Effectivement, à la maison, ce n’est plus comme avant. Je n’ai plus le même regard pour ma mère. Dans une journée, il m’arrive souvent de revoir la partie mémorable de mardi.Depuis, nous avons baisé tous les soirs après le repas. Mercredi, jeudi et probablement ce soir. A chaque fois, notre baise était précédée d’échanges lubriques sur nos mails.Ce soir après le dîner, nous reprenons nos mails de la journée pour nous mettre en pression. « Une petite question Sophie, tu es une jouisseuse, tu n’as jamais eu envie de faire l’amour avec une femme, de te gouiner ? »« Ça m’est arrivé avec une collègue qui a été mutée dernièrement en avancement à Paris. J’avais remarqué qu’elle avait des attitudes bizarres à mon égard, elle semblait jouer de sa forte poitrine bien en évidence dans ses décolletés. Un jour à l’occasion d’un repas entre collègues, elle était assise en face de moi et me caressait ostensiblement les jambes avec ses pieds jusqu’à remonter sous ma jupe. Comme je la laissais faire, car ce n’était pas désagréable, à la fin du repas, quand le groupe se séparait devant le restaurant, elle s’est approchée pour faire la bise comme à notre habitude entre collègues, et m’a soufflé à l’oreille : « viens chez moi, j’aimerais terminer la soirée avec toi. » Après quelques verres d’alcool, nous avons fait l’amour longuement dans la soirée. C’était une première pour moi, mais l’alcool aidant et les caresses expertes de Sylvie m’ayant fait jouir plusieurs fois, j’y ai pris goût. Nous nous sommes réunies plusieurs fois avant son départ, à chaque fois, elle m’initiait à de nouveaux jeux. Depuis son départ, nous nous écrivons un peu comme avec « Lo21 », je m’excite en regardant des pornos de lesbiennes ou en lisant des histoires comme celles que tu écris Monsieur « Lo21 » « Tu n’as pas essayé de trouver une autre partenaire ? »« Non c’est encore trop frais, mais j’avoue que ça me manque un peu »« Je crois que je peux t’aider. J’ai une proposition à te faire. »« Dis toujours » « Tu m’as dit qu’Amélie devait venir demain pour le week-end. Un jour, elle m’a confié qu’elle était bi, mais surtout intéressée par les femmes plus vieilles qu’elle »« Attend Louis, là je t’arrête. Tu ne vas tout de même pas me suggérer de me gouiner avec ma fille !! c’est totalement immoral et je n’ose même pas imaginer sa réaction sur une telle proposition. Ce serait l’éclatement de notre petite famille ! » « Mais Sophie, réfléchis, que faisons-nous ensemble depuis que j’ai découvert que ma mère était « Belle S ». C’est bien ton fils qui te baise ? Laisse-toi guider par tes sens et non par ta morale déjà bien écornée. C’est à toi d’imaginer un plan pour l’amener à avoir envie de toi »« Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? C’est impensable même si Amélie est une fort jolie femme avec un corps splendide. Je sais que tes copains la trouvent « archi bandante » comme ils disent, mais c’est ma fille » « Attends, je vais te montrer une de ses photos que j’ai prises en cachette dans sa chambre quand elle se déshabillait la dernière fois qu’elle est venue. Regarde cette paire de seins, ses jambes au galbe parfait, ce cul rebondi qu’on aperçoit derrière cette chatte à la toison bien fournie comme la tienne. Moi elle me fait bander. A toi, elle te laisse de marbre ? Imagine qu’elle te caresse et qu’elle te demande de la sucer comme tu faisais avec ta collègue Sylvie. » « Louis, arrêtons là cette discussion. Je sens que je mouille, mais c’est parce que j’ai envie de ta queue. Viens sur moi et baise-moi. »
La soirée se termine par une bonne partie de jambes en l’air et chacun va se coucher.En pleine nuit, je me lève pour boire un verre d’eau et apercevant un rai de lumière sous la porte de Sophie, je frappe et entrouvre la porte. « Tu ne dors pas maman ? »« Je viens de me réveiller en sortant d’un rêve surprenant. Je me faisais baiser par un gode ceinture et surprise, c’était Amélie à qui je demandais de continuer tellement je trouvais ça bon. Je prenais ses seins à pleine main. C’est au moment de jouir que je me suis réveillée. Tu te rends compte, à cause de toi, mon subconscient a travaillé après notre discussion sur la plastique de ta sœur et ta proposition incestueuse. J’ai dû mouiller abondamment, car j’ai trempé mon drap. »« Je peux voir ? »« Tu sais bien que tu n’as pas besoin d’autorisation quand c’est moi qui en parle. » Effectivement, en soulevant le drap de dessus, Sophie est nue et en passant ma main sur sa toison, je constate cette humidité extrême. Son clito en est encore tout bandé. « Sophie « Belle S » il ne faut pas refuser ce plaisir. Ferme les yeux, essaie de te replonger dans l’ambiance de ton rêve, ce n’est pas ma queue qui va te pénétrer, mais le gode de Sylvie » Très obéissante, mais probablement avide de sensations, Sophie ferme les yeux, écarte les cuisses et se laisse limer par la supposée présence de sa fille. « Baise-moi Amélie, ton corps m’excite, caresse-moi, suce-moi c’est bon, continue... » Très excité par ce jeu de rôle, je ne peux me retenir et la préviens que je vais tout lâcher. « Vas-y, inonde-moi le