomit mais cette fois je n’avais pas sorti mon sexe de sa bouche, j’ai vu donc toute la nourriture non digérée ainsi que les sucs gastrics de ma maman couler sur ma bite. Ses bruits d’étouffement, d’étranglements, les relents et autres m’ont vraiment excités et j’ai jouis sur la gueule de ma mère. Elle était si belle, là, à reprendre son souffle, transpirante de partout, ses cheveux bruns mi-long ébouriffés, le visage plein de salive, de vomis et de sperme incestueux.— Tiens, maman, je vais te rincer le visage, bouge pas.Je lui ai alors uriné dessus pour lui nettoyer la gueule. Ma pisse coulait sur sa tête, sur son corps et venait trouver son embouchure là où ma mère avait gerbé.— Tu es la plus belle femme que j’ai jamais vue, maman.— Merci, mon amour. Dit-elle en souriant tout en remettant ses cheveux en place.Elle s’est mouché le nez avec ses mains, probablement pour enlever soit la pisse, le sperme ou le vomi et s’est levée, croyant sûrement qu’on en avait fini. Mais j’avais encore envie d’elle. C’est fou l’effet que me faisait ma mère, j’avais envie de la baiser encore et encore pour l’éternité. Je l’ai alors prise par la main et je l’ai tiré vers moi. Je me suis allongé par terre, dans la flaque de nos fluides corporels et j’ai tiré maman pour qu’elle s’asseye sur moi.Comme si ça ne suffisait pas, l’odeur de vomi venait s’ajouter maintenant aux autres de la pièce, à nos odeurs. Nos corps n’étaient plus seulement trempés de sueur. Quand je baisais maman comme ça, nous nous tenions les mains pour l’équilibre, nous avions l’air de deux amoureux, de deux amants, d’un vrai couple, d’un homme et d’une femme. Tout ce qu’il y a de plus normal. Deux amants qui baignent dans du vomi et de la pisse certes mais deux amants quand même. Nous étions heureux. Des gouttes de sa transpiration me tombaient sur le corps. Maman était sur le point de jouir quand elle s’est approchée de moi et m’a dit au creux de l’oreille :— Je t’aime, Guillaume. Fais-moi un enfant… Mets-moi en cloque, je t’en supplie. Nourris mes ovaires de ta semence, je veux un bébé de toi.Je n’ai pas tenu une minute de plus quand j’ai entendu ça, j’ai accéléré mes mouvements, je me suis planté le plus profondément en elle et j’ai joui. J’ai joui dans un râle de plaisir immense. Je sentais ma prostate envoyait le plus de sperme possible. C’était tout mon corps qui voulait mettre ma mère enceinte. C’était fantastique. Nous sommes restés plantés là un moment, ma mère couchée sur moi. Mes couilles me lançaient, ma bite était rouge et l’odeur était insupportable mais on était si bien là.Maman s’est levée la première et est partie à la cuisine, moi je me suis posé dans le fauteuil le moins sale. J’ai jeté un coup d’œil à notre salon :— Quel bordel ! fit ma mère. On va avoir du boulot pour nettoyer ça…— Mais ça valait la peine. Dis-je à mon tour.— Absolument mon chéri.Elle prit alors le gobelet rempli maintenant de sperme, de cyprine et autre liquide vaginal et d’un peu de vomi. Elle y bu une gorgée comme les sportifs boivent une boisson énergétique pour se ressourcer après un match.— Ben dis donc, tu m’as bien défoncée ce soir, fiston. Je suis fière de toi !— Tu m’as fait un effet du tonnerre aussi. (Elle me tend la gobelet que j’accepte) Ahhh, avec l’odeur poisseuse de ta chatte et les effluves de ton cul, humm. J’ai qu’une hâte c’est de recommencer…Je me suis alors retourné vers elle et elle me regardait avec envie, en se mordant la lèvre.— T’es vraiment qu’une salope, maman ! Dis-je en me levant pour lui courir après…
FINEnvie d’autres histoires perverses ? forthelulz8@yahoo.fr
Diffuse en direct !
Regarder son live