con, ne crains rien, je prends la pilule et de toute façon, je suis hors période de fécondation. » Notre petit jeu terminé, nous nous séparons pour continuer notre nuit dans les bras de Morphée. Nous sommes samedi, ce matin, maman est allée faire des courses pour la venue d’Amélie. Il est 15h et c’est ma grande sœur qui s’annonce à la porte. C’est moi qui l’accueille, suivi de maman. « Bonjour Amélie, tu as fait bon voyage ? Tu es ravissante. Quelle tenue sexy ! minijupe archi courte qui cache à peine le haut de tes bas, talons hauts, corsage dilaté, tu vas faire fureur à l’anniversaire de ta copine. Si je n’étais pas ton frère, je te monterais aux rideaux. « Salut petit frère, c’est sympa, mais tu sais que je préfère les filles alors pas de chance. Et toi maman, comment vas-tu ? Toi aussi, tu es toujours aussi ravissante. »« Je vais bien, nous t’attendions, ton frère a raison, ta tenue est assez provocante. »« Vous avez raison, mais Suzie nous a prévenus, la soirée sera débridée, sans retenue, il n’y aura que des filles. » « Bien, tu peux aller dans ta chambre, elle est prête et tu y trouveras tes habitudes. » Cela dit, ses bagages à la main, Amélie se dirige vers sa chambre et en montant les escaliers, chaque pas dévoile un peu plus le haut de ses jambes pour ne pas dire de ses cuisses. Sophie a bien remarqué. Un court instant après, elle va rejoindre sa fille. « Alors ma grande fille, tu as retrouvé tes marques ? C’est vrai que comme dit ton frère, ta tenue est des plus provocantes pour une soirée sympa. » « C’est ce que souhaite Suzie, nous nous amusons bien entre filles »« Si je décode bien, cet anniversaire est une soirée lesbienne ? Donc j’en déduis que les femmes te font de l’effet »« Tu as raison, il faut le voir comme ça »« Et moi est-ce que je te fais de l’effet ?» Amélie part dans un éclat de rire. « Mais maman, tu es ma mère, je ne me pose pas la question même si effectivement tu as un corps désirable et une merveilleuse poitrine »« Je suis sérieuse Amélie, dans cette tenue, tu me fais vraiment de l’effet et je ne vois pas ma fille, mais une femme désirable comme tu dis, avec une merveilleuse poitrine. Ton frère m’a montré des photos de toi nue, en train de t’habiller et je peux dire que depuis, avec ses commentaires, je fantasme sur toi. »« Mais maman, ce sont des pensées incestueuses »« Tout ça sont des mots, tu es bien placée pour savoir que c’est le corps qui commande et tant que les rapprochements sont consentis, c’est le plaisir qui compte »« Je te savais très libre d’esprit, mais là, je suis scotchée. Donc ma poitrine te fait de l’effet. Tu veux mieux la voir ? Approche-toi et fais glisser mon soutien-gorge. » « Je peux toucher et caresser ? »« Oui si tu en as envie » Sophie presque collée à Amélie, lui dégrafe le corsage, caresse un sein, approche sa bouche et entreprend une succion mêlée d’aspiration du téton. « Tu embrasses bien, ma mère, tu m’excites, donne-moi tes lèvres et ta langue. » S’ensuit un baiser fougueux pendant lequel Sofie en profite pour passer une main sous la jupe d’Amélie. Sa toison et son string mouillés trahissent bien l’excitation » « J’aimerais que tu me suces et que tu me fasses jouir maman, mais il faut que je me prépare pour la soirée, je ne veux pas être en retard. Viens me voir à mon retour, si je ne suis pas trop épuisée je t’offrirai mon corps et nous jouirons ensemble. »« Tu es un amour ma petite Amélie, j’attendrai, mais je ne suis pas sûre d’être sage en t’attendant » Amélie partit à sa soirée, Sophie se retrouve seule avec Louis. « Alors maman, que penses-tu de ta fille ? Crois-tu que ton rêve de cette nuit puisse se transformer en réalité ? à la soirée chez Suzie je pense qu’elle va se gouiner. En la revoyant et après notre jeu de rôles à la suite de ton rêve, je pense que j’aimerais bien la baiser. » « Tu n’as plus de tabou et de retenue avec l’inceste mon Louis, mais arrête de me dire tout cela. L’imaginer dans une soirée lesbienne et ton envie de la baiser me rendent jalouse. Tout à l’heure dans sa chambre, j’ai tenté ma chance en lui faisant comprendre que sa tenue m’excitait et particulièrement la vue de sa poitrine. Elle m’a demandé si je voulais en voir plus et à ma grande surprise s’est laissée caresser les seins. Je me suis risquée jusqu’à sa chatte qui me semblait bien mouillée et là, elle aurait voulu que je la suce, mais il fallait qu’elle parte chez sa copine. Elle m’a donné rendez-vous cette nuit à son retour. » « Eh bien, c’est une rapide ma grande sœur. Elle a bien redit qu’elle aimait les femmes, mais de là à penser qu’elle se laisserait faire par sa mère, tu dois être satisfaite. Le fils puis la fille, tu ne serais pas un peu nympho sur les bords ? » « Je te rappelle que c’est toi qui as essayé de me violer et me rendre consentante et ensuite qui m’as demandé de séduire Amélie pour me gouiner. » « Bon, voyons la suite. Quand elle va rentrer, elle va aller te voir dans ta chambre et quand vous serez en plein déduit, je ferai mon apparition. »« Tu es fou ? Je ne suis pas sûre qu’elle apprécierait. »« Essayons, nous verrons bien. »
